Testez vos connaissances numériques sur PIX !

Une nouvelle plate-forme va permettre aux professionnels comme aux particuliers de mesurer et de développer leurs compétences dans les nouvelles technologies de l’information.

Mise en ligne il y a quelques jours par le ministère de l’Éducation nationale, PIX est une plate-forme gratuite et publique conçue pour permettre à ses visiteurs d’évaluer leurs connaissances dans le domaine dit du numérique. Bien entendu, Éducation nationale oblige, cet outil a d’abord été pensé pour accompagner des collégiens et des étudiants. À compter de la prochaine rentrée scolaire, PIX devrait d’ailleurs progressivement se substituer au Brevet Informatique et Internet (B2i) et à la Certification informatique et internet (C2i) auxquels doivent se frotter nos charmantes têtes blondes au cours de leur parcours scolaire et universitaire. Pour autant, les plus jeunes ne sont pas les seuls visés par ce site. Les professionnels sont également concernés. L’idée étant de leur permettre de mieux cerner leur niveau de maîtrise du monde digital qui les entoure afin de les aider à identifier leurs points forts, mais aussi leurs carences et donc, le cas échéant, des formations à suivre. À terme, il est même prévu que des certifications reconnues par l’État soient proposées aux professionnels. « Des solutions de passation du mode certifiant à distance » sont également à l’étude, précise le communiqué du ministère.

Un site en construction

Pour le moment, PIX est en version « bêta ». Seuls quatre questionnaires portant sur la gestion des informations et des données, les outils de communication et de collaboration, la création de contenu et la sécurisation des équipements et des données sont proposés. L’approche est très ludique et très maligne. Pour répondre à certaines questions, il est nécessaire de télécharger une feuille de calcul, de lancer une recherche sur Internet, voire de décoder un mot de passe chiffré avec la technique dite « de César ». Faire un sans-faute n’est pas à la portée de tout le monde. Rien que pour cela, ça vaut la peine d’essayer !

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L’édition 2016 de la quinzaine régionale « Osez l’entreprise » : c’est très bientôt !

Organisé par la CCI Grenoble, le forum « Osez l’entreprise » se tiendra les jeudi 24 et vendredi 25 novembre 2016. Il s’adresse à tous ceux qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise.

À vos agendas ! Les jeudi 24 et vendredi 25 novembre 2016, la CCI Grenoble offre aux entrepreneurs, établis ou en devenir, l’occasion de rencontrer des professionnels (chefs d’entreprise, réseaux d’accompagnement, financeurs, experts…) pour tester leurs projets et se faire conseiller dans leurs démarches de création ou de reprise d’entreprise.

Conférences, ateliers techniques, concours de pitch, networking, rendez-vous individuels… Pendant deux jours, le forum « Osez l’entreprise » invite les participants à venir découvrir les étapes incontournables du lancement – ou de la reprise – d’une activité !

Comment présenter mon dossier de création d’entreprise à mon banquier ? Quelles aides Pôle emploi propose-t-il aux porteurs de projets ? Comment créer ou développer une activité en portage salarial ? Quelle stratégie adopter pour réussir sa campagne de crowdfunding ? Comment booster sa communication et offrir à son entreprise une visibilité sur le web ? Gratuit et ouvert à tous, le forum « Osez l’entreprise » propose des rencontres riches en échanges autour des questions essentielles de la création et de la reprise d’entreprise.

Pour en savoir plus et consulter le programme détaillé, rendez-vous sur : www.grenoble.osezlentreprise.com

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Agir et entreprendre : ouvrir de nouvelles perspectives grâce à l’entrepreneuriat

Récemment lancée par les associations CIDJ et BGE ADIL, un nouveau programme gratuit, intitulé « Agir et entreprendre », vise à aider les personnes sans qualification à créer leur entreprise.

Se reconvertir pour monter son entreprise ? Et pourquoi pas ! Fruit d’un partenariat entre le Centre d’information et de documentation jeunesse (CIDJ) et l’association d’accompagnement à la création d’entreprise BGE ADIL, un nouveau programme gratuit propose un soutien précieux aux personnes sans qualification tentées par l’aventure de l’entrepreneuriat.

Baptisé « Agir et entreprendre », il englobe trois dispositifs bien distincts  : une couveuse intergénérationnelle, un pré-incubateur et, enfin, une prestation d’accompagnement, gérée en partenariat avec Pôle Emploi.

En pratique, la couveuse intergénérationnelle est ouverte aux moins de 30 ans et aux plus de 45 ans. D’une durée de 8 mois, ce dispositif s’adresse avant tout aux entrepreneurs en herbe ayant déjà un projet bien développé. L’objectif ? Accompagner les participants sur les enjeux phares du lancement d’une activité, et ce notamment d’un point de vue commercial.

Initié en juillet 2016, le second dispositif – le pré-incubateur – vise à soutenir les entrepreneurs dont le projet reste encore à mûrir. Pendant 6 mois, les futurs créateurs d’entreprise seront ainsi coachés par une équipe d’experts. Au programme : des retours d’expérience et un accompagnement ciblé sur des problématiques incontournables comme, par exemple, le montage d’un business plan.

Enfin, intitulé « Activ’crea », le dernier volet du programme est, quant à lui, réservé aux demandeurs d’emploi souhaitant entreprendre, sans pour autant avoir une idée précise. D’une durée de 3 mois, cette nouvelle prestation vise à favoriser l’émergence d’un projet concret et à accompagner les participants dans l’exploration de la création d’entreprise comme solution de retour à l’emploi.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cidj.com

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Nom de domaine : les contours juridiques du .fr

L’Afnic vient de publier un guide pratique présentant de manière simple et pédagogique les droits et obligations des titulaires d’un nom de domaine en .fr.

Près de 3 millions de noms de domaine dotés de l’extension française .fr sont aujourd’hui actifs et pas moins de 60 % d’entre eux ont été déposés par des entreprises ou des associations. L’enjeu est donc de taille pour les TPE comme pour les PME et si les modalités techniques de dépôt, simplifiées au fil du temps, sont désormais maîtrisées par le plus grand nombre, les contours juridiques de ces adresses Internet restent encore largement méconnus. C’est la raison pour laquelle l’Association française pour le nommage Internet en coopération (Afnic) vient de publier le « Guide pratique du titulaire du nom de domaine en .fr ».

Faciliter la gestion du .fr

L’objectif de l’Afnic n’est pas de revenir, comme elle le fait sur son site « réussir en .fr » sur l’importance et le rôle que peut jouer un nom de domaine dans la stratégie web d’une entreprise. L’association entend ici présenter au titulaire ou au futur titulaire d’un nom de domaine en .fr l’environnement juridique qui entoure cette adresse afin de lui en faciliter la gestion. Concrètement, ce guide de 16 pages est découpé en 5 parties. La première porte sur le dépôt et rappelle l’importance du choix du titulaire (que se passe-t-il lorsqu’un nom de domaine est enregistré sous son nom par un salarié et qu’il quitte l’entreprise ?) et l’engagement qu’il contracte (respect de la charte de nommage). La seconde présente les droits dont dispose un titulaire de nom de domaine en .fr et les obligations qu’il doit respecter (résider dans un pays de l’UE, fournir des coordonnées fiables, désigner un contact administratif…). La troisième partie est consacrée aux changements qui peuvent intervenir pendant la période d’enregistrement du nom de domaine (changement de bureau d’enregistrement ou faillite de ce dernier, cession, blocage ou sécurisation du nom de domaine). Enfin, les deux dernières parties du guide reviennent sur la durée de vie du nom de domaine et les conditions de son renouvellement ainsi que sur la gestion des conflits avec des tiers que peut faire naître le dépôt d’un nom de domaine.

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Création-transmission d’entreprise : une semaine pour changer de vie grâce à l’artisanat !

Organisée par le réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, la Semaine nationale de la création-transmission d’entreprises artisanales se tiendra du 18 au 25 novembre 2016.

La 16e édition de la Semaine nationale de la création-transmission d’entreprises artisanales se tiendra du vendredi 18 au vendredi 25 novembre 2016 dans toute la France.

Organisé par le réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat (CMA) et ouvert à toutes les personnes intéressées par le sujet – qu’ils soient créateurs d’entreprise, déjà installés ou en devenir, cédants ou repreneurs – l’évènement offre un large choix de rendez-vous instructifs et enrichissants.

Salons, journées portes ouvertes, conférences, stages de préparation, soirées théâtre, tables rondes… Autant d’occasions de faire le plein d’informations sur les différentes opportunités offertes par le secteur de l’artisanat ! Sans compter la présence des conseillers du réseau des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, disponibles pour échanger avec les porteurs de projets sur les divers enjeux du développement d’une entreprise, de la création (ou de la reprise) jusqu’à la transmission.

Pour en savoir plus et consulter le détail des évènements proposés dans votre région, rendez-vous sur : creation-transmission.artisanat.fr

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Publier une offre d’emploi sur Facebook

Le réseau social américain teste actuellement une nouvelle fonctionnalité permettant aux entreprises de mettre en ligne et de faire connaître des offres d’emploi.

Les entreprises ont toujours eu la possibilité de publier sur leur page Facebook des offres d’emploi, mais jusqu’à présent aucun outil d’accompagnement spécifique n’était présent sur le premier réseau social mondial. La situation pourrait bientôt changer. Ainsi, récemment repérée par les journalistes de TechCrunch, une expérimentation est, en ce moment, menée par Facebook. Cette dernière a pour objet de mesurer l’efficacité d’une nouvelle fonctionnalité de publication d’offres d’emploi. Concrètement, pour poster une telle offre, l’entreprise pourra utiliser un message type comportant des champs dédiés (type de poste, nature de l’emploi, temps partiel ou complet, salaire…). Une fois complétée, l’annonce apparaîtra sur la page de l’entreprise dans un format spécifique afin qu’elle se distingue, au premier coup d’œil, des autres posts mis en ligne. Les internautes pourront également retrouver l’annonce dans un nouvel onglet « emplois » présent sur la page de l’entreprise.

Une réponse simplifiée

Les candidats intéressés n’auront qu’à cliquer sur un bouton pour répondre à l’annonce. Apparaîtra alors un formulaire qu’il leur reviendra de compléter, sachant que toutes les données qu’ils ont déjà intégrées dans leur profil Facebook seront déjà renseignées (noms, adresse…). Le message de réponse sera reçu par l’entreprise comme un message Facebook classique ou sur une adresse mail dédiée. Bien entendu, Facebook offrira aux entreprises, moyennant finance, la possibilité d’adresser leur annonce à des utilisateurs du réseau non abonnés à leur page qui entreront dans le profil recherché. Pour le moment, cette fonctionnalité est en phase de test. Aucune confirmation de mise en œuvre, ni date de déploiement n’ont encore été annoncées par les responsables du réseau américain.

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À découvrir : le nouveau guide AFE « Entreprendre dans l’économie sociale et solidaire »

Dédié aux porteurs de projets, un nouveau guide pratique publié par l’Agence France Entrepreneur (AFE) fait le point sur l’entrepreneuriat dans le domaine de l’économie sociale et solidaire.

En pleine expansion, le secteur de l’économie sociale et solidaire (ESS) représente à ce jour 10 % du PIB français et emploie plus de 2,3 millions de salariés (soit 12,7 % de l’emploi privé dans l’Hexagone). Replaçant l’humain et l’intérêt général au cœur de l’activité, il tend vers un modèle économique non seulement plus transparent, mais aussi plus démocratique.


Précision : l’ESS désigne un ensemble d’entreprises organisées sous forme de coopératives, mutuelles, associations ou fondations, dont l’organisation interne et les activités sont fondées sur un principe de solidarité et d’utilité sociale. Fonctionnant selon des modes de gestion participatifs, les entreprises de l’ESS réinvestissent, en général, les bénéfices réalisés au service du projet collectif.

Afin d’aider les entrepreneurs évoluant dans le secteur de l’ESS à concrétiser leurs projets, l’Agence France Entrepreneur (AFE) a récemment publié un nouveau guide pratique. Intitulé « Entreprendre dans l’économie sociale et solidaire », il fait le point sur ce nouveau mode d’entrepreneuriat et propose des conseils utiles à tous ceux qui souhaitent se lancer.

Identification des besoins sociaux existants, définition du business model, choix de la structure juridique, sources d’information et de formation, accessibilité de certaines aides, évaluation juste des moyens humains, financiers et matériels nécessaires pour démarrer l’activité… Disponible gratuitement sur le site web de l’AFE, le petit guide « Entreprendre dans l’économie sociale et solidaire » donne de nombreux repères pratiques pour transformer son projet en succès !

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.afecreation.fr

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10 nouveaux French Tech Hubs rejoignent le réseau d’entrepreneurs français à l’étranger

Le réseau mondial de la French Tech a récemment accueilli 10 nouveaux Hubs. Il regroupe désormais 22 métropoles internationales et leurs écosystèmes entrepreneuriaux.

Ils sont maintenant au nombre de 22 et présents aux quatre coins du monde : récemment désignés par l’État français, 10 nouveaux écosystèmes entrepreneuriaux viennent de rejoindre le cercle des métropoles internationales baptisées « French Tech Hubs » !


Rappel : le label « French Tech Hub » vise à fédérer l’écosystème entrepreneurial français au sein d’une métropole internationale, à offrir un point d’entrée simplifié aux start-up souhaitant s’y implanter et, enfin, à faire découvrir la French Tech aux différents acteurs locaux (investisseurs, médias, entrepreneurs…).

Ainsi, au même titre que New York, Israël, Tokyo, San Francisco, Moscou, Abidjan, Cape Town, Londres, Barcelone, Hong Kong, Montréal et Séoul – écosystèmes déjà labellisés –, les villes de Berlin, Dubaï, Shanghai, Sao Paulo, Los Angeles, Milan, Pékin, Shenzen, Taipei ainsi que la communauté entrepreneuriale du Vietnam participeront désormais au rayonnement de l’esprit French Tech à travers le monde.

« C’est un ensemble cohérent et efficace qui se dessine année après année », précise Axelle Lemaire, secrétaire d’État chargée du Numérique et de l’Innovation. « La French Tech s’affirme avec ce réseau mondial étoffé de 10 nouveaux Hubs comme un outil majeur au service de l’attractivité de notre pays ». De quoi apporter un coup de pouce précieux à la dynamique entrepreneuriale tricolore… en France, mais aussi à l’international !

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com

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Navigation sur Internet : le PC laisse sa place au mobile

En octobre 2016, dans le monde, le nombre de consultations Internet a été plus élevé sur les équipements mobiles que sur les traditionnels PC. Une bonne occasion pour les entreprises de vérifier que leurs sites sont bien « mobile friendly ».

Selon StatCounter, en octobre dernier, 51,3 % des accès à Internet ont été effectués en utilisant un smartphone ou une tablette et 48,7 % via un terminal classique de type PC ou Mac. Depuis 8 ans que ce cabinet spécialisé dans l’analyse des données du Web propose ce type de statistiques, c’est la première fois que l’usage des appareils mobiles devance celui des ordinateurs. Sans surprise, ce sont les smartphones qui portent la tendance (46,6 % des consultations, contre seulement 4,7 % pour les tablettes).

Une situation contrastée

Si la navigation web sur mobile s’impose dans le monde, c’est en partie en raison du faible taux d’équipement en PC que connaissent les pays dits émergents. En Inde, par exemple, pas moins de 78 % des consultations Internet ont été réalisées, en octobre dernier, via un smartphone. Dans toute l’Asie, ce taux d’utilisation a atteint 62 % et en Afrique, près de 61 %. Dans les pays dits développés, en revanche, la donne est différente et, le plus souvent, l’usage du PC pour naviguer sur Internet reste encore la norme. Il en va ainsi de l’Amérique du Nord (58,25 % des consultations sur PC, contre 23,5 % sur smartphone et 8,25 % sur tablette) mais aussi de l’Europe (64,5 % sur PC, 29 % sur smartphone et 6,4 % sur tablette). Quant à la France, elle reste en retrait avec seulement 23 % de consultations réalisées à partir d’un smartphone et 6,5 % via une tablette.

Un site « mobile friendly »

Même si l’usage des smartphones et autres tablettes reste encore minoritaire dans notre pays, son taux d’adoption croît à grande vitesse. En à peine deux ans, ce dernier est ainsi passé de 10 % à près de 30 %. Les entreprises qui disposent d’un site Internet, qu’il s’agisse d’une simple vitrine ou d’un commerce en ligne, ont donc tout intérêt à bien s’assurer qu’il offre un maximum de confort aux mobinautes (visualisation des pages et de leur contenu sans devoir « scroller » ou zoomer, accès aux menus et aux boutons action, as cliquables…). Un outil de test est, à ce propos, gratuitement proposé par Google. Et si le site ne passe pas l’épreuve, il est peut-être temps de le rendre « responsive », c’est-à-dire de revoir sa conception pour que les éléments qui le composent (images, textes, menus…) s’adaptent automatiquement à la taille de l’écran via lequel il est consulté. Un investissement qui, vu le changement des usages, s’impose chaque jour davantage aux entreprises qui souhaitent maintenir ou muscler leur présence en ligne.

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La Maison des Économies solidaires et innovantes ouvrira ses portes d’ici fin 2016 !

Initiée par la Mairie de Paris, la future Maison des Économies solidaires et innovantes – baptisée « Les Canaux » – sera dédiée à tous ceux qui veulent agir pour un monde plus durable et responsable.

Située à la frontière du 10e et du 19e arrondissement de Paris, sur les berges du Canal de l’Ourcq, la future Maison des Économies solidaires et innovantes ouvrira ses portes avant la fin de l’année. Baptisée « Les Canaux », elle vise à apporter un soutien important au développement d’une économie engagée pour la protection de la planète.

En pratique, ce lieu à la fois original et atypique, créé à l’initiative de la Mairie de Paris, accueillera ainsi non seulement un incubateur de start-up, mais aussi des expositions et des évènements pour former, informer et accompagner tous ceux qui veulent agir… et préparer le monde de demain.

Et ce n’est pas tout ! Catalyseur de projets et lieu d’échanges, il sera également amené à accueillir des organisations internationales, engagées pour une approche durable et responsable, ainsi qu’une boutique éphémère, dont l’ambition sera de faire découvrir, à tous ceux qui le souhaitent, de nouveaux produits et services répondant à des problématiques sociales ou environnementales.

Selon Anne Hidalgo, Maire de Paris, la future Maison des Économies solidaires et innovantes devrait ainsi s’imposer comme « une vitrine internationale, un lieu de partage et un carrefour de rencontres ‘’par’’ et ‘’pour’’ cette génération qui place l’humain et le respect de la planète au cœur de ses projets ».

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.paris.fr

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