Régions de France et l’AFE se rapprochent pour favoriser l’entrepreneuriat en France

Pour confirmer leur engagement conjoint auprès de l’écosystème entrepreneurial, Régions de France et l’Agence France Entrepreneur (AFE) ont récemment signé une convention de partenariat.

Soutenir la création, la reprise et le développement des entreprises sur l’ensemble du territoire français : tels sont les objectifs récemment mis en exergue par la signature d’une convention de partenariat rapprochant l’Agence France Entrepreneur (AFE) et l’institution Régions de France, représentant les régions françaises auprès des pouvoirs publics.

Dans le détail, plusieurs axes de collaboration ont été définis par les deux organismes :

  •  Une coopération étroite entre les réseaux respectifs des deux partenaires, et ce notamment à travers la mise en place d’un partage d’informations ;

  •  L’observation des politiques publiques en matière d’entrepreneuriat, en particulier sur les sujets relatifs aux territoires fragiles et à la dynamique post-création ;

  •  Le lancement d’appels à projets cofinancés, visant à déployer des actions nouvelles ou existantes en faveur de la création, de la reprise et du développement d’entreprise.

    Un rapprochement qui devrait, en pratique, renforcer l’impact des actions engagées par les deux partenaires, tout en confirmant leur engagement commun en faveur de l’entrepreneuriat.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.afecreation.fr

    © Les Echos Publishing 2017

    Bruno de Sa Moreira, fondateur et CEO de Histovery

    Depuis 2013, Histovery conçoit et produit des solutions de mise en valeur des sites culturels et des collections muséales en s’appuyant sur les nouvelles technologies interactives et digitales. L’enjeu ? Permettre aux visiteurs de plonger au cœur de l’histoire et de (re)découvrir la richesse de notre patrimoine grâce à la réalité augmentée.

    ]]>

    © Les Echos Publishing 2017

    Réussir son implantation commerciale : la CCI lance un nouveau service en ligne

    À travers le lancement d’un nouveau service en ligne, la CCI tend à aider les commerçants à faire les bons choix au moment de créer ou de développer leur activité.

    Plus de 60 000 créations d’entreprises dans le commerce, et ce rien qu’au 1er semestre 2017 : force est de constater que ce n’est pas le dynamisme qui manque au sein du secteur. Or, si les porteurs de projets sont toujours aussi nombreux à exprimer leur envie de créer, ils sont également parmi les entrepreneurs les plus touchés par les défaillances d’activités.

    Afin de répondre à cette problématique et pour aider les commerçants à faire les bons choix au moment de lancer ou de développer leur entreprise, les Chambres de commerce et d’industrie (CCI) de France ont récemment mis en place un nouvel e-service, accessible via la plate-forme CCI Webstore.

    Basé sur les indices de disparités des dépenses de consommation des ménages (IDC), ce nouveau dispositif digitalisé tend à accompagner les entrepreneurs à travers la réalisation d’une étude d’implantation commerciale. En quelques étapes seulement, l’utilisateur peut ainsi calculer le marché théorique de son futur magasin et définir, grâce à un assistant cartographique, l’implantation optimale de son enseigne.

    Selon les CCI, cette nouvelle offre d’accompagnement devrait, en pratique, permettre aux créateurs d’entreprise d’optimiser leurs chances de réussir, tout en les aidant à convaincre leurs partenaires et financeurs en s’appuyant sur des arguments objectifs et chiffrés.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cciwebstore.fr

    © Les Echos Publishing 2017

    Laurent Dunys, fondateur de Talk to my Car

    Assistant intelligent relié au boîtier connecté Xee, Talk to my Car permet au conducteur de dialoguer avec sa voiture. Kilométrage parcouru, niveau d’essence, diagnostic de l’état général du véhicule (consommation moyenne, état de la batterie, phares allumés, portes verrouillées…) : basé sur une technologie de chatbot, le service est accessible via Facebook Messenger.

    ]]>

    © Les Echos Publishing 2017

    Ateliers de la création : en octobre, l’Adie donne rendez-vous aux entrepreneurs

    Du 9 au 13 octobre 2017, l’Adie propose une série d’événements spécialement dédiés aux créateurs d’entreprise. Au programme : ateliers, rencontres et webconférences gratuites.

    Pendant 5 jours, du lundi 9 au vendredi 13 octobre 2017, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) convie les porteurs de projets à une série d’évènements organisés sur l’ensemble du territoire français.

    Lever les barrières à la création d’entreprise, s’inspirer pour mieux créer, choisir son statut juridique, financer sa micro-entreprise, éclairer son parcours d’entrepreneur, réussir sa mobilité… Disponible sur le site web de l’Adie, le programme officiel annonce, d’ores et déjà, pas moins de 160 rencontres et ateliers pratiques qui se tiendront au fil de la semaine dans de nombreuses villes.

    Sans oublier les webconférences, gratuites et accessibles au plus grand nombre, qui inviteront les participants à se renseigner sur des thématiques clés du lancement d’une activité. Plus d’une dizaine de sujets différents seront, en effet, proposés aux personnes intéressées. De quoi faire le plein d’informations pour concrétiser son projet !

    Pour en savoir plus, découvrir le programme détaillé et s’inscrire aux webconférences proposées, rendez-vous dès à présent sur : www.rdv-adie.org

    © Les Echos Publishing 2017

    Romain Raffard, co-fondateur & CEO de Bergamotte

    À peine cueillis, déjà livrés ! Fleuriste en ligne, Bergamotte propose des bouquets frais et de qualité, composés de fleurs de saison sélectionnées directement chez les producteurs et livrés en 2h seulement dans Paris et dès le lendemain avant 13h partout en France. Toutes les créations florales sont confectionnées avec amour et selon un savoir-faire artisanal.

    ]]>

    © Les Echos Publishing 2017

    Accompagnement : la CCI Paris prendra ses quartiers à l’incubateur Station F

    Afin d’intensifier son action d’accompagnement auprès de l’écosystème entrepreneurial innovant, la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) Paris rejoindra bientôt l’incubateur Station F.

    La Chambre de commerce et d’industrie (CCI) Paris donne un nouvel élan à ses actions en faveur des jeunes entreprises ! En témoigne notamment la signature récente d’un partenariat entre la chambre consulaire et l’incubateur Station F, situé dans le 13e arrondissement de Paris.

    En pratique, la CCI sera ainsi amenée à rejoindre l’espace French Tech implanté au sein de l’incubateur. L’objectif ? Mettre à disposition des 1 000 start-uppers présents à Station F toute son offre de services ayant pour ambition d’accélérer la croissance des jeunes structures.

    Dans le détail, la CCI proposera aux entrepreneurs non seulement des rendez-vous individuels autour de la stratégie globale du développement de l’activité (comment monter son business plan, réaliser sa levée de fonds, réussir son développement commercial…), mais aussi des workshops thématiques, permettant aux jeunes pousses de s’informer et de rencontrer des experts spécialisés dans les domaines du financement, du marketing, du développement international ou encore du management des ressources humaines.

    Enfin, l’accompagnement proposé à l’espace French Tech se traduira également par un accès privilégié aux services et aux réseaux de la CCI. En plus d’être régulièrement invitées à des évènements leur permettant de plonger au cœur de l’écosystème innovant, les jeunes start-up pourront ainsi bénéficier du soutien d’un entrepreneur expérimenté (mentor) ou encore d’un dispositif d’accompagnement spécifiquement dédié aux entreprises du numérique.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.entreprises.cci-paris-idf.fr

    © Les Echos Publishing 2017

    RetraiteAdvisor, le TripAdvisor des maisons de retraite

    Se repérer dans le maquis des maisons de retraite… c’est un peu le principe de RetraiteAdvisor, un site proposant aux familles de seniors des clés pour choisir en toute connaissance de cause.

    C’est tout d’abord par un échec que l’aventure entrepreneuriale d’Arnaud Dabard, 26 ans, a débuté. En effet, le jeune homme, qui a commencé sa carrière au sein d’un grand groupe à l’international, avait tout plaqué pour lancer son entreprise. Nous sommes en 2016 et il lance Monsieur Aristide, un service de livraison de repas gourmets aux seniors, réorienté ensuite vers la création d’une conciergerie et d’un réseau social, toujours sur cette cible senior. « Une sorte de What’App permettant aux personnes âgées et à leurs proches de communiquer simplement » explique-t-il. Cette idée sera récompensée par 2 prix, le Moovjee, catégorie Engagement Citoyen et le prix Gabriel Live for Good, récompensant de jeunes entrepreneurs dans le domaine de l’ Économie sociale et solidaire, en 2016. Une belle récompense de la part de professionnels de l’entrepreneuriat. Malheureusement, l’aventure Monsieur Aristide s’arrête là, les maisons de retraite craignant de ne plus maîtriser leur communication. Mais fort de cette première expérience du secteur, de ses contacts, Arnaud Dabard perçoit un nouveau besoin : celui de permettre aux familles de seniors et aux seniors eux-mêmes de choisir au mieux leur futur établissement d’accueil. Pour cela, il lance en septembre 2017 RetraiteAdvisor. Son idée ? Appliquer le modèle à succès de TripAdvisor à celui des maisons de retraite. « Les pensionnaires et surtout leur famille sont invités à donner leur avis sur les établissements de retraite, en notant différents critères, de la qualité de vie à l’accueil en passant par la nourriture, les soins, etc. L’idée est de proposer un outil d’aide au choix car il y a un véritable manque d’informations dans ce secteur » souligne Arnaud Dabard. Le modèle économique est basé sur de la publicité, avec des partenaires de la silver économie, un abonnement permettant aux maisons de retraite de gérer leur page de présentation et un référencement premium qui sera lancée début 2018. Les débuts semblent prometteurs. L’ambition du créateur est de réaliser un chiffre d’affaires de 100 000 € pour son premier exercice et d’embaucher 2 à 3 salariés. Une belle idée pour apporter davantage de transparence sur ce créneau pourtant si sensible.

    Fiche de l’entreprise

    Le conseil : ne pas tout laisser tomber après un échec ! L’expérience acquise durant une première tentative de création n’est jamais du temps perdu.
    Le chiffre : plus de 800 établissements référencés seulement un mois après son lancement
    Le contact :
    www.retraiteadvisor.com

    © Les Echos Publishing 2017

    Arkose, des blocparks d’escalade urbains… et plus encore

    En 4 ans, Arkose est devenu leader sur un créneau méconnu : celui des salles d’escalade urbaines. La clé de la réussite ? Un concept évolutif et mixant de nombreux plus.

    « J’étais grimpeur amateur, et j’avais envie d’entreprendre… mais pas en restant devant un ordinateur toute la journée » explique Steve Guillou. Bien lui en a pris puisque sa société, Arkose, affiche en effet une dynamique impressionnante. Créée en 2013 sur le créneau de l’escalade, l’entreprise compte désormais 7 salles d’escalades, de Lyon à Bordeaux en passant par Paris, et 5 en préparation. Le tout développé en propre, et non en franchise, afin d’en maîtriser le développement et surtout leur modèle, encore en évolution.

    « C’était un pari un peu fou, car ouvrir ce type de salle d’escalade demande d’importants financements (environ 1 M€ par salle) mais finalement, nous avons réussi, lance Steve Guillou. Et si nous avons pu démarrer, c’est grâce à la love money et à un prêt d’honneur de Réseau Entreprendre (réseau d’accompagnement par des chefs d’entreprise), ce qui a permis de convaincre les banques. »

    Certes, ils sont loin d’être seuls sur ce créneau, mais les dirigeants (4 associés aujourd’hui) ont su se différencier. Tout d’abord, en proposant des salles d’escalades de blocs, concept différent de leur principal concurrent à Lyon, par exemple. Ainsi, ils sont aujourd’hui leader sur le créneau des blocparks urbains, combinant éthique et esthétique. En outre, il ne s’agit pas simplement de salle, mais de vrais lieux de vie, avec un espace de restauration. Et pas question de miser sur une nourriture sans âme et sans goût : la viande est labellisée, fromages et charcuteries proviennent d’artisans locaux, les vins sont issus de la biodynamie.

    Par ailleurs, ils fourmillent d’idées pour enrichir leur concept : notamment en complétant leur offre en lançant une brasserie artisanale. « Ainsi, nous pouvons proposer notre propre bière dans nos salles ! » Et les grimpeurs apprécient des rendez-vous tels que les fameuses soirées barbecue du jeudi, histoire de se réunir autour de leur passion autrement que le long d’un mur. De quoi se créer une identité forte !

    Pour s’assurer une belle fréquentation, Steve Guillou a pris conscience que son « cœur de métier, c’est d’ouvrir des salles d’escalade. Choisir d’excellents emplacements est donc primordial. » Il a donc décidé de se faire épauler dans la recherche de nouveaux lieux par des spécialistes. Un investissement stratégique !

    Fiche de l’entreprise

    Le conseil : « Nous recrutons beaucoup, trop selon certains… mais ne pas être trop prudents nous a permis d’assurer une croissance rapide. Suivez votre instinct et vos envies ! »
    Le chiffre : une centaine de salariés pour près de 6 M€ de chiffre d’affaires
    Le contact :
    www.arkose.com

    © Les Echos Publishing 2017

    Olivier Meunier, directeur général des 3Dandies

    Fondée par trois entrepreneurs gourmands et passionnés, Les 3Dandies associe le savoir-faire d’une chocolaterie traditionnelle aux nouvelles technologies d’impression 3D. L’idée ? Revisiter les standards de la chocolaterie et démocratiser le design sur-mesure, tout en travaillant exclusivement avec des variétés de chocolats bio, issues du commerce équitable.

    ]]>

    © Les Echos Publishing 2017