En France comme à l’étranger, beaucoup de salariés sont tentés par la création d’entreprise, révèle une étude du grossiste Metro sur le commerce indépendant. Mais peu sont prêts à concrétiser leur ambition entrepreneuriale.
D’après une étude internationale sur le commerce indépendant réalisée par le grossiste alimentaire pour professionnels Metro, de nombreuses personnes sont tentées par l’aventure de la création d’entreprise… mais peu d’entre elles sont disposées à franchir le pas !
Cet écart entre l’envie de monter sa boîte et la concrétisation de son projet – ce que Metro appelle le « fossé entrepreneurial » – se retrouve au sein des 10 pays dans lesquels l’enseigne a mené l’enquête : en France, mais également en Allemagne, aux Pays-Bas, en Italie, au Portugal, en République tchèque, en Roumanie, en Turquie, en Russie et en Chine. Le grossiste a interrogé près de 10 000 personnes travaillant dans un commerce « non indépendant ». Si près de la moitié souhaitent créer leur propre entreprise, seule une minorité (13 %) considèrent cette ambition comme réaliste.
Deux principaux freins à la création d’entreprise sont cités par les commerçants sondés : l’instabilité de leur environnement économique et l’alourdissement de la fiscalité. Pourtant, le commerce indépendant a de l’avenir car il sait tirer son épingle du jeu vis-à-vis de la concurrence, souligne l’enquête de Metro. Les consommateurs apprécient beaucoup les structures indépendantes en raison de la qualité de leurs produits et/ou services et de leur excellente relation-cat.
Pour en savoir plus sur l’étude menée par Metro (en anglais) : www.metroag.de/en
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Pour la 6 année consécutive, la Fondation pour l’université de Lyon lance Lyon Start Up, qui combine un programme d’accompagnement de 4 mois à la création d’entreprise et un concours.
Une centaine d’heureux élus pourront bientôt bénéficier de Lyon Start Up, l’initiative de la Fondation pour l’Université de Lyon qui promeut l’entrepreneuriat en offrant un accompagnement à la création d’entreprise ainsi qu’un concours. Les jeunes pousses sélectionnées auront l’opportunité de suivre la 6e édition de ce programme de 4 mois qui court cette année de février à juin.
Pour bénéficier du dispositif, tout porteur d’un projet ou d’une innovation, quelle que soit sa situation (salarié, sans emploi, étudiant…), peut s’inscrire en ligne avant le 10 février 2018 à minuit. Seule condition : ne pas encore avoir déposé les statuts de son entreprise ! Un jury d’experts ouvrira gratuitement les portes de la formation et du concours aux 100 candidats dont les idées ont été jugées les plus prometteuses.
Dans le détail, le programme proposé comprend une semaine de cours sur l’entrepreneuriat innovant dispensés à l’EM Lyon Business School, un enseignement dédié au « pitch » (l’exercice de présentation oral pour retenir l’attention des potentiels investisseurs), des ateliers sur les grands concepts de la création d’entreprise (stratégie commerciale, business model…), des recommandations de spécialistes sur des plans d’action, des journées thématiques, ainsi que des retours d’expérience. En parallèle, un concours de pitchs distinguera 3 lauréats qui pourront gagner jusqu’à 15 000 €.
Pour en savoir plus sur Lyon Start Up et tenter sa chance, rendez-vous sur : www.lyonstartup.com
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L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) organise prochainement une série de 4 nouvelles webconférences dédiées à l’entrepreneuriat.
Pour permettre aux entrepreneurs de se former sans se déplacer, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) propose ce mois-ci une série de 4 webconférences consacrées à la création d’entreprise.
À compter du 9 janvier prochain, les internautes pourront assister chaque mardi du mois à 14h30 à une présentation de 45 minutes sur une thématique relative à l’entrepreneuriat. Des informations concrètes sur la création d’entreprise y seront délivrées en direct par un membre de l’Adie. Le dispositif est interactif : un tchat permet de poser des questions à l’animateur pendant la conférence.
Ce mois-ci, deux thématiques seront abordées : « Tout savoir pour réussir sa demande de microcrédit » les mardi 9 et 23 janvier, et « Quatre conseils en or pour réussir sa première année d’activité », les mardi 16 et 30 janvier.
L’inscription à ces séances est gratuite et se fait en ligne sur le site Internet de l’association. Il sera, par ailleurs, possible de les revoir sur la chaîne Youtube dédiée, qui propose déjà une dizaine d’autres webconférences consacrées à l’entrepreneuriat et la gestion des petites entreprises.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.adieconnect.fr
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La 25 édition du Salon des Entrepreneurs se tiendra les 7 et 8 février prochains au Palais des Congrès de Paris. Deux jours pour faire le plein d’informations et accélérer vos projets !
25 ans de passion, de création et d’innovation. Pendant deux jours, mercredi 7 et jeudi 8 février, le Palais des Congrès de Paris accueillera l’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs. Plus de 400 partenaires et exposants, 200 conférences et workshops, 150 personnalités emblématiques mobilisées pour l’occasion… Organisé par Les Echos Solutions, l’évènement a pour vocation d’offrir un concentré d’informations et d’expertises autour de l’entrepreneuriat.
En pratique, en plus des nombreuses conférences techniques, 12 temps forts d’actualité inviteront les participants à faire le point sur les enjeux phares de l’année. Une vingtaine d’animations (La Fabrique à entreprendre, Flash Business Meeting, Bourse d’opportunités, Coaching d’entrepreneurs, consultations d’experts…) seront, par ailleurs, proposées tout au long de la manifestation.
Avec plus d’un million de visiteurs en 25 ans, le Salon des Entrepreneurs représente aujourd’hui le plus grand rassemblement d’entrepreneurs en Europe. Deux jours d’immersion au cœur de l’écosystème entrepreneurial : l’occasion de capter les nouvelles tendances, de bénéficier des meilleurs conseils et de trouver des financements pour faire décoller vos projets !
Pour obtenir des informations plus détaillées et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous dès à présent sur : www.salondesentrepreneurs.com
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D’ici à 2020, le dispositif Créabiz a pour objectif d’accompagner 10 000 jeunes vers la création d’entreprise.
Destiné aux jeunes accompagnés par l’une des 75 Missions locales francianes, un dispositif d’aide à la création d’activité, dont l’association des Missions locales d’Île-de-France (ARML-IdF) est à l’origine, vient tout juste de voir le jour. Baptisé « Créabiz », il vise à accompagner les jeunes de 18 à 25 ans qui veulent créer ou reprendre une activité.
Avant de lancer les jeunes candidats dans l’aventure entrepreneuriale, le dispositif prévoit une première étape qui permet d’évaluer leurs aptitudes à devenir créateurs d’entreprise et/ou le niveau de maturité de leur projet.
Puis, dans un deuxième temps, les jeunes sont orientés vers un partenaire qui les accompagnera dans leurs démarches de création d’activité en suivi permanent avec leurs conseillers de la Mission locale dont ils relèvent.
Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à consulter la présentation du dispositif ainsi que sa plaquette.
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Selon un récent sondage mené par l’institut OpinionWay pour la plate-forme de crowdfunding Ulule, pas moins de 54 % des jeunes de 18 à 35 ans ont déjà ressenti l’envie de créer une entreprise.
L’entrepreneuriat a la cote auprès des jeunes Français ! C’est du moins ce que laisse entendre un récent sondage, mené par l’institut OpinionWay pour la plate-forme de crowdfunding Ulule. Pas moins de 54 % des 18 à 35 ans déclarent ainsi avoir déjà eu envie de créer une entreprise, et 27 % se disent tentés par l’idée d’en reprendre une. Par ailleurs, 31 % des sondés affirment avoir pu transformer ce désir en réalité ou, à défaut de sauter le pas, avoir pris le temps d’y réfléchir concrètement.
Des interlocuteurs privilégiés
Interrogés sur les organismes auxquels ils feraient appel pour les aider dans leurs démarches, les participants citent d’abord leur banque (51 %), suivie de près par les Chambres de commerce et d’industrie (48 %). Viennent ensuite les réseaux d’accompagnement tels que BGE, Initiative France ou Entreprendre (27 %), Pôle emploi (23 %), l’expert-comptable (21 %) et les plates-formes de financement participatif (20 %).
Quant aux modes de financement envisagés, force est de constater que là aussi, des tendances fortes se dessinent. Le financement bancaire représente ainsi l’option privilégiée par 70 % des créateurs d’entreprise potentiels, avant l’apport personnel (61 %), le crowdfunding (38 %) et le financement public (30 %).
Enfin, si le financement bancaire est considéré par 53 % des sondés comme étant la méthode la plus fiable, le financement participatif représente pour 54 % des jeunes interrogés une approche davantage ouverte aux projets innovants.
Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude, rendez-vous sur : www.opinion-way.com
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Vous souhaitez trouver une solution à un problème administratif ou participer à des ateliers d’informations centrés sur les problématiques des start-up ? Rendez-vous à l’espace French Tech Central !
Accessible à toutes les start-up, un nouvel espace s’est ouvert au sein du campus dédié à leur univers, « Station F », implanté dans le 13e arrondissement de Paris. Baptisé « French Tech Central », ce lieu de passage et d’information a été conçu pour faciliter le dialogue entre les start-up et l’Administration. 30 services publics peuvent y être sollicités en permanence ou à temps partiel pour :– aider les entreprises dans leurs démarches administratives et fiscales (paiement des impôts et cotisations sociales, dépôt de brevet, création de société, développement à l’international…) ;– leur faire bénéficier d’une expertise technique et juridique sur certains domaines tels que l’exportation/importation ou la recherche de financement. Les entrepreneurs peuvent ainsi participer à des ateliers d’informations proposés chaque semaine. Ils peuvent également demander des rendez-vous bilatéraux avec l’administration de leur choix, via la plate-forme en ligne www.french-tech-central.com. Ou, tout simplement, échanger avec les personnels des acteurs publics présents dans l’espace French Tech Central, dans des bureaux ou salles de réunion réservés à cet effet et assurant la confidentialité des échanges.
Également pensé pour servir d’interface entre les start-up et le monde scientifique, cet espace permet d’y rencontrer des chercheurs des universités et des laboratoires français, par le biais d’un partenariat avec l’Institut de recherche public en sciences du numérique (Inria).
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Bpifrance et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation ont récemment lancé la 20 édition du concours i-Lab, dédié à la création d’entreprises innovantes.
Faire émerger les meilleurs projets de création d’entreprise dans le domaine des technologies innovantes : l’édition 2018 du concours i-Lab, organisé par Bpifrance et le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, vise à encourager l’esprit entrepreneurial en améliorant l’accompagnement des jeunes pousses tricolores.
À la clé : une subvention pouvant atteindre un montant maximal de 450 000 €, permettant de financer les premières dépenses de la jeune entreprise, telles que des frais de personnel, de fonctionnement ou encore d’équipement, directement liés au programme de R&D.
Un concours ouvert à plusieurs catégories de participants
En pratique, le concours i-Lab 2018 s’adresse à tous les porteurs de projets, quelles que soient leur nationalité et leur situation (étudiant, salarié, demandeur d’emploi…), à condition que l’entreprise issue de leur projet soit créée sur le territoire français.
Par ailleurs, sont également éligibles les entreprises ayant vu le jour depuis le 1er janvier 2017, les lauréats « en émergence » des éditions précédentes du concours i-Lab, les bénéficiaires d’une bourse French Tech « Émergence » ainsi que les lauréats du prix « PÉPITE – Tremplin pour l’Entrepreneuriat Étudiant », ayant créé ou non l’entreprise correspondant au projet pour lequel ils ont été primés.
Les candidatures pour cette 20e édition du concours i-Lab sont ouvertes jusqu’au 20 février 2018 à 12h. Pour obtenir plus d’informations sur les modalités de participation, rendez-vous dès à présent sur : www.bpifrance.fr
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Après un mois d’octobre déjà plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a de nouveau augmenté en novembre : +5,5 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 54 481 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de novembre 2017 : +5,5 % par rapport au mois d’octobre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Institut, cette évolution s’explique surtout par une forte hausse des immatriculations de micro-entrepreneurs (+15,1 %). Moins d’entrain, en revanche, du côté des créations d’entreprises classiques qui affichent, quant à elles, un léger repli (-0,9 %).
Une accélération importante sur les 3 derniers mois
Sur la période septembre-octobre-novembre, les chiffres témoignent également d’une accélération significative du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 14,1 %, dont +19,4 % pour les immatriculations de micro-entrepreneurs, +15,2 % pour les créations d’entreprises individuelles classiques et +6,2 % pour les sociétés. Une fois de plus, ce sont les secteurs du soutien aux entreprises et du commerce qui contribuent le plus à cette hausse globale.
Enfin, force est de constater que le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue également de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 6,2 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents : une évolution qui s’explique à la fois par une hausse importante du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+7,2 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+5,7 %) et des créations de sociétés (+5,4 %).
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Le réseau associatif BGE vient de lancer une campagne de sensibilisation à destination des porteurs de projets. L’enjeu ? Rappeler les étapes incontournables pour réussir sa création d’entreprise.
15 thématiques, abordées sous l’angle d’un premier niveau de conseil : lancée par le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE, une récente campagne d’information tend à sensibiliser les futurs entrepreneurs aux nombreuses étapes qu’il convient de franchir pour réussir son projet.
Comment développer son réseau ? Comment trouver ses premiers cats ? Comment établir un devis ? Comment rédiger un business plan ? Comment pitcher son projet devant des investisseurs ? Comment monter sa campagne de crowdfunding ? Autant de questions (et bien d’autres !) que les organisateurs cherchent à soulever, tout en apportant déjà bon nombre d’éléments de réponse.
On ne naît pas entrepreneur, on le devient
Au-delà de la volonté de conseiller les porteurs de projets sur des enjeux incontournables du parcours entrepreneurial, le réseau BGE veut aussi rappeler, au travers de cette campagne d’information, que s’il n’y a pas d’âge ou de profil idéal pour se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, il existe bel et bien des aptitudes nécessaires pour transformer son projet en succès. D’où l’importance de se faire accompagner et d’étoffer ses connaissances techniques grâce à des formations adaptées !
Diffusée sur les réseaux sociaux, la campagne de sensibilisation est également accessible via le portail internet de l’association. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bge.asso.fr
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