BeeMyDesk, spécialisé dans l’accompagnement des entreprises, lance un nouveau parcours à destination des start-up grâce auquel elles bénéficieront d’un programme personnalisé de 8 semaines pour accélérer le développement de leur projet.
En 2022, BeeMyDesk souhaite accompagner 100 projets pour créer une communauté d’entrepreneurs apprenants. Mais dès cette année, 28 porteurs profiteront d’un accompagnement personnalisé à travers un nouveau parcours. Au programme : ateliers collaboratifs, rendez-vous individuels et sessions e-learning choisis en fonction de l’évolution des projets et de leurs besoins. L’objectif est de donner aux participants les outils nécessaires pour structurer leurs projets de manière pérenne et obtenir leurs premiers cdivts.
Concrètement, ce seront au total 27 heures d’accompagnement personnalisé en visioconférence et 10 heures de e-learning qui seront proposées, sur des thèmes comme l’étude de leur marché, la structuration du business model et de la stratégie de prix, le pitch du projet, la stratégie de communication sur les réseaux sociaux, la mise en place d’une stratégie d’acquisition cdivt ou encore l’identification des meilleurs leviers de financement pour le projet.
Pour poser votre candidature, rendez-vous sur
le site de BeeMyDesk
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À l’occasion, le 27 juin dernier, de la journée des micros, petites et moyennes entreprises, le ministère de l’Économie a publié une fiche qui explique comment obtenir un prêt pour financer la création ou la reprise de son entreprise.
Même si vous vous lancez avec des fonds propres, la création ou la reprise d’entreprise nécessite bien souvent de faire appel à des financements extérieurs, de type bancaire, pour finaliser le projet. Pour réussir cette étape et avoir toutes les chances de décrocher un prêt bancaire, il est indispensable de bien préparer sa demande en amont. Et pour vous y aider, le ministère de l’Économie vient de proposer une fiche répondant aux principales questions que peut se poser le porteur de projet à cette occasion. Comment constituer son dossier ? Quels sont les éléments qui sont pris en compte pour l’obtention du prêt ? Quelles alternatives s’offrent à vous en cas de refus ? Cette fiche permet également grâce à différentes définitions de refaire le point sur les notions de financement d’une création d’entreprise.
Pour consulter la fiche :
www.economie.gouv.fr
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Bpifrance vient de publier un panorama des pratiques d’entrée au capital des start-up deeptech par les offices de transfert de technologie (OTT). Résultat : ces start-up ont plus de facilité à lever des fonds.
Les start-up qui proposent des produits ou des services basés sur des innovations de rupture, dites deeptech, se caractérisent par leur fort besoin en capital dès leur création. Les structures d’accompagnement (start-up studios, incubateurs, accélérateurs…), mais aussi de transfert de technologie investissent de plus en plus souvent dans les projets qu’elles accompagnent. Or selon le panorama que Bpifrance a publié récemment, les start-up qui sortent d’un office de transfert de technologie sont 47 % à lever des fonds, tandis que celles qui se sont développées toutes seules ne sont que 23 % à l’avoir fait. Pour info, les montants levés en France s’élèvent à 1,5 Md€ en 2019, soit +60 % par rapport à 2018. Les start-up deeptech françaises représentent 1/3 des levées de fonds, alors qu’elles représentent moins de 10 % des start-up.
Pour Bpifrance, la présence au capital des acteurs du transfert peut faciliter le développement technologique des start-up deeptech et rassurer les parties prenantes éloignées du monde de la recherche. Bpifrance souhaite qu’un rapprochement significatif de ces acteurs du transfert et des fonds d’investissement s’opère pour mener à bien le Plan Deeptech et faire de la France une Deeptech Nation.
Pour consulter le panorama :
www.bpifrance.fr
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Alors que la crise sanitaire sévit depuis plus d’un an, près d’un million d’entreprises se sont créées ces 12 derniers mois, un record ! La majorité d’entre elles sont des entreprises individuelles.
Malgré un contexte économique difficile, la création d’entreprise séduit toujours ! C’est ce que démontrent les derniers chiffres publiés par l’Insee : 996 217 créations d’entreprises (contre 848 164 en 2020) sur les 12 derniers mois, soit une progression de 31 %.
Trois créations sur quatre sont des entreprises individuelles, qui ont adopté principalement le régime de micro-entrepreneur, c’est-à-dire des entrepreneurs qui créent leur propre emploi. Sur les premiers mois de l’année 2021, le secteur de la livraison représente une immatriculation d’entreprise sur six, ce qui est lié à la fermeture des salles de restaurant. Autre secteur en hausse : les freelances, qu’ils soient de la formation, du digital ou des services à la personne. Les créations sous forme de société progressent elles aussi, avec plus 256 000 entités sur les 12 derniers mois (contre 218 000 en 2019 et 2020).
Ces bons chiffres s’inscrivent dans une tendance de fond et non conjoncturelle, soit le résultat d’une politique favorable depuis 20 ans. Depuis 2010, le nombre de PME de plus de 10 salariés et de moins de 250 salariés a progressé de 12 000 unités à 148 000 en 2018. De leur côté, les ETI de plus de 250 personnes et de plus de 50 M€ de chiffre d’affaires sont passées de 1 000 à près de 5 800.
Pour en savoir plus :
www.insee.fr
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Parce que les start-up créent de l’emploi sur les territoires et mettent la technologie au service du bien commun, France Digitale donne la parole aux start-up en vue de faire des propositions aux présidentielles 2022.
Pour France Digitale, première organisation de start-up en Europe, les start-up ne proposent pas des innovations « gadget », au contraire. Pour preuve, pendant la crise sanitaire, Doctolib a permis la prise de 42 millions de rendez-vous de vaccination, Lifen a accéléré la transmission des données du Covid-19 entre les hôpitaux, Klaxoon a permis la continuité du travail en équipe dans les entreprises, OVH et Scaleway ont assuré des services de cloud malgré une demande en forte croissance, etc.
Alors qu’elles sont 27 000 en France, France Digitale veut donner la parole aux jeunes pousses et met à leur disposition une plate-forme pour collecter leurs propositions pour les présidentielles de 2022. Création d’emploi, autonomie stratégique, souveraineté technologique, entrepreneuriat et innovation responsable, financement de l’écosystème… tout type de propositions sont attendues. Sur cette même plate-forme, France Digitale fait aussi ses propres propositions et invite les start-up à donner leur avis sur celles-ci.
Pour participer :
https://francedigitale.org/presidentielles/
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Infogreffe, qui regroupe tous les greffes des tribunaux de commerce de France, lance une nouvelle plate-forme pour mettre en relation des cédants d’entreprises avec des repreneurs et investisseurs intéressés.
Pour accompagner la cession d’entreprises, notamment dans les secteurs de la distribution, du commerce et de l’hôtellerie-restauration, qui ont particulièrement souffert de la crise sanitaire, Infogreffe propose un nouveau service en ligne dédié à la transmission d’entreprises : la marketplace Infogreffe. Grâce à son moteur de recherche permettant d’accéder à de nombreuses fiches d’entreprises, mises à jour en continu grâce aux données certifiées par les greffiers des tribunaux de commerce, cette plate-forme doit permettre de faciliter et de fluidifier la transmission d’entreprises. La recherche peut se faire sur des critères chiffrés (données bilantielles), qualitatifs (exemples : bio, made in France, etc.) ou avancés (secteur d’activité, localisation, prix de vente, motif de cession, etc.).
Un service d’alertes mails permet même de se tenir informé pour optimiser la détection de l’entreprise recherchée. Tout cela de manière totalement sécurisée grâce au service d’authentification MonIdenum et aux informations légales des annonces garanties grâce au numéro SIREN.
Pour en savoir plus :
www.marketplace.infogreffe.fr
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À l’occasion du concours « Innover à la campagne », ce sont 10 entrepreneurs qui ont été récompensés pour leur projet innovant, à impact positif sur les territoires et l’environnement et au fort potentiel de croissance.
Initié par Milan Presse et Better Life Factory, avec pour partenaire le réseau Initiative France, le concours « Innover à la campagne » a attiré près de 200 candidatures d’entrepreneurs, issus de secteurs variés. L’objectif était de valoriser les porteurs de projets qui ont choisi de rester vivre à la campagne, là où ils ont grandi, ou de quitter les grandes villes pour entreprendre où ils avaient envie de vivre. Ce concours veut mettre en avant l’histoire de ces porteurs de projets issus de différents domaines pour montrer qu’il est possible de créer des projets innovants loin des grandes métropoles. Et pourquoi pas susciter des vocations. Les lauréats vont bénéficier d’une médiatisation de leur projet à travers les médias partenaires, d’une mise en relation avec un mentor de grande entreprise et d’une participation à une rencontre regroupant toutes les entreprises nominées.
Ont ainsi été récompensées : Sabi Agri (agroéquipements électriques pour les agriculteurs aux pratiques agroécologiques), Ferme des 3 soleils (fruits secs bio), Les Jardins de Brenne (microferme en permaculture), Aromacomtois (Huiles essentielles bio de résineux du Jura), Le Mouton Givré (sac isotherme éco-responsable), Garoma (huiles essentielles bio), Locagourmand (valorisation de matières agricoles locales), Village vivant (achat de locaux vacants, rénovation et location à des entreprises de l’innovation sociale), Lainamac (laine), Distillerie du Bel air (huiles essentielles et hydrolats bio).
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Cette année, le salon Vivatech se tiendra du 16 au 19 juin à la fois en présentiel, avec plus de 500 exposants à Paris Expo Porte de Versailles, mais aussi en distantiel avec la mise en place d’un large dispositif digital innovant.
C’est le plus gros salon de la tech en Europe. Pour sa nouvelle édition, contexte sanitaire oblige, Vivatech se déroulera pour partie dans un hall de Paris Expo Porte de Versailles d’une superficie de 25 000 m². Mais aussi en digital avec la mise en place de plusieurs outils digitaux innovants. Ainsi, des chaînes de conférences proposeront de suivre en direct les moments forts du salon. Des salles de networking virtuelles permettront des rencontres, et 500 innovations seront modélisées en 3D-AR (augmented reality) pour pouvoir être présentées au public. Sans compter 3 multiplex qui seront réalisés depuis l’Asie du Sud-Est, l’Amérique du Nord et l’Afrique pour découvrir d’autres écosystèmes de la tech.
Trois journées seront réservées aux professionnels, et l’une au grand public (le samedi), avec en toile de fond cette année, le rôle de la tech dans la lutte contre le changement climatique et la question de l’inclusion dans l’univers des start-up. À cette occasion sera lancé le « Tech for good score », un outil digital qui permet de mesurer l’impact social et écologique des entreprises de la tech pour rendre accessible leur engagement réel.
Pour en savoir plus :
https://vivatechnology.com/
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Orange Ventures, le fonds corporate de capital-risque du groupe Orange, annonce qu’il va débloquer 30 millions d’euros pour des start-up engagées pour l’environnement, l’inclusion ou l’aide aux personnes.
Créé en début d’année, Orange Ventures lance son premier projet d’investissement dédié aux start-up œuvrant pour le climat (efficacité énergétique et développement durable), l’inclusion (problématiques de l’accès à l’emploi) et l’aide aux personnes (autonomie des seniors, soutien aux personnes en situation d’handicap, etc.).
Ce sont 30 millions d’euros qui vont ainsi être accordés à une quinzaine de start-up françaises ou européennes ayant un impact positif sur l’un de ces trois domaines, chacune étant dotée de 750 000 € à 3 M€.
Pour participer, les jeunes pousses doivent répondre à un certain nombre d’indicateurs qui permettront de sélectionner les start-up les plus en adéquation avec le profil recherché (intérêt financier, ambitions, potentiel en termes d’employabilité et de création d’économies durables ainsi qu’en matière de tonnes de CO2 économisées…). Outre l’enveloppe financière, les start-up lauréates bénéficieront des expertises internes d’Orange Ventures et de son carnet d’adresses pour nouer des partenariats commerciaux avec les cdivts du groupe.
Les start-up intéressées peuvent déposer leur projet sur le site d’Orange Ventures :
https://ventures.orange.com/contact/
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Comme chaque année depuis 20 ans, des créateurs d’entreprises des quartiers prioritaires vont être mis en lumière lors du concours Talent des cités, notamment pour l’impact de leur activité en termes de créations d’emplois et de lien social sur le quartier.
Organisé par le réseau d’accompagnement et d’aide à la création d’entreprise BGE, à l’initiative du ministère chargé de la Ville et de Bpifrance, le concours Talents des Cités a été créé pour valoriser les initiatives et les réussites entrepreneuriales dans les quartiers prioritaires de la ville. Cette année encore, il récompensera une trentaine de porteurs de projet ayant installé leur activité ou ayant le projet de créer une entreprise dans un tel quartier. Les lauréats régionaux se verront remettre des dotations de 1 000 à 2 000 €. Quant aux lauréats nationaux, ils recevront des dotations pouvant aller jusqu’à 7 000 € ou bénéficieront d’une campagne de visibilité média.
Pour candidater, le créateur doit être suivi par un organisme d’accompagnement ou de financement à la création d’entreprise et remplir une demande de participation avant le 13 juin sur la plate-forme Talents des Cités. Tous seront évalués sur leur parcours, leur motivation, leur profil entrepreneurial mais aussi sur leur viabilité économique et l’impact de leur activité sur le quartier (créations d’emplois et de div social).
Pour s’inscrire :
https://talentsdescites.plateformecandidature.com/
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