Créateurs d’entreprise : les nouveaux guides de l’Urssaf sont disponibles

Téléchargeables au format PDF, deux petits guides édités par l’Urssaf font le point sur de nombreux enjeux liés à la protection sociale des travailleurs indépendants et des professionnels libéraux.

Accompagner les créateurs d’entreprise dans leurs démarches tout en apportant un éclairage détaillé sur les différents enjeux liés à leur protection sociale : c’est l’objectif de deux nouveaux guides publiés cet été par l’Urssaf.

Disponibles gratuitement au format PDF et régulièrement mis à jour, ils rassemblent de nombreuses informations essentielles, sélectionnées par l’organisme collecteur des cotisations et contributions sociales, pour répondre au mieux aux interrogations des (futurs) commerçants, artisans et professionnels libéraux.

Renseignements utiles et conseils ciblés

Démarches administratives, modalités de calcul des cotisations et contributions sociales, aides financières accessibles aux créateurs d’entreprises, assurances volontaires, protection sociale du conjoint… En une trentaine de pages, chaque petit guide propose un condensé de renseignements utiles et adaptés au contexte spécifique du lancement d’une nouvelle activité. Autant de pistes de réflexion et de conseils ciblés pour aider les futurs entrepreneurs à se poser les bonnes questions avant de concrétiser leurs projets !

Pour en savoir plus et consulter

le guide dédié aux travailleurs indépendants

 (artisanat, commerce et activité libérale non règlementée) ou

la publication adaptée aux professions libérales règlementées

, rendez-vous sur le portail web de l’Urssaf.

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Autoentrepreneurs : les immatriculations toujours en accélération

Depuis le doublement du plafond de chiffre d’affaires ouvrant droit au statut d’autoentrepreneur intervenu en janvier 2018, le nombre d’indépendants inscrits sous ce régime n’a cessé de croître.

Les autoentrepreneurs (on parle plutôt aujourd’hui de « micro-entrepreneurs ») se sont installés durablement dans le paysage entrepreneurial français et leur nombre ne cesse de croître : c’est ce qui ressort du dernier rapport statistique diffusé par l’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf. Une évolution que l’organisme explique notamment par le doublement, depuis le 1er janvier 2018, du plafond de chiffre d’affaires ouvrant droit au régime.

Fin décembre 2019, l’organisme collecteur de cotisations sociales dénombrait ainsi 1,71 million d’autoentrepreneurs en France, soit 26,5 % de plus par rapport à l’année précédente.

Plus d’immatriculations et moins de radiations

Dans le détail, pas moins de 576 000 nouvelles immatriculations d’autoentrepreneurs ont été enregistrées sur un an (+24,5 % par rapport à décembre 2018), creusant encore davantage l’écart avec le nombre de radiations effectuées sur la même période (de l’ordre de 218 000, au total). Ces dernières ayant, en effet, affiché une baisse de -23,7 % par rapport à l’année précédente.

Par ailleurs, pas moins de 952 000 autoentrepreneurs (l’équivalent de 55,6 % des bénéficiaires du régime) ont déclaré un chiffre d’affaires positif au 4e trimestre 2019 (+12 % sur un an), dont le montant moyen s’est établi à 4 498 € pour la période concernée : une progression de 9,2 % par rapport à décembre 2018, selon l’Acoss.


Précision : le nombre d’autoentrepreneurs générant un chiffre d’affaires positif a sensiblement progressé dans toutes les régions de France.

Enfin, ce sont les secteurs du transport, des activités immobilières, des autres services personnels et des activités de nettoyage qui, parmi les autoentrepreneurs économiquement actifs, ont affiché les rythmes de croissance les plus soutenus sur la période observée.

Pour en savoir plus et consulter la dernière note de conjoncture de l’Acoss, rendez-vous sur :

www.acoss.fr

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Dossier de création d’entreprise : les entrepreneurs devront s’adresser à l’INPI

Prévue par la loi Pacte, la mise en place d’un nouveau guichet unique, imposant aux créateurs d’entreprise de déposer leur dossier de façon dématérialisée, a récemment été précisée par décret.

À terme, les entrepreneurs devront se tourner vers

l’Institut national de la propriété industrielle (INPI)

pour déposer leur dossier de création d’entreprise, et ce quelle que soit la forme juridique choisie pour l’exercice de leur activité (entreprise individuelle ou société). Une précision qui a récemment été apportée par décret.


Rappel : la mise en place prochaine de ce nouveau « guichet unique » dédié aux créateurs d’entreprise avait été annoncée, en mai 2019, par la loi « Pacte ». Sans néanmoins détailler, à l’époque, l’identité de l’organisme désigné à cet effet.

Comme prévu par la loi Pacte, le dépôt du dossier devra, par ailleurs, prendre une forme dématérialisée et s’effectuer obligatoirement via une nouvelle plate-forme en ligne dédiée à cet effet.


Bon à savoir : à l’instar des formalités liées à la création d’entreprise, les démarches ayant trait à la modification ou à la cessation d’activité devront, à l’avenir, également être accomplies par ce biais.

Certains points restent néanmoins à éclaircir

Malgré les précisions récemment apportées, certains éléments restent toutefois encore en suspens. À ce titre, si les nouvelles obligations liées au dépôt du dossier de création d’entreprise devront prendre effet au plus tard en 2023, aucune date précise n’a, à ce jour, été communiquée.

De même, plusieurs questions relatives à la transmission du dossier par voie électronique (conditions de dépôt, modalités de vérification…) restent encore à éclaircir et devront être détaillées dans un autre décret, à paraître prochainement.


Décret n° 2020-946 du 30 juillet 2020, JO du 1er août

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Les créations d’entreprises ont confirmé leur rebond en juillet

Malgré le contexte économique difficile, les créations d’entreprises ont de nouveau augmenté en juillet 2020 : +9 % par rapport au mois de juin, avec une hausse dans tous les secteurs d’activité.

Pour le troisième mois consécutif, les créations d’entreprises ont démontré leur capacité de rebond. C’est du moins ce qui ressort des dernières informations publiées par l’Insee. 82 086 créations d’entreprises ont ainsi été enregistrées en juillet 2020 en France : +9 % par rapport au mois de juin, tous types d’entreprises confondus.


Rappel : au mois de juin, les créations d’entreprises avaient déjà retrouvé leur niveau d’avant la crise sanitaire.

Une évolution dynamique qui se matérialise dans tous les secteurs d’activité et qui se caractérise, selon l’institut, à la fois par une augmentation sensible du nombre de créations d’entreprises classiques (+13,4 %) et par une hausse plus modérée des immatriculations de micro-entrepreneurs (+4,6 %).

+4,6 % sur les 3 derniers mois

Pour la période mai-juin-juillet, les chiffres témoignent également d’une augmentation du nombre cumulé de créations d’entreprises en France par rapport au même trimestre de l’année dernière : +4,6 %, tous types d’entreprises confondus. L’évolution est toutefois contrastée selon les différents types d’entreprises observés (+10,8 % pour les micro-entrepreneurs et +5,2 % pour les entreprises individuelles classiques, contre -6,2 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

+2,9 % sur les 12 derniers mois

La tendance est similaire sur les 12 derniers mois, avec une légère hausse enregistrée sur la période concernée (+2,9 % par rapport aux 12 mois précédents). Dans le détail, l’Insee fait notamment état d’une augmentation des créations d’entreprises individuelles classiques (+7,6 %) et d’une hausse des immatriculations de micro-entrepreneurs (+4,4 %), qui se voient toutefois atténuées par une baisse du côté des créations de sociétés (-4 %).

Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur :

www.insee.fr

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Salon SME Paris 2020 : une 22 édition qui s’annonce hybride

La prochaine édition du Salon SME se tiendra les lundi 12 et mardi 13 octobre 2020, à la fois au Palais des Congrès de Paris et sur internet. Un nouveau format qui allie présentiel et digital.

L’édition 2020 du Salon SME, dédiée aux créateurs d’entreprise, fondateurs de start-up et dirigeants de TPE, aura lieu les lundi 12 et mardi 13 octobre prochains. Deux jours de rencontres, de conseils et de networking : si la promesse est restée la même, le format, quant à lui, sera amené à changer. Et pour cause, puisque cette 22e édition du salon s’annonce d’ores et déjà… hybride.

De nombreuses conférences et plusieurs parcours thématiques

En pratique, c’est donc à la fois au Palais des Congrès de Paris et sur internet que le Salon SME ouvrira ses portes pour cette nouvelle édition. Comme chaque année, de nombreuses conférences et plusieurs parcours thématiques inviteront les participants à faire le plein d’informations pour concrétiser leurs projets entrepreneuriaux, dynamiser leur activité et développer leurs réseaux professionnels. L’occasion, également, d’échanger avec des experts issus de l’écosystème entrepreneurial, pouvant conseiller les (futurs) entrepreneurs dans leurs démarches.


Bon à savoir : en attendant l’édition 2020 du Salon SME, il est désormais possible de (ré)écouter de nombreuses conférences issues de l’édition 2019. Pour accéder aux podcasts audios, il suffit de

sélectionner la (ou les) conférence(s) de votre choix, proposées dans la rubrique dédiée

.

Malgré les nouveautés de cette année, la participation au Salon SME restera entièrement gratuite. Pour recevoir un badge d’invitation, il suffit de s’inscrire

via le formulaire en ligne, prévu à cet effet

.

Pour en savoir plus sur cette 22e édition de l’évènement, rendez-vous sur :

www.salonsme.com

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Porteurs de projets : préparez la rentrée avec les webinaires Bpifrance Création !

Toute l’année, Bpifrance propose sur son site web des conférences gratuites sur des thématiques entrepreneuriales. Les premiers rendez-vous pour la rentrée ont, d’ores et déjà, été annoncés.

Des conseils d’experts et des séquences questions-réponses sur les aspects juridiques, administratifs et financiers d’un projet de création ou de reprise d’entreprise : c’est la promesse des webinaires Bpifrance Création. Entièrement gratuits et accessibles via le site web de la banque publique d’investissement, ces rendez-vous numériques sont organisés tout au long de l’année et ouverts à toute personne intéressée par les thématiques proposées.

De nouvelles dates à venir et des sessions à visionner en replay

D’ores et déjà annoncées sur le portail en ligne, les premières conférences prévues pour la rentrée se tiendront respectivement les jeudis 15 octobre (Comment financer mon projet de création d’entreprise ?) et 19 novembre prochains (Quels sont les leviers pour développer mon entreprise ?). D’autres dates devraient être communiquées dans les semaines à venir.


Bon à savoir : pour chaque rendez-vous, les inscriptions pourront se faire directement en ligne et débuteront deux semaines avant le webinaire concerné.

Mais la période estivale actuelle peut également être l’occasion, pour les porteurs de projets en quête d’informations, de revenir sur des conférences déjà passées. Une attente que les organisateurs des webinaires Bpifrance n’ont pas manqué d’anticiper ! À ce titre, plusieurs sessions du premier semestre 2020 sont ainsi proposées sous forme de replay et

peuvent être consultées à tout moment, via la page dédiée

.

Pour en savoir plus et visionner les conférences diffusées par Bpifrance Création, rendez-vous sur :

www.bpifrance-creation.fr

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Plus de 18 000 projets d’entreprises soutenus par Initiative France en 2019

Dans son dernier rapport d’activité, Initiative France fait le point sur les actions menées en 2019. Le réseau associatif a notamment investi 1,8 Md€ dans l’économie des territoires.

2019 aura été une année record pour Initiative France : c’est ce qui ressort du bilan du dernier rapport d’activité publié par le réseau associatif dédié au financement et à l’accompagnement des créateurs, repreneurs et développeurs d’entreprise.

Selon les chiffres publiés, les 214 plates-formes locales du réseau ont ainsi pu accompagner la création, la reprise ou la première croissance de 18 164 entreprises (+4,8 % par rapport à 2018). Un engagement important qui n’est pas sans impact sur le nombre d’emplois créés ou maintenus, bien au contraire ! D’après Initiative France, les projets financés par l’association en 2019 ont, en effet, permis la création ou le maintien de 49 498 emplois, l’équivalent d’une moyenne de 2,7 emplois par entreprise.


Précision : un quart des projets soutenus en 2019 étaient situés dans des territoires dits « fragiles » (zones de revitalisation rurale et quartiers prioritaires de la politique de la ville).

41 % des projets soutenus en 2019 étaient portés par des femmes

Autre aspect important : le nombre d’entrepreneures financées et accompagnées par Initiative France continue d’augmenter (+23,5 % depuis 2015). Ainsi, 41 % des projets soutenus en 2019 par le réseau associatif étaient portés par des femmes.

Enfin, Initiative France évalue le montant investi au cours de l’année 2019 dans l’économie des territoires à 1,8 Md€, dont 208 M€ accordés sous forme de prêts d’honneur et 1,6 Md€ par l’intermédiaire des prêts bancaires associés.


À noter : marque de confiance pour les porteurs de projets, l’obtention d’un prêt d’honneur facilite également l’accès aux financements traditionnels. En moyenne, chaque euro de prêt d’honneur a ainsi permis de mobiliser 8,20 € de prêts bancaires.

Pour en savoir plus et consulter le rapport d’activité 2019 du réseau associatif Initiative France, rendez-vous sur :

www.initiative-france.fr

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Transition écologique : l’Ademe accompagne les porteurs de projets

L’Agence de la transition écologique (Ademe) a récemment lancé un nouveau portail numérique, permettant aux entrepreneurs de découvrir les aides et les appuis dont ils peuvent bénéficier.

Récemment mise en ligne par l’Agence de la transition écologique (Ademe),

une nouvelle plate-forme de services

vise à fournir à tous les acteurs de la société (particuliers, professionnels et collectivités territoriales) des conseils et des informations clés pour accompagner leur transition écologique et/ou énergétique.

À ce titre, le nouveau portail numérique propose notamment un espace spécifiquement dédié aux entrepreneurs porteurs de projets, qui fournit des renseignements sur les différents appuis dont ces derniers peuvent bénéficier.


Bon à savoir : un moteur de recherche intégré sur le site permet de cibler, en quelques clics et selon plusieurs critères (thème, localisation et type de projet), les dispositifs d’aide les mieux adaptés à chaque situation.

Chaque dossier sera étudié au cas par cas

Dans le détail, pour aider les professionnels à mûrir leur projet en div avec la transition écologique, l’Ademe propose, entre autres, un accompagnement dans la mise en œuvre de différents types d’études, portant par exemple sur la faisabilité (technique, économique, sociale, environnementale, juridique), la maîtrise d’ouvrage ou encore l’analyse d’opportunité.


Précision : l’appui de l’Ademe peut se traduire par la mise à disposition d’outils d’aide à la décision, tels que des guides pratiques, et/ou prendre la forme d’un financement spécifique accordé par l’État.

Par ailleurs, l’Ademe peut également être amenée à investir directement dans un projet remplissant certaines conditions d’éligibilité. Toutefois, l’octroi des différentes aides n’est pas automatique et chaque dossier soumis à l’agence sera étudié au cas par cas.


À noter : certaines aides financières s’inscrivent dans des appels à projets nationaux ou régionaux et exigent alors le respect d’un cahier des charges plus spécifique.

Pour en savoir plus sur les différents dispositifs d’accompagnement dédiés aux porteurs de projets et découvrir la nouvelle plate-forme numérique de l’Ademe, rendez-vous sur :

entreprises.ademe.fr

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Bpifrance Inno Génération : l’édition 2020 de l’événement se prépare !

La 6 édition du rassemblement entrepreneurial Inno Génération, organisée par Bpifrance, se tiendra le 1 octobre 2020 à Paris. Cette année, la journée sera placée sous le thème de la liberté.

Organisée par Bpifrance, banque publique d’investissement, la 6e édition du rassemblement entrepreneurial Inno Génération se tiendra le jeudi 1er octobre 2020 à l’AccorHotels Arena, dans le 12e arrondissement de Paris. L’occasion de faire le plein de nouvelles idées pour développer son activité, élargir son réseau professionnel et comprendre les enjeux de demain.

Les premières thématiques d’ateliers d’ores et déjà révélées

Placée sous le thème de la liberté, la journée s’organisera autour des nombreuses conférences, ateliers et rencontres qui seront proposés aux participants, dont certains auront pour vocation de s’adresser tout particulièrement aux créateurs et repreneurs d’entreprise.

À ce titre, si certaines thématiques d’ateliers ont d’ores et déjà été annoncées (« Entrepreneurs et créateurs, rebondissez après la crise », « Booster l’entrepreneuriat féminin », « Entreprises innovantes : financez votre projet de développement avec l’Europe »…), d’autres seront révélées dans les semaines à venir.


Bon à savoir : au total, près de 400 ateliers et conférences viendront composer le programme de la journée. 52 000 participants et 1 000 intervenants de renommée internationale seront, par ailleurs, attendus pour cette 6e édition de l’évènement.

Comme tous les ans, la participation à la journée Bpifrance Inno Génération est entièrement gratuite : il suffit de s’inscrire en ligne,

grâce au formulaire dédié à cet effet

. Pour en savoir plus, rendez-vous sur :

innogeneration.bpifrance.fr

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Incubateurs et accompagnement : un guide dédié aux créateurs d’entreprise

Disponible gratuitement, un nouveau guide présente une centaine de structures d’accompagnement implantées dans les différentes régions de France pour guider les porteurs de projets dans leurs choix.

Offrir aux créateurs d’entreprise un panorama complet des différentes structures d’accompagnement présentes sur l’ensemble du territoire français : c’est l’objectif d’un nouveau guide gratuit, proposé par la plate-forme de notation Estimeo et The Machinery, studio d’innovation parisien dédié au lancement de projets digitaux.

Aiguiller les (futurs) entrepreneurs en quête d’appui

Disponible

sur le portail numérique dédié

, le nouveau guide se compose de deux parties complémentaires : une première, consacrée aux « grandes questions à se poser », et une seconde, recensant une centaine d’incubateurs et de structures d’accompagnement.

Dans le détail, la première partie vise notamment à aider les porteurs de projets à mieux identifier leurs besoins spécifiques (savoir-faire technologique, réseaux d’expertise, coaching entrepreneurial…) et à valoriser pleinement le potentiel de leurs idées.


Bon à savoir : cette première partie propose également un tour d’horizon des différents types d’incubateurs (recherche publique/loi Allègre, collectivités locales, universités et grandes écoles, entreprises et acteurs privés) et de leurs spécificités respectives.

Présentée sous forme d’annuaire, la seconde partie répertorie, quant à elle, une centaine de structures publiques et privées. Classées selon leur emplacement géographique, celles-ci sont exposées en fonction de différents critères pouvant guider le choix des porteurs de projets : spécialisations thématiques, processus de sélection, durée d’incubation, grilles de tarifs, services proposés sur place…

Autant d’informations à la fois utiles et pratiques pour aiguiller les (futurs) entrepreneurs en quête d’appui et de conseils !

Pour en savoir plus et télécharger le nouveau « Guide des incubateurs », rendez-vous sur :

www.leguidedesincubateurs.fr

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