Mis en place par la région Île-de-France et les 8 Pépite franciliens, le dispositif a pour objectif d’encourager la création d’entreprises innovantes à travers un programme d’accélération dédié.
Favoriser le lancement de projets innovants portés par des étudiants-entrepreneurs : l’édition 2019 du programme Pépite Start’Up, organisé par la région Île-de-France et les 8 Pépite (Pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat) francias, vise à épauler les jeunes créateurs dans leurs démarches entrepreneuriales.
6 mois pour monter en compétences
À la clé : un programme d’accélération d’une durée de 6 mois organisé au sein du campus Station F à Paris, offrant aux participants non seulement un espace de travail dédié, mais aussi des ateliers pédagogiques ainsi qu’un coaching sur-mesure, délivré par un entrepreneur expérimenté. Sans oublier les rencontres régulières avec des experts issus de l’écosystème entrepreneurial, permettant – entre autres – de bénéficier d’un regard extérieur pour optimiser le produit ou le service développé par la jeune entreprise innovante.
Bon à savoir : l’édition 2018 du programme a permis d’accompagner 31 projets innovants, débouchant sur la création de 28 entreprises.
Les candidatures pour l’édition 2019 du Prix Pépite Start’Up sont ouvertes jusqu’au 7 février. La nouvelle promotion débutera, quant à elle, le 8 avril 2019.
Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.iledefrance.fr
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Récemment signé, un nouveau plan d’action régional mobilise pas moins de 19 partenaires publics et privés autour du soutien à l’entrepreneuriat des femmes dans les Pays de la Loire.
Unir les efforts pour apporter un soutien plus efficace à l’entrepreneuriat féminin au sein de la région Pays de la Loire : pas moins de 19 partenaires, publics et privés, ont récemment formalisé cet objectif commun à travers la signature d’un plan d’action 2018–2020, déclinaison régionale d’un accord-cadre national signé par l’État, la Caisse des Dépôts, BNP Paribas et la Caisse d’Épargne.
Lever les freins au développement
En effet, si le taux d’activité des femmes dans les Pays de la Loire fait partie des meilleurs enregistrés sur toute la France, force est de constater que le nombre de créations et de reprises d’entreprises portées par des entrepreneures demeure toujours sensiblement inférieur à celui observé du côté de leurs confrères masculins. Et pour cause, puisque des freins importants persistent : un recours souvent insuffisant au financement extérieur au démarrage de l’entreprise, une sous-représentation des femmes dans de nombreux secteurs d’activité (tels que l’industrie, le BTP ou encore le numérique), mais aussi une plus grande difficulté à concilier vie familiale et vie professionnelle.
Six priorités d’ores et déjà identifiées
Afin d’accroître significativement la part des femmes parmi les créateurs et repreneurs d’entreprises – y compris dans des secteurs porteurs actuellement trop peu investis par les entrepreneures –, six priorités ont d’ores et déjà été inscrites dans le nouveau plan d’action 2018–2020 :
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l’amélioration des connaissances statistiques sur les femmes entrepreneures ;
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le développement du mentorat et des réseaux de femmes entrepreneures ;
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la sensibilisation des jeunes femmes et des demandeuses d’emploi à l’entrepreneuriat ;
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la promotion des outils financiers accessibles aux créatrices d’entreprise ;
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le développement des actions d’accompagnement dans les territoires fragiles ;
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l’organisation de concours permettant d’accroître la visibilité des porteuses de projets.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.prefectures-regions.gouv.fr/pays-de-la-loire
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Une fin d’année qui renoue avec le dynamisme, du moins partiellement. Le nombre de créations d’entreprises a légèrement augmenté en décembre 2018 : +0,3 %, selon les derniers chiffres publiés.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 58 501 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de décembre 2018 : +0,3 % par rapport au mois de novembre, tous types d’entreprises confondus. Une légère hausse qui, selon l’Institut, s’explique essentiellement par un rebond du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+2,1 %), alors que les créations d’entreprises classiques continuent d’afficher une évolution à la baisse (-1,1 %).
+13,5 % sur les 3 derniers mois
C’est une tendance nettement plus dynamique qui se dessine, en revanche, au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période octobre-novembre-décembre : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 13,5 %, tous types d’entreprises confondus (dont +23,1 % pour les micro-entrepreneurs, +8,8 % pour les entreprises individuelles classiques et +4,5 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire).
+16,9 % sur les 12 derniers mois
Même tendance sur les 12 derniers mois : le nombre cumulé d’entreprises créées au cours de cette période continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate, en effet, une augmentation de 16,9 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une évolution qui s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+27,5 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+20,0 %) et des créations de sociétés (+1,6 %).
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Le réseau associatif France Active a récemment publié une étude chiffrée évaluant l’impact de son engagement auprès des 5 800 projets entrepreneuriaux soutenus depuis 2014.
Concrètement, quel est l’impact de l’intervention de France Active sur la réussite des projets de création, de reprise et de développement d’entreprise accompagnés par le réseau associatif ? Récemment publiée, une nouvelle étude chiffrée – réalisée avec le soutien de l’institut de sondages TMO Régions – apporte des éléments de réponse.
79 % des structures étaient toujours actives 3 ans plus tard
Réalisée auprès d’un panel de 708 entreprises faisant partie des 5 771 structures soutenues en 2014 par France Active (dont 459 sur un projet de création, 61 sur une reprise d’activité et 188 dans une perspective de développement), cette 4e étude d’impact dresse un bilan encourageant : les entreprises épaulées par le réseau associatif sont ainsi non seulement pérennes, mais contribuent aussi à créer des emplois !
Dans le détail, 79 % des entreprises financées par France Active en 2014 sur des projets de création ou de reprise ont, en effet, réussi à passer le cap des 3 ans et étaient toujours en activité en 2017. Par ailleurs, 81 % d’entre elles ont pu augmenter leur chiffre d’affaires par rapport à 2014/2015 et près de 50 % expriment le souhait de continuer à accroître leur activité.
Une bonne santé financière et une dynamique économique qui, selon les chiffres publiés, se reflètent également du côté des ressources humaines : en avril 2018, pas moins de 28 600 personnes étaient ainsi employées par des entreprises soutenues en 2014 par le réseau associatif, la création nette d’emplois à 4 ans étant estimée à 19 500 postes.
Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude d’impact 2014-2018 du réseau France Active, rendez-vous sur : www.franceactive.org
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Récemment lancée par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, la 21 édition du concours i-Lab est, de nouveau, dédiée à la création d’entreprises innovantes.
Fruit d’un partenariat entre Bpifrance et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, le concours i-Lab vise à encourager l’esprit entrepreneurial en améliorant l’accompagnement des jeunes entreprises françaises travaillant sur un projet à forte intensité technologique. À la clé : une aide financière importante, ainsi qu’un accompagnement spécialement adapté aux besoins des candidats soutenus.
Une enveloppe globale de 20 millions d’euros
Dans le détail, le concours i-Lab 2019 s’adresse aux porteurs de projets prévoyant la création d’une entreprise sur le territoire français et s’appuyant sur une technologie innovante. Peuvent également postuler les entrepreneurs ayant lancé leur start-up il y a moins de 2 ans.
En pratique, si l’enveloppe globale de cette 21e édition du concours atteint un montant de 20 millions d’euros, la subvention accordée à chaque lauréat peut, quant à elle, aller jusqu’à 600 000 euros. De quoi booster le démarrage d’une jeune entreprise en finançant notamment le programme de R&D nécessaire pour finaliser son produit, son procédé ou son service technologique innovant !
Les candidatures pour cette nouvelle édition du concours i-Lab sont ouvertes jusqu’au 26 février 2019 à 12h. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr
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Récemment publiée, la 2 partie des résultats de l’Indice Entrepreneurial Français (IEF) 2018 démontre l’attractivité de ce choix de carrière pour un pourcentage important de Français.
Évaluer et analyser le dynamisme entrepreneurial et son évolution : récemment publiée par l’Agence France Entrepreneur (AFE), le 2e volet des résultats de l’Indice Entrepreneurial Français (IEF) 2018 – enquête réalisée avec le soutien de Pôle emploi, de la Fondation d’entreprise MMA des Entrepreneurs du Futur et le concours de TMO Régions – témoigne de l’attractivité de l’entrepreneuriat aux yeux d’une grande partie de la population française.
Un choix de carrière particulièrement intéressant
Menée auprès d’un panel de 2 500 personnes, l’enquête révèle notamment que près d’un tiers (30 %) des Français âgés d’au moins 18 ans sont – ou ont été, à un moment de leur vie – dans une dynamique entrepreneuriale. De même, nombreux sont ceux qui estiment que le fait de devenir chef d’entreprise représente un choix de carrière particulièrement intéressant : un avis non seulement partagé par 67 % des personnes se trouvant dans une démarche entrepreneuriale, mais aussi par 42 % de celles qui se situent en dehors de ce mouvement.
Par ailleurs, si l’IEF 2018 révèle que les femmes s’inscrivent moins souvent dans une dynamique entrepreneuriale que leurs homologues masculin (23 % contre 37 %), force est de constater que les motivations principales pouvant les amener à vouloir créer ou reprendre une entreprise se ressemblent. Ainsi, parmi les raisons les plus fréquemment évoquées, on retrouve notamment le désir d’être indépendant et d’être son propre patron, ou encore l’envie de s’épanouir et de réaliser un rêve.
L’entrepreneuriat pour un retour à l’emploi ?
Enfin, les résultats montrent que les demandeurs d’emploi ne sont pas à l’écart de cette tendance globale, bien au contraire ! En effet, pas moins de 27 % d’entre eux sont – ou se sont déjà – engagés dans une démarche entrepreneuriale. Parmi eux, 22 % déclarent vouloir profiter de leur situation pour lancer un projet qui leur tient à cœur et 13 % envisagent cette voie comme seul et unique moyen pouvant leur permettre de retrouver un emploi.
Pour en savoir plus et consulter des chiffres complémentaires, rendez-vous sur : www.afecreation.fr
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Deux jours pour s’informer, développer son réseau et faire décoller ses projets : la 26 édition du Salon des Entrepreneurs se tiendra les 6 et 7 février prochains au Palais des Congrès de Paris.
Pendant deux jours, mercredi 6 et jeudi 7 février, le Palais des Congrès de Paris accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs. Plus de 400 partenaires et exposants, 200 conférences et workshops, 2 000 experts et 150 personnalités emblématiques mobilisés… Comme tous les ans, l’évènement proposé par Les Echos Solutions a pour vocation d’offrir un concentré d’informations et d’expertises autour de l’entrepreneuriat !
Faire le plein d’énergie et d’idées innovantes
Dans le détail, au-delà des nombreuses conférences techniques, 9 temps forts d’actualité inviteront les participants à faire le point sur les enjeux phares de l’écosystème entrepreneurial. Par ailleurs, une dizaine d’animations (coaching d’entrepreneurs, networking, conseils de repreneurs et cédants, bourse d’opportunités…) seront proposées tout au long de la manifestation. L’occasion de capter les nouvelles tendances, de s’informer auprès de nombreux interlocuteurs et de faire le plein d’énergie pour accélérer le développement de ses projets !
Pas moins de 65 000 visiteurs seront attendus pour cette édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Paris. Pour obtenir des informations plus détaillées et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous dès à présent sur : www.salondesentrepreneurs.com
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Organisé par la communauté d’agglomération Paris-Saclay, le concours s’adresse aux porteurs de projets voulant concrétiser leurs idées. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 31 mars 2019.
Pôle scientifique, cluster technologique, écosystème entrepreneurial : située à 20 km au sud-ouest de la capitale, la communauté d’agglomération Paris-Saclay s’engage, depuis une dizaine d’années, aux côtés des porteurs de projets innovants. Une démarche récemment renouvelée à travers le lancement du 5e concours d’idées à la création d’entreprise !
Un accompagnement personnalisé
Dédiée aux porteurs de projets âgés d’au moins 16 ans, résidant sur le territoire de Paris-Saclay et voulant tester leur idée entrepreneuriale, cette nouvelle édition du concours se décline en 4 catégories : jeunes de moins de 26 ans, femmes, reconversion professionnelle et innovation. Elle sera, par ailleurs, complétée par un prix spécial « coup de cœur du jury ».
Dans le détail, les lauréats pourront non seulement bénéficier d’un accompagnement personnalisé leur permettant de créer plus facilement leur entreprise, mais recevront également une tablette tactile ainsi qu’une dotation financière de 2 000 €. Sans compter qu’ils pourront profiter d’un accès gratuit, pendant une durée de 6 mois, à l’un des espaces de coworking faisant partie de l’écosystème Paris-Saclay.
Les candidatures pour cette 5e édition du concours d’idées à la création d’entreprise sont ouvertes jusqu’au 31 mars 2019. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.paris-saclay.com
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Récemment signé, un nouveau partenariat entre Pôle emploi et l’Union des Couveuses d’Entreprises vise à sécuriser les parcours professionnels des chômeurs envisageant la création d’une entreprise.
Consolider les parcours professionnels des demandeurs d’emploi souhaitant concrétiser un projet de création d’entreprise : récemment signé par Pôle emploi et l’Union des Couveuses d’Entreprises (UCE), réseau national réunissant 63 couveuses présentes sur 253 lieux d’accueil en France et en Europe, ce partenariat entend promouvoir la démarche d’entreprendre en couveuse auprès des publics concernés.
Augmenter les chances de réussite
En pratique, le fait d’opter pour une couveuse d’entreprise permet au créateur de tester son activité tout en bénéficiant non seulement d’un hébergement juridique et d’un accompagnement collectif, mais aussi de conseils personnalisés. Autrement dit, d’apprendre le métier de chef d’entreprise au sein d’un écosystème à la fois stimulant et sécurisant !
Précision : en 2017, 5 400 entrepreneurs ont été accompagnés par le réseau de l’UCE. Parmi eux, 95 % étaient des demandeurs d’emploi.
Et force est de constater que le fait d’être accompagné par une couveuse n’est pas sans impact sur la pérennité des projets soutenus, bien au contraire ! En effet, pas moins de 76 % des jeunes entreprises créées et développées au sein d’un telle structure sont encore en activité au bout de 3 ans.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.pole-emploi.org
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Après un mois d’octobre plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a nettement diminué en novembre 2018 : -5,3 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés, 58 667 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’octobre 2018 : -5,3 % par rapport au mois d’octobre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, ce repli s’explique essentiellement par une forte baisse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-11,2 %), tandis que les créations d’entreprises classiques demeurent relativement stables (-0,2 %).
+16,3 % sur les 3 derniers mois
Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période septembre-octobre-novembre, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 16,3 %, tous types d’entreprises confondus (dont +26,4 % pour les micro-entrepreneurs, +12,2 % pour les entreprises individuelles classiques et +4,7 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire). Une fois de plus, c’est le secteur « Transport et entreposage » qui contribue le plus à cette hausse globale.
+17,3 % sur les 12 derniers mois
La tendance est la même lorsqu’on observe l’évolution sur les 12 derniers mois : le nombre cumulé d’entreprises créées au cours de cette période continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 17,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+28,0 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+21,1 %) et des créations de sociétés (+1,5 %).
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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