Covid-19 : des mesures de soutien spécifiques pour les start-up

Pour aider les start-up à surmonter la crise sanitaire et économique du Covid-19, le gouvernement vient de lancer un plan d’urgence dédié. Il complétera les mesures précédemment annoncées.

Répondre aux problématiques particulières des start-up face au contexte de crise sanitaire actuel : c’est l’objectif d’un plan d’urgence spécifique, mis en place par le secrétariat d’État chargé du numérique, le secrétariat général pour l’Investissement et Bpifrance. Comprenant plusieurs mesures économiques en faveur des start-up, le dispositif mobilisera au total près de 4 milliards d’euros.

Assurer la pérennité des jeunes entreprises innovantes dans un contexte de crise

Dans le détail, ce plan d’urgence gouvernemental comprend notamment :– une enveloppe de 80 millions d’euros, financée grâce au Programme d’investissements d’avenir (PIA) et gérée par Bpifrance, pouvant soutenir les start-up étant dans l’incapacité de boucler leur prochaine levée de fonds du fait de la crise économique ;– des prêts de trésorerie garantis par l’État d’un montant global de près de 2 milliards d’euros, avec des conditions spécifiques pour les start-up, pouvant représenter jusqu’à deux fois la masse salariale 2019 (ou, si celui-ci est plus élevé, 25 % du chiffre d’affaires annuel) ;– le remboursement accéléré des crédits d’impôts restituables en 2020 (dont notamment le crédit impôt recherche 2019) et des crédits de TVA, celui-ci pouvant être demandé dès maintenant auprès de la DGFiP et des services des impôts des entreprises ;– le versement anticipé des aides à l’innovation attribuées dans le cadre du PIA, déjà attribuées mais pas encore distribuées, représentant un montant total estimé à 250 millions d’euros.


Précision : ce dispositif spécifique vise à compléter les mesures globales de soutien aux entreprises, déjà annoncées par le gouvernement, dont les start-up peuvent également bénéficier.

L’État s’est, par ailleurs, engagé à maintenir, à travers Bpifrance, son soutien aux entreprises innovantes avec près d’1,3 milliard d’euros d’aides à l’innovation (subventions, avances remboursables, prêts…) prévues pour 2020.

Pour en savoir plus sur les mesures spécifiques mises en place par le gouvernement pour aider les start-up frappées par la crise du Covid-19, rendez-vous sur :

www.economie.gouv.fr

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Confinement : peaufiner son projet entrepreneurial grâce aux formations en ligne

En cette période de crise sanitaire, s’appuyer sur les outils numériques pour continuer à se former est vivement conseillé. Y compris pour les porteurs de projets et futurs créateurs d’entreprise !

Face à l’épidémie du coronavirus, continuer à poursuivre ses objectifs (y compris professionnels) représente un défi. Pourtant, même en période de confinement, il est possible d’avancer sur son projet entrepreneurial… Notamment grâce aux tutoriels et modules de formation disponibles sur le web.

Une offre variée de contenus gratuits et accessibles à tous

Il existe aujourd’hui divers portails numériques regroupant une offre toujours plus riche de cours en ligne, dont bon nombre sont accessibles gratuitement. En voici quelques exemples :• la plate-forme OpenClassrooms : plus de 1 000 cours sont actuellement disponibles en ligne, dont

de nombreux modules particulièrement adaptés aux besoins des porteurs de projets

. L’inscription et le suivi des cours sont gratuits, seuls les parcours professionnels sont payants ;• le portail FUN-MOOC : lancé en 2013 à l’initiative du ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche, il propose, à ce jour,

plus de 60 cours portant sur des thématiques variées

. Ces derniers étant gratuits et accessibles à tous ;• le site web tuto.com : à côté des contenus payants,

plus de 1 500 tutoriels vidéos sont accessibles gratuitement

. Si l’accent est mis sur les métiers du digital, certains contenus abordent, dans une perspective plus large, les enjeux entrepreneuriaux tels que la création ou le développement ;• les webinaires Bpifrance : pédagogiques, informatives et gratuites, ces conférences en ligne peuvent être visionnées, tout au long de l’année (en direct ou en replay),

via la plate-forme numérique de la banque publique d’investissement

.

Autant d’opportunités intéressantes pour étoffer ses connaissances, développer ses savoir-faire et peaufiner son projet entrepreneurial, jour après jour !

Enfin, n’oubliez pas que vous pouvez également mobiliser votre CPF (Compte personnel de formation) pour accéder à des formations payantes, y compris à distance. N’hésitez pas à profiter de cette période de confinement pour étudier l’offre proposée et identifier les modules pouvant vous intéresser.

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Coronavirus : l’édition 2020 du salon Viva Technology est annulée

Compte tenu de l’évolution de la crise sanitaire du Covid-19, la 5 édition du salon Viva Technology ne pourra pas avoir lieu, comme prévu, au mois de juin prochain. Des alternatives sont néanmoins à l’étude.

Sans surprise, l’édition 2020 du salon professionnel Viva Technology ne pourra pas avoir lieu, comme initialement prévu, du 11 au 13 juin prochain. Lancé il y a 5 ans par Les Échos et le groupe de communication Publicis, l’évènement à portée internationale devait rassembler plus de 120 000 participants, venus du monde entier, dans les locaux de Paris Expo Porte de Versailles.

Garantir la sécurité des participants dans un contexte de crise

Au regard de l’évolution de la crise sanitaire du Covid-19, les organisateurs se voient, en effet, contraints de prendre les mesures nécessaires pour garantir la santé et la sécurité des visiteurs, des partenaires et des équipes. Et, par conséquent, d’annuler la manifestation aux dates initialement annoncées.

Cependant, en concertation avec les principaux partenaires de l’évènement, des solutions alternatives sont actuellement à l’étude. Elles seront, le cas échéant, annoncées prochainement.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :

www.vivatechnology.com

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Créations d’entreprises : un mois de février sous le signe du repli

Après un mois de janvier déjà marqué par une légère baisse (- 1,5 %), le nombre de créations d’entreprises a continué de diminuer en février 2020 : – 2,8 %, selon les derniers chiffres de l’Insee.

Un début d’année 2020 pour le moins tendu, qui se reflète également au niveau conjoncturel. Seulement 70 087 nouvelles créations d’entreprises ont, en effet, été enregistrées au mois de février : l’équivalent d’une baisse de – 2,8 % par rapport au mois de janvier, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, cette évolution s’explique notamment par un ralentissement important du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (- 6,8 %), accompagné d’un repli, cependant plus léger, du nombre de créations d’entreprises classiques (- 0,7 %).

+ 12,3 % sur les 3 derniers mois

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période décembre-janvier-février, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance bien plus dynamique : par rapport au même trimestre un an auparavant, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 12,3 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 24,9 % pour les entreprises individuelles classiques, + 10,1 % pour les micro-entrepreneurs et + 4,9 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire).

+ 15,4 % sur les 12 derniers mois

C’est une tendance similaire qui se dessine sur les 12 derniers mois : le nombre cumulé d’entreprises créées au cours de cette période continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 15,4 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une évolution qui s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 18,5 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+ 17,6 %) et des créations de sociétés (+ 8,5 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur :

www.insee.fr

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Porteurs de projets : l’Adie met en place un parcours d’accompagnement 100 % digital

Pour rendre la création d’entreprise accessible au plus grand nombre, l’Adie prévoit de compléter, à partir du mois d’avril prochain, son offre d’accompagnement physique par une formule 100 % digitale.

Un parcours 100 % digital, ludique et accessible à tous : c’est la promesse d’une nouvelle offre d’accompagnement, imaginée par l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) pour épauler les porteurs de projets dans leur démarche de création d’entreprise. Entièrement gratuite, elle aura pour vocation de compléter les prestations de soutien déjà proposées en la matière.

Un parcours personnalisable et des contenus « à la carte »

Dans le détail, ce nouveau parcours d’accompagnement de l’Adie sera accessible, dès le mois d’avril prochain, via une plate-forme numérique dédiée et donnera aux participants la possibilité de suivre, à la carte, quatre modules d’apprentissage, à savoir : « Quel est mon profil d’entrepreneur ? », « Suis-je prêt à trouver des cdivts ? », « Mon projet est-il viable ? » et « Quel statut choisir pour mon entreprise ? ».

En parallèle, différents contenus pédagogiques, ayant pour ambition d’accompagner les participants dans le montage de leur projet entrepreneurial, seront proposés en ligne. Baptisés « Je construis », « Je teste » et « Je m’informe », ils viseront à assister les futurs créateurs d’entreprise dans la construction de leur business plan, à leur apporter des conseils pratiques pour tester leur projet sur le terrain et, enfin, à leur donner les clés pour réussir le démarrage de leur nouvelle activité.

Selon l’Adie, ce nouveau parcours d’accompagnement 100 % digital sera, par ailleurs, amené à s’enrichir au fil de l’année à travers l’intégration progressive de contenus complémentaires.

Pour en savoir plus et consulter d’ores et déjà les deux premiers modules d’apprentissage disponibles en ligne, rendez-vous sur :

www.adie.org

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Création d’entreprise au féminin : donner plus de sens à sa vie professionnelle

Selon un récent sondage OpinionWay, les femmes sont fortement attirées par l’entrepreneuriat et considèrent la création d’entreprise comme un moyen de concrétiser une idée personnelle.

La création d’entreprise comme source d’épanouissement professionnel : d’après

un sondage OpinionWay, réalisé pour Bpifrance et le réseau associatif France Active

, pas moins de 63 % des femmes estiment qu’il est plus motivant de créer sa propre entreprise que d’être salariée. À ce titre, l’entrepreneuriat leur apparaît non seulement comme un moyen de concrétiser une idée personnelle (pour 47 % des participantes), mais aussi comme une opportunité de donner plus de sens à leur vie professionnelle (46 %) et de gagner en liberté (34 %).

Surmonter la peur de l’échec, principal frein à l’entrepreneuriat féminin

Dans le détail, 32 % des femmes interrogées se déclarent ainsi prêtes à concrétiser leur envie de création d’entreprise dès que possible ou dans quelques années ; un pourcentage qui monte même à 52 % chez les 25 à 34 ans. Au-delà des motivations précédemment citées, la perspective de gagner plus d’argent (objectif évoqué par 16 % des sondées) et l’envie de sortir d’une situation professionnelle précaire, telle que le chômage et les petits boulots (14 %), font également partie des raisons qui stimulent les femmes dans leurs démarches.

Sans oublier, cependant, que la peur de l’échec demeure le principal frein à l’entrepreneuriat féminin. 77 % des femmes CSP- et 61 % des femmes CSP+ déclarent, en effet, ne pas se sentir capables de se lancer dans l’entrepreneuriat. Ce qui démontre, une fois de plus, la nécessité d’un accompagnement adapté aux besoins des porteuses de projets, ayant pour ambition de les aider à surmonter les divers obstacles pouvant se présenter en cours de route, y compris en termes de financement.

Pour en savoir plus et connaître le détail des actions d’accompagnement menées par Bpifrance et le réseau associatif France Active en faveur de l’entrepreneuriat féminin, rendez-vous sur :

www.bpifrance.fr

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Des conférences en ligne dédiées aux entrepreneurs : Bpifrance lance ses webinaires !

Accessibles gratuitement via le site internet de la Banque publique d’investissement, les webinaires Bpifrance abordent régulièrement des enjeux phares en lien avec la création d’entreprise.

Des conférences en ligne sur différentes thématiques entrepreneuriales : destinés aux créateurs, repreneurs et dirigeants d’entreprise, les webinaires Bpifrance abordent, tout au long de l’année, des questions pratiques en div avec le lancement et le développement d’une activité.

Des séances de formation gratuites et accessibles à tout un chacun

Comment financer mon projet de création d’entreprise ? Quel statut juridique choisir ? Comment réussir mon objectif de reprise d’entreprise ? Quel sont les leviers pour développer mon activité ? Autant de questions, parmi d’autres, qui sont abordées au fil des séances !

D’une durée d’une quarantaine de minutes environ, chaque module est présenté par un expert chevronné de l’univers entrepreneurial qui partage ses conseils et se clôture par une séance de questions-réponses.

Gratuits et accessibles à toute personne intéressée par le sujet, les webinaires Bpifrance peuvent être suivis en direct ou en différé. Pour en savoir plus et consulter le programme 2020 dans son intégralité, rendez-vous sur :

www.bpifrance-creation.fr

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Autoentrepreneurs : les immatriculations en hausse, toujours !

Le nombre d’autoentrepreneurs immatriculés en France ainsi que leur chiffre d’affaires moyen continuent de progresser.

Les autoentrepreneurs continuent de s’imposer au sein du paysage entrepreneurial français, d’après les derniers chiffres diffusés par l’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf. Fin juin 2019, l’organisme collecteur de cotisations sociales comptait ainsi 1,57 million d’autoentrepreneurs, soit 16,5 % de plus par rapport à l’année précédente.

Un chiffre d’affaires moyen également en hausse

Concrètement, 513 000 nouvelles immatriculations d’autoentrepreneurs ont ainsi été enregistrées sur un an (+ 21,5 % par rapport à juin 2018), conservant un écart important avec le nombre de radiations effectuées sur la même période (de l’ordre de 291 000, au total). Et ce bien que ces dernières aient affiché une augmentation de + 8,6 % par rapport à l’année précédente.

Pas moins de 896 000 autoentrepreneurs (l’équivalent de 57,2 % des bénéficiaires du régime) ont, par ailleurs, déclaré un chiffre d’affaires positif au deuxième trimestre 2019 (+ 13 % sur un an), dont le montant moyen s’est établi à 4 325 € pour la période concernée : une progression de 9,1 % sur les douze mois observés (après + 10,9 % fin juin 2018).

Une progression dans toutes les régions métropolitaines

D’un point de vue géographique, l’Acoss constate, dans la majorité des régions métropolitaines, une croissance à deux chiffres du nombre d’autoentrepreneurs économiquement actifs. Une fois de plus, c’est la région Île-de-France qui se positionne en tête de file des territoires les plus dynamiques : avec une progression de + 17,1 %, elle s’inscrit, en effet, juste devant la région Haute-Normandie qui enregistre, quant à elle, une progression de + 15,8 %. Seuls la Corse (+ 8,7 %) et le Centre-Val de Loire (+ 9,2 %) demeurent en dessous du seuil symbolique de 10 %.

Pour en savoir plus et consulter la note de conjoncture de l’Acoss, rendez-vous sur : www.acoss.fr

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Un nouveau portail en ligne dédié à la reprise d’entreprise en Bretagne

Baptisée reprendre-bretagne.fr, une nouvelle plate-forme numérique vise à accompagner les entrepreneurs et les porteurs de projets souhaitant céder ou reprendre une activité dans la région.

Faciliter la transmission d’entreprise en Bretagne à travers une offre de services dédiée : c’est l’objectif d’une nouvelle plate-forme en ligne, baptisée www.reprendre-bretagne.fr. Fruit d’un partenariat entre les Chambres de commerce et d’industrie (CCI) et les Chambres de Métiers et de l’Artisanat (CMA), elle s’adresse aussi bien aux dirigeants envisageant de céder leur entreprise qu’aux porteurs de projets souhaitant reprendre une activité dans la région.

Accompagner la mise en relation pour favoriser la transmission d’entreprise

En pratique, le nouveau dispositif en ligne vise à sensibiliser les chefs d’entreprise aux enjeux de la transmission, tout en simplifiant la mise en relation entre les cédants et les repreneurs potentiels. En quelques clics seulement, ces derniers peuvent ainsi identifier les entreprises à transmettre : il leur suffit de renseigner le secteur géographique et le domaine d’activité visé pour consulter la liste des établissements en quête d’un nouveau dirigeant.


Bon à savoir : selon une étude publiée en 2018 par les CCI et les CMA de Bretagne, pas moins de 32 200 entreprises bretonnes, rassemblant un total de 198 800 salariés, seront potentiellement à reprendre dans les années à venir.

Pour en savoir plus et explorer le nouveau portail en ligne dédié à la transmission d’entreprise en Bretagne, rendez-vous sur : www.reprendre-bretagne.fr

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Accompagnement entrepreneurial : l’État étend le programme French Tech Central

À travers le déploiement régional du dispositif French Tech Central, le gouvernement entend poursuivre la mobilisation des services publics en faveur du développement des start-up françaises.

Soutenir le dynamisme de l’écosystème start-up français à travers un accompagnement administratif dédié : c’est l’objectif du programme French Tech Central, mis en place par le secrétariat d’État chargé du Numérique. Expérimenté dans un premier temps au sein du campus Station F à Paris, le dispositif aura désormais pour vocation de se déployer sur l’ensemble du territoire français.


Précision : le programme French Tech Central vise à rapprocher l’écosystème start-up et les services de l’État (administrations, services publics…) dans une perspective à la fois collaborative et évolutive.

Faciliter la vie des jeunes entreprises pour favoriser leur développement

À ce jour, pas moins de 30 acteurs publics sont ainsi régulièrement présents au sein du campus Station F pour y tenir, à tour de rôle, des permanences gratuites. Une manière de permettre aux entrepreneurs et aux porteurs de projets d’accéder plus facilement aux expertises publiques pouvant les aider dans le développement de leur activité, que ce soit par l’intermédiaire de rendez-vous individuels ou encore dans le cadre d’ateliers thématiques.

Pour amorcer le déploiement régional du dispositif French Tech Central, un appel à projets a récemment été lancé à destination des Capitales French Tech labellisées par le gouvernement. L’ambition ? Identifier les collectivités souhaitant participer au programme en proposant notamment un espace adapté, pouvant accueillir les rencontres entre start-up et acteurs publics.

Selon le secrétariat d’État chargé du Numérique, le dispositif French Tech Central se déclinera dans chaque territoire en fonction des besoins et des spécificités des écosystèmes locaux. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.economie.gouv.fr

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