Ludovic Deblois, co-fondateur et président de SunPartner Technologies

SunPartner Technologies est une PME qui développe et intègre des solutions photovoltaïques innovantes et invisibles (film photovoltaïque transparent pour vitrage), dédiées aux marchés de l’électronique grand public (mobiles, objets connectés), au bâtiment (SmartCities) ainsi qu’au marché du transport (automobile, aviation, nautisme).

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Les Inventives : quand l’innovation entrepreneuriale se conjugue au féminin

Organisé par l’association Transtech et l’incubateur Les Premières Nouvelle-Aquitaine, l’appel à projets dédié aux femmes porteuses d’un projet innovant se clôturera le jeudi 15 février 2018.

Récemment lancé par l’association Transtech, ayant pour vocation d’aider les inventeurs à transformer leurs idées, et par l’incubateur Premières Nouvelle-Aquitaine, dédié aux femmes entrepreneures, un nouvel appel à projets vise à soutenir l’écosystème entrepreneurial innovant.

Baptisé « Les Inventives », il s’adresse aux femmes ou équipes mixtes porteuses d’un projet de création d’entreprise et souhaitant valider la faisabilité de leur idée, non seulement d’un point de vue technique, mais aussi au niveau juridique.

Des sessions organisées dans plusieurs villes

Dans le détail, plusieurs sessions d’émergence d’une durée de 3 jours seront organisées entre mars et avril 2018 sur le territoire de la Nouvelle-Aquitaine, et plus précisément dans les villes d’Angoulême, de Poitiers et de Limoges. À la clé : des conférences, des ateliers et des rencontres entrepreneuriales, ainsi qu’une soirée de pitch, permettant aux participantes de présenter leurs projets devant des organismes locaux.

L’appel à projets « Les Inventives », soutenu par le secrétariat d’État chargé de l’Égalité entre les femmes et les hommes, est ouvert jusqu’au jeudi 15 février 2018. Pour y postuler, il suffit de remplir le dossier de candidature disponible en ligne afin de présenter son projet, son parcours individuel et ses motivations entrepreneuriales.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.inventifs-transtech.fr

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La Région Grand Est s’engage en faveur de la création d’entreprise

Mis en place par la Région Grand Est, le nouveau dispositif « Be Est Entreprendre » vise à accompagner les porteurs de projets tout au long de leur parcours entrepreneurial.

Officiellement lancé le 22 janvier 2018, le nouveau dispositif « Be Est Entreprendre » traduit la volonté de la Région Grand Est d’accompagner les porteurs de projets dans la globalité de leur parcours : de la préparation du dossier jusqu’au suivi post-création ou reprise d’entreprise.

Une démarche qui, en pratique, répond à plusieurs enjeux majeurs, dont notamment l’amélioration de l’accès au financement bancaire, l’accompagnement des populations fragilisées (demandeurs d’emploi, bénéficiaires des minima sociaux, jeunes…), ainsi qu’une meilleure lisibilité de l’offre d’accompagnement et de financement à la création d’entreprise.

Plusieurs propositions complémentaires

Selon les typologies des projets soutenus, quatre offres de services distinctes seront ainsi proposées :– Be Est Entreprendre #Parcours : module dédié aux porteurs de projets ayant des difficultés d’accès au système bancaire classique, proposant un parcours d’accompagnement complet (préparation, suivi, coaching) pour sécuriser leur démarche ;– Be Est Entreprendre #Financement : formule conçue pour les porteurs de projets dont le plan de financement dépasse un montant de 20 000 €, comprenant une expertise financière et un suivi post-financement sur une durée de 3 ans ;– Be Est Entreprendre #Formation : dispositif composé de plusieurs modules de formation consacrés au domaine de la gestion, aux techniques bureautiques, aux ressources humaines et à l’économie sociale et solidaire (ESS) ;– Be Est Entreprendre #Booster TPE : initiative destinée aux chefs d’entreprise confrontés à une forte croissance dans les 3 premières années de leur activité, proposant un appui personnalisé au développement de la jeune entreprise.

À travers ce nouveau dispositif de soutien, la Région Grand Est prévoit d’accompagner pas moins de 5 000 projets sur la période 2018-2019. De quoi donner un coup de pouce important à l’écosystème entrepreneurial régional !

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.grandest.fr/actualites

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Marie Schneegans, fondatrice de Never Eat Alone

Un déjeuner pour se rencontrer ! C’est l’idée qui a poussé Marie Schneegans, à 22 ans et alors étudiante, à lancer son application Never Eat Alone, qui permet d’organiser des déjeuners entre collaborateurs qui ne se connaissent pas. De grandes entreprises se sont déjà lancées dans l’aventure et proposent cette appli à leurs salariés.

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L’Accre sera prochainement étendue à tous les créateurs d’entreprise

À compter du 1 janvier 2019, tous les créateurs ou repreneurs d’entreprise pourront bénéficier, sous condition de revenus, d’une exonération de cotisations de Sécurité sociale.

C’est une bonne nouvelle pour les futurs entrepreneurs ! Pour encourager la création d’entreprise, le gouvernement a récemment annoncé la mise en place prochaine d’un dispositif d’exonération de cotisations de Sécurité sociale en début d’activité, applicable à l’ensemble des créateurs d’entreprises.


Précision : à ce jour, seuls les créateurs d’entreprises bénéficiant de l’Aide au chômeur créant ou reprenant une entreprise (Accre) peuvent bénéficier d’une exonération de cotisations sociales. Cette dernière étant totale ou partielle, selon les revenus des professionnels.

Instauré par la loi de financement de la Sécurité sociale pour 2018, le nouveau dispositif d’exonération, baptisé « Exonération de début d’activité de création ou de reprise d’entreprise », étend le bénéfice de l’Accre à l’ensemble des créations et reprises d’entreprise, et ce à compter du 1er janvier 2019.

Dans le détail, la durée de l’exonération demeure fixée à 12 mois. Seule exception : les micro-entrepreneurs, qui peuvent toujours, sous certaines conditions, bénéficier d’une prolongation de la mesure sur les 3 premières années de développement de leur activité (exonération partielle et progressive).


Article 13, loi n° 2017-1836 du 30 décembre 2017, JO du 31

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Makiba vise le bonheur en entreprise !

Parce qu’un salarié heureux est un salarié plus efficace, le concept de Chief Happiness officer tend à se développer en France. Une start-up investit ce jeune marché : Makiba.

Chief Happiness Officer : cette notion, née dans la Silicon Valley il y a une vingtaine d’années, peut prêter à sourire, voir même faire grincer des dents. Quoi, le bonheur au travail ? Et même un « chef » de ce bonheur en entreprise ? Pourtant, au fil des ans, la pratique a fait du chemin et commence même à séduire des entreprises françaises. En 2016, le moteur de recherche d’emploi Joblift a ainsi recensé 69 offres de CHO en France. Encore rare donc, mais en plein développement puisque c’est 6 fois plus qu’en 2015.

Une start-up, Makiba, a donc fait du bonheur en entreprise son cheval de bataille et, loin des stages de méditation et autres activités plus ou moins anecdotiques, propose un service très pointu aux entreprises. L’intérêt de ses prestations : intervenir comme spécialiste au sein d’entreprises qui hésitent encore à embaucher un collaborateur permanent sur ce type de fonction.

Créée en 2017 à Toulouse, Makiba aide donc les entreprises à booster l’engagement et l’épanouissement de leurs équipes. Elle cible les structures voulant développer leur culture d’entreprise et leur marque employeur, ceci pour favoriser, selon les cas, la créativité des équipes, éviter un turn over trop important, etc.

Pour ce faire, Makiba propose 2 types de prestations : CulturUp et StandUp.

CulturUp « intervient comme catalyseur de la culture d’entreprise et accompagne à la mise en place des pratiques des Chief Happiness Officers, expliquent les fondateurs, Nicolas Fabries, Julie Clément et Franck Taverriti. StandUp développe des bureaux dernière génération à hauteur variable permettant de changer de position au cours de la journée et ainsi travailler autrement en améliorant la créativité, l’efficacité et la santé ! » Afin de maximiser les résultats, et pour renforcer l’adhésion de tous, la start-up revendique d’intégrer l’ensemble des collaborateurs dans ces démarches.

Preuve de l’intérêt porté par les entreprises à ce nouveau concept, le groupe Berger-Levrault (éditeur de logiciels) accueille Makiba dans son centre d’Innovation et de Développement basé à Labège (31). De quoi booster le développement de la jeune entreprise en lui donnant accès à de nouvelles ressources tout en côtoyant de très près le monde des grandes entreprises !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : mettre en place des outils permettant de connaître le retour des équipes et de mesurer l’efficacité des actions afin de rassurer une cdivtèle pro exigeante !
Le chiffre : 12 600 € par an et par salarié, c’est le coût du mal-être au travail, selon une étude Mozart Consulting.
Le contact :

www.makiba.fr

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L’édition 2018 du concours « 100 jours pour entreprendre » est lancée !

Les inscriptions pour la 7 édition du concours « 100 jours pour entreprendre » sont désormais ouvertes. L’enjeu ? Concrétiser l’envie d’entreprendre chez les jeunes de moins de 30 ans.

Pour la 7e année consécutive, le concours « 100 jours pour entreprendre » invite les jeunes de 18 à 30 ans à concrétiser leur envie d’entreprendre. Lancé en 2012 par un mouvement d’entrepreneurs, l’appel à projets se déroule cette année encore sur une durée de 100 jours, du 15 janvier au 25 avril 2018.

Pour participer, il suffit de poster une vidéo sur la plate-forme dédiée à cet effet. L’enjeu ? Décrocher un maximum de votes pour faire partie des 40 candidats présélectionnés, pouvant présenter leur projet devant un jury de professionnels, qui désignera ensuite les 10 lauréats de l’année.

Des outils indispensables à gagner

À la clé, la « Boîte 100 jours », d’une valeur de 15 000 €. Véritable « kit » du jeune entrepreneur, elle offrira aux lauréats un soutien de taille pour les accompagner dans la création de leur future entreprise : un appui financier, un parrainage, une formation au crowdfunding, l’accès à des espaces de travail…

Enfin, cette nouvelle édition du concours ne manquera pas d’intégrer quelques nouveautés, telles que la création de 2 prix spéciaux (« Alimentation solidaire » et « Start-upeuse de l’année ») et la mise en place de 2 après-midis de formation, accessibles à tous les candidats.

Pour en savoir plus et participer à l’édition 2018 du prix « 100 jours pour entreprendre », rendez-vous sur : www.100jourspourentreprendre.fr

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Matthieu Lesne, co-fondateur de PetitBallon.com

Fondé en 2011, le PetitBallon.com est une plate-forme permettant de découvrir et d’acheter des vins de qualité sous forme d’abonnement, à partir de 19,90 € par mois. Vous recevez chaque mois chez vous une « box vins » et en plus vous pouvez tout apprendre des pratiques et des propriétés gustatives du vin, de manière ludique, grâce des vidéos oenologiques truffées d’astuces et de conseils, accessibles sur le blog du site.

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Roadstr, le vintage prend la route

Une belle décapotable, une sportive racée… Les aficionados des voitures anciennes fantasment devant certains modèles mythiques… et des entrepreneurs l’ont bien compris. Comme le fondateur de Roadstr, qui propose des voitures anciennes à la location entre particuliers.

Vous seriez plutôt Jaguar XK150 des années 50, Porsche 911 des années 90 ou encore Ford Mustang ? Le temps d’un week-end, d’une balade, pour épater la galerie ou faire se pâmer votre dulciné(e), une jeune entreprise propose de louer des voitures de collection, en rendant accessibles au plus grand nombre des modèles mythiques. Allant du moyen au haut de gamme, Roadstr propose à la location plus de 700 voitures anciennes, pour un budget démarrant à 150 € le week-end.

Passionnés, grandes occasions, simples curieux… : la cible touchée par Roadstr est plus vaste qu’on ne pourrait le penser de prime abord. À commencer par toute une génération de fans de voitures pour qui la possession, l’achat n’est plus un impératif. Qu’il s’agisse de se la jouer James Bond ou de rouler cheveux au vent sur une route de campagne en plein été, de participer à un mariage ou de se faire la main avant soi-même d’acheter, la location présente de nombreux attraits. De l’autre côté de l’écran, les heureux propriétaires y trouvent aussi leur compte : louer leur voiture de collection leur permet, non seulement de rencontrer s’ils le souhaitent d’autres passionnés, mais aussi d’amortir les frais d’entretien souvent élevés inhérents à ce genre de modèles.

Derrière Roadstr se cache une plate-forme de location de voitures anciennes entre particuliers, créée en 2015 par Thomas Ceccaldi. Elle compte aujourd’hui une communauté de 10 000 membres. Pour se rémunérer, l’entreprise prélève une commission de 30 % dans le cadre d’une location sans chauffeur, de 20 % avec chauffeur et de 15 % si le cdivt est un professionnel. Certes, le service est proposé par d’autres sites de location de voitures, mais être un spécialiste sur une niche de ce type peut faire la différence !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : sur un tel marché, mas aussi plus globalement sur les transactions entre particuliers, le volet assurance est primordial. Pour Roadstr, chaque location est couverte par une assurance tous risques via un partenariat noué avec un assureur.
Le chiffre : Roadstr compte aujourd’hui une communauté de 10 000 membres.
Le contact :

www.roadstr.fr

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Léger repli des créations d’entreprises en décembre 2017

Une fin d’année peu dynamique. Après 3 mois de hausse, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en décembre : -1,9 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 53 437 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de décembre 2017 : -1,9 % par rapport au mois de novembre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, cette évolution s’explique essentiellement par un repli important du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-7,1 %), qui n’est que partiellement compensé par une légère hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+2,2 %).

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période octobre-novembre-décembre, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 16,7 %, tous types d’entreprises confondus (dont +23,3 % pour les micro-entrepreneurs, +21,1 % pour les entreprises individuelles classiques et +6,1 % pour les créations de sociétés). Une fois de plus, ce sont les secteurs du soutien aux entreprises et du transport qui contribuent le plus à cette hausse globale.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 6,7 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+8,5 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+6,5 %) et des créations de sociétés (+4,8 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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