Dédié aux jeunes entrepreneurs de 18 à 35 ans, l’accélérateur Le Comptoir, implanté à Montreuil, recrute actuellement sa promotion 2017. Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 12 décembre 2016.
Lancé en 2014, l’accélérateur montreuillois Le Comptoir, dédié aux entrepreneurs âgés de 18 à 35 ans, a récemment lancé un appel à candidatures pour recruter sa nouvelle promotion de start-up innovantes pouvant rejoindre l’aventure dès février prochain.
À la clé : un suivi personnalisé (comprenant mentorat, mise en réseau et formations), un espace de travail de 200 m², ainsi qu’un contact direct avec le fonds d’investissement « Le Comptoir de l’Innovation ». De quoi accélérer le développement des jeunes entreprises incubées et les aider à préparer leur première levée de fonds !
Mais ce n’est pas tout ! Au-delà des services d’accompagnement et d’hébergement proposés sur place, Le Comptoir offre également un accès privilégié au réseau Impact Network, rassemblant pas moins de 15 incubateurs dans 12 pays différents, et permet aux entrepreneurs participants d’échanger, tout au long de leur séjour, avec de nombreux partenaires institutionnels et privés.
Les inscriptions pour rejoindre la 4e promotion de l’accélérateur Le Comptoir sont ouvertes jusqu’au 12 décembre 2016.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.le-comptoir.co
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Pour aider les particuliers comme les professionnels à mieux comprendre les techniques de cryptologie qu’ils utilisent chaque jour, la Cnil propose sur son site un document très pédagogique.
La cryptologie n’est pas qu’une technique utilisée par les espions et les militaires. Avec le développement des réseaux et donc des risques de voir une information confidentielle tomber entre de mauvaises mains, elle est aujourd’hui largement mise en œuvre dans nombre d’applications de communication destinées aux entreprises comme aux particuliers. C’est la raison pour laquelle la Commission nationale informatique et libertés (Cnil) propose sur son site un document sobrement baptisé « Comprendre les grands principes de la cryptologie et du chiffrement » qui, comme son nom l’indique, entend nous aider à mieux appréhender un outil que nous utilisons quotidiennement, le plus souvent sans même le savoir.
Protéger une information et identifier son auteur
Court, illustré et pédagogique, le document de la Cnil nous rappelle, dans un premier temps, que ces techniques de chiffrement répondent à trois objectifs : s’assurer de l’origine d’un fichier reçu ; être certain qu’il n’a pas été modifié pendant son transfert et enfin qu’il n’a pas été lu par une personne non destinataire. En face de ces différents usages, les auteurs du document présentent les techniques qui sont utilisées (fonction de hachage, fonction de hachage à clé, signature numérique, chiffrement symétrique, asymétrique ou hybride). Des schémas commentés très pédagogiques sont là pour nous aider à intégrer le fonctionnement de ces techniques particulièrement complexes. Pour ceux qui veulent aller plus loin, la Cnil propose, sur son site, d’autres articles sur le sujet.
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À travers une série d’actions et de mesures, la Commission européenne vise à créer un cadre plus favorable au développement des jeunes entreprises innovantes.
Créer un cadre plus dynamique et plus cohérent afin de permettre aux jeunes entreprises innovantes de se développer et d’exercer leurs activités dans toute l’Europe : tel est l’objectif d’une récente initiative, annoncée officiellement le 22 novembre 2016 par la Commission européenne.
En pratique, cette dernière réunit une série de mesures existantes et de nouvelles actions destinées à aider, non seulement les jeunes pousses, mais aussi les entreprises en expansion à exploiter pleinement leur potentiel d’innovation et de création d’emplois.
Concrètement, il s’agit de leur offrir un meilleur accès au financement (notamment grâce à la création d’un Fonds paneuropéen de capital-risque), d’accorder « une deuxième chance » aux entrepreneurs connaissant des difficultés financières – des changements législatifs en matière d’insolvabilité pourraient ainsi être envisagés – ou encore de simplifier les déclarations fiscales afin d’encourager les entreprises de petite taille à développer leurs activités par-delà les frontières.
La Commission européenne s’est également prononcée en faveur d’un soutien plus important à l’innovation, notamment à travers la création d’écosystèmes entrepreneuriaux, permettant aux jeunes pousses d’entrer plus facilement en contact avec des partenaires potentiels comme, par exemple, des investisseurs, des universités ou encore des centres de recherche.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.europa.eu
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Publiée par l’association France Angels, la 10 enquête de conjoncture semestrielle menée auprès des réseaux de Business Angels français révèle, une fois de plus, des résultats très encourageants.
France Angels, association nationale fédérant, promouvant et représentant les Business Angels français, vient de publier sa dernière enquête de conjoncture semestrielle, réalisée en partenariat avec BFM Business. Le baromètre dresse, non seulement, un bilan positif du premier semestre 2016, mais prévoit également une dynamique bien lancée pour le second semestre 2016 !
Dans le détail, ce premier semestre a été marqué par le maintien ou la hausse du nombre de Business Angels dans la plupart des réseaux. L’étude fait également apparaître une augmentation de la qualité des dossiers, mais aussi du nombre de ceux qui ont été financés ou refinancés. Pour l’association France Angels cela traduit un accroissement de la notoriété des réseaux, mais aussi « une réelle professionnalisation des pratiques et des savoir-faire » des professionnels qui les animent.
Mais ce n’est pas tout ! Les perspectives pour le second semestre 2016, pas moins optimistes, prévoient, non seulement, une nouvelle augmentation des effectifs au sein des réseaux, mais aussi un accroissement du nombre de projets proposés et financés. En somme : des signaux encourageants, une véritable dynamique entrepreneuriale et une réelle envie d’accompagner toujours plus de jeunes pousses françaises !
Pour en savoir plus et consulter les résultats du dernier baromètre, rendez-vous sur : www.franceangels.org
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À en croire une récente étude, seules 33 % des petites entreprises considèrent qu’il est important de gérer sa e-réputation sur Internet.
L’importance des avis laissés par des consommateurs sur Internet n’est plus à démontrer et rares sont les grandes enseignes qui ne les intègrent pas dans leur politique commerciale. Du côté des TPE-PME, en revanche, la prise de conscience n’est pas encore tout à fait effective du moins si l’on se fie à une récente étude baptisée « Baromètre des avis des internautes et des TPE-PME » réalisée par Opinionway pour le compte de PagesJaunes. Il ressort, en effet, de ce sondage que seuls 38 % des responsables d’entreprises de moins de 250 salariés estiment qu’Internet est important pour la réussite de leur activité. En outre, ces professionnels ne sont que 33 % à considérer que la gestion de leur e-réputation sur Internet ne doit pas être négligée.
Un véritable critère de choix
Du côté des consommateurs, l’approche est, bien entendu, très différente. Ainsi, 71 % des Français affirment consulter les avis disponibles en ligne avant de choisir une entreprise ou un commerce. Et 55 % précisent avoir déjà déposé un avis sur une entreprise dont ils ont été cats. Sur la nature des avis déposés, l’étude nous apprend, par ailleurs, que contrairement aux craintes de nombreux commerçants, l’envie de critiquer n’est pas la première motivation des consommateurs internautes. Ainsi, lorsqu’on leur pose la question, seuls 12 % d’entre eux précisent déposer des avis lorsqu’ils sont mécontents, 17 % quand ils sont satisfaits et 71 % dans un cas comme dans l’autre. En outre, point intéressant, 62 % des Français estiment qu’une entreprise qui recueille des avis à la fois positifs et négatifs est plus crédible qu’une entreprise qui ne rassemble que des avis positifs. Au final, à 75 %, les Français affirment favoriser les entreprises, professionnels et autres commerces sur lesquels il existe des avis publiés en ligne. Ces derniers souhaiteraient, en outre, qu’un plus grand nombre d’avis soient disponibles pour les aider à choisir des artisans dans le BTP ou le dépannage ou encore des entreprises du secteur médical/paramédical ou du secteur automobile.
Manque de temps et de compétence
Seules 23 % des TPE-PME interrogées savaient qu’il existait sur Internet des avis concernant leurs entreprises. Et lorsqu’elles sont au courant, elles ne sont que 55 % à être convaincues de la nécessité de les consulter et, le cas échéant, d’y répondre. 31 % de ces entreprises affirment ainsi répondre souvent aux avis et 13 %, rarement. Sans surprise, le suivi des avis est considéré comme complexe en raison, principalement, du temps qu’il faut y consacrer (62 %) ou encore de la difficulté que l’on peut éprouver pour déterminer la meilleure manière de répondre aux avis des internautes. Bénéficier des conseils d’un spécialiste de la communication digitale serait le bienvenu pour 43 % des TPE-PME interrogées.
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Dédié aux secteurs de l’édition, des médias et des industries créatives, le Labo de l’édition s’adresse à tous ceux qui souhaitent concrétiser leur projet de création d’entreprise.
Cinq mois pour passer de l’idée à la création d’une start-up ! Fort du succès des deux premières éditions, le Labo de l’édition – incubateur du réseau Paris&Co – a récemment lancé un appel à candidatures pour la 3e saison de son dispositif d’accélération.
Cette fois-ci, pas moins de 15 porteurs de projets auront ainsi l’occasion de bénéficier d’un programme de coaching intensif qui les amènera, au fil des mois, à aborder toutes les questions essentielles de la création d’entreprise. Marketing, vente, stratégie de développement, aspects juridiques et financiers… De quoi étoffer ses compétences dans un cadre créatif et stimulant.
Et ce n’est pas tout ! Profitant non seulement d’une connexion privilégiée avec l’ensemble des acteurs de l’innovation, mais aussi d’un encadrement professionnel par des mentors issus du monde de l’entreprise, les participants pourront, en effet, peaufiner leur business model et préparer leur entrée sur le marché dans des conditions optimales.
L’appel à candidatures pour la 3e saison du programme d’accélération du Labo de l’édition est ouvert jusqu’au 2 janvier 2017. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.labodeledition.com
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Après deux mois plutôt dynamiques, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en octobre : -2,0 % par rapport au mois précédent, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés, 46 602 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’octobre 2016 : -2,0 % par rapport au mois de septembre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, cette évolution s’explique notamment par un repli sensible du nombre de créations d’entreprises classiques (-3,8 %), qui n’est que partiellement compensé par une légère hausse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+0,8 %).
Les chiffres témoignent, en revanche, d’un redressement du nombre cumulé de créations d’entreprises en France sur la période août-septembre-octobre : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 4,7 %, tous types d’entreprises confondus (dont +12,4 % pour les créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs et +6,5 % pour les entreprises sous forme sociétaire). Une fois de plus, ce sont les secteurs du transport et du soutien aux entreprises qui contribuent le plus à cette reprise.
De même, le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des douze derniers mois continue de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 4,7 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux douze mois précédents. Ceci s’explique principalement par une forte hausse des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+14,2 %) et de sociétés (+10,1 %), qui est néanmoins pondérée par une nouvelle baisse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-4,3 %).
Enfin, l’Insee précise que les demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs ne représentent plus que 40,4 % des créations d’entreprises enregistrées au cours des douze derniers mois – contre 44,2 % un an auparavant.
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Une nouvelle plate-forme va permettre aux professionnels comme aux particuliers de mesurer et de développer leurs compétences dans les nouvelles technologies de l’information.
Mise en ligne il y a quelques jours par le ministère de l’Éducation nationale, PIX est une plate-forme gratuite et publique conçue pour permettre à ses visiteurs d’évaluer leurs connaissances dans le domaine dit du numérique. Bien entendu, Éducation nationale oblige, cet outil a d’abord été pensé pour accompagner des collégiens et des étudiants. À compter de la prochaine rentrée scolaire, PIX devrait d’ailleurs progressivement se substituer au Brevet Informatique et Internet (B2i) et à la Certification informatique et internet (C2i) auxquels doivent se frotter nos charmantes têtes blondes au cours de leur parcours scolaire et universitaire. Pour autant, les plus jeunes ne sont pas les seuls visés par ce site. Les professionnels sont également concernés. L’idée étant de leur permettre de mieux cerner leur niveau de maîtrise du monde digital qui les entoure afin de les aider à identifier leurs points forts, mais aussi leurs carences et donc, le cas échéant, des formations à suivre. À terme, il est même prévu que des certifications reconnues par l’État soient proposées aux professionnels. « Des solutions de passation du mode certifiant à distance » sont également à l’étude, précise le communiqué du ministère.
Un site en construction
Pour le moment, PIX est en version « bêta ». Seuls quatre questionnaires portant sur la gestion des informations et des données, les outils de communication et de collaboration, la création de contenu et la sécurisation des équipements et des données sont proposés. L’approche est très ludique et très maligne. Pour répondre à certaines questions, il est nécessaire de télécharger une feuille de calcul, de lancer une recherche sur Internet, voire de décoder un mot de passe chiffré avec la technique dite « de César ». Faire un sans-faute n’est pas à la portée de tout le monde. Rien que pour cela, ça vaut la peine d’essayer !
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Organisé par la CCI Grenoble, le forum « Osez l’entreprise » se tiendra les jeudi 24 et vendredi 25 novembre 2016. Il s’adresse à tous ceux qui souhaitent créer ou reprendre une entreprise.
À vos agendas ! Les jeudi 24 et vendredi 25 novembre 2016, la CCI Grenoble offre aux entrepreneurs, établis ou en devenir, l’occasion de rencontrer des professionnels (chefs d’entreprise, réseaux d’accompagnement, financeurs, experts…) pour tester leurs projets et se faire conseiller dans leurs démarches de création ou de reprise d’entreprise.
Conférences, ateliers techniques, concours de pitch, networking, rendez-vous individuels… Pendant deux jours, le forum « Osez l’entreprise » invite les participants à venir découvrir les étapes incontournables du lancement – ou de la reprise – d’une activité !
Comment présenter mon dossier de création d’entreprise à mon banquier ? Quelles aides Pôle emploi propose-t-il aux porteurs de projets ? Comment créer ou développer une activité en portage salarial ? Quelle stratégie adopter pour réussir sa campagne de crowdfunding ? Comment booster sa communication et offrir à son entreprise une visibilité sur le web ? Gratuit et ouvert à tous, le forum « Osez l’entreprise » propose des rencontres riches en échanges autour des questions essentielles de la création et de la reprise d’entreprise.
Pour en savoir plus et consulter le programme détaillé, rendez-vous sur : www.grenoble.osezlentreprise.com
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Récemment lancée par les associations CIDJ et BGE ADIL, un nouveau programme gratuit, intitulé « Agir et entreprendre », vise à aider les personnes sans qualification à créer leur entreprise.
Se reconvertir pour monter son entreprise ? Et pourquoi pas ! Fruit d’un partenariat entre le Centre d’information et de documentation jeunesse (CIDJ) et l’association d’accompagnement à la création d’entreprise BGE ADIL, un nouveau programme gratuit propose un soutien précieux aux personnes sans qualification tentées par l’aventure de l’entrepreneuriat.
Baptisé « Agir et entreprendre », il englobe trois dispositifs bien distincts : une couveuse intergénérationnelle, un pré-incubateur et, enfin, une prestation d’accompagnement, gérée en partenariat avec Pôle Emploi.
En pratique, la couveuse intergénérationnelle est ouverte aux moins de 30 ans et aux plus de 45 ans. D’une durée de 8 mois, ce dispositif s’adresse avant tout aux entrepreneurs en herbe ayant déjà un projet bien développé. L’objectif ? Accompagner les participants sur les enjeux phares du lancement d’une activité, et ce notamment d’un point de vue commercial.
Initié en juillet 2016, le second dispositif – le pré-incubateur – vise à soutenir les entrepreneurs dont le projet reste encore à mûrir. Pendant 6 mois, les futurs créateurs d’entreprise seront ainsi coachés par une équipe d’experts. Au programme : des retours d’expérience et un accompagnement ciblé sur des problématiques incontournables comme, par exemple, le montage d’un business plan.
Enfin, intitulé « Activ’crea », le dernier volet du programme est, quant à lui, réservé aux demandeurs d’emploi souhaitant entreprendre, sans pour autant avoir une idée précise. D’une durée de 3 mois, cette nouvelle prestation vise à favoriser l’émergence d’un projet concret et à accompagner les participants dans l’exploration de la création d’entreprise comme solution de retour à l’emploi.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cidj.com
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