Légère hausse des créations d’entreprises en octobre 2019

Après un mois de septembre très dynamique, les créations d’entreprises ont continué d’augmenter légèrement en octobre 2019 : + 1,0 % par rapport au mois précédent, selon l’Insee.

D’après les dernières informations publiées par l’Insee, 71 427 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’octobre 2019 : + 1,0 % par rapport au mois de septembre, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Institut, par une augmentation modérée du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 2,3 %), cependant atténuée par une très légère baisse du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (- 0,4 %).

+ 15,7 % sur les 12 derniers mois

C’est une évolution encore plus dynamique qui se constate, par ailleurs, sur le moyen terme. Pour la période août-septembre-octobre, les chiffres témoignent, en effet, d’une accélération sensible du nombre cumulé de créations d’entreprises en France par rapport au même trimestre de l’année dernière : le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 16,9 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 19,1 % pour les micro-entrepreneurs, + 20,9 % pour les entreprises individuelles classiques et + 8,9 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

Même tendance sur les 12 derniers mois, pendant lesquels le nombre cumulé d’entreprises créées a également continué de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 15,7 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 23,3 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 11,5 %) et une progression du côté des créations de sociétés (+ 8,1 %).

Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Démissionner pour créer une entreprise : comment justifier son projet ?

Lorsqu’ils justifient d’un projet professionnel réel et sérieux, attesté par la commission paritaire interprofessionnelle régionale, certains salariés démissionnaires peuvent désormais percevoir des allocations de chômage. Un arrêté a récemment apporté des précisions sur la démarche à suivre.

Depuis le 1er novembre 2019, les salariés démissionnaires ayant au moins 5 ans d’affiliation continus peuvent, sous certaines conditions, prétendre à une indemnisation au titre de l’assurance chômage s’ils justifient d’un projet professionnel tel qu’une création ou une reprise d’entreprise. Sous réserve d’avoir précédemment fait certifier le caractère réel et sérieux de leur projet par la commission paritaire interprofessionnelle régionale (CPIR). Un arrêté daté du 23 octobre 2019 a récemment précisé le contenu de cette demande d’attestation, ainsi que les pièces justificatives devant l’accompagner.

Retracer le projet entrepreneurial

En plus d’adresser à la CPIR un exemplaire dûment complété du formulaire de demande d’attestation en suivant le modèle exposé dans l’annexe 2 de l’arrêté, le salarié démissionnaire devra, en effet, présenter un volet spécifique, rempli par un opérateur du conseil en évolution professionnelle (CEP).


Précision : avant de poser sa démission, le salarié doit demander un conseil en évolution professionnelle auprès d’un opérateur agréé tel que l’APEC. Cette démarche doit être formalisée à l’aide d’un document détaillé retraçant le projet de création ou de reprise d’entreprise ainsi que les différentes démarches effectuées à ce jour.

Co-signé par le demandeur, ce document devra ensuite être transmis à la CPIR, en même temps que le formulaire de demande d’attestation, pour lui permettre d’apprécier le caractère réel et sérieux du projet professionnel.

Pour en savoir plus sur les modalités d’application et de coordination du nouveau droit à indemnisation ouvert aux démissionnaires, rendez-vous sur : www.service-public.fr

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Entrepreneuriat social : la France se classe parmi les trois premiers pays au monde

Selon une récente étude publiée par la Fondation Thomson Reuters, la France occupe la 3 place du palmarès mondial 2019 des pays offrant les meilleures conditions aux entrepreneurs sociaux.

En France, il fait bon être entrepreneur social ! C’est le constat formulé par une récente étude publiée par la Fondation Thomson Reuters, qui classe la France en 3e position à l’échelle mondiale – derrière le Canada et l’Australie – parmi les pays offrant le cadre de vie et de travail le plus favorable aux porteurs de projets alliant utilité sociale et efficacité économique.

La France championne de l’accès aux subventions

Élaboré en partenariat avec le programme RSE « Made For Good » de la Deutsche Bank, ce palmarès 2019 a ainsi permis d’évaluer les 45 plus grandes économies au monde selon 12 critères déterminant les conditions offertes au développement de l’entrepreneuriat social, en s’appuyant notamment sur l’avis de 664 experts issus des écosystèmes entrepreneuriaux des différents pays.

Si la France a pu se placer, cette année, parmi les trois premiers pays au monde (pour comparaison, elle était seulement 10e en 2016), cette bonne performance s’explique par plusieurs facteurs. L’Hexagone est ainsi non seulement champion en matière d’accès aux subventions, mais aussi deuxième au niveau du soutien non-financier accordé aux porteurs de projets. Autrement dit, dans tout ce qui relève du domaine du conseil technique, règlementaire et financier, de l’accès aux réseaux professionnels, ou encore de l’offre proposée en termes de formation et de coaching entrepreneurial.

Selon les informations diffusées par la Fondation Thomson Reuters, ce sont le Japon, la Turquie et le Mexique qui ferment la marche de cette édition 2019 du classement, en se positionnant respectivement à la 41e, 42e et 43e place. L’Iran et l’Arabie Saoudite n’ayant finalement pas été intégrés au palmarès, faute d’experts qualifiés sur le sujet.

Pour en savoir plus et consulter le classement 2019 de l’entrepreneuriat social, rendez-vous sur : poll2019.trust.org

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Créations d’entreprises en France : un 2 trimestre 2019 très dynamique !

Publiée par l’Observatoire Bpifrance, une récente note d’analyse fait état d’une hausse significative du nombre de créations d’entreprises enregistrées au 2 trimestre 2019 sur le territoire national.

+ 15 % sur trois mois : c’est l’augmentation très significative constatée par l’Observatoire Bpifrance après avoir comparé le nombre de créations d’entreprises enregistrées en France au cours du 2e trimestre 2019 avec les données relevées sur la même période en 2018.

Dans le détail, pas moins de 195 503 nouvelles entreprises ont ainsi vu le jour entre avril et juin 2019 (contre 169 558 un an auparavant), portant le nombre de créations au 1er semestre à 412 508 (+ 16 % par rapport aux 6 premiers mois de 2018). Voilà qui confirme la reprise du dynamisme entrepreneurial amorcée à l’été 2017 !

Des créations d’entreprises majoritairement urbaines

En regardant de plus près les tendances sectorielles et la répartition géographique des jeunes entreprises, l’Observatoire Bpifrance précise que tous les secteurs d’activité sont concernés par la progression constatée au 2e trimestre 2019, l’industrie et les services en direction des personnes affichant cependant les taux de croissance les plus élevés (respectivement + 29 % et + 27 % par rapport au 2e trimestre 2018). Une évolution globale qui touche à la fois les zones rurales et urbaines, ces dernières ayant toutefois accueilli près de ¾ des entreprises créées au cours de la période observée.

Par ailleurs, si toutes les régions de France sont concernées par cette hausse du nombre de créations d’entreprises au 2e trimestre 2019, l’Observatoire Bpifrance relève, là aussi, de fortes disparités, la progression de + 22 % en Auvergne-Rhône-Alpes et dans les Hauts-de-France contrastant avec la quasi-stabilité observée à Mayotte. Enfin, l’Île-de-France concentre, à elle seule, 30 % des créations d’entreprises enregistrées, ce chiffre étant resté stable par rapport à 2018.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bpifrance-creation.fr

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Conjoint travaillant dans l’entreprise : il faut le déclarer !

Les conditions dans lesquelles le chef d’entreprise doit déclarer le statut de son conjoint qui travaille régulièrement avec lui viennent d’être précisées.

Vous le savez : le chef d’une entreprise artisanale, commerciale ou libérale est tenu de déclarer son conjoint ou son partenaire pacsé qui participe régulièrement à l’activité de son entreprise auprès des organismes où l’entreprise est immatriculée.

Or, cette obligation n’étant pas toujours respectée, les pouvoirs publics l’ont récemment renforcée. Ainsi, la loi prévoit désormais qu’à défaut de déclaration de l’activité régulière du conjoint et du statut choisi par ce dernier (collaborateur, associé ou salarié), le chef d’entreprise sera réputé avoir déclaré que le statut choisi est celui de conjoint salarié, soit le plus protecteur. Ce qui devrait inciter les chefs d’entreprise à s’exécuter.


Précision : la même obligation pèse sur le chef d’une exploitation ou d’une entreprise agricole.

La déclaration de l’activité professionnelle du conjoint

Les modalités selon lesquelles cette déclaration doit être effectuée viennent d’être précisées. Ainsi, lors de la création de l’entreprise, le chef d’entreprise doit, dans le dossier unique de déclaration de création de l’entreprise qu’il adresse au centre de formalités des entreprises (CFE), joindre la déclaration attestant de l’exercice d’une activité professionnelle par son conjoint ainsi que la déclaration du statut choisi par celui-ci.

Et lorsque le conjoint se met à exercer une activité dans l’entreprise après qu’elle a été créée, ou lorsqu’il souhaite changer de statut, ou encore lorsqu’il cesse son activité, le chef d’entreprise doit, dans les deux mois qui suivent ce changement, faire une déclaration modificative en ce sens au CFE.

Le conjoint travaillant dans une société

Jusqu’alors, le conjoint ou le partenaire pacsé du gérant associé unique d’une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) ou du gérant associé majoritaire d’une société à responsabilité limitée (SARL) ou d’une Selarl pouvait opter pour le statut de conjoint collaborateur à condition que l’effectif de l’entreprise ne dépasse pas 20 salariés. Cette condition vient d’être supprimée, ce qui permettra donc au conjoint de choisir ce statut quel que soit le nombre de salariés employés par l’entreprise.


Précision : cette suppression n’entrera en vigueur que le 1er janvier 2020.


Décret n° 2019-1048 du 11 octobre 2019, JO du 13

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Travailleurs indépendants : l’Acre sera-t-il bientôt étendu aux conjoints collaborateurs ?

Prévue par le projet de loi de finances pour 2020, l’extension du dispositif d’Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise aux conjoints collaborateurs vise à lever des freins à la création d’activité.

Les conjoints collaborateurs des travailleurs indépendants pourront-ils bientôt bénéficier, à leur tour, du dispositif d’Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise (Acre) ? C’est ce que prévoit le projet de loi de finances pour 2020.


Rappel : dédié aux créateurs et repreneurs d’entreprise, le dispositif Acre consiste notamment en une exonération partielle de charges sociales pendant les premières années d’activité.

Renforcer les droits des conjoints collaborateurs

À l’avenir, selon les conditions prévues par le projet de loi de finances, les conjoints collaborateurs des travailleurs indépendants pourraient ainsi, eux aussi, bénéficier du dispositif Acre. Ce dernier s’appliquerait alors sur la totalité des revenus du couple, dans les mêmes conditions pour le conjoint et pour le chef d’entreprise.

Une mesure qui, selon le gouvernement, a non seulement pour objectif de renforcer les droits des conjoints collaborateurs, mais aussi de faire en sorte que la déclaration du statut du conjoint (et, de ce fait, le coût des cotisations sociales à acquitter) ne soit plus un frein à la création d’activité.


Art. 80, projet de loi de finances pour 2020, n° 2272, enregistré à l’Assemblée nationale le 27 septembre 2019

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L’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Nantes : c’est dans un mois !

Les 20 et 21 novembre prochains, la Cité des Congrès de Nantes accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs. Cette année, 4 thématiques phares seront tout particulièrement mises en avant.

Pendant deux jours, mercredi 20 et jeudi 21 novembre, la Cité des Congrès de Nantes accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Nantes Pays de la Loire. L’occasion, pour les participants, de découvrir de nouvelles tendances entrepreneuriales, de rencontrer des experts de tous horizons et de faire le plein d’informations pour concrétiser leurs projets.

11 000 entrepreneurs et 4 thématiques phares

Plus de 120 animations et exposants, 100 conférences et ateliers, 7 débats d’actualité… En plus de mobiliser de nombreux professionnels pouvant partager leurs expériences, cette 12e édition de l’évènement mettra l’accent sur 4 thématiques phares : l’artisanat, l’entrepreneuriat au féminin, l’agriculture et le « positive business », avec notamment un grand débat sur les pratiques RSE et leur capacité à créer de la valeur ajoutée au sein de l’entreprise.

Rappel : la RSE (Responsabilité Sociale des Entreprises) désigne toutes les pratiques mises en place par les entreprises afin de respecter les principes du développement durable dans une perspective sociale, environnementale et économique.

Pas moins de 11 000 participants sont attendus pour cette édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Nantes Pays de la Loire, organisée par Les Echos Le Parisien Événements. Pour accéder au programme détaillé et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous dès à présent sur : www.salondesentrepreneurs.com

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Créateurs d’entreprise : vers une nouvelle réforme du dispositif Acre ?

Le projet de loi de finances pour 2020 prévoit de réformer le dispositif d’Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise (Acre). Une mauvaise nouvelle pour certains micro-entrepreneurs.

Les conditions d’accès au dispositif d’Aide à la création ou à la reprise d’une entreprise (Acre) seront-elles prochainement modifiées ? Le projet de loi de finances pour 2020 prévoit, en effet, d’y introduire plusieurs critères supplémentaires qui pourraient, dans les faits, empêcher certains micro-entrepreneurs de bénéficier de cette exonération de début d’activité.


Rappel : le dispositif Acre consiste notamment en une exonération partielle de charges sociales pendant les premières années d’activité. Depuis le 1er janvier 2019, il est ouvert à tous les créateurs ou repreneurs d’entreprise, quel que soit leur statut.

Recentrer le dispositif sur le public initialement visé

Ainsi, selon les conditions prévues par le projet de loi de finances, le dispositif Acre serait, à l’avenir, réservé aux personnes ne relevant pas du régime micro-social ainsi qu’aux micro-entrepreneurs appartenant à l’une des catégories suivantes :

  •  demandeurs d’emploi inscrits pendant 6 mois au cours des 18 derniers mois ;

  •  jeunes âgés de 18 à 25 ans ou personnes handicapées de moins de 30 ans ;

  •  salariés ou anciens salariés d’une entreprise soumise à une procédure de sauvegarde, de redressement ou de liquidation judiciaire ;

  •  personnes ayant conclu un contrat d’appui au projet d’entreprise ;

  •  créateurs ou repreneurs d’une entreprise implantée au sein d’un quartier prioritaire de la politique de la ville ;

  •  bénéficiaires d’un complément de libre choix d’activité (CLCA).

    À l’heure où le succès du dispositif de la micro-entreprise a pu inciter certains à déclarer sous ce statut des activités entrant en réalité dans le champ du salariat, cette mesure vise, selon le gouvernement, à recentrer le dispositif Acre sur le public initialement visé, c’est-à-dire les créateurs et repreneurs d’entreprise donnant lieu à une activité économique nouvelle.


    Art. 80, projet de loi de finances pour 2020, n° 2272, enregistré à l’Assemblée nationale le 27 septembre 2019

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    Les créations d’entreprises ont retrouvé de l’entrain en septembre 2019

    Après un été sous le signe de la stabilité, c’est une tendance plus dynamique qui s’est dessinée en septembre : les créations d’entreprises ont ainsi progressé de + 4,2 % par rapport au mois précédent.

    D’après les dernières informations publiées par l’Insee, 70 605 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de septembre 2019 : + 4,2 % par rapport au mois d’août, tous types d’entreprises confondus. Une hausse relativement significative qui s’explique, selon l’Institut, par une légère hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 2,0 %), accompagnée d’un rebond plus marqué du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 6,8 %).

    Une augmentation importante par rapport à 2019

    C’est une évolution tout aussi dynamique qui se constate, par ailleurs, sur le moyen terme. Pour la période juillet-août-septembre, les chiffres témoignent, en effet, d’une accélération sensible du nombre cumulé de créations d’entreprises en France par rapport au même trimestre de l’année dernière : le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 20,3 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 25,7 % pour les micro-entrepreneurs, + 20,1 % pour les entreprises individuelles classiques et + 11,5 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

    Même tendance sur les 12 derniers mois, pendant lesquels le nombre cumulé d’entreprises créées a également continué de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 16,6 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 26,0 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 10,6 %) et une progression du côté des créations de sociétés (+ 8,0 %).

    Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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    Hub Entreprendre Occitanie : une plate-forme dédiée aux porteurs de projets

    Pour lever les freins à la création d’entreprise, la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée a récemment lancé une nouvelle plate-forme numérique, proposant de nombreux services utiles.

    Initiée par la région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée avec l’appui des membres du Réseau des Développeurs Économiques Occitanie, une nouvelle plate-forme numérique a récemment vu le jour. Son objectif ? Simplifier les démarches des créateurs et repreneurs d’entreprise souhaitant s’implanter dans la région.

    De l’information et des contacts à portée de clic

    Baptisé Hub Entreprendre Occitanie, ce nouveau service en ligne vise notamment à épauler les porteurs de projets à travers un parcours d’accompagnement personnalisé, suivant les étapes clés de la vie d’une jeune entreprise (implantation, recrutement, croissance, innovation, développement international…). De même, la plate-forme numérique propose un outil de recherche dédié, permettant aux entrepreneurs de se renseigner non seulement sur les différents dispositifs de financement, mais aussi sur les appels à projets ou autres manifestations organisées dans la région.

    De quoi permettre aux créateurs et repreneurs d’entreprise de s’informer à tout moment sur l’actualité de l’écosystème entrepreneurial et d’identifier, en quelques clics seulement, les interlocuteurs les plus à même à répondre à leurs besoins précis !

    Pour en savoir plus et découvrir le nouveau portail numérique proposé par la région Occitanie, rendez-vous sur : https://hubentreprendre.laregion.fr

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