Initié conjointement par plusieurs organismes spécialisés dans l’accompagnement des entrepreneurs, un nouveau dispositif a pour ambition de développer l’économie de proximité en zone rurale.
Générer et booster des projets entrepreneuriaux innovants répondant à des besoins locaux et faire travailler ensemble des acteurs issus de tous horizons : officiellement lancé le 14 mars dernier, le nouveau programme d’action « Entreprendre dans les territoires » vise à favoriser le maintien et le développement de l’économie de proximité dans les zones de revitalisation rurale en Pays de la Loire.
Un accompagnement sur-mesure et des journées de mise en relation
Porté conjointement par les délégations régionales de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat, de la Chambre de Commerce et d’Industrie, de la Chambre d’Agriculture et de la Chambre de l’Économie Sociale et Solidaire, ce nouveau dispositif propose notamment un appel à projets destiné aux entrepreneurs souhaitant créer, reprendre, développer ou transmettre une activité à caractère local, marchand et novateur.
À la clé : un accompagnement sur-mesure, mutualisant l’ensemble des compétences et connaissances des organismes impliqués dans le programme d’action, qui consiste à épauler les participants dans leur démarche entrepreneuriale. Sans oublier les journées de découverte et de mise en relation, ayant pour ambition d’encourager les rencontres et de permettre aux personnes ayant un projet de création ou de reprise d’entreprise d’identifier plus facilement l’endroit idéal pour le concrétiser.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.entreprendredanslesterritoires-pdl.fr
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BGE, réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise, organise actuellement la 21 édition de son concours Talents. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 mai 2019 à minuit.
Valoriser et récompenser les réussites entrepreneuriales en France, tant au niveau régional qu’au niveau national : BGE, réseau associatif d’accompagnement à la création d’entreprise, a récemment lancé l’édition 2019 de son concours Talents.
Un concours ouvert à tous les créateurs
Dans le détail, pour pouvoir s’inscrire à cette 21e édition du concours, les candidats doivent avoir créé leur entreprise entre le 1er janvier 2018 et le 31 mars 2019 et avoir bénéficié de l’accompagnement d’un organisme de soutien aux porteurs de projets (BGE ou autre). Aucune condition d’âge ou de secteur d’activité n’est, en revanche, exigée.
Cette année encore, pas moins de 8 catégories sont proposées aux participants : Innovation, Artisanat, Commerce, Dynamiques Rurales, Économie Sociale et Solidaire, Services, Transmission ainsi qu’une dernière thématique, intitulée « Développement », qui a la particularité d’être réservée aux porteurs de projets dont l’entreprise est en activité depuis plus de 3 ans.
Bon à savoir : ces 8 catégories principales seront de nouveau complétées par un prix transversal, baptisé « Talents de l’Encouragement » et parrainé par l’Agefiph. Son objectif ? Valoriser les parcours réussis de créateurs handicapés.
Les candidatures pour cette nouvelle édition du concours Talents BGE sont ouvertes jusqu’au 15 mai 2019 à minuit. Comme chaque année, près de 100 créateurs d’entreprises seront récompensés sur l’ensemble du territoire français.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.concours-talents.com
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Organisé par la Chambre de Métiers et de l’Artisanat des Pays de la Loire, le concours « Entrepreneures de Talent » vise à promouvoir l’entrepreneuriat des femmes d’aujourd’hui.
Si une entreprise innovante sur 10 est aujourd’hui créée par une femme, force est de constater que les porteuses de projets se trouvent toujours confrontées à de nombreux freins : auto-censure, difficultés de financement, articulation des temps de vie… Autant dire que le potentiel économique des créatrices d’entreprise est, à ce jour, loin d’être pleinement exploité ! C’est pourquoi la Chambre de Métiers et de l’Artisanat (CMA) des Pays de la Loire organise cette année encore une nouvelle édition de son concours « Entrepreneures de Talent ».
Des lauréates dans 3 catégories distinctes
Dans le détail, le concours s’adresse à tous les projets portés par des cheffes d’entreprise dont l’activité a été immatriculée en Loire-Atlantique entre le 1er janvier 2008 et le 8 mars 2017, et ce quel que soit le statut juridique choisi. Par ailleurs, toutes sortes d’activités sont éligibles, qu’elles soient artisanales, commerciales, agricoles, artistiques ou libérales.
En pratique, cette nouvelle édition du concours sera amenée à récompenser des lauréates dans 3 catégories distinctes – jeunesse, audace et innovation –, la dotation s’élevant à 2 000 € pour chacune. Sans oublier qu’un prix régional supplémentaire sera attribué cette année par un jury ad’hoc, présidé par le Président de la CMA des Pays de la Loire.
Les candidatures pour l’édition 2019 du Prix « Entrepreneures de Talent » sont ouvertes jusqu’au samedi 15 juin. Pour en savoir plus et consulter le règlement du concours, rendez-vous sur : www.entrepreneuresdetalent.com
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Récemment lancé par Bpifrance et entièrement gratuit, un nouvel outil en ligne offre aux créateurs d’entreprise un panel de services d’accompagnement spécifiquement adaptés à leurs besoins.
Encourager la création d’entreprise à travers des services et des outils accessibles en ligne : récemment lancé par Bpifrance, Banque publique d’investissement dédiée au financement et au développement des entreprises, un nouveau dispositif numérique vient de compléter l’offre d’accompagnement dédié aux porteurs de projet.
Des informations ciblées répondant aux caractéristiques de chaque projet
Baptisée Pass’entrepreneur et entièrement gratuite, cette nouvelle formule permet aux internautes ayant préalablement créé leur compte sur bpifrance-creation.fr de bénéficier d’un large panel de services répondant aux besoins spécifiques des jeunes structures en phase de lancement.
Dans le détail, les futurs entrepreneurs peuvent ainsi non seulement obtenir des informations ciblées en fonction de leurs profils et répondant aux caractéristiques de leurs projets, mais aussi se faire épauler dans la construction de leur business plan. Sans compter le dispositif de géolocalisation intégré, permettant d’identifier en quelques clics seulement différents types d’acteurs, publics ou privés, implantés dans le périmètre d’action des porteurs de projets et susceptibles de les accompagner dans leurs démarches.
Pour en savoir plus et créer votre Pass’entrepreneur, rendez-vous sur : www.bpifrance-creation.fr
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Récemment mis en place par la Confédération générale des Scop, un nouveau portail en ligne s’adresse aux jeunes entrepreneurs souhaitant concilier performance économique et utilité sociale.
Des informations, des conseils et des contacts : récemment lancé par la Confédération générale des Scop, porte-parole des sociétés coopératives auprès des pouvoirs publics et des acteurs politiques, économiques et sociaux, le nouveau portail en ligne start-scop.fr vise à répondre à l’intérêt croissant des jeunes créateurs d’entreprise pour de nouveaux modes de fonctionnement et de gestion.
Des conseils et des sources d’inspiration
Dans le détail, la nouvelle plate-forme numérique a notamment pour objectif de renseigner les porteurs de projets souhaitant concilier performance économique et utilité sociale sur la création d’entreprise en Société coopérative et participative (Scop) ou en Société coopérative d’intérêt collectif (Scic), et de les orienter vers des interlocuteurs et des outils pouvant les accompagner dans leurs démarches, y compris sur des questions de financement.
Bon à savoir : soumises à l’impératif de profitabilité comme toute entreprise, les sociétés coopératives (Scop et Scic) bénéficient d’une gouvernance démocratique et d’une répartition des résultats prioritairement affectée à la pérennité des emplois et du projet d’entreprise.
Et pour permettre aux porteurs de projets intéressés par le modèle coopératif de se projeter plus facilement, le nouveau site Web propose également une série de témoignages, notamment sous forme d’interview vidéo, présentant des jeunes entrepreneurs ayant fait le choix de se lancer dans la création d’une Scop ou d’une Scic et pouvant être source d’inspiration.
Pour en savoir plus et découvrir le nouveau portail en ligne, rendez-vous sur : www.start-scop.fr
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Après un mois de janvier très dynamique (+ 13,6 %), le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en février 2019 : – 1,1 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 66 297 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de février 2019 : – 1,1 % par rapport au mois de janvier, tous types d’entreprises confondus. Selon l’institut, cette évolution s’explique essentiellement par une baisse relativement importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (- 3,8 %), partiellement compensée par une légère augmentation du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 1,5 %).
+ 15,6 % sur les 3 derniers mois
Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période décembre-janvier-février, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre un an auparavant, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 15,6 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 27,1 % pour les micro-entrepreneurs, + 8,2 % pour les entreprises individuelles classiques et + 6,6 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire). Une fois de plus, c’est le secteur « Transport et entreposage » qui contribue le plus à cette hausse globale.
+ 17,0 % sur les 12 derniers mois
C’est une tendance similaire qui se dessine sur les 12 derniers mois : le nombre cumulé d’entreprises créées au cours de cette période continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 17,0 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 28,1 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+ 16,8 %) et des créations de sociétés (+ 3,0 %).
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Afin de réaffirmer son soutien aux créatrices d’entreprise, l’établissement bancaire a récemment fait le point sur l’action qu’il a menée en 2018, tout en se fixant de nouveaux objectifs pour 2019.
Mobilisé depuis 2014 en faveur de l’entrepreneuriat féminin, notamment à travers la mise à disposition de nombreux moyens humains et financiers, l’établissement bancaire BNP Paribas a récemment fait le point sur son action menée en 2018. Un bilan jugé très satisfaisant, et pour cause !
Selon les chiffres publiés, pas moins de 1,7 Md€ de crédits ont, en effet, été engagés pour financer des projets portés par des entrepreneures. Par ailleurs, 19 000 mises en relation, permettant aux femmes de développer leur réseau professionnel, ont été réalisées au cours de l’année dans le cadre du programme #ConnectHers (+ 26,5 % par rapport à 2017). Enfin, 5 plans d’actions régionaux, visant à promouvoir l’entrepreneuriat féminin sur l’ensemble du territoire français, ont été signés.
Une nouvelle enveloppe de 2 Md€ de crédits
Un soutien non négligeable, que l’établissement bancaire souhaite reconfirmer en 2019 à travers de nouveaux engagements dévoilés par la même occasion. En plus de mobiliser une nouvelle enveloppe de 2 Md€ de crédits pour financer des projets menés par des créatrices d’entreprise et de poursuivre le déploiement des plans d’actions régionaux selon les modalités fixées par l’accord-cadre signé avec le secrétariat d’État chargé de l’Égalité entre les Femmes et les Hommes, BNP Paribas prévoit ainsi d’investir en fonds propres dans des entreprises dirigées et/ou détenues par des femmes.
Enfin, à l’instar de 2018, l’année 2019 devrait connaître la publication d’une nouvelle édition de l’Observatoire annuel de l’entrepreneuriat féminin en France, lancé l’année dernière en coopération avec le cabinet d’études Occurrence, dont l’objectif consiste non seulement à mieux identifier les besoins spécifiques des entrepreneures, mais aussi à améliorer l’accompagnement proposé.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.group.bnpparibas
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Récemment lancé par l’incubateur municipal les Ateliers de Paris, l’appel à candidatures s’adresse aux créateurs d’entreprise dans les secteurs de la mode, du design et des métiers d’art.
Structure d’accompagnement économique gérée par la Direction de l’Attractivité et de l’Emploi de la Ville de Paris, les Ateliers de Paris sont à la fois un incubateur d’entreprises, un centre de conseil et d’accompagnement économique ainsi qu’une galerie d’exposition. Depuis son ouverture en 2005, l’établissement municipal soutient l’émergence des jeunes entreprises, notamment en accueillant des porteurs de projets et des entrepreneurs souhaitant développer leur activité.
Un local de travail et des rendez-vous avec des experts
C’est dans le cadre de cette démarche de soutien à l’entrepreneuriat que les Ateliers de Paris ont récemment lancé un nouvel appel à candidatures, destiné aux créateurs œuvrant dans les secteurs de la mode, du design et des métiers d’art, porteurs d’un projet d’entreprise ou ayant créé une entreprise depuis moins de 3 ans.
À la clé : la mise à disposition (moyennant le paiement d’un forfait calculé en fonction de la surface occupée et du nombre de personnes hébergées) d’un local de travail, situé au cœur de Paris et accessible 24h/24 pendant une période d’un an, renouvelable une fois. Par ailleurs, les entrepreneurs incubés pourront bénéficier de 6 rendez-vous organisés avec des experts dans le domaine de la gestion, de la comptabilité, du marketing et de la communication, et se verront proposer des rencontres régulières avec des professionnels du secteur.
L’appel à candidatures pour la résidence d’entrepreneurs aux Ateliers de Paris est ouvert jusqu’au lundi 8 avril 2019 à minuit. Pour en savoir plus et déposer un dossier de candidature, rendez-vous sur : www.ateliersdeparis.com
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Menée pour la 7 année consécutive par OpinionWay pour l’ONG Ashoka, l’étude fait notamment le point sur la perception et la notoriété de l’entrepreneuriat social en France.
Qu’en est-il de la capacité des entreprises sociales à répondre aux problèmes sociétaux d’aujourd’hui ? Réalisée par l’institut de sondages OpinionWay pour l’ONG Ashoka, l’édition 2019 du Baromètre de l’entrepreneuriat social décrypte – pour la 7e année consécutive – les enjeux-clés, les tendances et les perspectives de développement du secteur.
Des perspectives optimistes pour l’avenir
Menée auprès d’un échantillon de 101 entrepreneurs sociaux et de 1 046 personnes représentatives de la population française âgée de 18 ans et plus, l’enquête révèle un optimisme important de la part des entrepreneurs sociaux quant à leur capacité à répondre aux principaux problèmes de société. Une confiance partagée par 87 % des professionnels interrogés, dépassant largement celle du grand public qui se montre, quant à lui, plus nuancé : seulement 68 % des sondés estiment, en effet, que les entrepreneurs sociaux sont utiles pour répondre aux enjeux de société.
Une retenue peu partagée par les entrepreneurs sociaux dont 9 sur 10 se disent à ce jour optimistes quant aux perspectives de développement du secteur en France, plébiscitant, à ce propos, non seulement l’essor d’initiatives gouvernementales comme le programmeFrench Impact, mais aussi le contexte actuel, propice à la réflexion sur le rôle de l’entreprise au sein de la société : le projet de loi PACTE contribuant – selon eux – à la médiatisation et à la reconnaissance du secteur.
Une notoriété à gagner auprès du grand public
Enfin, si 68 % du grand public ont déjà entendu parler de l’économie sociale et solidaire, force est de constater que l’entrepreneuriat social demeure toutefois une notion assez floue pour la majorité des personnes : seulement 38 % des participants pouvaient, en effet, donner une définition précise du terme. Côté notoriété, un travail important reste donc à faire. L’enjeu ? Démontrer que les entrepreneurs sociaux disposent aujourd’hui d’un impact réel sur le tissu économique du pays, non seulement par leur capacité à créer des emplois, mais aussi par leur faculté à générer des externalités sociales et écologiques positives.
Pour en savoir plus et consulter les résultats détaillés de l’étude, rendez-vous sur : www.ashoka.org
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Afin de sensibiliser les créateurs d’entreprise aux enjeux du dépôt systématique de leur marque et de leur nom de domaine, l’Afnic et l’INPI ont récemment choisi d’allier leurs forces.
Si le dépôt de marque est aujourd’hui devenu un réflexe pour la très grande majorité des créateurs d’entreprise, force est de constater qu’ils sont nombreux à ne pas encore avoir adopté cette bonne pratique lorsqu’il s’agit d’assurer leur présence sur le web. Autrement dit, de protéger leur entreprise en déposant également leur nom de domaine, et ce dès le lancement de leur nouvelle activité.
Protéger la propriété intellectuelle
C’est en partant de ce constat que l’Afnic (Association française pour le nommage internet en coopération) et l’INPI (Institut National de la Propriété Intellectuelle) ont récemment décidé d’allier leurs forces et de s’engager ensemble pour sensibiliser les créateurs d’entreprise aux problématiques de marque et de nom de domaine.
Signé le mois dernier, à l’occasion de la 26e édition du Salon des Entrepreneurs Paris, ce nouveau partenariat entre les deux entités se traduira notamment par des initiatives communes telles que des séances de formation ou encore des ateliers pratiques. L’enjeu ? Informer les participants – entrepreneurs ou porteurs de projets prêts à sauter le pas – sur leurs droits dans le domaine de la défense de leur propriété intellectuelle et les amener à mieux saisir les as essentiels entre le dépôt d’une marque et la protection d’un nom de domaine.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.afnic.fr
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