Organisé par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et la Caisse des dépôts, le concours a pour objectif d’encourager la création d’entreprises innovantes par des étudiants et des jeunes diplômés.
Faire émerger des projets de création d’entreprises innovantes portés par des étudiants ou des jeunes diplômés : l’édition 2018 du Prix PÉPITE – Tremplin pour l’entrepreneuriat étudiant, organisée par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et la Caisse des dépôts, vise à soutenir les jeunes talents dans leur démarche entrepreneuriale.
À la clé : une aide financière pouvant varier de 5 000 à 20 000 €, ainsi qu’un accompagnement dédié, proposé par l’un des 29 Pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat (PÉPITE), associant établissements d’enseignement supérieur (universités, écoles de commerce, écoles d’ingénieurs), acteurs économiques et réseaux associatifs sur l’ensemble du territoire français.
Technologique ou non-technologique
En pratique, cette 5e édition du Prix PÉPITE s’adresse à tout étudiant ou jeune diplômé du supérieur depuis moins de 3 ans, âgé de 18 à 28 ans, dont le projet consiste à créer une entreprise innovante (que ce soit dans le domaine technologique ou non-technologique) et qui bénéficie ou a bénéficié du Statut Nation d’Étudiant-Entrepreneur (SNÉE). Sont également éligibles pour cette édition 2018 les jeunes entreprises créées depuis le 1er juillet 2017.
Le Prix PÉPITE – Tremplin pour l’entrepreneuriat étudiant constitue le premier volet du dispositif i-LAB, le second étant le concours national d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes.
Les candidatures pour l’édition 2018 du Prix PÉPITE sont ouvertes jusqu’au 12 juin 2018. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr
© Les Echos Publishing 2017
Cap sur l’innovation ! Organisée par Les Echos et le groupe de communication Publicis, la 3 édition du salon Viva Technology se tiendra du 24 au 26 mai 2018 à Paris.
Rendez-vous dans un mois ! Porteurs de projets, start-up, dirigeants d’entreprises, investisseurs, chercheurs, grand public : pas moins de 80 000 participants issus d’une centaine de pays sont attendus pour l’édition 2018 du salon professionnel Viva Technology, qui se tiendra du 24 au 26 mai 2018 dans les locaux de Paris Expo Porte de Versailles.
Lancé en 2016 par Les Echos et le groupe de communication Publicis, l’évènement vise, pour la troisième année consécutive, à rassembler celles et ceux qui composent l’univers innovant à travers le monde entier.
Un programme riche et diversifié
Plus de 300 intervenants de renommée internationale, 150 conférences thématiques abordant des sujets aussi divers que variés (de la transformation digitale jusqu’à l’intelligence artificielle, en passant par l’éducation à l’heure du numérique et l’énergie du futur), 20 laboratoires d’innovation ouverte réunissant start-up et grandes entreprises, un « Hall of Tech » offrant aux participants la possibilité d’expérimenter les innovations les plus marquantes… La 3e édition du salon Viva Technology s’annonce d’ores et déjà riche en opportunités !
L’occasion de faire le plein d’informations, de rencontrer les acteurs phares de l’écosystème numérique d’aujourd’hui et, pourquoi pas, d’initier de futurs partenariats.
Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.vivatechnology.com
© Les Echos Publishing 2017
Récemment lancé par Bpifrance et Hello Tomorrow, le programme transdisciplinaire « Deeptech Founders » vise à former des chercheurs issus de toutes disciplines à l’entrepreneuriat.
Comment transformer une technologie en produit ? Comment évaluer son potentiel commercial ? Et comment mener à bien un projet entrepreneurial ? Baptisé « Deeptech Founders » et lancé par la banque publique d’investissement Bpifrance et l’ONG d’entrepreneurs Hello Tomorrow, un nouveau programme transdisciplinaire dédié aux doctorants, post-doctorants et chercheurs du secteur public vise à donner aux participants les outils et les méthodes pour se former à l’entrepreneuriat.
Allier pratique et mentoring
En pratique, le programme – qui débutera à la rentrée d’automne 2018 au Hub de Bpifrance – s’étalera sur une durée de quatre mois et se composera de deux phases bien distinctes : une première, appelée « Inside the lab », permettant aux participants d’acquérir les connaissances de base d’un projet entrepreneurial issu du monde de la recherche, suivie d’une seconde, baptisée « Outside the lab », dont l’objectif consiste à amener les futurs entrepreneurs à tester leur projet en situation réelle.
Plus de 40 mentors, tous des chercheurs et ingénieurs ayant déjà franchi le pas de l’entrepreneuriat, seront amenés à accompagner les participants tout au long du programme en leur apportant non seulement des retours d’expérience, mais aussi des conseils pragmatiques.
Les candidatures pour participer à cette première édition du programme « Deeptech Founders » sont ouvertes jusqu’au vendredi 22 juin 2018. Un comité de sélection, composé d’experts de Bpifrance et de l’organisation Hello Tomorrow, choisira 100 participants sur dossier.
Pour en savoir plus, rendez-vous d’ores et déjà sur : www.bpifrance.fr
© Les Echos Publishing 2017
Après un mois de janvier très dynamique et un mois de février statique, le mois de mars s’inscrit dans la continuité avec une hausse de 0,5 % des créations d’entreprises, selon l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 55 752 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de mars 2018 : + 0,5 % par rapport au mois de février, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Institut, non seulement par une légère hausse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 0,8 %), mais aussi par une accélération, bien que faible, de créations d’entreprises classiques (+ 0,4 %).
+ 17 % sur janvier-février-mars
Le bilan est nettement plus dynamique sur la période janvier-février-mars, où les chiffres témoignent d’une accélération beaucoup plus forte du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 17 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 24,4 % pour les entreprises individuelles classiques et + 27,1 % pour les micro-entrepreneurs, les entreprises sous forme sociétaire affichant, en revanche, un léger repli de 0,2 %).
Sans compter que le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des douze derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 9,9 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux douze mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse significative du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 15,1 %), mais aussi par une accélération des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 11,5 %) et de sociétés (+ 2,6 %). Une fois de plus, c’est le secteur du soutien aux entreprises qui contribue le plus à cette hausse globale.
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
© Les Echos Publishing 2017
Publiée par le réseau associatif BGE et le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq), une récente étude dresse le portrait-robot des créateurs d’entreprise français.
Dans le cadre d’une nouvelle convention de partenariat, BGE et le Centre d’études et de recherches sur les qualifications (Céreq) ont récemment publié une étude dédiée aux porteurs de projets ayant créé ou repris une entreprise entre 2013 et 2016, avec l’appui du réseau associatif. L’objectif ? Analyser leur profil, décortiquer leurs parcours et, enfin, faire le point sur leurs perspectives d’avenir.
L’envie d’autonomie, la confiance pour l’avenir
Selon cette étude, les créateurs d’entreprise avaient, en moyenne, 39 ans au moment de sauter le pas et ne comptaient, pour 40 % d’entre eux, pas d’autres entrepreneurs dans leur entourage à ce moment-là. Par ailleurs, 42 % d’entre eux sont des femmes, 56 % disposent d’un niveau d’études inférieur ou égal au Bac, 52 % ont choisi le statut d’auto-entrepreneur et 86 % n’ont pas d’activité salariée en parallèle de leur activité de dirigeant.
Interrogés sur leurs motivations, 91 % déclarent avoir créé leur entreprise pour gagner en indépendance et en autonomie et 95 % pour exercer un métier qui leur plaît. 89 % d’entre eux considèrent la création d’entreprise comme une bonne expérience, 81 % jugeant, par ailleurs, le soutien du réseau BGE comme un élément déterminant pour la concrétisation de leur projet.
Enfin, force est de constater que la plupart des entrepreneurs sondés ne manquent pas d’entrain pour les années à venir, bien au contraire ! 90 % d’entre eux se déclarent, en effet, optimistes pour l’avenir de leur entreprise. Et pour cause, puisque 55 % ont pu constater un chiffre d’affaires en augmentation régulière depuis la création de leur activité (stable pour 17 %). Pas moins de 82 % des dirigeants ont, par ailleurs, l’intention de développer leur entreprise – dans leur région (86 %), dans d’autres régions françaises (23 %), voire à l’international (12 %) – et s’imaginent, pour 74 % d’entre eux, toujours en poste dans 10 ans.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bge.asso.fr
© Les Echos Publishing 2017
Officiellement lancé le 20 mars dernier, le « FinTech Tour » vise à renforcer les écosystèmes entrepreneuriaux locaux tout en leur offrant une meilleure visibilité, en France et à l’international.
Créé en juillet 2016 et composé de 5 membres – French Tech Brest+, LORnTech, French Tech Montpellier, Finance Innovation et France FinTech – le réseau thématique French Tech #FinTech réunit aujourd’hui des acteurs publics et privés issus de l’écosystème des services financiers.
Rappel : les 9 réseaux thématiques de la French Tech (#FinTech, #HealthTech, #IoT #Manufacturing, #Sports, #Cleantech #Mobility, #Security #Privacy, #Retail, #EdTech #Entertainment et #FoodTech) ont pour objectif de regrouper les entrepreneurs spécialisés dans un même domaine pour les aider à gagner en visibilité et à surmonter, ensemble, leurs problématiques communes.
Pour faire rayonner cette communauté en France et à l’international, les membres du réseau ont récemment imaginé une nouvelle initiative, baptisée « FinTech Tour ».
Contribuer à l’essor des pépites tricolores
Tout au long de l’année 2018, l’évènement aura pour objectif de rassembler les acteurs locaux de la FinTech (entrepreneurs, associations, incubateurs, investisseurs, universités…) au sein des 13 Métropoles French Tech. L’enjeu ? Renforcer les écosystèmes FinTech régionaux et soutenir la croissance des pépites tricolores sur l’ensemble du territoire français.
Un effort de mobilisation qui, en pratique, tend à renforcer les as déjà existants tout en en créant de nouveaux pour prolonger la dynamique des territoires et favoriser le rayonnement de l’environnement entrepreneurial tricolore, en France et à l’international.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com
© Les Echos Publishing 2017
Récemment publié par le réseau associatif d’accompagnement à la création d’entreprise, le dernier rapport d’activité d’Initiative France fait le point sur les actions menées en 2017.
Initiative France, premier réseau associatif de financement et d’accompagnement à la création d’entreprise, vient de diffuser son rapport d’activité 2017. L’occasion de dresser le bilan des actions menées au cours de l’année dernière.
Selon les chiffres publiés, les 223 plates-formes locales du réseau ont ainsi pu accompagner la création, la reprise ou la première croissance de 16 416 entreprises : l’équivalent de 4,7 % des créations enregistrées sur l’ensemble du territoire français (hors micro-entreprises). Un engagement important qui n’est pas sans impact sur le nombre d’emplois créés ou maintenus, bien au contraire ! D’après Initiative France, les entreprises financées par l’association en 2017 ont, en effet, généré 43 128 emplois directs (une moyenne de 2,6 emplois par entreprise), dont 28 832 sont de nouveaux emplois.
Un taux de pérennité important
Autre aspect encourageant : plus de 9 entreprises sur 10 soutenues par Initiative France 3 ans plus tôt sont, à ce jour, toujours en activité. Un bilan particulièrement positif, sachant que la moyenne nationale se situe autour de 7 entreprises sur 10, et un indicateur important pour souligner l’efficacité de l’accompagnement proposé !
Enfin, Initiative France évalue le montant total des prêts d’honneur accordés aux entrepreneurs en 2017 à 173,5 millions d’euros (+7 % par rapport à 2016). Sans compter que le soutien du réseau associatif permet aux entrepreneurs accompagnés d’obtenir plus facilement la confiance des banques : en pratique, chaque euro de prêt d’honneur permettrait ainsi de mobiliser 7,4 € de prêts bancaires.
Pour en savoir plus et consulter le rapport d’activité 2017, rendez-vous sur : www.initiative-france.fr
© Les Echos Publishing 2017
Les candidatures pour la 25 édition du concours Agropole, dédié aux jeunes pousses innovantes du secteur agroalimentaire, sont ouvertes. La date limite pour postuler a été fixée au 30 avril 2018.
Agropole, pépinière d’entreprises, centre de ressources technologiques et pôle de formation situé en région agenaise, a récemment lancé la 25e édition de son concours national. Dédié aux porteurs de projets de créations d’entreprises agroalimentaires et aux jeunes pousses du secteur ayant moins de 3 ans d’ancienneté, il récompense, une fois de plus, l’esprit innovant des activités qui seront présentées.
Six finalistes, trois lauréats
Cette année encore, les 3 gagnants pourront bénéficier d’une dotation globale d’une valeur de plus de 60 000 €. Sans compter que les 2 premiers lauréats se verront offrir un stand de 9 m2 au Salon International de l’Alimentation (SIAL), rendez-vous phare de l’innovation alimentaire, qui se tiendra du 21 au 25 octobre 2018 à Paris.
Les candidatures pour cette nouvelle édition du concours Agropole sont ouvertes jusqu’au 30 avril 2018. À l’issue d’une phase de présélection, 6 finalistes seront invités à venir présenter leurs projets devant un jury d’experts, qui se réunira fin septembre pour désigner les 3 lauréats de l’année.
La participation au concours Agropole n’implique aucune obligation pour les entreprises primées de s’installer sur la technopole agenaise.
Pour en savoir plus et accéder au dossier d’inscription, rendez-vous sur : www.agropole.com
© Les Echos Publishing 2017
Publiée par Bpifrance Le Lab et le cluster Innovation Factory, une récente étude fait le point sur le rôle et le fonctionnement des plates-formes d’innovation au sein des écosystèmes régionaux.
Entre mutations technologiques et transformations socio-économiques, de nouveaux lieux d’innovation émergent et se développent sur l’ensemble du territoire français. S’adressant aux porteurs de projets, aux start-up, aux travailleurs indépendants ou encore aux grands groupes, ils constituent aujourd’hui un élément incontournable de l’écosystème entrepreneurial tricolore.
Mais quel est leur rôle, en pratique ? Et selon quels modèles fonctionnent-ils ? Une récente publication, éditée par Bpifrance Le Lab et le cluster Innovation Factory, tend à apporter des éléments de réponse.
Pas de modèle unique, mais une mission commune
D’après les conclusions de l’étude, s’il n’existe pas de modèle unique – les plates-formes diffèrent à la fois par leurs modèles d’affaires, leurs partenariats (publics et/ou privés), leurs statuts juridiques et le panel d’activités proposées – elles s’engagent néanmoins toutes pour une mission commune : celle de catalyser l’innovation au sein des écosystèmes entrepreneuriaux régionaux. À ce titre, le partage de contenus, encourageant l’innovation ouverte, et la mise en réseau entre jeunes entreprises, PME et grands groupes se trouvent, en général, au cœur de leur activité.
Enfin, l’étude souligne également la nécessité, pour chacune de ces plates-formes, d’afficher un positionnement différenciant. L’enjeu ? Renforcer leur attractivité pour assurer leur viabilité dans un contexte marqué par l’émergence de plusieurs « méga plates-formes », telles que Station F à Paris ou encore Euratechnologies à Lille. Un critère déterminant, aussi, pour nouer des partenariats stratégiques et fédérer des communautés dynamiques !
Pour en savoir plus et consulter l’intégralité de l’étude, rendez-vous sur : www.plateformes-innovation.fr
© Les Echos Publishing 2017
Récemment signé, le partenariat entre l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) et la néobanque Qonto vise à démocratiser l’accès à un compte courant professionnel.
Depuis près de 30 ans, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) offre aux personnes en situation de précarité, n’ayant pas accès au crédit bancaire classique, des dispositifs financiers (microcrédits) leur permettant de créer leur entreprise et ainsi leur emploi. Or, si 76 % des entrepreneurs soutenus par l’Adie réussissent à lancer des activités pérennes, seuls 48 % d’entre eux ont pu ouvrir un compte bancaire professionnel.
Démocratiser l’accès aux comptes courants
Pour répondre à cette problématique et prolonger le soutien apporté aux (futurs) entrepreneurs, l’Adie s’est récemment associée à la néobanque Qonto. L’objectif ? Démocratiser l’accès à un compte courant professionnel et lever ainsi un frein majeur à la création, mais aussi au développement des jeunes entreprises. À la clé : une offre permettant à tout entrepreneur de déposer le capital social de sa société et d’ouvrir un compte courant en ligne, sans critère de revenus.
Pour l’Adie, ce nouveau partenariat – qui s’inscrit, par ailleurs, dans une volonté affirmée de développer encore davantage l’accompagnement digital proposé aux micro-entrepreneurs (y compris à travers de tutoriels et de séminaires en ligne) – devrait permettre à toujours plus de personnes de renouer de façon durable avec l’emploi, tout en concrétisant leurs projets entrepreneuriaux.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.adie.org
© Les Echos Publishing 2017