Créations d’entreprises : un mois d’avril sous le signe d’un léger repli

Après un mois de mars plutôt dynamique (+ 1,5 %), le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en avril 2019 : – 1,3 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 66 168 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’avril 2019 : – 1,3 % par rapport au mois de mars, tous types d’entreprises confondus. Selon l’institut, cette évolution s’explique à la fois par une baisse du nombre de créations d’entreprises classiques (- 1,8 %) et par un léger recul du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (- 0,8 %).

+ 18,9 % sur les 3 derniers mois

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période février-mars-avril, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre un an auparavant, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 18,9 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 30,7 % pour les micro-entrepreneurs, + 10,8 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire et + 9,8 % pour les entreprises individuelles classiques). Une fois de plus, c’est le secteur « Transport et entreposage » qui contribue le plus à cette hausse globale.

+ 17,3 % sur les 12 derniers mois

C’est une tendance similaire qui se dessine sur les 12 derniers mois : le nombre cumulé d’entreprises créées au cours de cette période continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 17,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 28,4 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+ 14,3 %) et des créations de sociétés (+ 5,1 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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MyCarSpot : une solution digitale pour optimiser le parking des entreprises

Pas assez de places de parking pour garer tout le personnel ? La solution MyCarSpot développée par deux montpelliérains, Stéphane Seigneurin et Alex Michel, propose de gérer automatiquement et de manière optimisée l’utilisation du parking de l’entreprise.

Les entreprises qui disposent de parkings attribuent généralement les places aux collaborateurs privilégiés, les managers ou les directeurs. Pourtant, il peut rester des places vides parce que ces bénéficiaires sont soit en déplacement, en congés, en télétravail, ou sont finalement venus en deux-roues… privant ainsi les autres collaborateurs de places inutilisées.

Pour Stéphane Seigneurin, le fondateur de la start-up, « le sujet de la mobilité est de plus en plus étudié en entreprise : faut-il favoriser les véhicules électriques, les vélos, les transports en commun, comment gérer son parking au mieux… ». L’application MyCarSpot, lancée en 2018, répond à l’une de ces problématiques. Elle permet aux collaborateurs d’indiquer sur une plate-forme s’ils vont ou non utiliser leur place de parking dans les prochaines semaines. Ceux qui ne possèdent pas de place attitrée vont de leur côté pouvoir faire des demandes de place de parking. « L’algorithme va permettre de faire matcher l’offre et la demande, en fonction de différents critères (ancienneté de la demande, distance du domicile du collaborateur, covoitureur, nombre de demandes déjà acceptées…) pour optimiser au mieux l’utilisation du parking. »

La solution MyCarSpot permet également d’autres fonctionnalités comme piloter les barrières de parking avec une caméra qui reconnait les plaques ou installer un module branché sur la barrière qui transforme le smartphone en télécommande. Elle est accessible sur abonnement dont le montant est fonction du nombre de places de parking gérées.

Depuis un an, la commercialisation a bien démarré en France. De grands groupes sont déjà cdivts (Lavazza, La Mutuelle Générale de Paris, le groupe Onet…). Et le développement à l’international se fait également de lui-même, notamment en Angleterre et en Allemagne où des cdivts sont intéressés par cette solution. « Nous venons d’intégrer le BIC (Business & Innovation Center), l’incubateur de Montpellier, qui devrait nous aider à avancer. D’autant que les projets ne manquent pas. Des cdivts nous demandent déjà, par exemple, de dupliquer notre concept pour la gestion de bureaux ! »

Fiche de l’entreprise

Un conseil : Il faut savoir s’entourer en allant dans des réseaux de chefs d’entreprise, afin d’être accompagné, avoir des conseils de ceux qui ont réussi, être challengé sur le business model, voire critiqué de manière positive… Il y a énormément de bienveillance dans ces réseaux.
Un chiffre : 20 % du trafic en ville est causé par des automobilistes qui cherchent une place de parking
Un contact : Stéphane Seigneurin, www.mycarspot.io, info@mycarspot.io

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Innovation & Entrepreneuriat : GrandAngoulême relance son appel à projets

Organisé en partenariat avec le technopôle Eurekatech et la région Nouvelle-Aquitaine, l’appel à projets « Innovation & Entrepreneuriat » vise à faire décoller des projets innovants sur le territoire de GrandAngoulême.

Encourager la création et le développement d’entreprises, stimuler l’innovation et favoriser l’émergence de projets solidaires : initié par la communauté d’agglomération GrandAngoulême, avec le soutien du technopôle Eurekatech et la région Nouvelle-Aquitaine, l’appel à projets « Innovation & Entrepreneuriat » s’accompagne, cette année encore, de dotations pouvant atteindre un montant maximal de 20 000 € par lauréat.

Des projets à caractère innovant, différenciant et économiquement viable

Dans le détail, l’appel à projets se divise en 2 catégories : une première, appelée « Création », qui s’adresse non seulement aux personnes physiques portant un projet de création, mais aussi aux entreprises et associations à vocation économique créées il y a moins de 24 mois, et une deuxième, baptisée « Croissance », qui est dédiée aux structures en développement portant un projet innovant en phase de pré-commercialisation.

Sachant que, si tous les domaines d’activité sont concernés par le dispositif, le projet présenté doit impérativement être à caractère innovant, différenciant et économiquement viable. En outre, sa mise en œuvre devra être réalisée sur le territoire de GrandAngoulême. Quant aux dotations financières, elles pourront être accordées sous forme de subventions, de prestations d’accompagnement ou encore d’hébergement au sein d’une pépinière d’entreprises.

Les candidatures pour l’édition 2019 de l’appel à projets « Innovation & Entrepreneuriat » sont ouvertes jusqu’au 15 juin. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.eurekatech.fr

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L’esprit d’entreprendre : un plan pour encourager l’entrepreneuriat étudiant

Récemment lancé par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, un nouveau plan d’action vise à renforcer la politique menée en faveur de l’entrepreneuriat étudiant.

Développer les dispositifs de formation et faire rayonner l’entrepreneuriat étudiant à la fois à l’échelle nationale et internationale : récemment lancé par Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le nouveau plan « L’esprit d’entreprendre » tend à stimuler l’intérêt des étudiants pour la création d’entreprise tout en accélérant la concrétisation de leurs projets sur l’ensemble du territoire français.

Faire émerger des entreprises innovantes d’ambition mondiale

Dans le détail, le nouveau plan d’action se décline ainsi en plusieurs mesures : en plus de multiplier les formations à l’entrepreneuriat (de la première sensibilisation jusqu’au cursus approfondi), « L’esprit d’entreprendre » vise également à valoriser la conduite de projets entrepreneuriaux durant les études et à améliorer la reconnaissance des compétences développées par les étudiants-entrepreneurs, notamment auprès des entreprises.

De même, son objectif consiste à ouvrir l’entrepreneuriat aux étudiants les moins favorisés et à apporter un soutien particulier aux projets portés par les étudiants les plus motivés pour faire émerger des entreprises innovantes d’ambition mondiale. Enfin, le plan « L’esprit d’entreprendre » prévoit de faire des pôles Pépite (Pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat) des lieux privilégiés de création d’innovation au sein des campus universitaires.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr

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Salon des Entrepreneurs Lyon : l’édition 2019 approche à grands pas !

Deux jours pour s’informer, capter les nouvelles tendances et développer son réseau : la 16 édition du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes se tiendra les 12 et 13 juin 2019.

Le rendez-vous est pris ! Pendant deux jours, mercredi 12 et jeudi 13 juin, le Centre de Congrès de Lyon accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes. Organisé par Les Échos Solutions, l’évènement aura pour vocation d’offrir, une fois de plus, un concentré d’informations, de conseils et d’expertises autour de l’entrepreneuriat.

Cap sur l’écosystème entrepreneurial

Lieu de formation et d’échanges réunissant les professionnels de la création et du développement des entreprises, l’évènement vise à capter les tendances de l’écosystème entrepreneurial, tout en apportant aux participants les clés essentielles pour développer leur réseau professionnel et mener à bien leurs projets. Sans surprise, cette édition 2019 du Salon s’annonce d’ores et déjà aussi riche que variée !

150 partenaires et exposants, 100 conférences et débats, une dizaine d’animations thématiques, plus de 15 000 visiteurs attendus pour l’occasion : le Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes représente, comme tous les ans, le plus grand rassemblement d’entrepreneurs de la région. Pas moins de 100 personnalités emblématiques seront, par ailleurs, présentes sur place afin de partager leur expérience et d’aider les participants à concrétiser leurs idées.

La participation au Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes est gratuite. Pour en savoir plus et télécharger votre badge d’accès, rendez-vous sur : www.salondesentrepreneurs.com

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Édition 2019 du concours Talents des cités : c’est maintenant !

Initié par le ministère chargé de la Ville et du Logement et coorganisé par Bpifrance et le réseau BGE, le concours Talents des cités récompense tous les ans une trentaine de créateurs d’entreprise.

Lancée en 2002, le concours Talents des cités récompense l’esprit entrepreneurial au sein des quartiers. Initié par le ministère de la Ville et du Logement avec l’appui de plusieurs partenaires, dont notamment Bpifrance et le réseau associatif BGE, il vise à favoriser la cohésion sociale, l’insertion professionnelle et la création d’emplois.

6 lauréats nationaux seront récompensés avant la fin de l’année

Depuis sa toute première édition, Talents des cités a ainsi pu accompagner plus de 600 créateurs d’entreprise issus des quartiers prioritaires de la politique de la Ville, et ce notamment par le biais de 14 concours régionaux et d’un concours annuel organisé au niveau national. L’objectif ? Valoriser les entrepreneurs des quartiers et donner l’opportunité, à tous ceux qui souhaitent créer ou développer un projet, d’accéder à l’ensemble des soutiens à la création d’entreprise (formations, séances de coaching, partage d’expériences…).

Les inscriptions pour l’édition 2019 du concours Talents des cités sont ouvertes jusqu’au 15 mai à minuit. Les démarches s’effectuent entièrement en ligne, via le portail dédié à l’initiative.

Dans chaque région, des jurys se réuniront au cours de l’été pour sélectionner les lauréats dans les catégories « création », dédiée aux entreprises créées il y a moins de 3 ans, et « émergence », consacrée aux porteurs de projet souhaitant lancer une nouvelle activité. Sans oublier que 6 lauréats nationaux seront, par ailleurs, récompensés d’ici la fin de l’année.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.talentsdescites.com

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Un nouveau dispositif dédié aux créateurs d’entreprise de plus de 45 ans

Pour mieux accompagner les personnes âgées de plus de 45 ans souhaitant créer une entreprise, la Fondation Entreprendre a récemment lancé un nouveau dispositif personnalisé.

S’il existe, à ce jour, de nombreux programmes ayant pour objectif d’encourager l’entrepreneuriat des jeunes de moins de 30 ans, force est de constater que les dispositifs dédiés aux entrepreneurs plus âgés se font souvent monnaie rare. Or, il s’agit justement d’une population témoignant d’un intérêt fort pour l’entrepreneuriat, ce dernier pouvant constituer, pour certains, aussi bien l’aboutissement d’une carrière qu’un nouveau départ. Un constat qui a récemment amené la Fondation Entreprendre à lancer son nouveau programme d’accompagnement.

Des dotations financières pouvant aller jusqu’à 5 000 €

Dans le détail, ce nouveau dispositif personnalisé s’adresse aux personnes âgées de plus de 45 ans, habitant Paris ou la petite couronne et ayant un projet de création ou de reprise d’entreprise déjà bien avancé. L’objectif ? Aider les participants à construire, en 6 mois, un plan de réalisation concret et opérationnel pour les amener à franchir le cap vers l’entrepreneuriat.

Accompagnés par une équipe dédiée et conseillés par un coach, les (futurs) entrepreneurs sélectionnés par Fondation Entreprendre pourront, par ailleurs, bénéficier de dotations financières pouvant aller jusqu’à 5 000 €, utilisables notamment à des fins de formation sur des thématiques précises en a avec la création d’entreprise. Un coup de pouce précieux pour monter en compétences, se connecter aux acteurs de l’écosystème entrepreneurial et gagner en confiance pour passer du projet à l’action !

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.fondation-entreprendre.org

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Près de 17 000 entreprises financées par l’Adie en 2018

Dans son dernier rapport d’activité, portant sur l’année 2018, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) réaffirme son soutien à la dynamique entrepreneuriale en France.

L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) a récemment dressé le bilan de son activité en 2018. Selon les chiffres publiés par l’organisme, 23 449 personnes et 16 942 entreprises ont ainsi été financées au cours de l’année sur l’ensemble du territoire français, le montant global des microcrédits mobilisés s’élevant à 148,7M€ (+ 13,5 % par rapport à 2017).

Le soutien des populations fragilisées

Lorsque l’on regarde plus en détail le public ayant bénéficié de l’appui de l’Adie, on constate que 54,6 % des personnes accompagnées en 2018 étaient des hommes et 45,4 % des femmes. 23 % des bénéficiaires avaient entre 18 et 29 ans, tandis que 20 % avaient 50 ans et plus.

Par ailleurs, 43 % des créateurs d’entreprise cats de l’Adie depuis 2018 vivaient sous le seuil de pauvreté, et 35 % touchaient des minima sociaux. 26 % n’avaient pas de diplôme, 22 % habitaient dans les quartiers prioritaires de la Politique de la ville et 25 % étaient installés dans des zones rurales. Autant dire que l’action de l’Adie a permis d’apporter un soutien précieux à des populations particulièrement fragilisées !

Enfin, si 13 143 emplois ont été créés (et 7 710 maintenus) en 2018 grâce au microcrédit professionnel, 3 851 retours à l’emploi ont, en outre, été concrétisés grâce au microcrédit mobilité.

Pour en savoir plus sur l’action de l’Adie, rendez-vous sur : www.adie.org

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Appel à projets autour de la construction durable : il n’est pas trop tard pour postuler !

Les candidatures pour l’édition 2019 du Concours national de la Création d’entreprises Construction durable et Cadre de vie sont ouvertes jusqu’au 29 avril 2019.

Domolandes, pôle technologique consacré à la construction durable et numérique, situé dans le département des Landes, a récemment lancé l’édition 2019 de son concours national. Dédié aux porteurs de projets et aux dirigeants d’entreprises de moins de 5 ans, résidant sur le territoire français et travaillant sur des thématiques liées à la construction durable ou encore à l’amélioration du cadre de vie, il récompense, une fois de plus, l’esprit innovant des activités qui seront présentées.

60 000 € de dotations

Cette année encore, les gagnants du concours pourront bénéficier d’une dotation globale d’une valeur de plus de 60 000 €. Si le lauréat du Grand Prix de l’innovation pourra ainsi toucher la somme de 10 000 €, le deuxième projet récompensé se verra, quant à lui, attribuer une dotation de 8 000 €. Enfin, les 10 finalistes du concours pourront bénéficier chacun de 4 000 € en prestations de services d’accompagnement s’ils choisissent de s’implanter sur le technopôle Domolandes.

Les candidatures pour cette nouvelle édition du Concours national de la Création d’entreprises Construction durable et Cadre de vie sont ouvertes jusqu’au lundi 29 avril 2019 à minuit. Parmi les principaux critères de sélection figureront notamment : le caractère innovant du projet, son potentiel de développement et de création d’emplois, ainsi que la prise en compte des enjeux phares du développement durable.

Pour en savoir plus et accéder au dossier de candidature, rendez-vous sur : www.domolandes.fr

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Créations d’entreprises : légère hausse en mars 2019

Après un mois de février peu dynamique, le nombre de créations d’entreprises a progressé de nouveau en mars 2019 : + 1,3 % par rapport au mois précédent, selon les derniers chiffres de l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 67 099 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de mars 2019 : + 1,3 % par rapport au mois de septembre, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Institut, non seulement par une hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 2,0 %), mais aussi par une légère accélération du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 0,5 %).

+ 17,8 % sur janvier-février-mars

Le bilan est encore plus dynamique sur la période janvier-février-mars, où les chiffres témoignent d’une accélération significative du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 17,8 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 29,9 % pour les micro-entrepreneurs, + 9,1 % pour les entreprises individuelles classiques et + 8,3 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

Même tendance sur les 12 derniers mois, où le nombre cumulé d’entreprises créées continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 17,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 28,5 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 15,5 %) et une progression – cependant plus faible – du côté des créations de sociétés (+ 4,0 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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