Publicité solidaire : le don simple, rapide et gratuit avec Anona World

Dans un climat général où la solidarité trouve une place de plus en plus importante, le concept conçu et réalisé par la start-up Anona World se développe à vitesse grand V.

Vous souhaitez soutenir une cause caritative sans avoir pour autant à débourser le moindre euro ? Choisissez la cause que vous souhaitez soutenir pour faire un don gratuit, l’annonceur finance votre don et la plate-forme Anona World reverse votre don à une cause caricative ! Il vous suffit juste de visionner des vidéos publicitaires gratuitement via l’application créée à cet effet.

Création et mise en oeuvre opérationnelle du concept

Le fondateur d’Anona World, Frédéric Ollier, 29 ans, souhaitait depuis quelque temps créer une entreprise qui ait un impact positif. Ses nombreux voyages à l’étranger, effectués à l’issue de son Master en Management, l’ont amené à réfléchir à la mise en œuvre d’un concept lucratif et en phase avec ses centres d’intérêt. Anona (dont le nom est à l’origine le symbole d’une déesse romaine porteuse de générosité) est le pur fruit de ces réflexions et ambitions. Il s’associe en 2014 avec Morgan Nguyen, développeur informatique de formation, ce qui permet de poser les premières bases du concept. A eux deux, Frédéric et Morgan investissent près de 55 000 euros en fonds propres, auxquels s’ajoutent 32 000 euros de fonds accordés par un prêt bancaire et le prêt du Réseau Entreprendre.

En 2014, Frédéric Ollier démarche de nombreux organismes et effectue un business plan, pour ensuite réaliser un site d’application. Fin 2014, l’entreprise est créée à Annecy (Haute-Savoie) et la marque déposée à l’Institut national de la propriété intellectuelle (INPI). Juristes spécialisés et consultants apportent leur concours à la jeune entreprise annécienne (conditions générales de vente et stratégie).

Le site web www.anona.world a été lancé en février 2015, l’application mobile Anona a, quant à elle, vu le jour en mai 2015, au moment où la communication autour du projet battait son plein. La communauté rassemble de plus en plus de membres ! Aujourd’hui, l’équipe est constituée de quatre personnes qui travaillent à plein temps. Anona s’appuie également sur le savoir-faire et l’expérience d’experts en conseil, qui agissent bénévolement.

Comment ça marche ?

Les internautes téléchargent l’application Anona World sur leur smartphone (gratuit évidemment), disponible sur iOS et Android. Ils ont ensuite la liberté de visionner quand ils le souhaitent, à tout moment, des vidéos publicitaires. En visionnant (intégralement) la publicité digitale, ils financent ainsi une cause qui leur tient à cœur.

De son côté, l’annonceur a gagné en visibilité et a touché une cible de consommateurs potentiels (âgée en moyenne entre 15 et 80 ans, avec une forte proportion de citadins francias de moins de 35 ans). En termes de coût, c’est très simple : l’annonceur investit au coût par vue de sa vidéo. Anona négocie avec les annonceurs le montant de chaque don, puis leur facturent des frais supplémentaires pour la plate-forme. Soit par exemple, pour une campagne de 15 000 euros, si le coût par vue est porté à 0,30 €, la publicité digitale aura été visionnée 50 000 fois ! Un moyen de communiquer autrement pour les annonceurs, sans être intrusifs vis-à-vis des consommateurs. Une initiative saluée par les grands groupes aujourd’hui, qui associent ainsi démarche RSE (responsabilité sociétale des entreprises) et publicité sur le digital.

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : « se lancer jeune (avant 30 ans !) dans l’aventure de l’entrepreunariat est un plus car on peut se donner à 200 %. Avoir aussi la clairvoyance de s’entourer de personnes aux compétences complémentaires ».Le chiffre : atteindre 1 million de dons fin 2016.Le contact :
www.anona.world– Facebook : https://www.facebook.com/AnonaLDG

© Les Echos Publishing 2015

L’apéritif gourmand 100 % régions françaises : Cave & Buffet

L’apéritif est une niche ! Il y a beaucoup de produits que l’on déguste localement et que l’on ne peut retrouver à côté de chez soi… Rappelons, par ailleurs, que la France est réputée dans le monde entier pour sa cuisine et compte bon nombre de chefs étoilés. Cave & Buffet s’est donc positionné comme le spécialiste du commerce en ligne de produits du terroir français pour l’apéritif. Découverte.

S’il existe aujourd’hui beaucoup de « box » pour avoir accès à la gastronomie et au plaisir de savourer, découvrez ou redécouvrez des saveurs propres à des régions spécifiques avec Cave & Buffet, le spécialiste du commerce en ligne de produits du terroir français liés à l’apéritif. Avec un découpage de cinq zones en France, Cave & Buffet commercialise via son site internet des colis gourmands spécifiques à une région que le cat choisit.

Le parcours de la créatrice de Cave & Buffet

Salariée pendant quinze ans, c’est à 35 ans que Sylvie Nguyen envisage de créer son entreprise Cave & Buffet. Adepte du « bien manger » et des voyages, Sylvie a traversé le globe et est fière du savoir-faire français. Après des expériences professionnelles dans le commerce et le marketing international (deux ans d’expatriation en Chine à Shanghaï), ses envies d’indépendance et d’entreprendre l’ont conduite à créer son entreprise, fondée sur l’idée que l’hexagone a des ressources incroyables que le monde « nous envie » !

En 2014, la jeune créatrice vérifie que son projet a bel et bien un potentiel et effectue une étude de marché sur la vente sur internet. Un business plan a été élaboré pour s’assurer que les tarifs qu’elle voulait pratiquer répondaient aux besoins du marché. C’est avec le concours de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Rouen, d’un expert-comptable (lequel a travaillé en amont sur le prévisionnel), d’un avocat (pour rédiger et cadrer les Conditions Générales de Vente) et de la communauté d’agglomération de Rouen qu’elle a pu conduire ces actions préalables à la création de Cave & Buffet.

Les premiers pas de Cave & Buffet

Entreprise créée en février 2015, le site internet www.cavebuffet.com est opérationnel au 1er juin 2015. Dans un premier temps, Sylvie Nguyen se concentre exclusivement sur la vente aux particuliers, l’objectif étant à moyen terme de conquérir les entreprises et les Comités d’Entreprise (cadeaux d’affaire). Le coût de l’investissement est porté à 40 000 € avec une partie en fonds propres, une partie empruntée à la banque. Une agence de communication a accompagné ses premiers pas en fournissant un travail sur la marque, sur son identité graphique et visuelle et sur les déclinaisons de sa marque (coffret, logo, slogan…).

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : « bien étudier le marché que l’on cible et s’entourer de professionnels experts pour concrétiser son projet ».Le chiffre : 1 500 coffrets gourmands commandés en 2015.Le contact :
www.cavebuffet.com – Facebook : www.facebook.com/cavebuffet

© Les Echos Publishing 2015

Mon Maître Carré : simplifier l’accès à l’architecture d’intérieur grâce à un dispositif 2.0

Se sentir bien chez soi, c’est important. Partant du principe que lorsqu’on veut faire de nouveaux aménagements de son intérieur, on est souvent un peu perdu et on ne sait pas à qui s’adresser, Mon Maître Carré apporte une solution novatrice. Son ambition : donner un souffle nouveau à l’univers de la décoration d’intérieur. Une plate-forme bien conçue, qui fonctionne sur le principe de concours entre décorateurs ou d’architectes d’intérieur.

Les origines du projet

Nicolas Bertrand, Maxence Vinckevleugel et Guillaume Bertrand sont trois jeunes entrepreneurs souhaitant changer les habitudes du secteur de l’aménagement d’intérieur, secteur qui n’a pas encore accès au digital. En Italie et aux Etats-Unis, des concepts proches du leur existent mais il manque un élément qui, selon eux, est primordial. “On a cherché une idée pour pouvoir appréhender l’architecture d’intérieur différemment en France. En tombant sur des sociétés à l’international, on a pu affiner notre idée de base et partir sur ce système de concours rémunérés”, explique Nicolas Bertrand, l’un des trois fondateurs.

Chez Mon Maître Carré, chaque décorateur ou architecte d’intérieur participant au concours se doit d’être rémunéré, même si naturellement, le lauréat se voit remporter une récompense financière bien plus conséquente que ses confrères (70 % du montant consacré à la rémunération pour le premier et 15 % pour chacun des deux autres postulants). Un élément différenciant qui fait de Mon Maître Carré un acteur providentiel pour les architectes et décorateurs d’intérieur français participant aux concours de réalisation de projets d’aménagement intérieur. Pour s’inspirer de ce qui existe en dehors de l’Hexagone, Mon Maître Carré remodèle le concept et l’adapte au marché français : “On avait déjà l’idée d’appréhender l’architecture d’intérieur via le business model qu’on pourrait qualifier de “crowdsourcing”. Puis, avec des recherches sur internet, petit à petit, on tombe sur des sites qui relaient des sociétés. Si cela fonctionne sur un marché itaa qui est assez similaire au marché français, on essaie de s’inspirer, faire un petit mix de tout ça et l’adapter aux attentes des Français.

Mon Maître Carré, raison d’être et mode d’emploi

Les objectifs de départ sont clairs : côté cats, simplifier l’accès à la décoration et à l’architecture d’intérieur. Chacun mérite de se sentir bien chez soi ! Côté décorateurs et architectes d’intérieur : ne plus perdre de temps à trouver des cats et faire ce pour quoi ces créatifs sont doués. La solution est donc une plate-forme en ligne agréable à utiliser et qui répond aux besoins de chacun.

Comment ça marche ? Le particulier (ou l’entreprise, car Mon Maître Carré surfe sur la cible BtoC comme sur la cible BtoB) expose et fournit ses envies et exigences de réaménagement de son intérieur ou espace de travail. Mon Maître Carré réceptionne ensuite les éléments via l’interface, établit un brief rendu visible à la communauté. Le cat peut librement choisir parmi les postulants et attendre que la date de fin du concours arrive. Ultime étape : il ne reste qu’à sélectionner la proposition qui le satisfait le plus et le projet de réalisation peut prendre forme. Pour chaque projet rendu, le cat reçoit une planche d’ambiances comprenant des inspirations, des couleurs, des textures, des croquis et plans de la pièce, une liste de meubles et d’objets de décorations, le tout accompagné de descriptions et devis. Dans un souci d’éthique et de qualité de service, Mon Maître Carré sélectionne chaque profil afin d’être sûr des compétences des décorateurs ou architectes d’intérieur. Enfin, un système de notation et d’appréciations est mis en place à la fin de chaque concours.

Financement et modèle économique de Mon Maître Carré

Avec 6 000 € de capital initial, également réparti entre les trois associés, l’entreprise dépose ses statuts fin 2014 et la plate-forme voit le jour au printemps 2015. Une nouvelle version devrait être en ligne à compter de début 2016, afin d’optimiser l’offre de services.

Pour financer leur activité, les jeunes entrepreneurs ne peuvent se satisfaire de la seule mise à disposition de leurs économies personnelles. C’est actuellement Airbus Group qui leur donne accès à un prêt de 20 000 €, à taux très faible. Et pour permettre à l’entreprise de prendre son envol, une opération de crowdfunding (financement participatif) devrait permettre une levée de fonds de 70 000 à 120 000 €. De quoi pouvoir donner à Mon Maître Carré les moyens de poursuivre son développement.

En termes de tarification, c’est très clair : les tarifs pratiqués par Mon Maître Carré sont calculés sur une base fixe inspirée des facturations habituellement observées auprès des professionnels du secteur. Ainsi, pour le même prix qu’une prestation classique, le commanditaire bénéficie de la simplicité, du choix et de la qualité Mon Maître Carré. Quelle que soit la taille du chantier, il faut débourser 20 € HT du mètre carré.

Fiche de l’entreprise

Le conseil du créateur : “être polyvalent et curieux sont deux atouts sans lesquels une start-up qui démarre ne peut pas réussir. On apprend tous les jours des autres, et c’est en unissant nos forces et en mutualisant nos savoir-faire qu’on emmène l’entreprise sur la route de la réussite qu’elle entend suivre”.
Le chiffre : Mon Maître Carré estime compter 300 professionnels inscrits sur la plate-forme à fin 2015.
Le contact :
www.monmaitrecarre.comhttps://www.facebook.com/monmaitrecarre?fref=ts

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Adopte Un Bureau : une seconde vie pour le mobilier de bureau

D’un côté, il y a des entreprises qui paient pour mettre leur mobilier au rebut. De l’autre, des PME et des start-up qui vont acheter du mobilier neuf. Il n’y pas quelque chose qui cloche ?

En France aujourd’hui, on estime que les entreprises se séparent de 250 000 tonnes de mobilier de bureau par an. La grande majorité se retrouve à la déchetterie. Quel gâchis écologique bien sûr mais aussi quel gâchis économique ! Les entreprises françaises dépensent un milliard d’euros pour acquérir du mobilier neuf chaque année. Colossal ! Adopte Un Bureau, créée en juin 2015, propose une solution innovante et en phase avec nos préoccupations environnementales.

Un concept écologique et économique

Après sept ans passés dans les études de marché chez Nielsen, puis dans le conseil en stratégie au consulting group (BCG), Christophe Cote souhaitait monter une entreprise ayant un impact positif sur l’environnement. Il réfléchit alors à plusieurs idées autour de l’exploitation du gâchis qui nous entoure à tous les niveaux. “Le déclic m’est venu en voyant l’ancien mobilier de bureau partir à la benne lors d’un renouvellement de mobilier (écrit au marqueur indélébile, il n’y avait donc pas de doute sur la destination finale)…” explique Christophe Cote, créateur d’Adopte Un Bureau. Il se rend compte dans le même temps que cette situation est loin d’être exceptionnelle. Faute de temps et débordés par les multiples tâches à gérer lors d’un déménagement, les services généraux des entreprises ont rarement du temps à consacrer pour gérer la problématique du mobilier qui ne les suivra pas dans leurs nouveaux locaux. Les entreprises mandatent généralement des prestataires pour mettre leur mobilier au rebut… alors que des start-up et des PME vont se procurer du mobilier flambant neuf de moins bonne qualité chez IKEA ou autre fournisseur équivalent…

Le mode de fonctionnement d’Adopte Un Bureau

Simple, éco-responsable et accessible, Adopte Un Bureau propose aux grandes entreprises de racheter le mobilier dont ils ne veulent plus et qui doit faire preuve d’un état irréprochable. Avec le principe initié par Adopte Un Bureau, on réduit la pression sur les ressources naturelles et on évite que du mobilier en très bon état ne finisse incinéré faute de débouchés. Via son site web marchand, l’entreprise revend aux start-up, associations et PME les pièces de mobilier à un tiers de leur prix neuf en moyenne. Avec 50 % à 75 % d’économies par rapport à du neuf, le mobilier haut de gamme devient accessible ! Bonus : le dispositif crée des emplois et de l’activité pour démonter, stocker, transporter, remonter… “Il est grand temps que les entreprises sautent dans le train de la consommation collaborative” affirme Christophe Cote, qui espère faire adhérer de nombreuses entreprises à son concept. Avec déjà 350 pièces de mobilier sauvées de la déchetterie en trois mois (depuis le lancement du site web), la start-up compte atteindre les 1 000 pièces sauvées à fin 2015.

Fiche de l’entreprise

Le conseil du créateur : « trouver des partenaires fiables sur lesquels s’appuyer est crucial, car on ne peut pas tout faire soi-même. »
Le chiffre : 5 000 € de fonds propres pour lancer l’activité
Le contact :
www.adopteunbureau.com – Visionner la vidéo : http://adopteunbureau.fr/constat/

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Récompenser la lutte contre le gaspillage alimentaire avec Mummyz en partageant nos plats cuisinés

Vous avez cuisiné en trop ? Vendez vos parts additionnelles de plats cuisinés pour une somme modique grâce à la toute nouvelle plate-forme Mummyz. C’est en partant du constat qu’en France, on jette 13 kg de plats cuisinés par an et par personne qu’est née l’idée de créer un dispositif permettant de limiter le gaspillage alimentaire.

Fondée par Emmanuel Tran, un jeune trentenaire passionné par la cuisine savoureuse et élaborée avec des produits sains (mummy’s signifie en argot britannique “qui vient de chez maman”), l’application Mummyz.fr a vu le jour en juin 2015.

Une start-up ambitieuse qui surfe sur le créneau de l’économie solidaire et sociale

Face au monde de la restauration industrielle, Mummyz propose une alternative aux consommateurs en recherche de plats authentiques abordables et cuisinés dans les règles de l’art… Comment est né le concept ? Après un cursus commercial complété par un master en management, le jeune fondateur de Mummyz, Emmanuel Tran, voyage au Canada et aux USA et commence sa carrière professionnelle à Paris, pour revenir ensuite en Alsace dans sa région natale. Il y travaille durant deux ans en qualité de Responsable régional dans l’industrie. Très vite, il se remet en question quant au sens qu’il souhaite donner à son travail. Son intérêt pour la gastronomie, ses origines multiculturelles (alsacienne, algérienne et vietnamienne) et son sens du partage sont les moteurs qui peu à peu le conduisent à créer un concept répondant à son ambition de rapprocher les gens par la cuisine. À noter que Mummyz n’est pas un service de traiteur entre particuliers.

Avec pour objectifs de limiter le gaspillage alimentaire par le partage et de favoriser la mixité sociale et le « mieux vivre ensemble » grâce à la cuisine, Mummyz.fr s’impose sur le marché français avec une offre unique. Le concept de Mummyz se veut ingénieux et dans l’air du temps… Il met en relation en toute confiance des « mummyzers en cuisine », lesquels proposent via l’interface mummyz.fr à des « mummyzers à table » de se procurer une ou plusieurs parts (jusqu’à six parts maximum) de plats cuisinés maison, authentiques.

Le bon mix entre tarification raisonnée et concept social

Le dispositif s’inscrit dans une démarche altruiste puisqu’il permet par son action de soutenir le pouvoir d’achat des ménages, de créer du a social de proximité et de préserver le patrimoine culinaire local. Moyennant une contribution financière permettant aux cuisiniers volontaires de récupérer uniquement le montant des ingrédients utilisés pour la confection de leurs plats, Mummyz offre aux consommateurs la possibilité de disposer de plats répondant à leurs envies près de chez eux (via un système de géolocalisation). Un bon moyen de manger plus sain sans se ruiner ! Mummyz a également mis en place un système de vérifications (via la modération et les outils de vérification d’identité) pour garantir sécurité et respect des normes.

L’entreprise se rémunère par un système de commissions sur les commandes. Un concept 100 % gratuit pour le « mummyzer en cuisine », lequel exige la totalité de la contribution demandée pour son plat. Quant au « mummyzer à table », il s’acquitte de frais de fonctionnement établis afin de favoriser une tarification abordable des plats proposés. Les prix d’achat des plats proposés sur Mummyz.fr correspondent à des frais de service allant de 12 à 18 %, au prorata du tarif des plats cuisinés. À noter que plus la contribution demandée est basse, moins les frais de services sont élevés, ceci dans le but de favoriser une tarification abordable.

Une équipe aux compétences pluridisciplinaires

Pour lancer son projet, Emmanuel Tran débloque une épargne personnelle de 11 000 € et s’entoure de deux partenaires qui apportent des compétences nécessaires et complémentaires. Il lance l’année dernière un appel d’offres sur la plate-forme communautaire codeur.com, ce qui lui permet de sélectionner des partenaires à la fois sensibles à sa démarche et dotés de savoir-faire techniques de qualité. C’est ainsi qu’il constitue son équipe : le rejoignent en 2014 Mickaël Delaunay, créateur de sites web, passionné par la cuisine maison élaborée avec des produits frais et locaux, et Timothée Jarrosson, graphiste et globe-trotter du goût. Une collaboration qui fonctionne à merveille !

Mummyz est soutenue dans sa démarche par les pouvoirs publics, comme la région Alsace et la BPI France. Lauréate 2015 au concours initié par la Bourse FrenchTech et au Concours Lépine à la foire européenne 2015 (prix ministériel du secrétariat chargé de l’économie sociale et solidaire), Mummyz semblerait avoir de beaux jours devant elle.

Fiche de l’entreprise

Le conseil du créateur : « C’est en étant dynamique et proactif dans sa démarche qu’on provoque la chance et qu’on donne ainsi le maximum de pourcentage de réussite à son projet. Il faut travailler sans relâche, sans perdre de vue son objectif. »
Le chiffre : en étant acteur 2 ou 3 fois par semaine en tant que « mummyzer en cuisine », on peut espérer économiser environ 200 € sur une année (calcul effectué en se rapportant aux 13 kg de nourriture gâchée par personne et par an).
Le contact :
www.mummyz.fr

© Les Echos Publishing 2015

Rénover au juste prix avec Travauxlib

Travauxlib permet aux particuliers d’obtenir en ligne gratuitement les prix du marché pour leurs travaux de rénovation pour ensuite prendre rendez-vous avec des professionnels qualifiés et rigoureusement sélectionnés par la société.

Start-up créée en 2014 par deux Ingénieurs Travaux pour aider les particuliers dans leurs projets de rénovation, Travauxlib a pour mission de rétablir la confiance entre les particuliers et les professionnels du bâtiment à travers du conseil, de la qualité au juste prix. C’est dans un objectif de transparence et de performance que Travauxlib révèle au grand public les prix réels du bâtiment. Ainsi, les particuliers évitent les mauvaises surprises des devis variant du simple au triple et gagnent également beaucoup de temps : plus besoin de consulter diverses structures pour établir un simple comparatif !

Les fondateurs du service Travauxlib se sont lancés officiellement dans l’aventure entrepreneuriale il y a quelques mois. En effet, après plusieurs expériences sur des chantiers, ils veulent rendre accessibles les informations sur les prix des travaux par les entreprises du bâtiment. Ils ont en amont rencontré plus d’une centaine d’artisans en Ile-de-France et réalisé une étude de marché, consolidant ainsi leur projet de création d’entreprise. Grâce à des fonds propres (environ 15 000 €), ils créent le site web www.travauxlib.com, structurent la base de prix et s’appuient sur leur réseau pour débuter. Comme l’affirme Matthieu Burin : “rénover son habitat devrait être une expérience exceptionnelle. Notre but est de supprimer la perte de temps et le stress rencontré par les cats et de gérer l’aspect commercial et technique du chantier à leur place. Les particuliers gagnent en efficacité, n’ont plus à se soucier de dégotter le corps d’état pratiquant un juste prix et répondant à des critères d’exigence et de sérieux. Une réelle innovation dans le milieu, qui ravit les particuliers, dans un secteur qui a du retard à rattraper”.

Comment ça fonctionne ?

En récupérant plus de 13 000 prix auprès de leurs partenaires (entreprises, fournisseurs, artisans), Travauxlib est en mesure d’établir une base de prix fiable et qui prend en compte la localité des travaux.

En résumé, Travauxlib c’est : une estimation en ligne qui permet d’obtenir les prix du marché en quelques clics, une présentation d’entreprises qualifiées, présélectionnées par leurs soins (assurances/qualités/délais) pour réaliser les travaux. Pour ceux qui le souhaitent, un accompagnement de A à Z par un Travaux Planneurs, pour déléguer la conduite des travaux. Ces interventions se cantonnent pour le moment à Paris et la petite couronne, mais s’étendront à moyen terme aux grandes métropoles du territoire (Lyon, Lille, Marseille, Bordeaux, Toulouse…). L’estimateur de prix est accessible en ligne partout en France bien évidemment.

Commissionné en apporteur d’affaires (courtier), Travauxlib se rémunère auprès des entreprises à hauteur de 7 % à 10 % du montant des travaux, lorsque le contrat entre les artisans et les cats est conclu. Le montant des travaux effectués par les particuliers en France est estimé à 50 milliards d’euros par an. Partant de ce postulat, Travauxlib vise une intervention de travaux comprise entre 2 000 € et 15 000 € par contrat, ce qui totaliserait un marché de 22 milliards d’euros. De quoi voir venir !

Dans les prochains mois, l’entreprise projette de développer son offre et de structurer sa plate-forme web. Pour compléter l’offre de service, les deux entrepreneurs ont créé un blog, qu’ils animent très régulièrement, et fournissent par ce biais des informations et conseils sur les projets de travaux. Un bon moyen pour gagner en légitimité auprès de leurs cibles.

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : “il faut avant tout être un passionné et connaisseur du secteur que l’on choisit et se mêler au marché, après avoir bien entendu testé en amont le problème que l’on veut résoudre”.Le chiffre : doubler le nombre d’utilisateurs de l’estimateur et atteindre les 5 000 particuliers captés à fin 2015.Le contact :
www.travauxlib.com – Matthieu Burin : m.burin@travauxlib.com

© Les Echos Publishing 2015

Trocotel.com : l’hôtel entre particuliers

Avec pour ambition de satisfaire consommateurs et hôteliers, la toute nouvelle plate-forme communautaire Trocotel.com permet de revendre et d’acheter des réservations de chambres d’hôtels non-annulables et non-remboursables entre particuliers, et dans le monde entier.

Simple, rapide, et avec tout à gagner, tel est le concept de Trocotel.com. Chacun peut déposer une annonce et se séparer d’une réservation inutile tout en récupérant une partie du capital initialement investi, en quelques clics ! Solution innovante en Europe, Trocotel.com répond aux demandes du marché de la réservation de chambres d’hôtels non-remboursables (sachant que ce marché a pris un essor conséquent ces dernières années) et s’intègre parfaitement dans les nouvelles tendances de consommation collaborative.

Fondée par deux professionnels aguerris issus de l’hôtellerie parisienne, Etienne Merlo et Jérôme Rouveron, Trocotel.com voit le jour en avril 2015. C’est parce qu’ils ont tous les deux travaillé durant de nombreuses années dans ce secteur que les deux jeunes entrepreneurs savent combien il est contraignant de gérer le mécontentement des cats demandant des annulations hors délais… L’idée a donc fait son chemin et la réponse à cette problématique trouve place avec la création de Trocotel.com : acheteurs et vendeurs effectuent une transaction sécurisée par l’intermédiaire privilégié de la plate-forme ! Cette dernière se rémunère par un commissionnement porté à 12 %.

Après avoir effectué eux-mêmes une étude de marché, c’est tout naturellement que les fondateurs de Trocotel.com se tournent vers les traditionnels partenaires financiers que sont les banques. À l’instar de tout créateur d’entreprise, ils ont besoin de fonds pour créer leur structure et communiquer sur leur offre de services. Mais les institutions bancaires se révèlent frileuses et pour concrétiser leur projet, Etienne Merlo et Jérôme Rouveron utilisent des fonds propres et font appel aux capitaux d’investisseurs privés. Ils parviennent à constituer une enveloppe de 45 000 €, leur permettant de lancer la machine. Et ils comptent agrandir le cercle des investisseurs à compter de septembre 2015, ce afin de développer le concept.

Pour l’heure, ce service opérationnel 24 h/24 et 7 jours/7 connaît un beau départ auprès des consommateurs (près de 2 000 membres en deux mois, 1 050 fans sur le réseau social Facebook, 240 annonces déposées) et pratique des tarifs en moyenne 33 % moins chers que les principaux agents de voyage en ligne. À court terme, Trocotel.com entend se développer et, entre autres projets, la plate-forme compte afficher une nouvelle version du site, enrichie et plus ergonomique.

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : “Avoir la bonne idée, oui… Mais l’idée ne fait pas tout ! Il faut savoir s’entourer de personnes qui disposent de compétences complémentaires, afin de parvenir ensemble à la création d’un produit”.Le chiffre : capter les 10 000 annonces déposées sur Trocotel.com avant la fin de l’année 2015Le contact :
www.trocotel.comhttps://www.facebook.com/trocotel

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Dopez votre officine avec Pharmacien-Expert !

Vous êtes pharmacien en activité, envisagez de reprendre une officine ou de céder votre pharmacie ? Pharmacien-Expert est l’interlocuteur privilégié des pharmaciens pour les aider à optimiser leur management et leur exploitation. Par des outils spécifiques et des conseils ad hoc, Pharmacien-Expert propose une offre de services innovante.

Créée début 2015 par Guillaume Morel, Pharmacien-Expert est le fruit de plusieurs années de réflexion. Pharmacien de formation, il a d’abord exercé comme adjoint durant deux ans, puis comme titulaire durant dix ans dans une pharmacie en région Centre. Cette expérience lui a permis de développer une expertise-métier et d’appréhender de façon concrète le quotidien des pharmaciens. Il se dirige ensuite vers un métier orienté vers les professionnels et quitte l’officine pour devenir consultant en stratégie, projet et finances au sein d’une enseigne de pharmacie pendant huit ans. A 44 ans, il se lance aujourd’hui dans l’entrepreunariat avec la volonté de relever un défi cher à son coeur : créer cette structure d’accompagnement pour les pharmaciens d’officine. Une offre de services complète et bien ficelée puisqu’elle est taillée sur-mesure, selon les besoins, le contexte et les enjeux auxquels sont soumises les officines.

Un marché porteur

23 000 officines sont référencées en France et comptent près de 100 000 collaborateurs ! Pour tous les pharmaciens en phase de recherche d’une officine, sur le point de sauter le pas de l’acquisition, ou bien installés avec des problématiques de management (recrutement, licenciement, organisation, gestion de conflit) ou encore en réflexion en prévision de la vente prochaine ou présente de l’officine, Pharmacien-Expert se positionne comme le partenaire idéal. Par des prestations facturées à la mission, son équipe apporte le conseil, l’audit, les solutions RH et de gestion nécessaires au développement ou à la pérennité de chaque structure.

Le développement de l’entreprise

Avec pour intention de tisser des relations de qualité avec les réseaux prescripteurs que sont les cabinets d’expertise comptable, les banques, les grossistes répartiteurs ou les pharmaciens en fin de carrière, Pharmacien-Expert entend déployer une batterie d’outils et actions de communication pour promouvoir son offre de services (relations presse, outils en ligne, actions ciblées).

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : “se lancer dans l’aventure de l’entrepreunariat est audacieux ! Il convient de créer une offre de services ou un produit dans un secteur que l’on maîtrise déjà afin de se donner les meilleures chances de réussite”.Le chiffre : 12 000 € d’investissement pour la première phase de création.Le contact :
www.pharmacien-expert.com

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Kidygo.fr : accompagnement d’enfants en train par des KidySitters

Avec pour objectif de faciliter l’accompagnement d’enfants lors de trajets en train, Kidygo apporte une offre de service de mise en relation parents/babysitters de choix via un site Internet et une application mobile. Une sorte de déclinaison du très connu “blablacar” mais pour les trajets en train ! Créé fin 2014 par deux ingénieurs tout justes diplômés, kidygo.fr est opérationnel depuis début 2015 et compte déployer son offre. Focus sur le montage de cette entreprise fondée sur le principe collaboratif.

Alors qu’ils terminent leur cursus à l’Ecole centrale de Nantes, les deux étudiants Joanna Faulmeyer et Thomas Dournet décident il y a un an de se lancer dans l’entrepreunariat sur le web et créent Kidygo.fr en novembre 2014. L’idée leur est venue tout simplement en échangeant avec leurs amis, lesquels parvenaient pour certains à voyager gratuitement en train ! Pratique quand on est étudiant et qu’on a bien souvent besoin de gagner sa vie pour boucler les fins de mois, pour financer ses études ou ses loisirs… Joanna et Thomas mutualisent leurs compétences et se jettent à l’eau. “On souhaite apporter un service aux parents ayant besoin de confier leurs enfants pour un trajet en train en France, et permettre en même temps aux étudiants – ou à toute personne âgée de plus de 18 ans – de voyager gratuitement ou presque, moyennant service rendu” explique Joanna Faulmeyer.

Kidygo, un concept collaboratif avant tout

Le principe de kidygo.fr est simple, mais encore fallait-il y penser : l’étudiant s’occupe du/des enfant(s) pendant le trajet et bénéficie d’une rémunération de la part des parents. Parents, enfants et étudiants/accompagnateurs apprennent à se connaître, organisent les modalités du trajet, et tous se retrouvent sur le quai de la gare le jour du départ. Les parents financement le coût ou partie du coût du transport du “KidySitter”, après avoir échangé avec ce dernier via l’interface mise en place par kidygo.fr. Le site se rémunère sur les frais de mise en relation (10 %). Afin de parer à certains dérapages et pour proposer une offre sérieuse aux parents, les KidySitters sont soumis à quelques obligations : après avoir renseigné de façon détaillée leur profil sur le site, ils doivent impérativement valider les Conditions Générales de Vente et s’engager à les respecter.

Les premiers pas de Kidygo.fr

Après avoir lancé en juin 2014 une opération de financement participatif sur Internet, laquelle a permis de récolter 3 000 € et ainsi de pouvoir solliciter des avocats pour border l’aspect juridique de leur offre et de sécuriser le site internet, Joanna et Thomas ont, en parallèle, monté le projet avec leurs économies et se dirigent vers les aides publiques pour compléter ces investissements personnels. Ils prévoient une importante levée de fonds pour mi-2016 pour développer le commercial, le marketing, le recrutement et la Recherche & Développement.

Une version test du site internet est lancée en novembre et décembre 2014, afin de s’assurer qu’il existe un marché pour répondre à leur offre de service. Avec plus de 1 000 utilisateurs dès la première semaine, Joanna et Thomas ont la confirmation de la viabilité du concept et de sa raison d’être. Ils poursuivent le développement du site web et affichent une nouvelle version en avril 2015. Faute de budget conséquent pour le moment, ils misent sur une communication essentiellement basée sur le bouche-à-oreille, et ça fonctionne !

Des projets en développement

A très court terme, kidygo.fr va lancer une opération spéciale, avant les grandes vacances d’été : une campagne de communication en masse pour accroître ses utilisateurs et ajouter de nouvelles fonctionnalités au site existant (avis des utilisateurs avec notations de chacun par exemple), proposer plus de filtres dans la recherche du service, etc.

Les deux créateurs fourmillent d’idées et ont pour ambition de déployer ultérieurement le concept sous différentes formes : toucher d’autres cibles que les enfants, dépasser les frontières, et pourquoi pas étendre leur offre à d’autres modes de transport. Bon voyage !

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur : “attention à ne jamais perdre de vue l’utilisateur final, car c’est avec et grâce à lui, et ce durant toutes les phases de développement ou de l’enrichissement de l’offre qu’on affine son produit et le rend exploitable et au plus près des attentes du consommateur”.Le chiffre : avec 3 000 utilisateurs actuellement, kidygo.fr compte multiplier ce chiffre par 20 d’ici fin 2015 !Le contact :
www.kidygo.fr – https://www.facebook.com/kidygo

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Achetez en Europe, et soyez livrés dans le monde entier avec Easy-Delivery !

Une offre de services innovante pour les expatriés ou non-résidents européens : Easy-Delivery livre à domicile les achats de toute nature effectués sur des sites d’e-commerce européens et à des conditions avantageuses. Portrait d’une entreprise française créée en 2014 par une équipe de professionnels experts du transport et de la logistique.

Thomas Pairé, créateur-fondateur d’Easy-Delivery, commence sa carrière professionnelle à l’étranger et en France, en exerçant des fonctions commerciales et opérationnelles au sein de groupes internationaux de transport et de logistique, ce qui lui a permis d’être en contact avec une catèle constituée d’expatriés et de cadres locaux de haut niveau. Ses interlocuteurs évoquaient alors bien souvent leur quotidien et leurs soucis d’approvisionnement en produits français, européens. Afin de leur rendre service, il était courant que des colis personnels transitent par son bureau… Avec une carte de crédit et un accès à Internet, les cats avaient accès au e-commerce, mais malheureusement les sites ne livrent que très rarement en dehors de l’Europe. En outre, les tarifs du transport aérien sont tels que pour minimiser les coûts, il est intéressant de pouvoir regrouper les achats réalisés chez plusieurs fournisseurs dans un même colis et d’optimiser les volumes…

A l’aube de la quarantaine, Thomas Pairé décide donc de se lancer dans l’entrepreneuriat et si ce sont les hasards de la vie professionnelle qui lui ont donné l’opportunité de créer la solution de réexpédition de colis (un véritable besoin sur le marché), il lui a fallu puiser dans son carnet d’adresses professionnel pour s’entourer dès le départ des meilleurs partenaires. “Ils devaient croire en moi, comme moi je devais pouvoir compter sur eux”, affirme Thomas, un an après la création d’Easy-Delivery. Six mois de gestation et plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été nécessaires afin de proposer l’offre Easy-Delivery via une interface Internet conviviale et complète. Après un lancement réussi courant 2014 dans le B2C avec une catèle répartie sur les cinq continents, l’entreprise a été contactée par des sites Internet qui souhaitaient se développer à l’international sans en subir les contraintes.

Aujourd’hui, l’entreprise propose une solution B2B qui repose sur ses procédures éprouvées et qui permet aux e-commerçants de sous-traiter tout ou partie de l’export, rendant l’expédition à l’étranger aussi simple qu’une livraison en France ! Cette innovation a été récompensée par la bourse FrenchTech et c’est donc avec le soutien de la Banque Publique d’Investissement qu’Easy-Delivery aborde les défis de son développement.

Fiche de l’entreprise
Le conseil du créateur :C’est toute une famille qui se lance dans l’aventure de la création d’entreprise, la décision doit être collective, les implications ne doivent pas être sous-estimées. Sans le soutien sans faille de son conjoint, sans la compréhension de ses enfants, rien n’est possible”. Le chiffre : 60 000 euros d’investissementsLe contact :
www.easy-delivery.com

© Les Echos Publishing 2015