L’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs Paris : c’est bientôt !

La 25 édition du Salon des Entrepreneurs se tiendra les 7 et 8 février prochains au Palais des Congrès de Paris. Deux jours pour faire le plein d’informations et accélérer vos projets !

25 ans de passion, de création et d’innovation. Pendant deux jours, mercredi 7 et jeudi 8 février, le Palais des Congrès de Paris accueillera l’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs. Plus de 400 partenaires et exposants, 200 conférences et workshops, 150 personnalités emblématiques mobilisées pour l’occasion… Organisé par Les Echos Solutions, l’évènement a pour vocation d’offrir un concentré d’informations et d’expertises autour de l’entrepreneuriat.

En pratique, en plus des nombreuses conférences techniques, 12 temps forts d’actualité inviteront les participants à faire le point sur les enjeux phares de l’année. Une vingtaine d’animations (La Fabrique à entreprendre, Flash Business Meeting, Bourse d’opportunités, Coaching d’entrepreneurs, consultations d’experts…) seront, par ailleurs, proposées tout au long de la manifestation.

Avec plus d’un million de visiteurs en 25 ans, le Salon des Entrepreneurs représente aujourd’hui le plus grand rassemblement d’entrepreneurs en Europe. Deux jours d’immersion au cœur de l’écosystème entrepreneurial : l’occasion de capter les nouvelles tendances, de bénéficier des meilleurs conseils et de trouver des financements pour faire décoller vos projets !

Pour obtenir des informations plus détaillées et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous dès à présent sur : www.salondesentrepreneurs.com

© Les Echos Publishing 2017

Créabiz : un nouveau dispositif pour sensibiliser les jeunes à la création d’entreprise

D’ici à 2020, le dispositif Créabiz a pour objectif d’accompagner 10 000 jeunes vers la création d’entreprise.

Destiné aux jeunes accompagnés par l’une des 75 Missions locales francianes, un dispositif d’aide à la création d’activité, dont l’association des Missions locales d’Île-de-France (ARML-IdF) est à l’origine, vient tout juste de voir le jour. Baptisé « Créabiz », il vise à accompagner les jeunes de 18 à 25 ans qui veulent créer ou reprendre une activité.

Avant de lancer les jeunes candidats dans l’aventure entrepreneuriale, le dispositif prévoit une première étape qui permet d’évaluer leurs aptitudes à devenir créateurs d’entreprise et/ou le niveau de maturité de leur projet.

Puis, dans un deuxième temps, les jeunes sont orientés vers un partenaire qui les accompagnera dans leurs démarches de création d’activité en suivi permanent avec leurs conseillers de la Mission locale dont ils relèvent.

Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à consulter la présentation du dispositif ainsi que sa plaquette.

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Plus de la moitié des jeunes Français tentés par la création d’entreprise

Selon un récent sondage mené par l’institut OpinionWay pour la plate-forme de crowdfunding Ulule, pas moins de 54 % des jeunes de 18 à 35 ans ont déjà ressenti l’envie de créer une entreprise.

L’entrepreneuriat a la cote auprès des jeunes Français ! C’est du moins ce que laisse entendre un récent sondage, mené par l’institut OpinionWay pour la plate-forme de crowdfunding Ulule. Pas moins de 54 % des 18 à 35 ans déclarent ainsi avoir déjà eu envie de créer une entreprise, et 27 % se disent tentés par l’idée d’en reprendre une. Par ailleurs, 31 % des sondés affirment avoir pu transformer ce désir en réalité ou, à défaut de sauter le pas, avoir pris le temps d’y réfléchir concrètement.

Des interlocuteurs privilégiés

Interrogés sur les organismes auxquels ils feraient appel pour les aider dans leurs démarches, les participants citent d’abord leur banque (51 %), suivie de près par les Chambres de commerce et d’industrie (48 %). Viennent ensuite les réseaux d’accompagnement tels que BGE, Initiative France ou Entreprendre (27 %), Pôle emploi (23 %), l’expert-comptable (21 %) et les plates-formes de financement participatif (20 %).

Quant aux modes de financement envisagés, force est de constater que là aussi, des tendances fortes se dessinent. Le financement bancaire représente ainsi l’option privilégiée par 70 % des créateurs d’entreprise potentiels, avant l’apport personnel (61 %), le crowdfunding (38 %) et le financement public (30 %).

Enfin, si le financement bancaire est considéré par 53 % des sondés comme étant la méthode la plus fiable, le financement participatif représente pour 54 % des jeunes interrogés une approche davantage ouverte aux projets innovants.

Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude, rendez-vous sur : www.opinion-way.com

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Little Cigogne, la fin du casse-tête du shopping pour bambins

Simplifier l’achat de vêtements pour enfants en ne sacrifiant rien au choix : c’est le pari de Little Cigogne, qui livre des malles de tenues complètes à domicile. Du stress en moins !

Ceux qui ont déjà subi l’épreuve d’une séance shopping avec des enfants le savent : faire essayer à l’aîné 5 pantalons pendant que le petit dernier tente le 4 pattes derrière les portants tout en gardant un œil sur leur sœur qui elle hésite entre 2 modèles de jupe pourtant identiques, c’est épuisant. Certes, avec internet et les commandes en ligne, un grand pas a été franchi dans le confort des parents. Pour autant, choisir la bonne taille, ne pas faire d’erreur de couleur, s’assurer de la qualité n’y est pas toujours facile.

Une start-up française va plus loin : Little Cigogne propose aux parents la possibilité de recevoir à domicile des tenues complètes. Chaque malle est composée par une équipe de stylistes en fonction de critère prédéfinis en amont par les parents. De quoi essayer tranquillement à domicile. Avant la rentrée scolaire, l’entreprise a ainsi préparé, puis envoyé 12 000 looks personnalisés en 2 mois, soit près de 42 000 pièces.

Autre service bonus : durant les vacances scolaires estivales, toujours dans un souci de faciliter le quotidien et pour éviter un retour à l’envoyeur, Little Cigogne a proposé un service de livraison sur-mesure. Elle conserve les commandes de ceux qui souhaitent recevoir leur « Malle Coup de Cœur » à leur retour de vacances et les envoie uniquement après avoir reçu leur feu vert. Les familles ne paient pas l’intégralité de leur commande avant de pouvoir les essayer et peuvent bénéficier de rabais pouvant aller jusqu’à 50 % sur les pièces retenues. Après les essayages en famille, les vêtements non choisis sont retournés gratuitement depuis la boîte aux lettres du cdivt.

Mathieu Waltzer, fondateur de Little Cigogne, a lancé cette entreprise de 11 salariés en 2012. Ce spécialiste en finance des marchés s’est appuyé sur son expérience, mais surtout sur son vécu de papa. Il a tout d’abord lancé un système de box, mais c’est en décembre 2016 qu’il innove avec ce système de Malles coup de cœur : « Little Cigogne devait répondre à cette problématique vécue par tous les parents, en proposant une nouvelle expérience shopping qui change et simplifie l’expérience de l’habillement chez l’enfant » explique-t-il. Il a pour ce faire noué des partenariats avec 200 marques de prêt-à-porter. Depuis, c’est plus de 100 000 looks qui ont été livrés en France et à l’étranger auprès de 15 000 familles ! Objectif pour 2018 : 4 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Fiche de l’entreprise

Le conseil : savoir s’adapter et donc suivre le marché de près. En pleine tendance des box, Mathieu Waltzer s’est lancé sur ce concept, avant de proposer une innovation de service plus adaptée aux attentes des familles. Bref, se lancer pour tester le marché, quitte à changer de business model ensuite.
Le chiffre : 1 million d’euros de chiffre d’affaires en 2016
Le contact :

www.littlecigogne.com

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Quand l’Administration se met à la portée des start-up…

Vous souhaitez trouver une solution à un problème administratif ou participer à des ateliers d’informations centrés sur les problématiques des start-up ? Rendez-vous à l’espace French Tech Central !

Accessible à toutes les start-up, un nouvel espace s’est ouvert au sein du campus dédié à leur univers, « Station F », implanté dans le 13e arrondissement de Paris. Baptisé « French Tech Central », ce lieu de passage et d’information a été conçu pour faciliter le dialogue entre les start-up et l’Administration. 30 services publics peuvent y être sollicités en permanence ou à temps partiel pour :– aider les entreprises dans leurs démarches administratives et fiscales (paiement des impôts et cotisations sociales, dépôt de brevet, création de société, développement à l’international…) ;– leur faire bénéficier d’une expertise technique et juridique sur certains domaines tels que l’exportation/importation ou la recherche de financement. Les entrepreneurs peuvent ainsi participer à des ateliers d’informations proposés chaque semaine. Ils peuvent également demander des rendez-vous bilatéraux avec l’administration de leur choix, via la plate-forme en ligne www.french-tech-central.com. Ou, tout simplement, échanger avec les personnels des acteurs publics présents dans l’espace French Tech Central, dans des bureaux ou salles de réunion réservés à cet effet et assurant la confidentialité des échanges.

Également pensé pour servir d’interface entre les start-up et le monde scientifique, cet espace permet d’y rencontrer des chercheurs des universités et des laboratoires français, par le biais d’un partenariat avec l’Institut de recherche public en sciences du numérique (Inria).

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Toutenvélo, le déménagement zéro carbone

Déménager à quelques kilomètres de chez soi, faire livrer un petit colis dans un autre quartier… pour ces petits trajets, pourquoi ne pas miser sur le vélo ? Une jeune entreprise a tenté le pari et se développe désormais dans plusieurs villes.

Pas de doute : du souffle et des mollets, Jérôme Ravard et Antoine Smati en ont ! Ces entrepreneurs peuvent ainsi pédaler en tirant une remorque de 300 kg. Ces militants de la préservation de l’environnement ont, en effet, décidé de proposer, à Rennes, un nouveau service : le déménagement… à vélo ! C’était en 2012 et depuis, l’entreprise a bien grandi, regroupant différentes entités sous forme de société coopérative indépendante.

Une idée qui a valu à l’entreprise de recevoir le prix Économie Sociale et Solidaire du concours Talents 2017, pour sa déclinaison rouennaise. Toutenvélo, c’est le nom de leur entreprise, s’est ainsi fait le chantre des déménagements zéro carbone en agglomération. Outre l’aspect environnemental, l’avantage est aussi financier, avec des économies pouvant atteindre 40 % par rapport à un déménagement classique en camionnette. D’ailleurs, la moitié des déménagements est réalisé en div avec des associations pour le compte de bénéficiaires du Fond de Solidarité Logement (FSL).

Aujourd’hui, Toutenvélo a pris la forme d’un réseau d’entreprises sous forme de coopératives, permettant ainsi de proposer plusieurs services : livraison du dernier kilomètre, petites courses rapides et même la fabrication et la fourniture de remorques de vélo pour les professionnels. « Nous avons choisi le statut de société coopérative car il correspond le plus à nos valeurs et à notre manière de travailler, en impliquant un maximum les salariés à la vie de l’entreprise et en leur permettant de devenir associés à terme », explique Samuel de Gentil, entrepreneur rouennais de Toutenvélo.

Fort de 7 années d’expérience, d’abord développé à Rennes, puis à Rouen, Grenoble, Lille et Caen, cette idée de passionnés de deux roues fait donc désormais son chemin sous forme de franchise. « Nous proposons la Freechise dont le concept est simple, explique les créateurs. Vous êtes indépendants, vous utilisez la marque et le logo Toutenvélo. On fournit les remorques et on coopère au travers d’un réseau et d’une image commune. » Une dizaine d’emplois ont pour le moment été créés.

Chaque année, les différentes structures de Toutenvélo réalisent 70 déménagements et fabriquent 40 remorques, tout en parcourant 60 000 km, soit 15 tonnes de CO2 non émis !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : avec ce type de prestations novatrices, mieux vaut être prudent au démarrage en proposant plusieurs services, afin de toucher différents publics : professionnels, particuliers, etc. Cela permet de s’assurer un chiffre d’affaires plus stable !
Le chiffre : les livreurs de Toutenvélo livrent chaque année 250 000 colis
Le contact :

www.toutenvelo.fr

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Porteurs de projets : l’édition 2018 du concours i-Lab est lancée !

Bpifrance et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ont récemment lancé la 20 édition du concours i-Lab, dédié à la création d’entreprises innovantes.

Faire émerger les meilleurs projets de création d’entreprise dans le domaine des technologies innovantes : l’édition 2018 du concours i-Lab, organisé par Bpifrance et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, vise à encourager l’esprit entrepreneurial en améliorant l’accompagnement des jeunes pousses tricolores.

À la clé : une subvention pouvant atteindre un montant maximal de 450 000 €, permettant de financer les premières dépenses de la jeune entreprise, telles que des frais de personnel, de fonctionnement ou encore d’équipement, directement liés au programme de R&D.

Un concours ouvert à plusieurs catégories de participants

En pratique, le concours i-Lab 2018 s’adresse à tous les porteurs de projets, quelles que soient leur nationalité et leur situation (étudiant, salarié, demandeur d’emploi…), à condition que l’entreprise issue de leur projet soit créée sur le territoire français.

Par ailleurs, sont également éligibles les entreprises ayant vu le jour depuis le 1er janvier 2017, les lauréats « en émergence » des éditions précédentes du concours i-Lab, les bénéficiaires d’une bourse French Tech « Émergence » ainsi que les lauréats du prix « PÉPITE – Tremplin pour l’Entrepreneuriat Étudiant », ayant créé ou non l’entreprise correspondant au projet pour lequel ils ont été primés.

Les candidatures pour cette 20e édition du concours i-Lab sont ouvertes jusqu’au 20 février 2018 à 12h. Pour obtenir plus d’informations sur les modalités de participation, rendez-vous dès à présent sur : www.bpifrance.fr

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Nouvelle hausse des créations d’entreprises en novembre 2017

Après un mois d’octobre déjà plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a de nouveau augmenté en novembre : +5,5 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 54 481 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de novembre 2017 : +5,5 % par rapport au mois d’octobre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Institut, cette évolution s’explique surtout par une forte hausse des immatriculations de micro-entrepreneurs (+15,1 %). Moins d’entrain, en revanche, du côté des créations d’entreprises classiques qui affichent, quant à elles, un léger repli (-0,9 %).

Une accélération importante sur les 3 derniers mois

Sur la période septembre-octobre-novembre, les chiffres témoignent également d’une accélération significative du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 14,1 %, dont +19,4 % pour les immatriculations de micro-entrepreneurs, +15,2 % pour les créations d’entreprises individuelles classiques et +6,2 % pour les sociétés. Une fois de plus, ce sont les secteurs du soutien aux entreprises et du commerce qui contribuent le plus à cette hausse globale.

Enfin, force est de constater que le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue également de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 6,2 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents : une évolution qui s’explique à la fois par une hausse importante du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+7,2 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+5,7 %) et des créations de sociétés (+5,4 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Créateurs d’entreprise : pas de profil idéal, mais des compétences indispensables

Le réseau associatif BGE vient de lancer une campagne de sensibilisation à destination des porteurs de projets. L’enjeu ? Rappeler les étapes incontournables pour réussir sa création d’entreprise.

15 thématiques, abordées sous l’angle d’un premier niveau de conseil : lancée par le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE, une récente campagne d’information tend à sensibiliser les futurs entrepreneurs aux nombreuses étapes qu’il convient de franchir pour réussir son projet.

Comment développer son réseau ? Comment trouver ses premiers cats ? Comment établir un devis ? Comment rédiger un business plan ? Comment pitcher son projet devant des investisseurs ? Comment monter sa campagne de crowdfunding ? Autant de questions (et bien d’autres !) que les organisateurs cherchent à soulever, tout en apportant déjà bon nombre d’éléments de réponse.

On ne naît pas entrepreneur, on le devient

Au-delà de la volonté de conseiller les porteurs de projets sur des enjeux incontournables du parcours entrepreneurial, le réseau BGE veut aussi rappeler, au travers de cette campagne d’information, que s’il n’y a pas d’âge ou de profil idéal pour se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, il existe bel et bien des aptitudes nécessaires pour transformer son projet en succès. D’où l’importance de se faire accompagner et d’étoffer ses connaissances techniques grâce à des formations adaptées !

Diffusée sur les réseaux sociaux, la campagne de sensibilisation est également accessible via le portail internet de l’association. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bge.asso.fr

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37 % des entrepreneurs français n’auraient pas pu s’implanter ailleurs

Dans une récente étude, la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur fait le point sur l’ancrage au territoire revendiqué par une grande majorité des dirigeants d’entreprise français.

Le verdict est sans appel. Selon une étude récemment menée par la Fondation MMA des Entrepreneurs du Futur, les dirigeants français n’ont pas choisi la situation géographique de leur entreprise au hasard et cultivent, pour la très grande majorité d’entre eux, des as forts avec leur territoire. Pas moins de 89 % s’y disent, en effet, attachés (voire très attachés, pour 47 % des sondés) ; un chiffre dépassant même les 91 % chez les petits commerçants.

Interrogés sur la signification de cette notion de « territoire », 32 % des entrepreneurs l’identifient à la ville dans laquelle ils ont choisi d’implanter leur activité, 21 % à la communauté de communes, 15 % au département et 15 % à la région. Uniquement 11 % des participants citent la France, et seuls 4 % se réfèrent à l’Europe. Autant dire que l’idée s’inscrit avant tout au niveau local.

Mais quel est le poids de cet ancrage territorial pour le développement de leur activité ? Selon les chiffres publiés, pas moins de 37 % des dirigeants consultés estiment qu’ils n’auraient pas pu s’implanter ailleurs : un choix motivé, pour 69 % d’entre eux, par des raisons personnelles. 29 % des sondés citent, par ailleurs, le dynamisme économique ou encore les qualités associées au territoire en lui-même (22 %), telles que le cadre de vie, la situation géographique, la qualification du personnel et la présence de certaines infrastructures (gare TGV, aéroport, autoroutes).

Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude, rendez-vous sur : www.fondation-entrepreneurs.mma

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