Gérée par l’association Paris Initiative Entreprise, la plateforme en ligne Pousses.Paris a pour objectif d’orienter les porteurs de projets solidaires vers des structures d’accompagnement dédiées.
Améliorer la prise en charge des entrepreneurs pour les aider à concrétiser leurs idées : créée par l’association Paris Initiative Entreprise (PIE) et soutenue par la Ville de Paris, la plateforme en ligne Pousses.Paris vise à orienter les porteurs de projets solidaires vers les structures d’accompagnement répondant au mieux à leurs besoins spécifiques.
Précision : l’Économie sociale et solidaire (ESS) regroupe un ensemble de structures cherchant à concilier utilité sociale, solidarité, performance économique et gouvernance démocratique, avec pour ambition de créer des emplois et de développer une plus grande cohésion sociale.
Des retours d’expériences et des conseils adaptés
Concrètement, en se connectant sur Pousses.Paris, les entrepreneurs – déjà installés ou en devenir – pourront bénéficier de plusieurs services complémentaires : une aide à l’orientation, leur permettant d’identifier en 10 minutes seulement des solutions d’accompagnement pouvant leur correspondre, des retours d’expériences encourageant la mise en réseau et l’entraide, ainsi que des conseils pragmatiques autour de l’entrepreneuriat, délivrés par des professionnels. Sans oublier que le portail en ligne diffuse également une sélection d’actualités, des propositions d’évènements (formations, réunions d’information, séances de mentorat…) ou encore des appels à projets pouvant intéresser les (futurs) entrepreneurs solidaires.
Construite et animée en coopération avec les structures parisiennes d’appui à la création d’entreprise et à l’entrepreneuriat solidaire, la plateforme Pousses.Paris souhaite ainsi, comme le précise l’association PIE, contribuer à « promouvoir les initiatives issues de la nouvelle économie solidaire, respectueuses de l’environnement, innovantes et créatrices d’emplois de proximité ».
Pour en savoir plus et consulter les différents services proposés, rendez-vous sur : www.pousses.paris
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Jusqu’à la fin du mois de juillet, l’association pour le droit à l’initiative économique (Adie) propose une série de webconférences gratuites sur des thématiques clés de la création d’entreprise.
Pour accompagner les porteurs de projets dans leurs démarches, l’association pour le droit à l’initiative économique (Adie) propose actuellement et jusqu’à la fin du mois du juillet une série de webconférences portant sur des enjeux stratégiques en a avec la création d’entreprise.
Des sessions interactives et gratuites
« Comment réussir sa campagne de financement participatif ? », « La communication digitale : quel réseau social pour mon entreprise ? », « Tout savoir sur le régime de la micro-entreprise » ou encore « Le Social Selling », traitant de l’utilisation optimale des réseaux sociaux dans le processus de vente… Autant de thématiques complémentaires qui seront abordées au fil des sessions !
Accessibles gratuitement via le site web de l’Adie, les webconférences seront diffusées tous les mardis du mois de juillet à partir de 14h30, chaque volet ayant une durée de 45 minutes. Les internautes seront encouragés à y participer activement : ils pourront, en effet, poser leurs questions tout au long de chaque session afin que les intervenants puissent y répondre.
Pour en savoir plus, consulter le planning de diffusion et vous inscrire aux différentes webconférences proposées par l’Adie, rendez-vous sur : www.adie.org
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Proposée par le consortium Go&Cie, la Box Entrepreneuriat rassemble des contenus variés autour de la création d’entreprise. Désormais, elle existe également au format dématérialisé.
Diffuser la culture entrepreneuriale et offrir un accompagnement optimal aux jeunes porteurs de projets : imaginée par le consortium Go&Cie, rassemblant pas moins de 7 universités, 3 grandes écoles, une communauté d’universités et d’établissements (ComUE), une collectivité territoriale ainsi qu’une association, la Box Entrepreneuriat tend à valoriser l’entrepreneuriat à travers des supports ludiques.
Une version dématérialisée pour un rayonnement plus large
Distribuée dans un premier temps par voie postale, la Box Entrepreneuriat a récemment pris une forme dématérialisée et peut désormais être téléchargée gratuitement sur un portail web dédié. L’objectif ? Élargir son rayonnement et faire profiter un plus grand nombre de personnes des contenus informatifs qu’elle rassemble.
Concrètement, les éléments composant la box se structurent autour de 3 axes, à savoir : la sensibilisation, la formation et l’accompagnement. Sont ainsi proposées des fiches « action », permettant de partager l’expérience des membres du consortium, ainsi que des outils pédagogiques destinés à la fois aux enseignants et aux spécialistes de l’accompagnement à la création d’entreprise. De quoi les aider à déployer davantage d’actions visant à familiariser des publics aussi jeunes que diversifiés à la culture entrepreneuriale !
Pour en savoir plus et accéder aux différentes ressources proposées via la Box Entrepreneuriat, rendez-vous sur : www.laboxentrepreneuriat.fr
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Publiée par la Dares, une récente note d’analyse s’intéresse aux profils des créateurs d’entreprise, à l’accompagnement dont ils ont pu bénéficier et aux difficultés rencontrées dans leurs démarches.
La Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) a récemment publié une note d’analyse dédiée à la création d’entreprise et, plus particulièrement, aux difficultés que les porteurs de projets ont dû affronter lors du processus de création.
Baisse du nombre de créateurs d’entreprise ayant bénéficié d’un accompagnement
Dans le détail, la Dares constate que, depuis une dizaine d’années, la part de créateurs d’entreprise ayant eu au moins une difficulté dans le cadre du montage et du démarrage de leur nouvelle activité est resté quasiment inchangée. La nature des difficultés rencontrées semble, quant à elle, étroitement liée au régime juridique choisi : les principaux écueils constatés par les créateurs d’entreprise dits classiques sont ainsi d’ordre administratif ou financier, tandis que les auto-entrepreneurs peinent souvent à effectuer des démarches nécessaires ou encore à obtenir des conseils et des renseignements leur permettant de mener à bien leur projet.
Parallèlement, sur la période 2006-2014, la Dares constate une forte baisse du nombre de créateurs d’entreprise ayant bénéficié de l’appui d’une structure spécialisée (Adie, France Active…) ou d’une formation dédiée pouvant les aider à réaliser leur projet. En effet, si 60 % des créateurs d’entreprise ont été accompagnés en 2006, seulement 37 % l’ont été en 2010 et 41 % en 2014. Une évolution relativement marquée qui, selon la Dares, s’explique par la conjonction de deux phénomènes : d’un côté, la forte baisse de l’accompagnement des créateurs aidés sans emploi et, de l’autre côté, l’apparition des auto-entrepreneurs qui, dans les faits, sont moins accompagnés dans leurs démarches… alors qu’ils représentent environ la moitié des créateurs d’entreprise !
Pour en savoir plus et consulter la note d’analyse publiée par la Dares, rendez-vous sur : www.dares.travail-emploi.gouv.fr
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Récemment lancé par la Région Réunion et ses partenaires, le nouveau dispositif Cap Création aura pour objectif d’aider un public éloigné de l’emploi à développer un projet d’entreprise à La Réunion.
Ouvrir l’accès à l’entrepreneuriat aux personnes éloignées de l’emploi : officiellement lancé le 11 juin dernier par la Région Réunion et son réseau de partenaires, le nouveau dispositif Cap Création vise à encourager la création d’entreprise à La Réunion à travers un programme d’accompagnement dédié.
Des conseils et un suivi adapté selon la maturité du projet
En pratique, selon le stade d’avancement du projet soutenu, Cap Création pourra ainsi aider les futurs entrepreneurs à structurer leurs idées, à vérifier la faisabilité et la viabilité économique du projet, à monter un premier business plan ou encore à trouver des financements.
Ensuite, lorsque le projet sera définitivement mis sur les rails, le soutien proposé pourra s’exprimer au travers de conseils favorisant non seulement la mise en place d’une organisation administrative, mais aussi la conception d’une vraie stratégie commerciale afin que la jeune structure puisse démarrer sur des bases solides.
Enfin, les entrepreneurs suivis par Cap Création auront la possibilité de bénéficier d’un accompagnement dans la durée, portant notamment sur l’analyse des résultats économiques obtenus. L’objectif étant, là encore, d’anticiper les éventuelles difficultés et de déterminer les axes de progrès permettant de consolider durablement le projet d’entreprise.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.regionreunion.com
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Récemment lancé par la Région Grand Est et ses partenaires, un nouvel appel à projets vise à faire émerger des initiatives innovantes autour de la mise en réseau des femmes entrepreneures dans cette région.
Encourager le partage d’expériences et rompre l’isolement : récemment mis en place par la Région Grand Est et ses partenaires (l’État, Bpifrance, la Caisse d’Épargne Grand Est Europe et BNP Paribas), un nouvel appel à projets vise à favoriser dans cette région la mise en réseau des femmes ayant un projet de création ou de reprise d’entreprise ou ayant déjà créé ou repris une entreprise.
Des initiatives à caractère innovant ou expérimental
Dans le détail, le nouvel appel à projets s’adresse à tous les acteurs de l’écosystème entrepreneurial de la Région Grand Est (personnes morales et physiques) ayant pour objectif d’améliorer l’accès à l’entrepreneuriat féminin – quelle que soit l’origine géographique (zones urbaines ou rurales, quartiers prioritaires, territoire fragilisés…), l’âge ou encore le niveau de formation des porteuses de projets.
En plus de témoigner d’un caractère innovant ou expérimental, les initiatives présentées doivent notamment répondre aux ambitions suivantes : faciliter l’intégration des créatrices et repreneures d’entreprise dans un collectif leur permettant de rompre l’isolement et le repli sur soi, favoriser le partage d’expériences, stimuler l’entraide, faciliter la démarche entrepreneuriale et proposer un milieu de rencontres, d’animations et d’échanges.
Les candidatures pour l’appel à projets de la Région Grand Est sont ouvertes jusqu’au mercredi 10 juillet 2019. Les initiatives retenues par les organisateurs se verront accorder un accompagnement financier, prenant la forme d’une subvention de fonctionnement pouvant atteindre un montant maximal de 8 000 € par projet soutenu.
Pour en savoir plus et consulter le dossier de candidature, rendez-vous sur : www.grandest.fr
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Initié par Financement Participatif France, Bpifrance et la Banque des Territoires, un nouveau portail en ligne vise à améliorer l’accompagnement des porteurs de projets recherchant des financements.
Proposer aux porteurs de projets un meilleur accompagnement dans leur quête de financements : récemment mis en place par l’association Financement Participatif France, Bpifrance et la Banque des Territoires, une nouvelle plate-forme en ligne, baptisée « Le Portail du crowdfunding », offre aux internautes un parcours pédagogique complet.
Affiner ses choix étape par étape
Dans le détail, les porteurs de projets (qu’ils soient particuliers, entreprises, associations ou encore organismes publics) se voient, en effet, proposer un questionnaire en ligne ayant pour objectif de les orienter, étape par étape, non seulement vers le type de financement correspondant le mieux à leurs besoins, mais aussi vers les plates-formes spécialisées les plus adaptées à leurs objectifs.
Au fil du parcours, les internautes pourront ainsi affiner leurs choix à travers des explications détaillées, précisant notamment les spécificités de chaque type de financement (don avec ou sans récompense, investissement, prêt rémunéré…), les prérequis attendus par chaque plate-forme de crowdfunding ou encore l’engagement demandé de la part du porteur de projet (implication, communication, suivi…).
Pour en savoir plus et suivre le parcours pédagogique proposé, rendez-vous sur : financeparticipative.bpifrance.fr
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Après un mois d’avril manquant d’entrain, le nombre de créations d’entreprises a très légèrement progressé en mai 2019 : + 0,2 % par rapport au mois précédent, selon les derniers chiffres de l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 65 704 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de mai 2019 : + 0,2 % par rapport au mois d’avril, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Institut, par une légère hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 0,4 %), accompagnée d’une quasi-stabilité du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (- 0,1 %).
+ 17,4 % sur mars-avril-mai
Le bilan est nettement plus dynamique sur la période mars-avril-mai, pour laquelle les chiffres témoignent d’une accélération significative du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 17,4 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 28,4 % pour les micro-entrepreneurs, + 7,5 % pour les entreprises individuelles classiques et + 10,7 % pour les entreprises sous forme sociétaire).
Même tendance sur les 12 derniers mois, pendant lesquels le nombre cumulé d’entreprises créées a continué, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 16,9 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 27,8 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 12,1 %) et une progression – cependant plus faible – du côté des créations de sociétés (+ 6,0 %).
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Selon une récente publication de l’Observatoire de la création de Bpifrance Création, pas moins de 217 651 nouvelles entreprises ont vu le jour au cours du premier trimestre 2019.
Le premier trimestre 2019 prolonge la reprise d’un dynamisme entrepreneurial amorcé 18 mois auparavant : c’est le constat que dresse l’Observatoire de la création (OCE) de Bpifrance Création dans une récente publication, basée sur des informations statistiques brutes administrées par l’Insee. L’organisme fait ainsi état de 217 651 entreprises créées au cours de cette période : + 17,8 % par rapport au premier trimestre 2018.
Une dynamique globale contrastée selon les secteurs
Dans le détail, l’OCE précise que 47 % des activités créées aux cours de la période observée ont été immatriculées sous forme de micro-entreprise, tandis que 26 % des créateurs d’entreprise ont opté pour le statut d’entreprise individuelle classique, 14 % pour une société unipersonnelle telle qu’une EURL ou une SASU et, enfin, 13 % pour une société pluripersonnelle.
Par ailleurs, en comparant ce premier trimestre 2019 à la même période de l’année précédente, l’observatoire constate que tous les secteurs d’activité sont concernés par la croissance du nombre de nouvelles entreprises (à l’exception du commerce de bouche qui connaît une légère baisse). Une dynamique entrepreneuriale qui s’exprime, en revanche, de manière très contrastée selon les secteurs d’activité, allant de + 2 % pour la Santé jusqu’à + 57 % pour le secteur « Transports et entreposage ».
Enfin, l’OCE soulève que trois quarts des entreprises créées en ce début d’année ont choisi de s’implanter dans une commune urbaine, dont 52 % dans des communes densément peuplées. Les implantations rurales ne concernent, quant à elles, qu’un quart des créations d’entreprises du premier trimestre 2019, dont 2 % dans des communes à très faible densité.
Pour en savoir plus et consulter la publication de l’Observatoire de la création de Bpifrance Création dans son intégralité, rendez-vous sur : www.bpifrance-creation.fr
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100 % en ligne, la prochaine session live du Salon SME Online, dédié aux créateurs et dirigeants de TPE, aura lieu le 20 juin 2019. Au programme : stands virtuels, webinars et échanges en direct !
Faire le plein d’informations et de conseils, sans avoir à se déplacer : la prochaine session live du Salon SME Online se tiendra le jeudi 20 juin 2019, de 9h à 18h30. Organisée entièrement sur internet, la manifestation offrira aux participants un condensé d’informations et de conseils, accessibles depuis leur bureau, leur commerce, leur domicile ou encore entre deux rendez-vous.
Comme un salon physique, mais 100 % en ligne
En pratique, les internautes pourront non seulement participer à des webinars (séminaires en ligne) pour se former sur des sujets stratégiques en a avec le développement de leur activité, mais aussi contacter des experts de l’entrepreneuriat par messagerie instantanée ou via l’application Skype pour les interroger sur des enjeux liés à la création et à la gestion d’entreprise. Sans oublier, bien sûr, que les participants auront la possibilité de faire le plein de solutions et de conseils grâce aux documentations et vidéos disponibles sur les stands virtuels des exposants.
La participation à la session live du Salon SME Online est entièrement gratuite. Il suffit de s’inscrire en remplissant le formulaire dédié à cet effet.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.salonsme-online.com
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