Entrepreneuriat : l’Adie s’engage pour lutter contre le gâchis de talents

Du 7 au 11 octobre 2019, l’Adie propose une série d’évènements ayant pour objectif de faire barrage aux préjugés et d’encourager toutes celles et tous ceux qui envisagent de créer leur entreprise.

Lutter contre les freins psychologiques et défendre la conviction que tout le monde peut devenir entrepreneur : du lundi 7 au vendredi 11 octobre 2019, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) propose une série d’évènements organisés dans toute la France et dédiés à toutes celles et tous ceux qui voudraient sauter le pas et créer leur entreprise.

Lever les barrières pour lutter contre le gâchis de talents

Trop vieux, trop jeune, pas assez d’argent, pas assez diplômé… force est de constater que les préjugés ont la peau dure, y compris dans le monde entrepreneurial ! De quoi décourager bon nombre de personnes qui souhaiteraient créer leur entreprise, mais y renoncent à cause des idées reçues.

Un constat qui a amené l’Adie à proposer, cette année encore, une série d’évènements de sensibilisation ayant pour objectif d’aider les futurs entrepreneurs à aller au bout de leurs envies. Ateliers thématiques, forums, journées portes ouvertes… Pendant 5 jours, plus de 300 manifestations seront proposées à Paris et en région. Sans oublier les nombreuses webconférences, accessibles sur simple inscription en ligne, offrant un regard à la fois informatif et didactique sur la création d’entreprise.

Pour en savoir plus et découvrir le programme détaillé de la semaine contre le gâchis de talents, prochainement organisée par l’Adie, rendez-vous dès à présent sur : www.adie.org

© Les Echos Publishing 2019

Fabien Gerbault, co-fondateur de Foxie

Application mobile pour smartphone, Foxie propose des jeux de piste et des balades ludiques invitant l’utilisateur à visiter des quartiers, découvrir des personnalités ou résoudre des enquêtes, seul ou en équipe. D’ores et déjà disponible à Paris, Rennes, Lille, Tours, Nantes et Valençay, l’application sera bientôt amenée à s’ouvrir à d’autres villes et lieux culturels. Fabien Gerbault, co-fondateur de Foxie, nous en dit plus !

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Les créations d’entreprises peinent à reprendre leur élan en août 2019

Après un mois de juillet déjà marqué par une stabilité presque totale, la tendance s’est confirmée en août : les créations d’entreprises n’ont évolué que de + 0,2 % par rapport au mois précédent.

D’après les dernières informations publiées par l’Insee, 67 985 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’août 2019 : + 0,2 % par rapport au mois de juillet, tous types d’entreprises confondus. Une quasi-stabilité qui s’explique, selon l’Institut, par une légère hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 1,3 %), accompagnée d’un repli – peu marqué, lui aussi – du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (- 0,9 %).

Une augmentation importante par rapport à 2018

C’est une évolution clairement plus dynamique qui se dessine, en revanche, sur le moyen terme. Pour la période juin-juillet-août, les chiffres témoignent, en effet, d’une accélération sensible du nombre cumulé de créations d’entreprises en France par rapport au même trimestre de l’année dernière : le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 15,2 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 22,6 % pour les micro-entrepreneurs, + 13,2 % pour les entreprises individuelles classiques et + 6,2 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

Même tendance sur les 12 derniers mois, pendant lesquels le nombre cumulé d’entreprises créées a également continué de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 15,9 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 25,9 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 9,8 %) et une progression du côté des créations de sociétés (+ 6,9 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Le Salon des Entrepreneurs Marseille s’apprête à souffler sa 5 bougie

Le rendez-vous est pris ! L’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Marseille Provence-Alpes-Côte d’Azur se tiendra les 22 et 23 octobre prochains au Palais des Congrès de Marseille Chanot.

À vos agendas ! Pendant deux jours, les mardi 22 et mercredi 23 octobre prochains, le Palais des Congrès de Marseille Chanot accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Marseille Provence-Alpes-Côte d’Azur. Organisée par Les Échos Solutions, la manifestation – qui fêtera alors ses 5 ans d’existence – proposera, une fois de plus, un concentré d’expertises autour de l’entrepreneuriat.

Une centaine de conférences et quelques nouveautés

Cette année encore, pas moins de 11 000 visiteurs et plus de 120 partenaires et exposants sont attendus pour ce 5e volet de l’évènement qui poursuit son ambition de multiplier les innovations et d’attirer un public de plus en plus nombreux. Pas moins de 100 conférences et ateliers pratiques, 8 parcours thématiques et 8 débats d’actualité seront ainsi proposés : de quoi permettre aux participants de faire le plein d’informations pour lancer leur activité, faire décoller leur business et développer leur réseau !


Bon à savoir : depuis son lancement en 2015, la manifestation a permis à plus de 40 000 entrepreneurs d’être accompagnés dans la création, l’implantation et le développement de leur activité.

Et ce n’est pas tout ! Parmi les nouveautés d’ores et déjà annoncées pour cette édition 2019, on citera notamment l’animation « Meet your success », proposée dans l’espace Networking, qui offrira à ceux qui le souhaitent la possibilité de se faire coacher par un entrepreneur aguerri. De même, un nouvel espace thématique, baptisé « Diagnostic Communication », permettra aux jeunes chefs d’entreprise d’être conseillés dans la création et la communication de leur marque.

La participation au Salon des Entrepreneurs est toujours gratuite. Pour en savoir plus et télécharger votre badge d’accès, rendez-vous sur : www.salondesentrepreneurs.com

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Margaux Raab, co-fondatrice de NeoJobs

Créée en 2012 à Grenoble, NeoJobs est une agence de recrutement et de marketing RH, spécialisée dans le recrutement décalé. Le concept ? Proposer aux employeurs des approches nouvelles – basées notamment sur le principe de la gamification – pour attirer, recruter et fidéliser des talents. Margaux Raab, co-fondatrice de l’activité, nous présente l’approche NeoJobs qui vise à (re)mettre l’humain au cœur de la stratégie RH.

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Explorer la piste de la création d’entreprise avec l’appui de Pôle emploi

Proposé par Pôle emploi, le dispositif Activ’Créa vise à donner aux demandeurs d’emploi les moyens de s’interroger sur la création d’entreprise, voire de faire naître une idée.

Amener les demandeurs d’emploi à réfléchir à la création ou à la reprise d’une entreprise comme une opportunité de reprise d’activité : c’est l’ambition du programme Activ’Créa, proposé par Pôle emploi avec le soutien de l’Union européenne. Son objectif ? Faire émerger des projets entrepreneuriaux et permettre aux personnes qui le souhaitent de définir – ou d’affiner – leurs idées.

Un entretien individuel et un accompagnement sur-mesure

En pratique, le programme Activ’Créa comporte plusieurs étapes : pour commencer, un entretien individuel, qui consiste non seulement à mesurer le degré de motivation du porteur de projet, mais aussi à analyser ses atouts et ses contraintes face à l’aventure entrepreneuriale. Si les premiers éléments laissent penser qu’il est opportun de poursuivre sur cette voie, le futur entrepreneur pourra ensuite bénéficier d’un accompagnement sur-mesure. Le but ? L’amener à formaliser son idée à travers un plan d’action pouvant lui permettre de concrétiser son projet.


Bon à savoir : en France, une entreprise sur trois est créée par un demandeur d’emploi.

D’une durée de 3 mois maximum, le dispositif Activ’Créa est ouvert à tous les demandeurs d’emploi, qu’ils soient indemnisés ou non. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.pole-emploi.fr

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Le Prêt de Développement Outre-mer devient accessible aux jeunes entreprises

Récemment signée par le ministère des Outre-mer et Bpifrance, une nouvelle convention de partenariat a notamment pour objectif de faire évoluer les dispositions du Prêt de Développement.

Proposer aux jeunes entreprises ultramarines un outil de financement leur permettant de couvrir leurs dépenses matérielles et immatérielles (études, prospection, formation, recherche…) et les accompagner dans la gestion de leurs besoins en fonds de roulement : signée cet été par le ministère des Outre-mer et Bpifrance, une nouvelle convention de partenariat vise à améliorer le soutien apporté aux entrepreneurs implantés dans les Départements et régions d’outre-mer, dans les Collectivités d’outre-mer et en Nouvelle-Calédonie.

Un geste important en faveur des entreprises de moins de 3 ans

En pratique, cette nouvelle convention de partenariat prévoit notamment une extension du Prêt de Développement, le rendant accessible aux entreprises de moins de 3 ans, ainsi qu’une augmentation du montant maximum pouvant être accordé aux sociétés de plus de 3 ans, désormais fixé à 750 000 € (au lieu de 300 000 € auparavant).

Mais ce n’est pas tout ! En pratique, l’extension du prêt aux jeunes entreprises et la revalorisation du montant maximal pour les entreprises plus anciennes seront également complétées par d’autres mesures ayant pour ambition d’aider les entrepreneurs ultramarins à développer leur activité. Parmi elles, le déploiement d’un outil subventionnel piloté par Bpifrance visant à favoriser l’innovation, ainsi que la mise en place d’une offre spécifique en matière de mobilisation de créances.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bpifrance.fr

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Magali Jacquet, co-fondatrice d’Appetia

APPETIA est une application mobile et culinaire qui devine, en moins d’une minute, LA bonne recette correspondant aux envies de son utilisateur. Basé sur l’intelligence artificielle, l’algorithme prend en compte une trentaine de facteurs : la difficulté ou l’originalité de la recette, les ingrédients appréciés (ou pas) par le consommateur, la saison, le temps nécessaire pour préparer le plat suggéré… Magali Jacquet, co-fondatrice d’APPETIA, nous explique tout !

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Les créations d’entreprises en Île-de-France ne cessent de croître

D’après une étude récemment publiée par le CROCIS, observatoire économique régional de la CCI Paris Île-de-France, 212 050 entreprises ont été créées en 2018 en Île-de-France. Un chiffre record.

Le régime de l’auto-entrepreneur et de son successeur, celui du micro-entrepreneur, ont profondément bouleversé le nombre et la nature des créations d’entreprises en Île-de-France : c’est le constat que dresse le CROCIS, observatoire économique régional de la Chambre de Commerce et d’Industrie Paris Île-de-France, dans une récente publication.

Dans le détail, l’organisme fait ainsi état de 212 050 entreprises créées au cours de l’année 2018 au sein de la région franciane : + 18,8 % par rapport à 2017, qui était déjà une année record ! Cette tendance s’explique notamment par une forte progression des créations de micro-entreprises : entre 2015 et 2018, leur nombre a ainsi augmenté de 70 %, faisant passer leur volume devant celui des créations d’entreprises classiques.

Une tertiarisation des entreprises créées

Mais l’analyse du CROCIS ne s’arrête pas là. Selon l’observatoire, en plus de contribuer fortement à l’augmentation du nombre de créations d’entreprises en Île-de-France, l’apparition du régime de l’auto-entrepreneur a également impacté la répartition sectorielle de celles-ci, faisant apparaître, au fil des années, des disparités importantes !

En effet, tandis que les activités de services ont connu une croissance considérable sur la période 2009–2018 (+ 95,5 %, entreprises « classiques » et auto/micro-entreprises confondues), les créations d’entreprises ont globalement reculé dans les domaines de la construction et du commerce. Et si les créations d’entreprises industrielles ont pu afficher une légère augmentation (+ 10,1 %) sur la même période, force est de constater que c’est uniquement grâce au dynamisme des créations d’entreprises « classiques » (+ 28,2 %), qui arrivent à compenser la baisse du côté des auto/micro-entrepreneurs (- 9,3 %) dans le même secteur.

Pour en savoir plus et consulter l’étude CROCIS dans son intégralité, rendez-vous sur : www.cci-paris-idf.fr

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Dernière ligne droite pour participer au programme French Tech Tremplin !

Lancé par le secrétariat d’État chargé du Numérique, le programme French Tech Tremplin vise à favoriser la diversité au sein de l’écosystème numérique français. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 septembre 2019.

Permettre à des populations jusqu’ici éloignées de l’écosystème innovant d’accéder aux métiers du numérique : c’est l’ambition du dispositif French Tech Tremplin. Initié par le secrétariat d’État chargé du Numérique, il tend à lever les barrières économiques, géographiques et sociales pouvant empêcher les talents issus de la diversité de prendre le chemin de l’entrepreneuriat. Comment ? À travers un programme d’accompagnement composé, non seulement d’une formation intensive et d’un soutien financier, mais aussi d’un système de mentorat.

Un dispositif divisé en deux volets successifs

Dans le détail, le programme French Tech Tremplin se déclinera en deux étapes : un bootcamp d’une durée de 6 mois, appelé « La Prépa », suivi d’une seconde phase, baptisée « L’Incubation ». Si l’objectif du premier volet consiste à permettre aux participants d’acquérir les compétences relationnelles et techniques nécessaires pour créer leur entreprise ou intégrer une start-up déjà existante, le second vise à accélérer les projets portés par les aspirants entrepreneurs pour les aider à les concrétiser.


Bon à savoir : un budget de 15 millions d’euros, financé par le Programme d’investissements d’avenir (PIA), a été alloué au dispositif French Tech Tremplin sur une période de 2 ans.

En pratique, la phase dite « de préparation » se déroulera de novembre 2019 à avril 2020. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au dimanche 15 septembre prochain. Le volet « Incubation » s’étendra, quant à lui, sur une période d’un an, de mai 2020 à mai 2021.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.frenchtechtremplin.com

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