Hello Masters : le réseau social des cadres et dirigeants seniors

Hello Masters veut être le réseau social professionnel des talents qui ont plus de 20 années d’expérience, et se donne pour mission de valoriser leurs compétences réelles pour les mettre au service des entreprises.

Hello Masters est le premier réseau professionnel dédié aux cadres et dirigeants expérimentés ayant plus de 20 ans d’expérience. « Nous leur offrons une plate-forme pour partager leurs compétences, échanger des idées et trouver de nouvelles opportunités professionnelles, explique Blandine Mercier, CEO et cofondatrice de Hello Masters avec Christophe Serret. Nous croyons fermement que l’expertise et la richesse d’expérience de ces professionnels doivent être mises en avant et valorisées dans le monde du travail. » L’idée de ce concept est venue d’une observation personnelle : « En voyant mes parents, puis mes amis, confrontés à un certain nombre de stéréotypes à mesure qu’ils évoluaient dans leur carrière, j’ai constaté que de nombreux professionnels expérimentés faisaient face à une disqualification et à un manque d’inclusion. Cela m’a poussée à créer un espace où ces talents pourraient continuer à contribuer et se sentir valorisés. » Pour développer son concept, Blandine commence par rechercher des données sur les besoins des cadres expérimentés et par évaluer les analyses à travers le monde. « Ensuite, j’ai constitué une équipe de passionnés et exploré les pistes de solutions envisagées par des contributeurs de la sphère publique et privée, tout en rencontrant des masters et des organisations. »

Révéler les compétences cachées

Pas facile toutefois de sensibiliser les entreprises à la valeur des talents expérimentés et de lever des fonds pour soutenir cette vision. « Chaque obstacle a été une occasion d’apprentissage, et nous avons même développé un algorithme inédit pour révéler les compétences cachées derrière les parcours professionnels. » Aujourd’hui, Hello Masters, qui a été lancé il y a un mois, connaît déjà une belle dynamique. Via son algorithme intelligent, il est capable de connecter les organisations avec des experts adaptés à leurs besoins spécifiques, que ce soit pour des missions à court, moyen ou long terme. « Nous constatons un réel enthousiasme autour du concept. On nous dit souvent que cela aurait dû exister depuis longtemps. Parfois, innover, c’est juste créer quelque chose qui devrait déjà être normal. » À court terme, la start-up veut s’établir comme un acteur incontournable de la transition démographique des talents. « À plus long terme, nous envisageons d’élargir notre réseau et de développer des solutions qui facilitent l’intégration des talents expérimentés dans le monde du travail. »

Fiche de l’entreprise
Un chiffre : 1 300 personnes sont déjà inscritesUn conseil : restez toujours à l’écoute de votre marché et des besoins de vos utilisateurs. L’itération et l’adaptabilité sont essentielles pour construire une entreprise solide et pérenne.Un contact : Blandine Mercier, hello-masters.com

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De nouveaux Bus de l’Entrepreneuriat

Déployés pour favoriser l’entrepreneuriat dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV), de nouveaux « Bus de l’Entrepreneuriat » ont été inaugurés pour les régions Centre-Val de Loire et Sud.

Pour faciliter l’accès aux réseaux d’accompagnement à la création d’entreprise et encourager les habitants des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) à recourir à leurs services, la banque publique d’investissement Bpifrance, en partenariat avec la Banque des territoires (groupe Caisse des Dépôts) et l’État, a lancé, en 2021, des bus qui sillonnent les quartiers dans le cadre du programme Entrepreneuriat Quartiers 2030. À horizon 2027, ce programme entend déployer 40 Bus de l’Entrepreneuriat sur l’ensemble du territoire français, pour détecter 60 000 personnes et couvrir 1 300 quartiers.

26 nouveaux QPV couverts

Au lancement de l’opération, en 2021, 10 bus itinérants avaient été déployés. Depuis, leur nombre grossit régulièrement. 2 nouveaux Bus de l’Entrepreneuriat viennent ainsi d’être inaugurés : un bus en région Centre-Val de Loire, porté par BGE Berry Touraine et couvrant 20 quartiers QPV de l’Indre, de l’Indre-et-Loire et du Cher ; un autre en région Sud, avec Initiative Pays d’Arles, sur les routes du pays d’Arles, couvrant 6 QPV.

En savoir plus :

https://bpifrance-creation.fr

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Reprise des actes accomplis pour le compte d’une société en formation

L’assouplissement de la procédure de reprise des actes accomplis par les futurs associés pour le compte d’une société en formation est confirmé. Un acte peut désormais être valablement repris par une société en formation dès lors que la commune intention des parties était de le conclure pour le compte de celle-ci même si cet acte ne le mentionne pas expressément.

Lorsqu’elle est en cours de formation, une société n’a pas encore la personnalité morale car elle n’a pas encore d’existence juridique. Elle n’a donc pas la capacité juridique d’accomplir des actes tant qu’elle n’est pas immatriculée au Registre du commerce et des sociétés (RCS). Par conséquent, ce sont les futurs associés qui accomplissent les actes qui sont nécessaires à la création de la société et au démarrage de son activité (signature d’un bail, souscription d’un prêt…) pour le compte de celle-ci. Et ces actes doivent, une fois que la société est immatriculée au RCS, être repris par celle-ci. Ils sont alors réputés avoir été souscrits dès l’origine par la société.

À ce titre, jusqu’à maintenant, pour que la reprise de ces actes soit valable, il fallait que les futurs associés inscrivent expressément qu’ils étaient conclus « au nom » ou « pour le compte » de la société en formation. Et attention, les tribunaux considéraient que les actes qui ne comportaient pas cette mention précise ne pouvaient pas être repris. Du coup, le fondateur ayant conclu ces actes était personnellement tenu des obligations qui en résultaient.

La commune intention des parties de conclure l’acte pour le compte de la société

Mais en novembre 2023, la Cour de cassation a assoupli sa position en n’exigeant plus ce formalisme rigoureux. Ainsi, désormais, elle considère qu’il appartient au juge d’apprécier si, au regard des mentions figurant dans l’acte et aussi de l’ensemble des circonstances, la commune intention des parties n’était pas que l’acte fût conclu au nom ou pour le compte de la société en formation. Le fait de ne pas mentionner dans l’acte qu’il est conclu « au nom » ou « pour le compte » de la société n’est donc plus rédhibitoire.

Cette position vient d’être confirmée dans deux décisions récentes.

Dans une première affaire, une personne avait demandé, par une lettre de mission, à une société de conseil de réaliser une étude dans le cadre de la création d’une entreprise, puis elle avait créé une SAS immatriculée ensuite au RCS. Par la suite, la société de conseil avait demandé le paiement de sa prestation à la SAS. Saisis du litige, les juges ont considéré que la SAS était bien redevable de la facture. En effet, ils ont estimé qu’il apparaissait que, dans la lettre de mission, le fondateur de la SAS s’était engagé dans le seul intérêt de celle-ci, et ce d’autant plus qu’il avait incité la société de conseil à remplacer son nom par celui de la SAS sur la facture.

Dans la deuxième affaire, un contrat de vente avait été conclu par le fondateur d’une société, le contrat indiquant que l’acquéreur était une société. Après qu’elle a été immatriculée, la société avait demandé l’annulation de ce contrat, faisant valoir qu’il n’avait pas été conclu pour son compte. En vain, car les juges ont relevé que les statuts de la société prévoyaient que l’associé unique conclurait la vente pour le compte de la société et que l’immatriculation de celle-ci avait donc emporté la reprise de ce contrat par la société.


Cassation commerciale, 9 octobre 2024, n° 23-12401


Cassation civile 3e, 17 octobre 2024, n° 22-21616

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WA Concept aide les collectivités à gérer leurs airs d’accueil des gens du voyage

Face aux restrictions budgétaires annoncées par le gouvernement, la start-up WA Concept veut aider les collectivités territoriales à optimiser la gestion de leurs aires d’accueil des gens du voyage via des équipements intelligents et un système de télégestion.

WA Concept propose WebAccueil, une solution de prépaiement et de sécurisation des aires d’accueil des gens du voyage, permettant aux collectivités de gérer efficacement les ressources (eau, électricité) tout en assurant la sécurité des lieux grâce à l’utilisation de technologies de vidéosurveillance et de gestion à distance. « L’idée est née de l’observation des défis auxquels les collectivités territoriales font face dans la gestion des aires d’accueil, raconte Stephen De Sa Conto, fondateur de l’entreprise. J’ai remarqué des lacunes importantes en termes de transparence, d’efficacité et de sécurité. J’ai voulu proposer une solution technologique qui réponde à ces besoins tout en garantissant la conformité réglementaire. » Pour lancer son projet, il veut développer sa solution en interne. « L’un des défis majeurs a été de concevoir un système qui soit à la fois performant et simple d’utilisation, tout en respectant les normes de sécurité et de confidentialité. La mise en place d’une infrastructure de support et le développement de solutions adaptées aux spécificités de chaque collectivité ont également représenté des challenges importants. »

Économie de ressources et amélioration de la sécurité

Le système WebAccueil permet une distribution des fluides automatisée. Les familles de gens du voyage peuvent procéder au prépaiement de leur séjour, de l’eau et de l’électricité avec un suivi précis des consommations. Un espace internet est dédié aux voyageurs, avec des identifiants uniques créés lors de l’ouverture des emplacements. L’occupant peut ainsi se connecter avec son smartphone pour consulter la synthèse de son compte. Un système qui plaît et permet à WA Concept de connaître une croissance solide. « Nous avons élargi notre portefeuille de cdivts et les retours des collectivités utilisant WebAccueil sont très positifs, notamment en ce qui concerne l’économie de ressources et l’amélioration de la sécurité des sites. Cela témoigne de la pertinence de notre solution dans le contexte actuel. » À court terme, l’entreprise souhaite se concentrer sur le renforcement de sa présence sur le marché national et l’ajout de nouvelles fonctionnalités. « Nous sommes également fiers d’annoncer un nouveau projet démontrant notre engagement envers l’innovation écoresponsable : la gestion des ports fluviaux et maritimes des collectivités locales. En capitalisant sur notre savoir-faire en télégestion, nous avons développé une solution raisonnée et efficace de gestion de l’eau et de l’électricité, pilotée par smartphone. »

Fiche de l’entreprise
Un chiffre : 780 aires pour plus de 350 collectivités territoriales sont déjà équipées à travers la France.Un conseil : il faut bien connaître le problème que vous souhaitez résoudre et toujours garder ses utilisateurs finaux en tête. Une solution ne peut être innovante et pérenne que si elle répond de manière claire et précise à un besoin réel.Un contact : Stephen De Sa Conto, www.web-accueil.fr

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Un tuto pour évaluer son idée de création

Bpifrance, la banque publique d’investissement, propose plusieurs tutoriels pour accompagner les créateurs d’entreprise à différentes étapes de leur parcours et pour leur livrer des conseils pratiques. Le dernier en date concerne l’évaluation de l’idée.

Est-ce que mon idée « tient la route » ; faut-il l’abandonner, la modifier pour l’améliorer ? Ce sont des questions que se posent souvent les porteurs de projet avant de se lancer. Pour les aider à y voir plus clair, Bpifrance vient de publier un tuto qui s’appuie sur la matrice PPCO. Cet outil permet d’explorer et de valider la pertinence d’une idée nouvelle ou d’une opportunité d’affaires en 4 étapes.

Cerner le potentiel

L’outil privilégie, en effet, une approche positive en faisant réfléchir d’abord aux PLUS et aux POTENTIELS de l’idée avant de poser les points négatifs (CRAINTES) pour enfin trouver les solutions (les OPTIONS). Le tuto guide le créateur dans la mise en œuvre de cette démarche qui lui permettra non seulement de cerner le potentiel des idées, mais aussi de sélectionner les meilleures ou les plus adaptées, ou encore d’enrichir son concept.

Pour en savoir plus :

https://bpifrance-creation.fr

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Lili for Life améliore la qualité de vie des personnes dyslexiques

La dyslexie, ce trouble de la lecture et de l’écriture, touche près de 8 % de la population. Lili for Life s’est donnée pour mission d’améliorer la qualité de vie des personnes concernées grâce à des solutions innovantes.

Lili for Life veut favoriser l’inclusion des personnes dyslexiques. Grâce à une technologie brevetée issue d’une découverte scientifique de 2017, une lampe à lumière pulsée, elle améliore le confort et la performance de lecture de 80 % de ces personnes. Cette lampe émet, en effet, des flashs lumineux invisibles à l’œil nu pour corriger l’effet « miroir » des yeux, ce qui permet au lecteur de se concentrer sur la compréhension et la mémorisation du texte, avec une lecture plus fluide et moins fatigante. « La dyslexie ne se soigne pas, elle affecte d’abord enfants et jeunes pendant la période d’apprentissage et persiste à l’âge adulte occasionnant fatigue cognitive et difficultés avec le langage écrit », explique Bertrand Descours, cofondateur et dirigeant de l’entreprise. Des scientifiques qui avaient compris que la dyslexie provenait d’un manque de dominance oculaire avaient imaginé cette lampe à lumière pulsée. En découvrant des courriers de remerciements de nombreuses familles qui avaient testé ce prototype de lampe, le deuxième cofondateur, Frédéric Granotier, a souhaité développer et industrialiser cette découverte.

Un produit simple d’utilisation et non stigmatisant

Lancée en 2021, la lampe est conçue et produite en France. « Nous avons été particulièrement attentifs à l’ergonomie du produit pour le rendre simple d’utilisation et non stigmatisant. Pour cela, nous avons travaillé avec une orthophoniste. Elle peut être gardée 45 jours à l’essai pour permettre de valider les bénéfices. Un échange avec une orthophoniste de notre équipe est possible pour aider à la prise en main. » Une levée de fonds réalisée cet été pour un montant total de 500 000 €, va permettre de développer l’entreprise et notamment d’embaucher. « Nous avons aussi lancé depuis 12 mois une activité BtoB auprès des entreprises pour rendre la dyslexie moins taboue et valoriser les apports de la neurodiversité au sein des équipes. Nos technologies vont aider à l’avenir des milliers de salariés qui oseront parler de leur dyslexie et pourront être mieux accompagnés. » La start-up va également dévoiler au CES de Las Vegas en janvier 2025 l’écran LILI, un moniteur qui intègre la même technologie de lumière pulsée et vise à rendre le travail sur écran plus accessible. Ce lancement devrait stimuler l’activité BtoB et l’essor des ventes à l’international !

Fiche de l’entreprise

Un chiffre : 85 %, c’est le taux de recommandation de la part de nos utilisateurs de la lampe LILI mesuré par OpinionWay en novembre 2023.
Un conseil : croire qu’on peut changer la vie des personnes si on fait preuve de ténacité et de générosité en phase avec ses valeurs.
Un contact : Bertrand Descours, www.liliforlife.com/fr/

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Être en situation de handicap et entrepreneur

Dans le cadre de la Semaine Européenne pour l’Emploi des Personnes en situation de Handicap (SEEPH), qui se tient du 18 au 24 novembre 2024, le réseau BGE propose un webinaire sur le thème de l’entrepreneuriat inclusif.

Parce qu’entrepreneuriat et handicap ne sont pas incompatibles, le réseau national d’aide à la création d’entreprises BGE a choisi de se pencher sur cette question que se posent certains porteurs de projet : est-ce que je peux réussir malgré mon handicap ? Au travers d’un webinaire d’une heure qui aura lieu le 19 novembre à 9h30, le réseau BGE propose de faire le tour des accompagnements spécifiques qui leur sont dédiés.

Des conseils pratiques et des témoignages concrets

Différents experts livreront des conseils pratiques et des témoignages concrets illustreront les dispositifs d’aide et d’accompagnement possibles. Sont notamment prévus la présence de l’Agefiph, qui présentera les outils de soutien aux entrepreneurs en situation de handicap. Ou encore l’exemple de Sami et Jennifer Dubosc, dirigeants de la Manufacture Dubosc & Fils, qui partageront leur parcours. Le webinaire est accessible sur inscription gratuite préalable.

Pour en savoir plus :

www.bge.asso.fr

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Hydratis aide à optimiser son hydratation

Créée par deux passionnés de voyage et d’innovation, la start-up Hydratis propose une solution pour optimiser son hydration sous la forme d’une pastille effervescente qui permet au corps d’absorber l’eau plus rapidement et efficacement.

Hydratis veut optimiser l’hydration grâce à une pastille effervescente agissant comme catalyseur pour l’hydratation. Ce soluté contient des minéraux, sodium et glucose afin de permettre une assimilation rapide des liquides et ainsi réhydrater l’organisme rapidement et efficacement tout en compensant la perte électrolytique. La start-up propose également des audits hydratation dans différents secteurs d’activités comme le sport, les pompiers ou les entreprises du BTP, et développe des protocoles d’hydratation personnalisés correspondant à leurs besoins. « C’est après avoir subi une déshydratation intense lors d’un trek que nous nous sommes rendu compte de l’importance cruciale de rester hydratés ainsi que des dangers de la déshydratation, expliquent Théo Heude et Jérémy Boué, les cofondateurs. Or l’eau seule n’est pas toujours suffisante pour bien s’hydrater. Des produits pour améliorer l’hydratation existaient déjà aux États-Unis et en Australie, mais il restait tout à faire en Europe et particulièrement en France. Animés par cette prise de conscience, nous avons décidé de combler ce manque. »

Proposer un accompagnement sur-mesure

Ils se lancent en 2020 en pleine pandémie du Covid-19, avec la collaboration de cabinets scientifiques et de professionnels de santé : « Nous avons dû bousculer notre modèle pour vendre les produits sur notre propre site internet. À la fin du second confinement, nous avons commencé à cibler les réseaux de pharmacie, pour rendre accessible plus facilement Hydratis. » Aujourd’hui, la marque est présente dans plus de 6 500 pharmacies en France, avec une gamme de 8 parfums naturels et des éditions limitées selon les saisons, notamment une gamme à boire chaude pour l’hiver. « L’activité continue de croître notamment grâce à un fort bouche à oreille puisque nous voulons accompagner les Français dans de multiples moments du quotidien comme l’activité physique, la santé au travail et dans le cadre de certaines maladies ou traitements qui déshydratent le corps. » Les deux créateurs veulent positionner l’entreprise comme l’expert de l’hydratation. « Nous investissons dans de nombreux outils pour réaliser des audits d’hydratation auprès des professionnels, en particulier ceux exposés aux risques de déshydratation, et leur faire bénéficier de notre expertise via une batterie de recommandations et un accompagnement sur-mesure. »

Fiche de l’entreprise

Un chiffre : 7 tubes Hydratis sont vendus par minute en moyenne en France en 2024.
Un conseil : trouvez une vraie problématique à résoudre en développant un produit ou service qui peut aider les gens et qui est facile à intégrer dans leur habitude.
Un contact : Théo Heude et Jérémy Boué, www.hydratis.co/

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Prix de la Jeune Création Métiers d’Art 2025

Organisé par Ateliers d’Art de France, le Prix de la Jeune Création Métiers d’Art récompense de jeunes créateurs de moins de 35 ans qui exercent parmi les 281 métiers d’art, et qui associent qualité artistique et maîtrise d’un savoir-faire mais aussi regard innovant.

Alors que ce secteur témoigne d’une attractivité toujours forte, le Prix de la Jeune Création Métiers d’Art (PJCMA) entend distinguer les démarches créatives remarquables contribuant à renouveler l’image des métiers d’art dans leur diversité. Il permet aux lauréats d’accéder à une reconnaissance nationale, voire internationale pour certains. Il est ouvert aux candidats âgés de 35 ans maximum, artisan créateur, artiste libre, ou encore étudiant en fin de scolarité ou en phase de création d’entreprise, qui exercent sur le sol français.

Un accompagnement professionnel

Le PJCMA offre aux lauréats un stand sur l’un des salons organisés par Ateliers d’Art de France (Révélations, Biennale Internationale Métiers d’Art et Création, Maison&Objet, Salon International du Patrimoine Culturel) ainsi qu’un accompagnement professionnel avec accès à un cycle de formation.

L’appel à candidatures pour l’édition 2025 est ouvert jusqu’au vendredi 3 janvier 2025.

Pour en savoir plus :

https://ateliersdart.com/ouverture-de-lappel-a-candidatures-du-prix-de-la-jeune-creation-metiers-dart-2025/

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Mieux connaître les risques d’entreprendre

Parce qu’un risque assurantiel mal anticipé peut altérer la continuité d’une petite entreprise, l’Adie lance le dispositif « Je sécurise mon activité », qui propose un simulateur de risques et un guide gratuit accessible pour tous les entrepreneurs.

Lorsqu’un créateur lance son entreprise, il n’est pas toujours au fait des risques et des responsabilités qui pèsent sur ses épaules d’entrepreneur. D’autant plus que ces risques varient en fonction de son métier, de son secteur d’activité, de ses conditions d’exercice (à domicile, dans un local, en ligne, sur un marché ou sur un chantier)… Résultat : un entrepreneur sur deux est mal ou pas du tout assuré alors que certains sinistres peuvent remettre en question la continuité de l’activité voire même l’existence de l’entreprise.

Un diagnostic personnalisé

C’est pour mieux informer les entrepreneurs que l’Adie vient de lancer, avec le soutien financier du Mécénat des Mutuelles AXA, le dispositif « Je sécurise mon activité ». Cet outil fournit des informations faciles à comprendre, pratiques et personnalisées grâce à un simulateur en ligne accessible gratuitement sur le site adie.org. Après avoir répondu à quelques questions simples, il délivre un diagnostic personnalisé avec une cartographie des risques et des points de vigilance ainsi qu’un guide des bonnes pratiques à adopter pour s’en prémunir et des ressources pour les mettre en œuvre.

Pour accéder au dispositif :

https://www.adie.org/je-securise-mon-activite

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