Près de 7 500 créations d’entreprises financées par France Active en 2018

Dans son dernier rapport d’activité, portant sur l’année 2018, le réseau associatif France Active réaffirme son ancrage social et démontre sa contribution à l’essor des entrepreneurs engagés.

France Active, réseau associatif dédié au financement de projets de création et de développement d’entreprise, a récemment dressé le bilan de son activité en 2018. Ainsi, selon les chiffres publiés par l’organisme, près de 7 500 projets entrepreneuriaux ont été financés au cours de l’année sur l’ensemble du territoire français, ayant par ailleurs permis la création ou la sauvegarde de 40 000 emplois. Des résultats plutôt encourageants, tant pour la dynamique entrepreneuriale que pour l’emploi ! Et ce n’est pas tout !

Une empreinte sociale et sociétale vertueuse

À travers ce bilan, France Active confirme également son rôle de financeur solidaire aux côtés des porteurs de projets désireux de créer leur propre emploi. Au total, pas moins de 90 % des entrepreneurs soutenus en 2018 par le réseau associatif étaient, en effet, au chômage avant de lancer leur activité – dont un tiers sur une période de longue durée – ou bénéficiaires des minimas sociaux.

Par ailleurs, près de 30 % d’entre eux avaient moins de 30 ans au moment de concrétiser leur projet et 20 % avaient choisi de le développer au sein des territoires dits « fragiles », tels que les quartiers ciblés par la politique de la ville et les zones rurales. De quoi apporter un nouveau souffle dans ces écosystèmes en quête de vitalité et participer à l’essor de projets dotés d’un fort impact social, sociétal et environnemental.

Enfin, France Active évalue le montant global des fonds mobilisés au cours de l’année 2018 pour les entrepreneurs soutenus à 306 millions d’euros, accordés sous forme de prêts bancaires garantis, d’investissements, de prêts solidaires et de primes.

Pour en savoir plus et consulter des chiffres complémentaires, rendez-vous sur : www.franceactive.org

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Concours CréaVienne 2019 : les inscriptions sont ouvertes !

Organisé cette année pour la 12 fois, le concours CréaVienne s’adresse à tous les porteurs de projets désireux de développer leur activité dans le département de la Vienne (86).

Promouvoir l’esprit entrepreneurial, l’innovation et la création d’emplois : organisé par le Centre d’Entreprises et d’Innovation (CEI), situé dans la Technopole du Futuroscope, et la pépinière René Monory de Châtellerault – avec le soutien des communautés d’agglomération Grand Châtellerault, Grand Poitiers et la Technopole Grand Poitiers –, le concours CréaVienne vise à soutenir les porteurs de projets souhaitant installer leur activité au sein du département (86).

Accompagner la création et la reprise d’entreprise

En pratique, le concours se segmente en trois catégories (projet, création et reprise), dont chacune correspond à un stade différent dans la vie et dans le développement d’une entreprise. Selon ses organisateurs, le concours tend ainsi à poursuivre plusieurs objectifs :

  •  Détecter, soutenir et accompagner les initiatives de création et de reprise d’entreprise ;

  •  Encourager l’innovation, la pérennité et la création d’emplois sur le département ;

  •  Promouvoir l’esprit entrepreneurial au sens large du terme ;

  •  Attirer des projets créateurs de valeur ajoutée en donnant une meilleure visibilité aux start-up ;

  •  Favoriser les synergies et contribuer au dynamisme économique du département.

    À la clé : des dotations numéraires dont le montant global est chiffré à 50 000 €, un accompagnement dédié et, selon les disponibilités, l’hébergement des lauréats au sein d’une pépinière d’entreprises.

    Les candidatures pour cette 12e édition du concours CréaVienne sont ouvertes jusqu’au dimanche 31 mars 2019. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.creavienne.fr

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    Initiative France et Force Femmes s’engagent ensemble

    Signé à l’occasion de l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Paris, un récent partenariat entre les deux structures associatives vise à encourager l’entrepreneuriat des femmes de plus de 45 ans.

    Accompagner les femmes de plus de 45 ans vers l’emploi… et la création d’entreprise ! Signé début février lors du 26e Salon des Entrepreneurs Paris, un nouveau partenariat entre le réseau national de financement et d’accompagnement des créateurs et des repreneurs d’entreprise Initiative France et l’association Force Femmes, ayant pour vocation de favoriser l’entrepreneuriat au féminin, tend à renforcer le soutien apporté aux porteuses de projets à travers le territoire français.

    Des actions de sensibilisation

    En pratique, les deux structures associatives prévoient de décliner ce nouveau partenariat à l’échelle locale, notamment grâce à des actions de sensibilisation menées auprès des publics concernés. L’enjeu ? Attirer l’attention sur l’importance des choix de financement lors du démarrage des projets de création d’entreprise, pour libérer les ambitions des femmes entrepreneures et assurer la pérennité des activités accompagnées.


    Bon à savoir : en 2017, Initiative France a soutenu et financé près de 7 000 femmes dans leurs projets d’entreprise. Depuis son lancement en 2005, le réseau Force Femmes a, quant à lui, apporté son soutien à près de 25 000 porteuses de projets.

    À travers ce partenariat, les deux organismes souhaitent ainsi renforcer leur action commune et contribuer à valoriser l’entrepreneuriat des femmes aux yeux du plus grand nombre.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.initiative-france.fr

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    Créations d’entreprises : forte hausse en janvier 2019

    Après une fin d’année 2018 marquée par un léger regain d’activité, le mois de janvier 2019 confirme la tendance. Selon l’Insee, le nombre de créations d’entreprises a ainsi augmenté de 13,8 %.

    Une nouvelle année qui démarre sur les chapeaux de roue ! D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 67 115 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de janvier 2019 : +13,8 % par rapport au mois de décembre, tous types d’entreprises confondus. Une forte hausse qui, selon l’Institut, s’explique non seulement par un rebond du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+25,4 %), mais aussi par une accélération des créations d’entreprises classiques (+4,4 %).

    +11,8 % sur novembre-décembre-janvier

    C’est également une tendance très dynamique qui se dessine au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période novembre-décembre-janvier : par rapport au même trimestre un an auparavant, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 11,8 %, tous types d’entreprises confondus (dont +19,8 % pour les micro-entrepreneurs, +7,1 % pour les entreprises individuelles classiques et +4,7 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire).

    +17,0 % sur la période des 12 derniers mois

    Une tendance qui se confirme également lorsque l’on observe l’évolution sur les 12 derniers mois : l’Insee constate, en effet, une augmentation de 17,0 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Des chiffres qui s’expliquent à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+27,9 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+18,6 %) et des créations de sociétés (+2,1 %).

    Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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    Le nombre de micro-entrepreneurs en nette augmentation

    D’après une récente note de conjoncture publiée par l’Acoss, le nombre de micro-entrepreneurs continue de progresser. Tout comme leur chiffre d’affaires.

    Ils sont de plus en plus nombreux, avec un chiffre d’affaires moyen en augmentation. Selon les derniers chiffres publiés par l’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf, les micro-entrepreneurs continuent de s’imposer au sein du paysage entrepreneurial français. Fin juin 2018, le réseau des Urssaf comptait ainsi 1,35 million de micro-entrepreneurs, soit 13,4 % de plus qu’un an plus tôt.

    Un flux important d’immatriculations

    Dans le détail, pas moins de 421 000 nouvelles immatriculations de micro-entrepreneurs ont été enregistrées sur un an (+22 % par rapport à juin 2017), témoignant d’un écart sensible avec le nombre de radiations effectuées, de l’ordre de 261 000 pour la même période (-3 %, comparé à l’année précédente). Un dynamisme important, qui peut notamment s’expliquer par le récent doublement des plafonds de chiffre d’affaires ouvrant droit au régime.


    Rappel : depuis le 1er janvier 2018, le plafond de chiffre d’affaires en dessous duquel on peut bénéficier du régime social simplifié du micro-entrepreneur a été sensiblement relevé. Il est désormais fixé à 70 000 € pour les prestations de services et à 170 000 € pour les activités commerciales.

    Un contexte favorable qui se reflète, sans surprise, également au niveau du chiffre d’affaires observé : pas moins de 776 000 micro-entrepreneurs (soit 57,5 % des bénéficiaires du régime) ont, en effet, déclaré un chiffre d’affaires positif au 2e trimestre 2018 (+10,5 % sur un an), le montant moyen de ce dernier s’établissant à 3 978 € pour la période concernée.

    L’Île-de-France conserve sa vitalité

    Si les micro-entrepreneurs ont désormais investi la quasi-totalité des activités économiques, il existe néanmoins des nuances selon les secteurs choisis. D’après les chiffres publiés par l’Acoss, le secteur des transports et de l’entreposage reste ainsi le plus dynamique, suivi par les activités immobilières et le conseil pour les affaires. À l’opposé, l’Acoss observe un ralentissement dans les secteurs des métiers de bouche, de l’hébergement et de la restauration ainsi que dans le domaine du commerce de détail.

    Enfin, d’un point de vue géographique, c’est la région Île-de-France qui demeure en tête de file parmi les territoires les plus dynamiques, affichant une progression de +15,2 % au niveau du nombre de micro-entrepreneurs économiquement actifs. Viennent ensuite les régions Auvergne-Rhône-Alpes (+11,1 %), Nouvelle Aquitaine (+10,8 %) et Centre-Val de Loire (+10,1 %).

    Pour en savoir plus et consulter la note de conjoncture de l’Acoss, rendez-vous sur : www.acoss.fr

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    Mon entreprise pas à pas : un nouveau portail en ligne dédié aux entrepreneurs

    Initiée par Toulouse Métropole et la CCI Toulouse Haute-Garonne, la nouvelle plate-forme numérique vise à prolonger les interactions entre les entrepreneurs et les deux institutions.

    Simplifier les démarches des entrepreneurs, quel que soit l’état d’avancement de leur projet : de la création jusqu’à la transmission, en passant par le développement de leur activité. Proposé par Toulouse Métropole et la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) Toulouse Haute-Garonne, le nouveau portail en ligne « Mon entreprise pas à pas » a pour objectif d’améliorer les interactions entre les porteurs de projets et les deux institutions.

    Des services, des informations et des contacts

    Dans le détail, cette nouvelle plate-forme numérique, disponible 24h/24 et 7j/7, vise notamment à faciliter l’accueil des entrepreneurs – que ce soit par téléphone, par email ou en présentiel – et à optimiser leur orientation vers les bons interlocuteurs pouvant les accompagner à travers des services conçus sur-mesure.

    En outre, elle tend à rendre plus homogènes et plus lisibles les différentes actions engagées par les deux institutions partenaires, afin de mieux soutenir les entreprises tout au long de leur cycle de vie, y compris sur des enjeux plus complexes tels que le financement, le développement international ou encore l’innovation technique et sociale.

    Enfin, le nouveau portail propose plusieurs témoignages d’entrepreneurs ainsi qu’une boîte à outils regroupant non seulement des informations, mais aussi des contacts utiles pouvant aiguiller dans leurs démarches les porteurs de projets désireux de s’implanter dans la région.

    Pour en savoir plus et consulter la plate-forme « Mon entreprise pas à pas », rendez-vous sur : www.monentreprisepasapas.toulouse-metropole.fr

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    Nouveau record pour les créations d’entreprises en 2018

    Selon une étude récemment publiée par l’Insee, l’année 2018 a été marquée par une forte hausse du nombre de créations d’entreprises en France : +17 % par rapport à 2017. Un nouveau record.

    D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, pas moins de 691 000 entreprises ont été créées en France en 2018, soit 100 000 de plus que l’année précédente (+17 %). Une hausse considérable, amenant le nombre de créations d’entreprises à un niveau record, selon l’institut.

    +28 % pour les micro-entrepreneurs

    Dans le détail, cette évolution s’explique non seulement par une augmentation importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+28 %), mais aussi par une évolution particulièrement dynamique du côté des créations d’entreprises individuelles classiques (+20 %) ainsi qu’une hausse, néanmoins beaucoup plus modérée, du côté des sociétés (+2 %).

    L’Insee précise, par ailleurs, que le nombre de créations a non seulement progressé dans la plupart des régions françaises, mais aussi dans la majorité des secteurs d’activité, et notamment dans le secteur des transports et de l’entreposage (+68 % en 2018).

    Peu de changements pour les profils des créateurs

    Concernant le profil des créateurs d’entreprises individuelles, l’Insee révèle que leur âge moyen était de 36 ans en 2018, tout comme en 2017 (contre 37 ans en 2016 et 38 ans en 2015). La part des moins de 30 ans ayant, quant à elle, continué d’augmenter légèrement pour atteindre désormais les 38 % (contre 37 % en 2017).

    Enfin, en 2018, seulement 39 % des entreprises individuelles ont été créées par des femmes (contre 40 % en 2017 et en 2016), la part des créatrices étant cependant plus élevée dans les secteurs de la santé humaine et de l’action sociale (75 %), dans les services aux ménages (70 %), dans l’industrie (52 %) et dans l’enseignement (50 %).

    Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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    L’entrepreneuriat gagne toujours en attractivité aux yeux des Français

    Selon une récente étude OpinionWay, menée auprès de plus de 5 000 personnes au sein de 5 pays européens, dont la France, l’envie de créer ou de reprendre une entreprise ne cesse de croître.

    L’esprit entrepreneurial continue de gagner du terrain : c’est du moins ce qu’affirme un récent sondage international, mené par OpinionWay pour l’Union des Auto-Entrepreneurs avec le soutien de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires à l’occasion de la 26e édition du Salon des Entrepreneurs Paris.

    Après avoir interrogé 5 114 personnes issues de 5 pays différents (France, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Pologne), l’étude met, en effet, en évidence que l’envie de créer ou de reprendre une entreprise fait aujourd’hui partie des perspectives d’avenir envisagées par un nombre croissant de citoyens européens.

    Travail indépendant ou salariat ?

    Dans le détail, 28 % des Français interrogés se disent ainsi désireux de créer une entreprise, d’en reprendre une ou de se mettre à leur compte (+3 % par rapport à janvier 2018). C’est le cas également pour 51 % des Anglais, 31 % des Allemands, 55 % des Espagnols et 62 % des Polonais.


    Précision : seule la moitié de ces potentiels créateurs d’entreprise français pensent néanmoins réaliser leur projet dans les 2 ans qui viennent (contre 63 % des répondants anglais, 67 % des allemands et 69 % des espagnols et portugais).

    Plus globalement, il ressort de l’enquête que le statut de travailleur indépendant et d’auto-entrepreneur bénéficie d’une image plutôt positive auprès d’une large frange de la population des 5 pays concernés : 75 % des répondants français déclarent en avoir une bonne opinion, un chiffre qui monte à 88 % au Royaume-Uni, 79 % en Allemagne et 82 % en Pologne.

    Enfin, si le travail indépendant est considéré comme un moyen de créer son propre emploi (88 % en France, 93 % au Royaume-Uni et en Allemagne, 92 % en Espagne et 89 % en Pologne) et de bien gagner sa vie au quotidien, force est de constater que le salariat garde une (plus) forte capacité d’attraction : 63 % des sondés français voient, en réalité, leur avenir professionnel en tant que salarié uniquement (contre 66 % des répondants anglais, 71 % des allemands, 57 % des espagnols et 54 % des polonais). Autant dire qu’il persiste, comme souvent, un écart sensible entre le rêve et la réalité !

    Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude, rendez-vous sur : www.opinion-way.com

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    Prix Audace 2019 : mettre en lumière la dynamique des auto-entrepreneurs français

    Organisé pour la 5 année consécutive par la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires et l’Union des Auto-Entrepreneurs (UAE), le concours Audace 2019 sillonnera la France jusqu’à la fin de l’année.

    Créé à l’initiative de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires, en partenariat avec l’Union des Auto-Entrepreneurs (UAE), le prix Audace 2019 récompense pour la 5e année consécutive les auto-entrepreneurs tricolores ayant su révéler leur potentiel, prouver leur audace d’entreprendre et développer leur activité au sein du territoire français.

    4 000 € et une exposition médiatique

    Dans le détail, pas moins de huit étapes régionales sont à ce jour prévues par les organisateurs d’ici la fin de l’année. En fonction de leur zone géographique, les candidats peuvent ainsi déposer leurs dossiers sur le site web dédié à cet effet pour concourir à la finale organisée dans la ville la plus proche de leur territoire : Paris, Lyon, Limoges, Bordeaux, Lille, Rennes, Marseille ou Nantes.

    Un jury d’experts désignera ensuite les lauréats régionaux, qui remporteront chacun une dotation de 4 000 € leur permettant de booster le développement de leur activité. Sans compter que les candidats finalistes pourront bénéficier d’une exposition médiatique et de l’appui d’une agence de relations presse spécialement missionnée par les organisateurs du concours.

    Pour plus d’informations sur l’édition 2019 du prix Audace, rendez-vous dès à présent sur : www.prix-audace-autoentrepreneurs.com

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    100 jours pour entreprendre : les candidatures pour l’édition 2019 sont ouvertes !

    Initié en 2012 pour concrétiser l’envie d’entreprendre chez les jeunes de moins de 30 ans, le dispositif « 100 jours pour entreprendre » a récemment démarré sa 8 saison.

    Donner envie d’entreprendre et offrir des outils pour se lancer : pour la 8e année de suite, le dispositif « 100 jours pour entreprendre » invite les jeunes de 18 à 30 ans à exprimer leur fibre entrepreneuriale. Initié en 2012 par un mouvement d’entrepreneurs, l’appel à projets se déroule cette année encore sur une durée de 100 jours, du 15 janvier au 25 avril 2019.

    20 projets présélectionnés sur dossier

    Pour participer à l’édition 2019 du concours, il suffit de poster une courte présentation vidéo de son projet sur la plate-forme dédiée à cet effet. Parmi les 40 participants ayant obtenu le plus de votes, un jury composé de professionnels et d’entrepreneurs choisira 20 candidats qui pourront défendre leur projet le vendredi 17 mai sous forme de pitch. Parmi eux, le jury désignera ensuite les 10 lauréats de l’année.

    Des journées de formation pour tous les candidats

    Comme tous les ans, les lauréats du concours remporteront la « Boîte 100 jours », d’une valeur de 15 000 €. Véritable « kit » du jeune entrepreneur, elle leur offrira un soutien de taille pour les accompagner dans la création de leur future entreprise (appui financier, accompagnement juridique, parrainage, formation au crowdfunding, accès à des espaces de travail…).

    Et ce n’est pas tout ! Plusieurs journées de formation, accessibles à tous les candidats, seront, par ailleurs, organisées à Paris. Animées par des formateurs et des entrepreneurs, elles offriront aux participants l’occasion de compléter leurs connaissances dans des domaines aussi variés que le marketing, les réseaux sociaux, le montage d’un business plan ou encore le financement.

    Pour en savoir plus et participer à l’édition 2019 du prix « 100 jours pour entreprendre », rendez-vous dès à présent sur : www.100jourspourentreprendre.fr

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