Stéphane Bohbot, fondateur de Lick et président d’Innov8

Pour Stéphane Bohbot, fondateur de l’enseigne Lick, cette nouvelle enseigne a pour but de démocratiser les nouvelles technologies et de développer la commercialisation des objets connectés. Il nous explique comment il en est arrivé là, quelles ont été les démarches qui l’ont amenées à lancer Lick, ainsi que le rôle de cette nouvelle enseigne de concept store dans la vente d’objets connectés.

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Sandrine Franchini-Guichard, déléguée générale du Réseau Les Pionnières

Depuis 2005, un réseau d’incubateurs vient en aide aux femmes entrepreneures innovantes. Nommé « Les Pionnières », ce réseau assure avoir déjà participé à la naissance de plus de 400 entreprises. Sandrine Franchini-Guichard, sa déléguée générale, nous en dit plus sur ce réseau.

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Philippe Arraou, président du CSOEC

Philippe Arraou, président du Conseil Supérieur de l’Ordre des Experts-Comptables, nous rappelle le rôle de l’expert-comptable, un professionnel « généraliste » qui a une approche globale de la situation des chefs d’entreprise. L’accompagnement par un expert-comptable est une sécurité pour les entrepreneurs et surtout pour les créateurs. Philippe Arraou annonce également le lancement de la plate-forme www.business-story.biz. Ce nouveau dispositif, sur la base du volontariat pour les experts-comptables, propose 3 rendez-vous gratuits aux porteurs de projet.

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Matthieu Masselin, Directeur Général de Wandercraft

Wandercraft, start-up spécialisée en robotique fondée par 3 associés en octobre 2012, a développé Atalante, un exosquelette dynamique. L’objectif est de rendre la marche et l’autonomie aux personnes paraplégiques ou atteintes de myopathie.

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Loïc Berthelot, fondateur de Berthelot, élu « Artisan de l’année 2015 »

Plombier à Paris, Loïc Berthelot a été élu Artisan de l’année 2015, en novembre, dans le cadre du Grand Prix des Artisans qui récompense les meilleures initiatives du secteur. Avec ses développeurs, il a créé Oplug et Ostop, deux boîtiers connectés, pour gérer à distance la consommation d’eau lorsque l’analyse des données détecte une anomalie. Il est même possible de couper l’arrivée d’eau depuis un smartphone. Un plombier numérique !

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Laurent Windenberger, co-fondateur de Babymoov et Badabulle

Malgré une croissance soutenue, les 3 associés de Babymoov et Badabulle, marques spécialisées dans les produits de puériculture, gèrent leur entreprise en restant en contact permanent avec le terrain, et en privilégiant toujours l’innovation et l’international.

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Laëtitia Alcover, co-fondatrice de Kang

Kang est une application créée en 2012 par 3 associés. C’est en fait une plate-forme communautaire unique qui permet d’obtenir des conseils d’ordre juridique, familial ou personnel. Un service qui s’inscrit directement dans l’essor de la consommation collaborative et l’économie de partage.

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WeChasse.com : le réseau social de la chasse

WeChasse.com réunit une communauté de passionnés de chasse à tir et de vénerie. L’objectif : permettre à ces aficionados de communiquer autour de leur passion, de vendre et acheter des produits et services, de promouvoir pour certains leur activité professionnelle auprès de leur cœur de cible, le tout en restant connecté avec leur tribu ! La plate-forme WeChasse.com modernise l’univers cynégétique en réunissant l’ensemble des différents acteurs – particuliers, professionnels et institutionnels – via son interface digitale fédératrice.

Allier l’utile à l’agréable

Edouard du Closel, le fondateur de l’entreprise, est évidemment amateur de chasse, et ce depuis toujours ! Ce communicant dans l’âme a fait ses armes en agences de communication à Paris et à Genève. A 36 ans, il décide de sauter le pas et de se lancer dans la création de son entreprise, un projet qui réunit les trois ingrédients qui lui plaisent : créer un service en ligne, en a avec les incontournables réseaux sociaux et sur le thème de la chasse et de la vénerie (chasse à courre).

L’idée première étant de couvrir tous les besoins des chasseurs : « J’invite les 1,1 million de chasseurs en France, et en particulier la jeune génération de chasseurs et de veneurs, à vivre une nouvelle expérience cynégétique sur WeChasse.com et à faire vivre leur réseau, afin de porter haut notre passion et les valeurs de la chasse » affirme Edouard du Closel. Ce dernier crée donc en novembre 2015 son entreprise, qu’il a financée sur fonds propres. Cet investissement personnel lui permet de couvrir les frais de lancement de son activité et d’aborder cette première phase avec enthousiasme.

Le modèle économique et les projets à venir

Si l’inscription est gratuite pour les particuliers, les professionnels du secteur sont, quant à eux, sollicités afin d’apporter à la plate-forme une rentabilité certaine ! En adhérant à WeChasse.com, ils disposent d’une vitrine commerciale sur une plate-forme digitale 100 % chasse, développent leur activité professionnelle et leur chiffre d’affaires. De plus, ils ont l’opportunité de promouvoir leur enseigne et leurs produits sur le marché national et international (grâce aux versions anglaise et espagnole du site, qui est par ailleurs responsive). Afin de toucher plusieurs typologies d’acteurs, WeChasse.com propose différentes formules dans laquelle chacun peut trouver son intérêt.

Entre avril et juin, période durant laquelle se tiennent de nombreux salons dédiés à la chasse, WeChasse.com sera capable de prouver sa légitimité auprès d’une communauté engagée ! Et à compter de l’été 2016, l’entreprise entreprendra des initiatives concrètes pour asseoir sa notoriété et consolider son développement.

Fiche de l’entreprise
Les conseils du créateur : être bien préparé à l’aventure de l’entreprenariat, savoir s’adapter ; Mais surtout, faire preuve de beaucoup d’énergie et de motivation pour toujours croire en son projet.Le chiffre-clé : 10 000 membres à fin 2016.Le contact :
www.wechasse.com – Facebook : https://www.facebook.com/WeChassecom-le-r%C3%A9seau-social-de-la-chasse-1657161824555211/

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Kyump, l’intermédiaire de confiance sur le marché du véhicule d’occasion.

La start-up parisienne Kyump se positionne comme la plate-forme destinée à simplifier l’achat et la vente de véhicules d’occasion entre particuliers. Grâce à un dispositif novateur, Kyump offre à ses clients la sécurité et la qualité d’un professionnel avec les faibles prix du marché de particulier à particulier ! Présentation de cette entreprise, dont l’offre de services a été finement étudiée pour aujourd’hui poursuivre sa croissance avec sérénité sur un marché très concurrentiel.

L’union fait la force

Louis-Gabriel de Causans, Alexandre Hudavert et Guillaume-Henri Blanchet, 28 ans, sont les trois fondateurs de Kyump. Tous les trois ingénieurs, ils se rencontrent lors de leurs études à l’École Polytechnique. A l’issue de leur formation, les trois jeunes diplômés complètent leur cursus dans des domaines différents (London School of Economics pour le premier, HEC/Master Entrepreneurs pour le deuxième et Université Bocconi à Milan pour le troisième). Ils entrent par la suite chacun de leur côté dans la vie professionnelle en travaillant quelques années pour des grands groupes internationaux (Boston Consulting Group, Oscaro.com ou Bain et Cie)…

Partis du (triste) constat que vendre ou acheter un véhicule d’occasion s’inscrit très souvent dans un processus long, laborieux et onéreux, les jeunes entrepreneurs passionnés d’automobile mutualisent leurs compétences et créent en 2015 une marketplace innovante, fiable et sécurisée. Leur ambition ? Acheter ou vendre une voiture doit redevenir un plaisir ! Ils souhaitent permettre à tous les particuliers d’accéder à des voitures de qualité, facilement et au juste prix.

Pour concrétiser leur projet de création d’entreprise, les trois associés apportent 10 500 € de fonds propres au lancement et effectuent de petits emprunts bancaires. “Nous n’avons pas lancé d’opération de financement participatif car cela allait être chronophage “ assure L-G de Causans, le co-fondateur de la start-up.

Kyump, comment ça marche ?

La promesse est simple : Kyump est le nouveau moyen de vendre ou d’acheter une voiture d’occasion. Et c’est l’assurance d’avoir des voitures de qualité au juste prix !

Via son site Internet, Kyump s’adresse à tous les particuliers désireux de revendre leur voiture ou d’acquérir une voiture d’occasion. La valeur ajoutée de l’entreprise consiste à apporter flexibilité, sérieux, garanties et réactivité à ses cats. Tous les véhicules ont moins de 7 ans et moins de 120 000 km. Ils sont minutieusement inspectés par les experts de Kyump, afin de garantir leur qualité (l’inspection comprend 200 points de contrôle). Contrairement aux concessionnaires et autres professionnels de l’automobile dont la commission est portée à 30 % du prix de vente, Kyump ne prend que 5 % et offre un service nettement plus complet !

Finis les appels téléphoniques en série, les déplacements nombreux et parfois inutiles pour voir des véhicules de mauvaise qualité ou ne correspondant pas à la description de l’annonce ! Pour le vendeur comme pour l’acheteur, Kuymp permet la transaction depuis son canapé, en toute sérénité !

Passionnés d’automobile, les douze salariés (à temps plein) de Kyump disposent de qualifications spécifiques (conseillers commerciaux ou inspecteurs-mécaniciens) et la relation de confiance qu’ils parviennent à créer est bénéfique pour l’image de marque de l’entreprise !

Les objectifs 2016 et au-delà

L’entreprise compte bien étendre sa zone d’intervention. Car si jusqu’à présent, elle intervient à Paris et en Ile-de-France, l’idée à terme est naturellement de conquérir d’autres départements/régions, et ainsi faire en sorte que son offre de services soit accessible à tous !

Fiche de l’entreprise
Les conseils du créateur :Les associés et les premiers recrutements sont primordiaux, car une entreprise c’est avant tout une aventure humaine – passez donc le temps nécessaire sur le recrutement !Le chiffre-clé : environ 100 voitures inspectées chaque mois, avec l’objectif de tripler d’ici la fin de l’année.Le contact :
www.kyump.fr – Facebook : https://www.facebook.com/Kyump/?fref=ts

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Branchitude et emplettes religieuses : Catho Rétro, le concept-store chrétien en ligne

“Pour une vie plus spi(rituelle), plus jolie !” Tel est le slogan du concept-store religieux ultra-branché Catho Rétro, LE magasin indépendant qui propose des produits innovants avec une mise en scène soignée, en phase avec la foi chrétienne. Catho Rétro crée sa propre ligne et regroupe des créateurs de talent pour apporter du plaisir aux emplettes religieuses. La start-up, qui a fêté son premier anniversaire en février 2016, s’adresse aux tribus chrétiennes et modernes souhaitant exprimer leur foi en se procurant objets et accessoires de style via son eshop.

Un cocktail de compétences et de savoir-faire

En 2013, Armelle Pecquériaux, sa soeur Fanny et une amie d’enfance, Marjolaine, ont toutes les trois envie de donner naissance à un projet entrepreneurial en phase avec leurs convictions et répondant à un besoin de marché. Comme le dit Armelle en souriant : “Catho Rétro, c’est un peu l’Esprit Saint d’un côté, la Hype de l’autre”. Un concept est né ! Si l’idée de créer Catho Rétro leur est venue il y a 3 ans, il a fallu beaucoup d’énergie, de créativité et de persévérance pour concrétiser leur projet ! Comme pour toute création d’entreprise, les jeunes femmes ont dû s’investir à 300 % et chacune a apporté sa pierre à l’édifice.

Armelle, 31 ans, est diplômée d’une école de commerce et a collaboré 7 ans dans la grande distribution. Passionnée par la communication et le marketing, elle avait alors le sentiment de ne pas exploiter ces deux volets, inhérents à la démarche commerciale. Catho Rétro lui permet de renouer avec ses talents commerciaux tout en apportant la créativité et assure la partie média nécessaires à l’essor de l’entreprise. Fanny, ingénieur informatique de formation, assure toute la partie développement du site web et gère le juridique et la comptabilité. Et Marjolaine, directrice artistique, conçoit l’identité graphique et visuelle de la marque, et gère le design du site.

Les premiers pas de Catho Rétro

En décembre 2014 (période de l’Avent, le moment est bien choisi), les fondatrices lancent une opération de financement participatif sur internet et récoltent 3 120 € grâce aux contributions de 85 KissKissBankers. L’objectif est plus qu’atteint ! Elles, qui espèraient obtenir un financement de 2 800 €, décident alors de créer leur propre gamme, labellisée “Catho Rétro”, afin de se démarquer de la concurrence. L’aventure démarre au quart de tour, puisque très vite la start-up crée des collections capsules (éphémères) avec des créateurs de renom estampillés chez Catho Rétro.

Le site web est lancé le 1er février 2015 ; sa mise en oeuvre implique naturellement des financements à la hauteur des résultats attendus. C’est pourquoi les trois créatrices de l’entreprise apportent chacune 2 500 € de fonds propres et se retroussent les manches. Tout (ou presque) est “fait maison” : le site internet, la création de l’identité graphique et de ses déclinaisons, la communication… En mars 2016, l’entreprise passe du statut d’auto-entrepreneur à celui de SAS.

Les objectifs 2016 et au-delà

Pour l’année 2016, l’entreprise en plein développement fourmille d’idées. En premier lieu, Catho Rétro développe un réseau de distribution sur Internet qui s’adresse aux particuliers affiliés. Cette initiative sert à la fois la communication et les ventes puisque chaque revendeur affilié se fait livrer son volume de commandes à son domicile et perçoit une commission portée à 10 % des ventes. La démarche, opérationnelle en mars-avril 2016, devrait remporter du succès et permettre de recruter de nouveaux affiliés (une école a déjà accepté de collaborer).

L’entreprise envisage également de diversifier son activité. Pour l’heure, Catho Rétro lance une collection capsule (tote bag, carte, badges, planche de tattoos) en a avec l’événement des futures JMJ (journées mondiales de la Jeunesse) qui se tiendront à Cracovie l’été prochain.

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : bien s’associer est primordial car la complémentarité des compétences est très importante. Ne pas renoncer et avoir comme devise « fonce, avance, travaille et un jour on croira en ton projet ! »
Le chiffre : doubler le chiffre d’affaires en 2016Le contact :
www.cathoretro.com – Facebook : https://www.facebook.com/Cath0Retr0/

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