Start-up : un service gratuit pour choisir ses freelances tech

SkillValue, société spécialisée dans le recrutement sur le marché des nouvelles technologies, propose aux start-up un service gratuit pour faciliter leur accès aux meilleurs freelances tech.

Pas toujours facile pour une start-up de trouver le bon profil tech, surtout lorsqu’il s’agit de faire appel au freelancing. Et une fois trouvé, comment être sûr de ses compétences techniques ? Pourtant, travailler avec des collaborateurs freelances compétents est devenu aujourd’hui incontournable. SkillValue, qui dispose d’une plate-forme d’évaluation rassemblant de nombreux freelances tech d’Europe, lance une initiative destinée à soutenir les start-up à la recherche de profils IT en leur proposant un service gratuit. L’occasion pour elle de promouvoir le recours aux freelances, un mode de collaboration qui a explosé cette année avec la crise.

Comme le rappelle Alexandre Vallin, Directeur Général de SkillValue, « un grand nombre de top développeurs travaillent en freelance. Pour bien les recruter, les start-up ont besoin d’accéder à une base qualifiée et de tester leurs compétences techniques. C’est ce que propose SkillValue avec ce service gratuit ». L’entreprise va donner un libre accès à sa base de freelances et accorder la possibilité de réaliser jusqu’à 20 tests techniques par mois sur sa plate-forme d’évaluation. Elle s’engage également à offrir la première semaine de prestations du freelance sélectionné pour la première mission.

Pour en savoir plus :

https://skillvalue.com/fr/

© Les Echos Publishing 2021

Le salon Go Entrepreneurs en version 100 % digitale

Pour s’adapter au contexte sanitaire, le célèbre Salon des Entrepreneurs, renommé Go Entrepreneurs, propose cette année une expérience 100 % digitale. Rendez-vous les 9 et 10 juin sur le site internet du salon.

C’est l’évènement incontournable des créateurs, start-up et dirigeants d’entreprises. Pour sa 28e édition, Go Entrepreneurs n’en finit pas d’innover : cette année, il se tient entièrement en digital, en direct depuis le siège du Groupe Les Echos-Le Parisien. Et il ne perd pas de vue son objectif habituel : permettre aux visiteurs d’accélérer leurs projets grâce à des moments d’échanges exclusifs.

Sont ainsi au programme : des conférences live avec des témoignages inspirants de dirigeants d’entreprise, des business meetings avec des experts pour faire le point sur ses projets et obtenir des bons conseils, du networking pour nouer de nouveaux contacts et échanger sur ses problématiques, des marathons pitch pour suivre des présentations publiques de projets à impact et peut-être s’en inspirer… Et bien sûr, comme tous les ans, de nombreuses personnalités du monde de l’entrepreneuriat, du sport et de la politique partageront leur vision du monde économique.

Au total, ce sont 48 heures de live en immersion dans le monde de l’entrepreneuriat, partagées avec près de 50 000 entrepreneurs. Rendez-vous derrière vos écrans les 9 et 10 juin prochains de 9h à 19h, après inscription gratuite sur le site :

https://event.go-entrepreneurs.com/paris2021

.

© Les Echos Publishing 2021

Un appel à candidatures pour participer à Money 20/20

Dans la perspective du salon Money 20/20 de septembre 2021 à Amsterdam (Pays-Bas), où plusieurs milliers d’acteurs de la FinTech seront réunis, Business France lance un appel à candidatures afin d’y exposer 11 start-up sous le pavillon France.

Money 20/20 est un évènement dédié à l’industrie du paiement et des services financiers associés, qui se tiendra cette année du 21 au 23 septembre. Investisseurs et médias s’y pressent pour rencontrer plus d’un millier de start-up, venues de plus d’une centaine de pays. Cette année encore, Business France lance un appel à candidatures à destination des start-up du secteur pour représenter la France.

11 jeunes entreprises innovantes françaises seront ainsi sélectionnées sur dossier. Les candidats doivent être des FinTech, à l’origine de solutions bancaires ou destinées au paiement, en BtoB ou BtoC. Elles auront la chance de pouvoir échanger avec d’autres professionnels, de découvrir les dernières solutions, voire de conclure de nouveaux contrats et rencontrer des partenaires ou investisseurs. Elles bénéficieront d’un espace personnalisable, d’une campagne de communication, d’un programme de rendez-vous ciblés avec les acteurs néerlandais, luxembourgeois, britanniques et irlandais, d’une aide à la préparation en ligne et en amont du salon ainsi que d’une sensibilisation à l’environnement des affaires des Pays-Bas plus particulièrement.

Pour postuler jusqu’au 28 mai 2021 :

https://extranet-btob.businessfrance.fr/prg-29205

© Les Echos Publishing 2021

E-Trophée France Les Entrep’ 2021

Le programme Les Entrep’, réseau national d’entraînement et de découverte à la création d’entreprise gratuit pour les jeunes qui veulent révéler leur potentiel entrepreneurial, remettra ses trophées le 27 mai en direct sur YouTube.

Malgré la crise, les jeunes continuent de s’intéresser à l’entrepreneuriat. La preuve avec les e-Trophées France Les Entrep’ 2021, qui récompensent des projets prometteurs de jeunes âgés de moins de 30 ans ayant bénéficié gratuitement d’un entraînement à la création d’entreprise grâce au programme Les Entrep’.

Ce 27 mai prochain à 17h sur la chaîne YouTube Les Entrep’, 15 équipes régionales vont devoir pitcher le projet qu’ils ont développé lors de leurs 5 mois de parcours. Tous ont déjà remporté le Trophée de leur antenne régionale en mars-avril, après avoir été coachés de novembre à mars par des professionnels de la création d’entreprise et guidés par des chefs d’entreprise en activité devenus leur parrain ou marraine.

Un jury de professionnels remettra le Trophée à l’équipe lauréate. Sachant que le public connecté pourra également voter en direct pour un prix « Coup de Cœur du Public ».

Pour en savoir plus :

www.lesentrep.fr

© Les Echos Publishing 2021

Qui sont les lauréats du French Tech Green 20 ?

Le French Tech Green 20 veut faire pousser des champions français de la technologie et de la transition écologique via un accompagnement personnalisé en incubateur. 20 start-up viennent d’être choisies pour la première promotion.

Accélérer le développement en France et à l’international de start-up qui deviendront, à terme, la vitrine de l’innovation responsable française, c’est l’enjeu du French Tech Green 20.

Ce programme leur permettra de bénéficier d’une visibilité renforcée et d’un accompagnement des services de l’État, notamment des financements, un développement international, des recrutements, des formations aux diverses règlementations en vigueur, des aides en achat public ainsi que l’accès à des experts et un accompagnement sur les enjeux de la green tech.

Parmi les 200 candidatures reçues, 20 viennent d’être choisies sur différents critères, notamment leur impact environnemental ou leur capacité à se développer rapidement et à grande échelle, par un jury composé d’experts. Elles sont positionnées sur des secteurs divers et pour moitié situées hors Île-de-France : Algama (microalgues alimentaires), BeFC (électricité à partir de papiers et d’enzymes), DeepKi (accompagnement dans la transition environnementale de parc immobilier), DualSun (panneaux hybrides photovoltaïques thermiques), Entech Smart Energies (intelligence des réseaux électriques), Hello Watt (plate-forme pour maîtriser ses consommations et ses factures d’énergie), Kayrros (analyse de données dans le domaine énergétique), Lactips (polymère sans plastique biosourcé et biodégradable), Lhyfe (hydrogène propre), Greenly (mesure de l’empreinte carbone des particuliers et des entreprises), Matter’up (bétons bas carbone à base d’argile crue), Metron (plate-forme d’intelligence énergétique), NamR (analyse des données du bâti français pour aider à la décision et évaluer les risques), Neoplants (plante modifiée génétiquement pour dégrader les composés organiques volatils nocifs), Ombrea (ombrières protégeant les plantes des aléas climatiques), Poly to Poly (place de marché entre industriels de la plasturgie et du recyclage), Spareka (pièces détachées), Toopi (valorisation de l’urine humaine en produits pour l’agriculture et l’industrie), Urban Canopee (corolles géantes pour ombrager les villes) et Waga Energy (injection dans le réseau de gaz de méthane issu des décharges).

© Les Echos Publishing 2021

Entrepreneuriat féminin et crise du Covid-19

Le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) vient de publier une étude révélant les premiers impacts de la crise du Covid-19 sur l’entrepreneuriat féminin.

Le constat est sans appel : selon une récente étude du Crédoc, la situation financière des indépendantes s’est plus particulièrement dégradée en cette période de crise sanitaire et elles ont plus souvent arrêté leur activité que les hommes. Alors qu’elles ne représentent que 40 % des créateurs d’entreprises, elles avaient déjà plus de difficulté à concilier vie privée/vie professionnelle et à accéder à des rémunérations similaires à leurs homologues masculins ou à une plus large palette de secteurs. La crise a encore fragilisé cet état des lieux. 57 % des entrepreneures déclarent que les revenus de leur foyer ont baissé suite à la crise sanitaire, contre 50 % des hommes à leur compte, et seulement 30 % de la population dans son ensemble. 63 % des indépendantes (qu’elles aient ou non des enfants) déclarent avoir cessé toute activité professionnelle pendant le 1er confinement. Un taux deux fois plus élevé que celui observé en moyenne chez les actifs (33 %) et chez les hommes à leur compte (30 %).

La crise du Covid-19 laisse craindre une dégradation durable de la situation des entrepreneures qui indiquent une baisse de l’attrait pour ce statut de 5 points, notamment pour sa moindre protection. Il est remplacé par le télétravail qui s’est fortement développé ces derniers mois et qui donne le sentiment d’avoir plus de souplesse et de flexibilité au travail.

Pour consulter l’étude :

www.credoc.fr

© Les Echos Publishing 2021

Comment mesurer le succès des start-up ?

S’appuyant sur des retours d’expérience et sur une enquête menée auprès de plus de 100 start-up, BCG et La Boussole viennent de publier un rapport dans lequel ils proposent une nouvelle approche pour évaluer le succès des jeunes pousses.

Entre 2016 et 2021, le nombre de start-up françaises est passé de 9 400 à près de 20 000. Et elles représentent aujourd’hui 515 000 emplois. Pour les évaluer, ce sont toujours les indicateurs financiers (montant des levées de fonds, chiffre d’affaires, valorisation) qui sont utilisés. Pourtant bien d’autres critères pourraient être pris en compte.

Pour le démontrer, BCG et La Boussole, une communauté de près de 80 accompagnateurs de start-up et de jeunes entreprises, proposent un rapport qui adopte une approche plus holistique du succès des start-up. Ce rapport met en évidence 12 critères de performance regroupés autour de quatre dimensions :– l’impact économique basé sur la croissance de la start-up (chiffre d’affaires, nombre d’emplois créés…), son financement (levées de fonds, financements non dilutifs, capacité d’autofinancement…) et sa rentabilité (niveau de rentabilité ou perspectives de rentabilité…) ;– l’impact sociétal, qui comprend l’impact positif de ses produits ou de ses services sur l’environnement, l’impact social (entreprise à mission, entreprise sociale et solidaire…) et la redistribution équitable de la valeur avec ses partenaires ;– l’innovation, qui comprend les nouveaux produits ou les services offerts par la start-up et la nouveauté de son modèle économique ou de son mode d’accès au marché (modèle de distribution par exemple) ;– la gouvernance responsable avec les actions menées par la start-up en termes d’emplois et d’expériences collaborateurs, sa gouvernance et ses modes de management ou encore la maîtrise de l’empreinte environnementale liée à ses activités et à ses processus internes.

Pour BCG et La Boussole, ces critères forment une grille d’évaluation objective pour mesurer le succès des start-up, critères qui doivent davantage guider l’action des entrepreneurs et de leur écosystème et devraient aider également les incubateurs et accélérateurs à fixer leurs priorités en termes d’accompagnement.

Pour consulter le rapport, rendez-vous sur

le site de La Boussole

.

© Les Echos Publishing 2021

Des webinaires pour se lancer en temps de crise

« Entreprendre et se relancer en temps de crise : des solutions pour réussir ! », c’est le thème des 9 webinaires gratuits, proposés par la CCI de Paris et animés par des experts, pour les porteurs de projet et entrepreneurs qui veulent booster leur projet ou leur relance.

Durant la crise sanitaire, la CCI de Paris a voulu continuer à proposer aux porteurs de projet de se former et de s’informer à la maison en leur proposant des webinaires, issus de journées qu’elle a organisées, accessibles gratuitement en replay. Ces webinaires sont animés par des experts de la CCI de Paris et ses partenaires (Région Île-de-France, Pôle emploi, AG2R LA MONDIALE, Banque Populaire Rives de Paris et Wacano). D’une durée de 45 minutes chacun, ils abordent des thèmes variés tels que :– Les étapes clés pour réussir le lancement de son entreprise ;– Comment financer votre projet ;– Rejoindre un réseau pour booster son projet ;– L’hébergement d’entreprise : plus qu’un lieu, une communauté !– Les accompagnements pour relancer votre activité ;– Reprendre une entreprise pour rebondir ;– Les nouvelles mesures pour recruter vos collaborateurs ;– Protection de revenus du dirigeant et de ses salariés ;– Digital : comment convertir les visiteurs de votre site en cdivts ?Ces webinaires sont accessibles sur simple inscription, en rediffusion jusqu’au 31 décembre 2021.

Pour accéder aux webinaires :

www.entreprises.cci-paris-idf.fr

© Les Echos Publishing 2021

HealthTech : un plan d’actions pour développer l’innovation santé en France

Inspirés par le contexte du Covid, le Boston Consulting Group, Bpifrance, BioUp et France Biotech veulent mettre en place un plan d’actions pour aider à développer les HealthTech en France.

La pandémie actuelle montre qu’il est plus que jamais nécessaire d’allier innovation et santé. Mais une taille critique de l’entreprise est indispensable pour enclencher une dynamique d’innovation et permettre la création de valeur et d’emplois pérennes. Or en France, aucune capitalisation ne va au-delà du milliard d’euros (contre 6 Md€ en Allemagne, dont deux sont même supérieures à 10 Md€).

Face à ce constat, Bpifrance, Boston Consulting Group, BioUp et France Biotech ont décidé de lancer un plan d’actions pour lever les freins qui empêchent les start-up françaises de se développer et faire de la HealthTech une grande filière technologique pour la France. Ils ont pour cela interrogé une trentaine d’acteurs du secteur et retenu trois axes de travail :– attirer et accompagner la montée en compétence des talents pour renforcer la capacité d’exécution, soutenir la professionnalisation de l’écosystème et maximiser les chances de réussite et le passage à l’échelle d’entreprises innovantes robustes dès leur création ;– structurer une politique industrielle en santé pour concentrer les moyens, définir des « hubs » prioritaires, donner de la visibilité à l’ensemble des acteurs, accompagner au mieux les entreprises et soutenir le développement d’une infrastructure industrielle ;– simplifier le cadre administratif, en particulier dans les domaines du transfert de technologie, des essais cliniques et de l’accès au marché, pour en faire un élément d’attractivité pour l’innovation en santé.

Le pilotage de ces actions pourrait être assuré par l’Agence Innovation Santé.

© Les Echos Publishing 2021

Appel à projets pour rejoindre l’Incubateur d’Entrepreneurs en Santé Numérique

Pour faire aboutir des innovations dans le domaine de la santé numérique, l’Université de Paris, la Fondation Université de Paris et Bpifrance s’associent et lancent un incubateur d’entrepreneurs dédié.

Le marché de la santé numérique est encore jeune et son écosystème est en construction. L’entrepreneur qui se lance dans ce domaine se retrouve souvent isolé, sans réseau. Quant aux projets, ils se montent parfois sans cohérence, sans organisation, chaque établissement de soins finançant ses propres solutions qui restent souvent à l’état de projet.

Face à ce constat, l’Université de Paris, la Fondation Université de Paris et Bpifrance, via son Fonds Patient Autonome et le Hub Healthtech, ont choisi de lancer un incubateur d’entrepreneurs en santé numérique. Pour accélérer le développement des projets, l’incubateur mise sur la collaboration et le mentoring entre les créateurs sélectionnés et la Communauté de l’Incubateur (composée d’industriels du marché de la santé numérique, start-up matures, institutionnels, établissements de santé, universitaires et étudiants).

Ce dispositif devrait également permettre de créer un maillage plus serré entre les professionnels de santé (ville et hôpital) et les innovateurs.

L’Incubateur accompagnera des dirigeants ayant créé leur entreprise avec un produit en voie d’être achevé pendant 6 mois, par promotion de 5.

Pour candidater, un dossier doit être déposé en ligne sur le site www.demarches-simplifiees.fr avant le 27 mai 2021 à 23h59.

Pour en savoir plus :

www.bpifrance.fr

© Les Echos Publishing 2021