Créateurs d’entreprise : l’édition 2019 du concours i-Lab a démarré !

Récemment lancée par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la 21 édition du concours i-Lab est, de nouveau, dédiée à la création d’entreprises innovantes.

Fruit d’un partenariat entre Bpifrance et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le concours i-Lab vise à encourager l’esprit entrepreneurial en améliorant l’accompagnement des jeunes entreprises françaises travaillant sur un projet à forte intensité technologique. À la clé : une aide financière importante, ainsi qu’un accompagnement spécialement adapté aux besoins des candidats soutenus.

Une enveloppe globale de 20 millions d’euros

Dans le détail, le concours i-Lab 2019 s’adresse aux porteurs de projets prévoyant la création d’une entreprise sur le territoire français et s’appuyant sur une technologie innovante. Peuvent également postuler les entrepreneurs ayant lancé leur start-up il y a moins de 2 ans.

En pratique, si l’enveloppe globale de cette 21e édition du concours atteint un montant de 20 millions d’euros, la subvention accordée à chaque lauréat peut, quant à elle, aller jusqu’à 600 000 euros. De quoi booster le démarrage d’une jeune entreprise en finançant notamment le programme de R&D nécessaire pour finaliser son produit, son procédé ou son service technologique innovant !

Les candidatures pour cette nouvelle édition du concours i-Lab sont ouvertes jusqu’au 26 février 2019 à 12h. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr

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L’entrepreneuriat en tête des choix de carrière des Français !

Récemment publiée, la 2 partie des résultats de l’Indice Entrepreneurial Français (IEF) 2018 démontre l’attractivité de ce choix de carrière pour un pourcentage important de Français.

Évaluer et analyser le dynamisme entrepreneurial et son évolution : récemment publiée par l’Agence France Entrepreneur (AFE), le 2e volet des résultats de l’Indice Entrepreneurial Français (IEF) 2018 – enquête réalisée avec le soutien de Pôle emploi, de la Fondation d’entreprise MMA des Entrepreneurs du Futur et le concours de TMO Régions – témoigne de l’attractivité de l’entrepreneuriat aux yeux d’une grande partie de la population française.

Un choix de carrière particulièrement intéressant

Menée auprès d’un panel de 2 500 personnes, l’enquête révèle notamment que près d’un tiers (30 %) des Français âgés d’au moins 18 ans sont – ou ont été, à un moment de leur vie – dans une dynamique entrepreneuriale. De même, nombreux sont ceux qui estiment que le fait de devenir chef d’entreprise représente un choix de carrière particulièrement intéressant : un avis non seulement partagé par 67 % des personnes se trouvant dans une démarche entrepreneuriale, mais aussi par 42 % de celles qui se situent en dehors de ce mouvement.

Par ailleurs, si l’IEF 2018 révèle que les femmes s’inscrivent moins souvent dans une dynamique entrepreneuriale que leurs homologues masculin (23 % contre 37 %), force est de constater que les motivations principales pouvant les amener à vouloir créer ou reprendre une entreprise se ressemblent. Ainsi, parmi les raisons les plus fréquemment évoquées, on retrouve notamment le désir d’être indépendant et d’être son propre patron, ou encore l’envie de s’épanouir et de réaliser un rêve.

L’entrepreneuriat pour un retour à l’emploi ?

Enfin, les résultats montrent que les demandeurs d’emploi ne sont pas à l’écart de cette tendance globale, bien au contraire ! En effet, pas moins de 27 % d’entre eux sont – ou se sont déjà – engagés dans une démarche entrepreneuriale. Parmi eux, 22 % déclarent vouloir profiter de leur situation pour lancer un projet qui leur tient à cœur et 13 % envisagent cette voie comme seul et unique moyen pouvant leur permettre de retrouver un emploi.

Pour en savoir plus et consulter des chiffres complémentaires, rendez-vous sur : www.afecreation.fr

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Neutral News : pour traquer les « fake news » grâce à l’intelligence artificielle

Trois étudiants viennent de lancer un outil qui devrait aider les journalistes et les ministères français à détecter les « fake news ». Neutral News repère, en effet, les fausses informations qui circulent gratuitement sur le web en utilisant l’intelligence artificielle.

Une plate-forme digitale qui mesure la fiabilité des informations sur Internet grâce à un algorithme conçu pour analyser la presse en ligne. C’est le projet digital lancé début décembre 2018 par Jonas Bouaziz, Arnaud Henric et Jérémie Zimmer, trois étudiants ingénieur de l’EPITA en 4e année (École Pour l’Informatique et les Techniques Avancées). Un outil dans l’air du temps à l’heure où Internet et les réseaux sociaux voient les fausses informations et les rumeurs se développer et se propager comme une traînée de poudre.

Concrètement, Neutral News agrège les actualités internationales et opère une analyse en temps réel détectant les informations potentiellement manipulées grâce à l’analyse de plusieurs critères (style d’écriture, lexique employé, réputation de la source, circuit de transmission du flux d’information, similitudes avec d’autres fake news connues, prise en compte de remontées de journalistes…). Les utilisateurs peuvent visualiser les informations en continu et leur état de diffusion, sur le plan géographique et temporel, et identifier ainsi d’un seul coup d’œil si l’article est fiable ou s’il y a des signes de manipulation ou d’influence étatique.

Cet outil devrait répondre aux besoins de la diplomatie française et des journalistes. Ces derniers gagneront temps et fiabilité dans leur recherche d’informations. Quant au ministère de l’Europe et des Affaires Étrangères, il est d’ores et déjà le premier utilisateur. « Nous sommes plus que fiers de compter la DSI (Direction des Systèmes d’Information) à nos côtés. Ils ont consacré beaucoup de temps pour concevoir avec nous un produit en adéquation avec leurs besoins et les enjeux actuels. Et ils nous apportent en outre leur expertise dans les domaines journalistique, juridique et technique », précise Jonas Bouaziz.

Actuellement encore à l’EPITA, les trois créateurs souhaitent continuer leurs études tout en menant leur projet entrepreneurial. « Nous prévoyons d’ajouter de nouvelles fonctionnalités et d’attirer d’avantages d’utilisateurs, notamment du secteur privé. Avec notre algorithme d’analyse de réputation, les entreprises pourraient par exemple suivre leur réputation dans la presse internationale », prévoient déjà les étudiants. À n’en pas douter, un projet, là aussi, dans l’air du temps !

Fiche de l’entreprise

Un conseil : Il est important de se focaliser sur le développement d’une technologie convaincante avant de se concentrer sur l’aspect commercial. Il faut également être patient et faire attention à grandir au bon rythme : il n’y a pas forcément d’intérêt à une croissance rapide où l’on risque d’être submergé rapidement.
Un chiffre : 6 500 médias, issus de 191 pays, sont analysés en continu par Neutral News
Un contact : Arnaud Henric, arnaud.henric@epita.fr

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Le Salon des Entrepreneurs Paris 2019 : c’est dans un mois !

Deux jours pour s’informer, développer son réseau et faire décoller ses projets : la 26 édition du Salon des Entrepreneurs se tiendra les 6 et 7 février prochains au Palais des Congrès de Paris.

Pendant deux jours, mercredi 6 et jeudi 7 février, le Palais des Congrès de Paris accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs. Plus de 400 partenaires et exposants, 200 conférences et workshops, 2 000 experts et 150 personnalités emblématiques mobilisés… Comme tous les ans, l’évènement proposé par Les Echos Solutions a pour vocation d’offrir un concentré d’informations et d’expertises autour de l’entrepreneuriat !

Faire le plein d’énergie et d’idées innovantes

Dans le détail, au-delà des nombreuses conférences techniques, 9 temps forts d’actualité inviteront les participants à faire le point sur les enjeux phares de l’écosystème entrepreneurial. Par ailleurs, une dizaine d’animations (coaching d’entrepreneurs, networking, conseils de repreneurs et cédants, bourse d’opportunités…) seront proposées tout au long de la manifestation. L’occasion de capter les nouvelles tendances, de s’informer auprès de nombreux interlocuteurs et de faire le plein d’énergie pour accélérer le développement de ses projets !

Pas moins de 65 000 visiteurs seront attendus pour cette édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Paris. Pour obtenir des informations plus détaillées et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous dès à présent sur : www.salondesentrepreneurs.com

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Paris-Saclay lance son 5 concours d’idées à la création d’entreprise !

Organisé par la communauté d’agglomération Paris-Saclay, le concours s’adresse aux porteurs de projets voulant concrétiser leurs idées. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 31 mars 2019.

Pôle scientifique, cluster technologique, écosystème entrepreneurial : située à 20 km au sud-ouest de la capitale, la communauté d’agglomération Paris-Saclay s’engage, depuis une dizaine d’années, aux côtés des porteurs de projets innovants. Une démarche récemment renouvelée à travers le lancement du 5e concours d’idées à la création d’entreprise !

Un accompagnement personnalisé

Dédiée aux porteurs de projets âgés d’au moins 16 ans, résidant sur le territoire de Paris-Saclay et voulant tester leur idée entrepreneuriale, cette nouvelle édition du concours se décline en 4 catégories : jeunes de moins de 26 ans, femmes, reconversion professionnelle et innovation. Elle sera, par ailleurs, complétée par un prix spécial « coup de cœur du jury ».

Dans le détail, les lauréats pourront non seulement bénéficier d’un accompagnement personnalisé leur permettant de créer plus facilement leur entreprise, mais recevront également une tablette tactile ainsi qu’une dotation financière de 2 000 €. Sans compter qu’ils pourront profiter d’un accès gratuit, pendant une durée de 6 mois, à l’un des espaces de coworking faisant partie de l’écosystème Paris-Saclay.

Les candidatures pour cette 5e édition du concours d’idées à la création d’entreprise sont ouvertes jusqu’au 31 mars 2019. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.paris-saclay.com

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Stockly : une solution pour aider les e-commerçants à ne plus être en rupture de stock

Ces deux anciens camarades de prépa Henri IV, Eliott Jabes et Oscar Walter, ont créé, en novembre 2017, l’entreprise Stockly après s’être rendu compte que, dans le e-commerce, 30 % des internautes abandonnaient leur intention d’achat à cause d’une rupture de produit. Leur solution permet aux e-commerçants de mutualiser leurs stocks.

Eliott, fan de sneakers (ces chaussures de sport citadines), en a fait l’expérience : « Vous allez sur un site, par exemple pour acheter une paire de chaussures, mais il n’y a pas votre taille. C’est extrêmement fréquent car les e-commerçants ont tellement de produits, de références et de déclinaisons pour chaque référence, qu’ils ne peuvent pas stocker tous les produits. C’est déceptif pour le cdivt et le e-commerçant rate une vente. Notre dispositif répond à cette problématique : il permet au e-commerçant de vendre même quand il est en rupture de stock. Le produit convoité est, en effet, expédié par un autre e-commerçant du réseau Stockly qui, lui, dispose encore du produit. »

Concrètement, le produit en rupture de stock est proposé sur le site du commerçant, avec en principe l’indication de la mention « expédié par un partenaire ». Si le cdivt le choisit, la commande arrive à Stockly qui la transmet au partenaire disposant du produit. Celui-ci l’envoie alors directement au cdivt en marque blanche. « Ça n’est pas obligatoire d’indiquer que l’envoi est réalisé par un partenaire, mais c’est mieux d’être transparent avec le cdivt ».

L’idée est née après la création d’une première entreprise il y a 2 ans de comparateur de prix dans le domaine des sneakers. Cette expérience a mis en valeur un véritable problème de rupture de stocks.

Dans l’entreprise, c’est Oscar qui s’occupe de la partie technique, Eliott de l’humain. Mais les décisions stratégiques sont prises ensemble. « Un partenariat avec les Galeries Lafayette a été signé il y a quelques mois, pour compléter leurs ruptures de stocks en ligne, notamment sur la catégorie chaussures. Ça nous a permis d’effectuer les premiers tests, et de monter un premier réseau de fournisseurs. »

Après plus d’un an de fonctionnement, l’entreprise est maintenant dans une phase de structuration. Une levée de fonds effectuée cet été auprès de business angels a permis de développer de nouvelles fonctionnalités et d’étoffer leur équipe pour atteindre 10 collaborateurs fin janvier. « En 2019, notre objectif sera d’aller chercher de nouveaux e-commerçants pour compléter notre réseau de fournisseurs. Nous souhaitons devenir le premier réseau de stock mutualisé et d’inventaire global dans le secteur de la mode. Un système que nous déclinerons ensuite dans d’autres domaines d’activités comme la pharmacie ou le high-tech, où la vente en ligne se porte bien. »

Fiche de l’entreprise

Un conseil : Quand on veut créer sa boîte, il faut oser ! Il ne faut pas s’inventer des excuses ou des barrières, ou se dire « on verra plus tard », il faut se lancer. Et c’est en avançant qu’on trouve des solutions.
Un chiffre : la levée de fonds effectuée cet été auprès des business angels a permis de récupérer la somme d’1 million d’euros.
Un contact : Eliott Jabes, admin@stockly.ai, www.stockly.ai

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Pôle emploi et l’Union des Couveuses d’Entreprises allient leurs forces

Récemment signé, un nouveau partenariat entre Pôle emploi et l’Union des Couveuses d’Entreprises vise à sécuriser les parcours professionnels des chômeurs envisageant la création d’une entreprise.

Consolider les parcours professionnels des demandeurs d’emploi souhaitant concrétiser un projet de création d’entreprise : récemment signé par Pôle emploi et l’Union des Couveuses d’Entreprises (UCE), réseau national réunissant 63 couveuses présentes sur 253 lieux d’accueil en France et en Europe, ce partenariat entend promouvoir la démarche d’entreprendre en couveuse auprès des publics concernés.

Augmenter les chances de réussite

En pratique, le fait d’opter pour une couveuse d’entreprise permet au créateur de tester son activité tout en bénéficiant non seulement d’un hébergement juridique et d’un accompagnement collectif, mais aussi de conseils personnalisés. Autrement dit, d’apprendre le métier de chef d’entreprise au sein d’un écosystème à la fois stimulant et sécurisant !


Précision : en 2017, 5 400 entrepreneurs ont été accompagnés par le réseau de l’UCE. Parmi eux, 95 % étaient des demandeurs d’emploi.

Et force est de constater que le fait d’être accompagné par une couveuse n’est pas sans impact sur la pérennité des projets soutenus, bien au contraire ! En effet, pas moins de 76 % des jeunes entreprises créées et développées au sein d’un telle structure sont encore en activité au bout de 3 ans.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.pole-emploi.org

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Créations d’entreprises : un mois de novembre sous le signe du repli

Après un mois d’octobre plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a nettement diminué en novembre 2018 : -5,3 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 58 667 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’octobre 2018 : -5,3 % par rapport au mois d’octobre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, ce repli s’explique essentiellement par une forte baisse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-11,2 %), tandis que les créations d’entreprises classiques demeurent relativement stables (-0,2 %).

+16,3 % sur les 3 derniers mois

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période septembre-octobre-novembre, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 16,3 %, tous types d’entreprises confondus (dont +26,4 % pour les micro-entrepreneurs, +12,2 % pour les entreprises individuelles classiques et +4,7 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire). Une fois de plus, c’est le secteur « Transport et entreposage » qui contribue le plus à cette hausse globale.

+17,3 % sur les 12 derniers mois

La tendance est la même lorsqu’on observe l’évolution sur les 12 derniers mois : le nombre cumulé d’entreprises créées au cours de cette période continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 17,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+28,0 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+21,1 %) et des créations de sociétés (+1,5 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Premier bilan du guichet unique « Ici je monte ma boîte » en Normandie

Initié en 2017, le guichet unique « Ici je monte ma boîte » a pour objectif d’offrir aux entrepreneurs un accompagnement personnalisé. Un an plus tard, c’est l’heure d’un premier bilan.

Offrir un accompagnement personnalisé pour mieux sécuriser le parcours des créateurs d’entreprise : lancé par la Région Normandie, en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) Ouest Normandie et la Chambre Régionale de Métiers et de l’Artisanat (CRMA) Normandie, le guichet unique « Ici je monte ma boîte » vise à améliorer le soutien apporté aux porteurs de projets. Aujourd’hui, un an plus tard, il est temps d’analyser son impact concret.

1 000 projets financés depuis septembre 2017

Dans le détail, depuis la mise en place du guichet unique en septembre 2017, pas moins de 12 000 porteurs de projets ont été reçus. 6 000 ont pu bénéficier d’un diagnostic personnalisé, 2 500 créateurs et repreneurs d’entreprise ont été accompagnés dans leurs démarches, et 1 000 projets ont été financés par le biais de ce dispositif.


Précision : l’enveloppe budgétaire accordée par la Région Normandie s’élève, depuis le lancement de l’initiative, à près de 4,13 millions d’euros.

Selon des chiffres officiels, depuis le début de l’année 2018, le nombre de créations et de reprises d’entreprise a, par ailleurs, augmenté de 6,2 % dans la région : une croissance supérieure à la moyenne nationale, portée notamment par la création de sociétés (+7,4 % sur les 12 derniers mois).

Quel est le profil des bénéficiaires du dispositif ?

Parmi les porteurs de projets ayant pu se faire accompagner grâce à l’initiative « Ici je monte ma boîte », 70 % sont des demandeurs d’emploi, 15 % des salariés, 10 % des bénéficiaires de minimas sociaux et 5 % des indépendants.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.normandie.fr

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Créateurs d’entreprise : un nouvel espace vous est dédié sur www.impots.gouv.fr !

Pour aider les (futurs) entrepreneurs dans leurs démarches, le portail en ligne www.impots.gouv.fr s’est récemment doté d’un nouvel espace entièrement dédié aux enjeux liés à la création d’entreprise.

Formalités, statuts juridiques, obligations fiscales… Au moment de créer leur entreprise, les porteurs de projets se voient généralement confrontés à bon nombre d’interrogations et de démarches à effectuer. Pour les accompagner au mieux dans cette étape cruciale pour le lancement de leur nouvelle activité, le portail www.impots.gouv.fr s’est récemment doté d’un nouvel espace numérique.

Fiches pratiques, formations et services en ligne

Dans le détail, cette nouvelle interface propose ainsi non seulement des fiches pratiques dédiées aux différentes thématiques liées à la création d’entreprise (formalités administratives, choix du statut juridique, obligations et aides fiscales…), mais aussi des informations complémentaires telles que des vidéos de formation s’adressant plus particulièrement aux porteurs de micro-projets.

Par ailleurs, en plus d’offrir un accès direct aux divers services en ligne et aux formulaires administratifs numérisés, le nouveau portail propose, pour chaque thématique entrepreneuriale, une série de questions-réponses utiles. De quoi permettre aux internautes de se renseigner en quelques clics seulement sur les enjeux phares de la création d’entreprise, tout en trouvant des explications plus précises sur des sujets fréquemment abordés !

Pour en savoir plus et visiter le nouvel espace dédié aux créateurs d’entreprise, rendez-vous sur : www.impots.gouv.fr

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