Créations d’entreprise : un mois de juillet sous le signe de la stabilité

Si le mois de juin avait encore affiché une légère hausse, le nombre de créations d’entreprises s’est totalement stabilisé en juillet 2019.

D’après les dernières informations publiées par l’Insee, 67 817 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de juillet 2019 : l’équivalent, à une dizaine d’immatriculations près, du mois de juin, tous types d’entreprises confondus. Une stabilité plutôt rare (+/- 0,0 %) qui s’explique, selon l’Institut, par une faible hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 0,3 %), accompagnée d’un repli tout aussi léger du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (- 0,4 %).

+ 15,9 % sur mai-juin-juillet

Le bilan est nettement plus dynamique sur la période mai-juin-juillet, pour laquelle les chiffres témoignent d’une accélération significative du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 15,9 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 25,2 % pour les micro-entrepreneurs, + 9,2 % pour les entreprises individuelles classiques et + 8,6 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

Même tendance sur les 12 derniers mois, pendant lesquels le nombre cumulé d’entreprises créées a continué, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 16,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 27 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 10 %) et une progression du côté des créations de sociétés (+ 6,8 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

© Les Echos Publishing 2019

Créateurs d’entreprise : connaissez-vous les ateliers gratuits du Cnam ?

90 minutes pour aborder les étapes clés de la création d’entreprise : c’est le pari relevé par l’incubateur du Conservatoire national des arts et métiers ! Le prochain atelier dédié se tiendra le 3 septembre 2019 dans les locaux du Cnam à Paris.

Aussi stimulant qu’il puisse être, créer son entreprise est un projet qui, pour être mené à bien, exige une approche à la fois méthodique et structurée. Pour accompagner les futurs entrepreneurs dans cette démarche et les aider à concrétiser leurs idées, l’incubateur du Conservatoire national des arts et métiers (Cnam) leur propose régulièrement des ateliers dédiés.

Un format concis pour une vision par étape

En 90 minutes, les intervenants du Cnam invitent ainsi les participants à se familiariser, point par point, avec les étapes clés du montage d’un projet entrepreneurial : de l’étude de marché au montage du business plan, en passant par les enjeux incontournables du financement et les différents dispositifs d’aide existants. De quoi amener les créateurs d’entreprise à se poser les bonnes questions, pour éviter les écueils et réussir le lancement de leur future activité !

Le prochain atelier « Je veux créer ma start-up, comment faire ? » se tiendra le mardi 3 septembre 2019, de 9h30 à 11h, dans les locaux du Cnam à Paris. Comme toujours, la participation est gratuite : il suffit de s’inscrire en ligne, grâce au formulaire dédié.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cnam-incubateur.fr

© Les Echos Publishing 2019

Le statut d’indépendant poursuit son essor

Porté par la mise en place du régime d’auto-entrepreneur en 2009, l’emploi indépendant continue de séduire. En 2016, pas moins de 3,1 millions de personnes avaient adopté ce statut.

L’heure est-elle au retour en grâce de l’emploi indépendant ? Selon une récente publication Insee Première, le rebond du statut d’indépendant, déjà amorcé dans les années 2000 avec l’appui de plusieurs politiques publiques en faveur de la création d’entreprise, se poursuit et se confirme.

Une dynamique favorisée par la création du régime d’auto-entrepreneur

Dans le détail, l’Institut constate ainsi que 3,1 millions de personnes travaillant en 2016 sur le territoire français (hors Mayotte) étaient des indépendants, représentant pas moins de 12 % de l’ensemble des actifs. Leurs profils sont, quant à eux, aussi divers que variés : agriculteurs, maçons, médecins, dirigeants de TPE/PME, chauffeurs de taxi, artistes… L’emploi indépendant fédère aujourd’hui de nombreux secteurs et métiers !


Rappel : selon l’activité de l’entreprise et la forme juridique choisie, les indépendants peuvent être des entrepreneurs individuels « classiques », des professionnels libéraux, des gérants de sociétés ou encore des micro-entrepreneurs.

Toujours selon l’Insee, cette évolution dynamique de l’emploi indépendant aurait notamment été amplifiée par l’apparition, en janvier 2009, du régime fiscal de l’auto-entrepreneur, remplacé en 2014 par le micro-entrepreneuriat. En fin d’année 2016, ce statut rassemblait en effet plus de 860 000 micro-entrepreneurs économiquement actifs en France hors Mayotte.

Une tendance qui doit néanmoins être considérée avec prudence, puisqu’il existe de fortes disparités en matière de revenus parmi les indépendants. D’après l’Institut, ces derniers sont ainsi nombreux à cumuler plusieurs activités, à plus forte raison lorsqu’ils exercent en tant que micro-entrepreneurs. En effet, force est de constater que le micro-entrepreneuriat, bien que populaire, rapporte souvent assez peu : 75 % des micro-entrepreneurs économiquement actifs perçoivent, en effet, moins de 680 € par mois, et ce quel que soit leur secteur d’activité.

Pour en savoir plus et consulter des chiffres complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

© Les Echos Publishing 2019

Réseau Entreprendre publie les résultats de sa mesure d’impact 2019

Récemment diffusée, la dernière enquête « Panorama » de Réseau Entreprendre s’intéresse aux différents effets générés par les prestations d’accompagnement proposées aux porteurs de projets.

Des entreprises plus pérennes et davantage créatrices d’emplois : récemment publiée par l’organisme associatif Réseau Entreprendre, composé de 14 000 chefs d’entreprise répartis dans 10 pays, la dernière mesure d’impact « Panorama » dresse un bilan prometteur de l’action d’accompagnement menée au fil des dernières années.

Un effet de levier financier et une orientation plus internationale

Dans le détail, les résultats publiés dans le cadre de l’enquête 2019 révèlent que 90 % des entreprises conseillées par Réseau Entreprendre sont pérennes à 5 ans : un taux nettement supérieur à la moyenne nationale qui, d’après l’Insee, se situe autour de 60 % sur la même durée. L’appui de l’organisme d’accompagnement sécurise également les projets d’un point de vue financier, et ce notamment à travers l’effet de levier créé par les prêts d’honneur accordés : en pratique, pour 1 € prêté par Réseau Entreprendre, les entreprises suivies ont ainsi pu décrocher 13 € en moyenne auprès d’autres financeurs, y compris bancaires.

Enfin, l’enquête Panorama fait état d’un a non négligeable entre le soutien apporté par l’organisme associatif et l’évolution à la fois du chiffre d’affaires et des effectifs des entreprises accompagnées. Avec 19 salariés en moyenne après 5 ans d’activité, les structures épaulées par Réseau Entreprendre font, en effet, partie des PME tricolores les plus créatrices d’emplois, s’appuyant notamment sur l’internationalisation pour grandir. Pas moins de 30 % d’entre elles sont ainsi actives au-delà du territoire français, tandis que la moyenne nationale se situe autour de 12 % seulement, selon l’Insee.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.reseau-entreprendre.org

© Les Echos Publishing 2019

Bpifrance Inno Génération 2019 : les inscriptions sont ouvertes !

La 5 édition de l’évènement Inno Génération, organisé par Bpifrance, se tiendra le 10 octobre 2019 à l’AccorHotels Arena Paris. Une journée pour construire ensemble le monde de demain.

Organisée par Bpifrance, Banque publique d’investissement, la 5e journée Inno Génération se tiendra le jeudi 10 octobre 2019, de 8h à minuit, à l’AccorHotels Arena, située dans le 12e arrondissement de Paris. L’objectif de l’évènement ? Rassembler des entrepreneurs venus de l’Europe entière pour les aider à propulser leur activité dans le monde de demain !

Conférences, ateliers et rencontres

Tout au long de la journée, de nombreuses conférences, ateliers et rencontres seront proposés aux participants. Parmi eux, un certain nombre aura pour vocation de s’adresser tout particulièrement aux créateurs et repreneurs d’entreprise. De quoi s’informer et prendre une longueur d’avance, tout en développant son réseau professionnel !


Bon à savoir : pas moins de 45 000 participants et 400 intervenants de renommée internationale seront attendus pour cette 5e édition de l’évènement.

Comme tous les ans, la participation à la journée Bpifrance Inno Génération est entièrement gratuite : il suffit de s’inscrire en ligne, grâce au formulaire dédié à cet effet. Une fois l’inscription validée, les participants peuvent choisir les rendez-vous auxquels ils souhaitent assister.

Pour en savoir plus et découvrir d’ores et déjà le programme prévisionnel 2019, rendez-vous sur : innogeneration.bpifrance.fr

© Les Echos Publishing 2019

Sooloo : le réseau social des parents célibataires et leurs enfants

Déjà fondateur d’un réseau social à succès il y a quelques années, « My Hospi Friends » dans le domaine hospitalier, revendu depuis à une société française, Julien Artu revient avec un associé, Olivier Legan, sur un nouveau projet. Cette fois-ci, il veut aider les parents solos à organiser leurs vacances et leurs loisirs en fonction de critères correspondant à d’autres parents célibataires.

L’idée est simple mais pourtant elle n’existait pas : créer un réseau social où les familles monoparentales peuvent sélectionner un lieu de vacances ou des loisirs en fonction de leur tranche d’âge et de celle des enfants, et de leurs centres d’intérêt. Grâce à des critères, l’application Sooloo permet de se connecter entre inscrits. Elle propose de rechercher des activités, par exemple une balade à vélo, une session de quad, la visite d’un musée voire manger ou se retrouver autour d’une glace. Il est possible aussi d’y trouver une location, un emplacement de camping ou des billets d’avion. « Nous ne sommes pas Tinder ou Meetic. L’idée est d’aider les parents seuls et leurs enfants à occuper leurs week-ends et leurs vacances, via des activités avec des personnes ayant les mêmes affinités et les mêmes disponibilités. Nombreux sont ceux que l’idée de vacances seuls ou en club rebute, et ils ne savent pas comment passer de bonnes vacances avec leurs enfants », explique Judiv.

Une version béta vient d’être lancée pour voir comment ça prend. « Cet été, nous réfléchissons à comment ajuster l’application et la communication car le public des familles n’est pas du tout celui de notre projet précédent : les personnes hospitalisées. Nous travaillons également sur le business model. Nous ne souhaitons pas nous rémunérer sur la vente des données collectées. Nous irons plutôt sur de l’abonnement ou de la publicité d’activités, voire des services annexes comme de la conciergerie par exemple ». L’équipe veut aussi se structurer et recruter à la rentrée. « Idéalement, nous irons ensuite, une fois le concept bien établi, taper à la porte des grands acteurs du monde de la rencontre pour voir si cela les intéresse d’aller sur un nouveau marché ».

Fiche de l’entreprise

Un conseil : il faut une bonne idée. À partir du moment où vous arrivez à emmener les gens autour de vous, ça marchera. Pas besoin d’avoir de gros moyens au démarrage.
Un chiffre : nous avons lancé le projet avec un faible budget, moins de 20 000 €. Comme quoi, il est possible de faire des choses dans le monde de la Tech avec un petit budget !
Un contact : Judiv Artu, aj@peoplelikeus.fr, https://sooloo.fr/

© Les Echos Publishing 2019

Bee2beep construit des balances connectées pour les apiculteurs

Imaginées par un jeune lycéen, Jérôme Clerjeau, ces balances placées sous les ruches envoient des informations sur leur poids toutes les 30 minutes. L’apiculteur dispose d’une interface où il récupère ces données, avec d’autres, comme la température, l’humidité, les prévisions météo. Il peut ainsi intervenir au bon moment, par exemple si une ruche est tombée ou si un essaim s’est déplacé.

À la base, Bee2beep est un projet scolaire développé pendant un an avec les profs en dernière année de lycée. Jérôme Clerjeau est alors en sciences et technologie de l’industrie développement durable, dans un établissement où un apiculteur a installé des ruches. Celui-ci ne peut pas les visiter pendant les périodes de vacances scolaires d’été, l’établissement étant fermé. « Nous avons eu l’idée de développer cette balance connectée pour qu’il obtienne les informations à distance. La version n’était pas très aboutie et ne marchait pas vraiment. Mais après le lycée, j’ai eu envie de continuer ce projet. Seul, car aucun camarade n’a voulu suivre. » Il poursuit ses études en école d’ingénieur, qu’il arrêtera 3 ans plus tard pour se consacrer au projet. Puis, il intègre une licence professionnelle entrepreneuriat et management de projet en alternance, cette dernière prenant fin à la fin de cet été.

Parallèlement, fin mars 2019, il crée une SAS pour développer Bee2Beep en s’associant avec Frédéric Timbert, un industriel fabricant de balances. « J’allais laisser tomber mon projet car je n’arrivais pas à trouver les financements nécessaires, lorsque j’ai fait une rencontre déterminante. En lisant un article dans le magazine Capital, Frédéric a tout de suite été intéressé par mon projet et m’a contacté. Il a décidé d’investir dans la création de l’entreprise. Sans lui, je n’aurais pas pu aller plus loin. Les prototypes coûtent cher, les améliorations aussi. En tant qu’étudiant, ça n’est pas facile de débloquer de l’argent pour avancer. Les balances sont fabriquées dans ses usines. »

Pour l’instant, l’appareil est essentiellement commercialisé auprès des apiculteurs qui installent des ruches en entreprises. « Notre activité se développe par l’intermédiaire d’apiculteurs installateurs partenaires que nous mandatons sur des contrats avec des entreprises pour installer des ruches qui utilisent notre système. Les entreprises valorisent ainsi des actions RSE. Quant aux apiculteurs, ça leur permet de limiter leurs déplacements sur les différents sites. »

Pour développer sa balance totalement made in France, Jérôme est allé rencontrer les syndicats d’apiculture afin de présenter son projet et voir avec eux les améliorations possibles. « Aujourd’hui, nous avons un produit haut de gamme. Depuis peu, nous travaillons sur une version moins sophistiquée pour les apiculteurs amateurs et professionnels qui n’ont pas le budget des entreprises. Elle sera commercialisée dans quelques semaines. » Parallèlement, l’entreprise veut continuer à développer son réseau d’apiculteurs en entreprise sur l’ensemble de la France.

Fiche de l’entreprise

Un conseil : il faut oser confronter son nouveau produit directement auprès des utilisateurs. Quand on est jeune ça passe bien, on peut en outre demander des conseils, c’est toujours instructif !
Un chiffre : une trentaine de balances ont déjà été installées depuis mars 2019
Un contact : Jérôme Clerjeau, www.bee2beep.com, contact@bee2beep.com

© Les Echos Publishing 2019

Salon SME Paris 2019 : deux jours pour accélérer votre business

La 21 édition du Salon SME se tiendra les 30 septembre et 1 octobre 2019 au Palais des Congrès de Paris. L’occasion de faire le plein d’informations pour donner un nouvel élan à vos projets !

Deux jours de rencontres, de conseils et de networking : l’édition 2019 du Salon SME, dédiée aux créateurs d’entreprise, fondateurs de start-up et dirigeants de TPE, aura lieu les lundi 30 septembre et mardi 1er octobre au Palais des Congrès de Paris. Et force est de constater que le programme s’annonce d’ores et déjà riche et diversifié !

Concrétiser ses projets et développer son réseau professionnel

100 conférences en accès libre, 6 parcours thématiques (accompagnement à la création, financement, développement commercial, communication & solutions digitales, pilotage d’entreprise…), 1 000 intervenants et experts de l’entrepreneuriat, 120 exposants issus de nombreux secteurs d’activité… Autant d’occasions, pour les participants, de s’informer pour concrétiser leurs projets entrepreneuriaux, dynamiser leur activité et développer leurs réseaux professionnels.


Bon à savoir : cette année encore, une journée (celle du mardi 1er octobre) sera particulièrement dédiée à l’entrepreneuriat au féminin. L’objectif ? Encourager le partage d’expériences et accompagner les femmes dans leurs projets entrepreneuriaux.

Comme tous les ans, la participation à l’évènement est entièrement gratuite. Pour recevoir un badge d’invitation, il suffit de s’inscrire via le formulaire en ligne, dédié à cet effet.

Pour en savoir plus sur cette 21e édition du Salon SME Paris, rendez-vous sur : www.salonsme.com

© Les Echos Publishing 2019

Accompagnement : France Active et Initiative France se rapprochent

Les réseaux associatifs France Active et Initiative France ont récemment acté par vote le principe d’un rapprochement mutuel dont les modalités exactes seront définies dans l’année qui vient.

Amplifier le soutien aux entrepreneurs pour leur permettre de mener à bien leurs projets : récemment voté par les assemblées générales des deux réseaux associatifs, le rapprochement progressif entre France Active et Initiative France aura pour objectif de cumuler les atouts de maillage territorial et d’ingénierie financière développés par les deux structures. Une démarche qui, à terme, devra aboutir à la création d’un nouveau réseau associatif unique.

Vers une offre d’accompagnement améliorée, renforcée et élargie

Si ce projet de rapprochement intervient, selon les représentants des deux mouvements associatifs, « de manière naturelle et logique », les modalités exactes de la fusion entre les deux réseaux nationaux seront déterminées dans les prochains mois et seront présentées pour décision lors des assemblées générales respectives de juin 2020. Parallèlement, des échanges seront organisés à l’échelle régionale visant à déterminer, selon une méthode participative, une organisation adaptée à chaque territoire.

Une évolution qui, pour France Active et Initiative France, devrait permettre d’améliorer le déploiement de leur offre actuelle, que ce soit en termes d’accompagnement, de financement, de parrainage ou encore de mise en réseau. Sans compter que ce rapprochement devrait également se traduire par la construction collective d’une offre renforcée et élargie. L’enjeu ? Prendre en compte l’évolution des besoins rencontrés par les entrepreneurs et les porteurs de projets tout en y intégrant les avancées techniques et méthodologiques en la matière.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.initiative-france.fr

© Les Echos Publishing 2019

40 ans et 15 500 entreprises accompagnées en 2018 : BGE fait le point !

À l’occasion de ses 40 ans, le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE a récemment publié son rapport d’activité pour l’année 2018.

Démocratiser l’entrepreneuriat et donner à tous les porteurs de projet, quel que soit leur profil, la possibilité de réussir : créé en 1979, le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE a récemment fêté ses 40 ans. L’occasion, également, de dresser le bilan de son action menée au cours de l’année 2018 auprès des entrepreneurs, déjà installés ou en devenir.

Lutter contre les déterminismes sociaux

En effet, fort de ses 550 implantations réparties sur l’ensemble du territoire français, BGE a pu accueillir et orienter pas moins de 90 500 personnes en 2018, dont 49 000 ont eu l’occasion de suivre l’un des parcours d’accompagnement proposés par le réseau (+ 7 % par rapport à 2017). 15 500 nouvelles entreprises ont ainsi vu le jour au cours de l’année et 25 000 nouveaux emplois ont été créés, le montant global des financements mobilisés en 2018 s’élevant à 355 M€.


Bon à savoir : depuis 1979, le réseau associatif a accompagné la création et la reprise de plus de 400 000 entreprises. Chaque année, 28 000 entreprises sont également soutenues par BGE dans leur développement.

Des résultats d’autant plus encourageants que le taux de pérennité à 3 ans des jeunes entreprises épaulées par BGE atteint 80 %, et ce quel que soit le profil de l’entrepreneur conseillé par l’organisme. Des chiffres qui confortent le réseau associatif dans sa conviction que l’entrepreneuriat peut être un outil performant pour lutter contre les déterminismes sociaux… à condition de donner aux porteurs de projets la possibilité d’acquérir et de maîtriser certaines compétences clés.

Pour en savoir plus et consulter le rapport d’activité 2018 du réseau BGE, rendez-vous sur : www.bge.asso.fr

© Les Echos Publishing 2019