Entreprises innovantes : BPI France et Banque Populaire s’engagent ensemble

Récemment signé, un nouveau partenariat entre les deux organismes de financement vise à offrir aux entrepreneurs innovants un accompagnement davantage optimisé.

Conjuguer les expertises pour offrir aux porteurs de projets innovants un accompagnement optimal lors des phases clés de la vie de leur entreprise : de la création jusqu’au développement, en France et à l’international. Récemment signé, un nouveau partenariat entre BPI France et Banque Populaire tend à rapprocher les deux organismes de financement sur des projets opérationnels.

Des opérations conjointes pour renforcer les synergies

En pratique, les deux partenaires souhaitent ainsi mettre en place des opérations conjointes au niveau régional, renforcer les synergies entre les deux réseaux et développer de nouveaux outils de veille stratégique au service de leurs cats sur le thème de l’innovation. Sans oublier l’axe international qui sera, quant à lui, étoffé à travers de nouvelles offres proposées aux entreprises accompagnées.

Selon les deux organismes, cette nouvelle collaboration aura vocation à bénéficier à l’ensemble de l’écosystème entrepreneurial français, en apportant un appui complémentaire aux entreprises de croissance – qu’elles soient des jeunes start-up fraîchement lancées ou des structures déjà bien établies.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bpifrance.fr

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Glovo, la livraison express pour tous made in Barcelone

Se faire livrer en moins de 30 minutes un bouquet de fleurs ou un livre, c’est l’idée simple mais redoutablement efficace d’une start-up. Née à Barcelone, elle essaime à l’international à un rythme soutenu. Les clés de son succès.

Fraîchement débarquée en France, Glovo est une application maligne qui a d’abord fait ses preuves à Barcelone. Spécialiste de la livraison à la demande, l’application permet d’acheter et se faire livrer en moins de 30 minutes aussi bien un petit-déjeuner, un livre, un burger, etc. Ceci grâce à des partenariats noués avec des centaines de boutiques.

Pour se différencier d’autres services de ce type, Glovo a fait le choix de ne pas cibler une seule gamme de produits (comme les services de livraison de repas par exemple) mais d’être réellement multiproduit.

Fondée à Barcelone en janvier 2015, Glovo vise à modifier la manière dont les utilisateurs accèdent aux produits du quotidien. L’application connecte les utilisateurs qui désirent acheter ou récupérer un produit disponible en boutique dans leur ville, avec des coursiers appelés « Glovers », qui sillonnent la capitale à vélo. Son fondateur, Oscar Pierre, s’est appuyé sur les recettes qui font le succès de l’économie collaborative. Lancé en Espagne, l’idée a donc pu faire ses preuves dans une vile particulièrement dynamique, Barcelone. De quoi inciter le fondateur et des investisseurs de dupliquer la recettes dans d’autres grandes villes en Italie et en France. Après sa millionième commande, la petite appli a réussi a levé 30 millions d’euros pour accélérer sa croissance.

Les clés de succès de cette application ? Un concept clair, un développement très professionnel et une communication ad hoc. Concrètement, le coût de la livraison, basé sur la distance parcourue, est clairement affiché sur la vignette de chaque enseigne, avec un prix de base moyen de 1,90 €. L’utilisateur peut choisir le lieu (bureau, domicile, etc) et l’heure à laquelle il souhaite être livré. La seule limite ? Peut-être celle de la taille, la livraison s’effectuant à vélo ! L’application enregistre des résultats impressionnants : plus de 2 500 Glovers actifs au niveau global, 3 000 enseignes partenaires, 60 % de croissance mensuelle à Paris. L’équipe de 250 personnes, dont une trentaine en France, a enregistré 2 millions de commandes en 2017 dont 250 000 déjà réalisées à Paris. Preuve de la solidité du concept, il se déploie également au Portugal, au Chili, en Argentine ou encore au Pérou !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : sur le marché de l’économie collaborative, les idées venues de l’étranger doivent être importées en France avec beaucoup de précaution, car elles sont très sensibles aux différences culturelles et aux habitudes de consommation. Si les applications sont universelles, elles doivent être au service des spécificités locales !
Le chiffre : 500 coursiers Glovers et plus de 300 enseignes partenaires à Paris
Le contact :

https://glovoapp.com/fr

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Entreprendre dans la Culture : un forum pour accompagner les porteurs de projets

Tables rondes, ateliers transversaux, conseils… Organisée par le ministère de la Culture, l’édition 2018 du Forum Entreprendre dans la Culture se tiendra du 30 mai au 1 juin aux Beaux-Arts de Paris.

Accompagner les porteurs de projet, apporter des informations pratiques pouvant aider les futurs entrepreneurs à concrétiser leurs idées et donner un coup de projecteur particulier sur l’entrepreneuriat culturel, souvent méconnu du grand public… Autant d’objectifs définis par le ministère de la Culture pour l’organisation du 4e Forum Entreprendre dans la Culture, qui se tiendra du 30 mai au 1er juin 2018 aux Beaux-Arts de Paris et à l’École nationale d’architecture Paris-Malaquais.

Échanges et conseils

Élaboré dans une démarche collaborative, réunissant porteurs de projets, étudiants, jeunes diplômés, artistes et professionnels de la culture, le programme de la manifestation s’annonce d’ores et déjà riche et varié : pas moins de 70 tables rondes et ateliers transversaux (comment créer et structurer une activité ? Comment financer son projet ? Comment gérer son développement ? Comment décrypter les tendances d’avenir ?) seront ainsi proposés au fil de l’évènement. Sans oublier l’Incubateur Éphémère, qui sera amené à accompagner une vingtaine de porteurs de projets dans le domaine culturel pendant une durée de 3 jours.

La participation à l’édition 2018 du Forum Entreprendre dans la Culture est gratuite (sur inscription). Pour en savoir plus, rendez-vous sur : forumentreprendreculture.culturecommunication.gouv.fr

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Ma Boîte : une nouvelle plate-forme e-learning dédiée aux entrepreneures

Lancée par l’association Force Femmes avec le soutien de la Fondation Coca-Cola, la nouvelle plate-forme en ligne propose une dizaine de modules de formation, entièrement gratuits.

Concret, pratique et stimulant : développée par l’association Force Femmes, ayant pour vocation de soutenir les femmes de plus de 45 ans dans leurs démarches de recherche d’emploi, la nouvelle plate-forme e-learning « Ma Boîte » propose actuellement une dizaine de modules de formation autour de la création d’entreprise.

Consolider ses connaissances

Réalisés par des professionnels expérimentés, les contenus diffusés sur cette plate-forme couvrent toutes les étapes incontournables pour transformer son idée entrepreneuriale en succès. Définition des objectifs, montage du projet, mise en place, suivi… Entièrement gratuit, l’accompagnement proposé offre aux participantes l’occasion de consolider leurs connaissances tout en appliquant leurs (nouvelles) compétences de manière concrète à leurs propres projets d’entreprise.

Soutenue par la Fondation Coca-Cola, également engagée en faveur de la parité et de l’égalité des chances dans le domaine professionnel, la nouvelle plate-forme e-learning « Ma Boîte » est ouverte à toutes les femmes porteuses d’un projet entrepreneurial.

Pour en savoir plus et consulter l’offre de formation proposée, rendez-vous dès à présent sur : www.maboite-entrepreneuse.fr

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Étudiants et jeunes diplômés : l’édition 2018 du Prix PÉPITE est lancée !

Organisé par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et la Caisse des dépôts, le concours a pour objectif d’encourager la création d’entreprises innovantes par des étudiants et des jeunes diplômés.

Faire émerger des projets de création d’entreprises innovantes portés par des étudiants ou des jeunes diplômés : l’édition 2018 du Prix PÉPITE – Tremplin pour l’entrepreneuriat étudiant, organisée par le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et la Caisse des dépôts, vise à soutenir les jeunes talents dans leur démarche entrepreneuriale.

À la clé : une aide financière pouvant varier de 5 000 à 20 000 €, ainsi qu’un accompagnement dédié, proposé par l’un des 29 Pôles étudiants pour l’innovation, le transfert et l’entrepreneuriat (PÉPITE), associant établissements d’enseignement supérieur (universités, écoles de commerce, écoles d’ingénieurs), acteurs économiques et réseaux associatifs sur l’ensemble du territoire français.

Technologique ou non-technologique

En pratique, cette 5e édition du Prix PÉPITE s’adresse à tout étudiant ou jeune diplômé du supérieur depuis moins de 3 ans, âgé de 18 à 28 ans, dont le projet consiste à créer une entreprise innovante (que ce soit dans le domaine technologique ou non-technologique) et qui bénéficie ou a bénéficié du Statut Nation d’Étudiant-Entrepreneur (SNÉE). Sont également éligibles pour cette édition 2018 les jeunes entreprises créées depuis le 1er juillet 2017.

Le Prix PÉPITE – Tremplin pour l’entrepreneuriat étudiant constitue le premier volet du dispositif i-LAB, le second étant le concours national d’aide à la création d’entreprises de technologies innovantes.

Les candidatures pour l’édition 2018 du Prix PÉPITE sont ouvertes jusqu’au 12 juin 2018. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.enseignementsup-recherche.gouv.fr

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L’édition 2018 du salon professionnel Viva Technology approche à grands pas

Cap sur l’innovation ! Organisée par Les Echos et le groupe de communication Publicis, la 3 édition du salon Viva Technology se tiendra du 24 au 26 mai 2018 à Paris.

Rendez-vous dans un mois ! Porteurs de projets, start-up, dirigeants d’entreprises, investisseurs, chercheurs, grand public : pas moins de 80 000 participants issus d’une centaine de pays sont attendus pour l’édition 2018 du salon professionnel Viva Technology, qui se tiendra du 24 au 26 mai 2018 dans les locaux de Paris Expo Porte de Versailles.

Lancé en 2016 par Les Echos et le groupe de communication Publicis, l’évènement vise, pour la troisième année consécutive, à rassembler celles et ceux qui composent l’univers innovant à travers le monde entier.

Un programme riche et diversifié

Plus de 300 intervenants de renommée internationale, 150 conférences thématiques abordant des sujets aussi divers que variés (de la transformation digitale jusqu’à l’intelligence artificielle, en passant par l’éducation à l’heure du numérique et l’énergie du futur), 20 laboratoires d’innovation ouverte réunissant start-up et grandes entreprises, un « Hall of Tech » offrant aux participants la possibilité d’expérimenter les innovations les plus marquantes… La 3e édition du salon Viva Technology s’annonce d’ores et déjà riche en opportunités !

L’occasion de faire le plein d’informations, de rencontrer les acteurs phares de l’écosystème numérique d’aujourd’hui et, pourquoi pas, d’initier de futurs partenariats.

Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.vivatechnology.com

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Yapuka, un coaching sur-mesure pour des entretiens au top !

Alors que plus que jamais un seul CV ne suffit plus pour décrocher son premier job, Yapuka innove grâce à un service de coaching original.

Deux tiers des jeunes de 18 à 25 ans déclarent ne pas être suffisamment préparés aux entretiens de stages et de premier emploi (étude de terrain HEC 2017) ! C’est en partant de ce constat que deux entrepreneuses de choc, Sandra Le Grand, créatrice d’entreprise (Kalidea), et Valérie Falala, experte en ressources humaines, ont lancé fin 2017 un service innovant : Yapuka.org, première plate-forme de mise en relation d’entraîneurs indépendants labellisés et des jeunes de 18 à 25 ans.

L’idée ? Offrir à ces jeunes la possibilité de se préparer à leurs futurs entretiens : entretien d’embauches, stages, etc.

L’idée semble d’autant plus pertinente que la France est souvent décriée pour son manque de formation à la prise de parole, par exemple par rapport aux pays anglo-saxons. Se sentir à l’aise, savoir quels sont les faux-pas à éviter absolument, laisser émerger sa personnalité, sa motivation et son dynamisme pour faire la différence : voilà pourtant des clés de réussite qui ne s’inventent pas, mais s’apprennent.

Les jeunes voulant bénéficier de cet entraînement trouveront via Yapuka des experts RH, des coachs, des enseignants, des professionnels de la communication, etc. Ceux-ci leur proposent une méthode de travail personnalisée et originale pour les préparer à l’entretien oral. Le contenu ? Des exercices préparatoires, de la théorie, des vidéos et 3 modules en face-à-face ou à distance via Skype (se découvrir et esquisser son fil rouge, savoir communiquer son talent, simulation d’entretien).

« Yapuka.org se place comme un intermédiaire à valeur ajoutée pour la préparation aux entretiens et s’inscrit à l’interdiv de deux univers : la EDtech et HRtech, où le digital et l’humain s’enrichissent mutuellement », expliquent les créatrices qui toutes deux étaient régulièrement sollicitées par leurs réseaux pour des entraînements de jeunes, des pitch d’entrepreneurs, des entretiens d’embauche. Le plus ? Afin de choisir en toute connaissance de cause leur expert, les jeunes trouveront sur la plate-forme des biographies complètes de chaque professionnel, chacun ayant, en outre, un statut (or, argent ou bronze), 10 sur 10 !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : sur le terrain de la formation, attention à la sélection des intervenants. Un mauvais professionnel peut ruiner bien des efforts de communication !
Le chiffre : trois formules sont proposées, allant de 240 à 720 €.
Le contact :

www.yapuka.org

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Deeptech Founders : accompagner les chercheurs vers l’entrepreneuriat

Récemment lancé par Bpifrance et Hello Tomorrow, le programme transdisciplinaire « Deeptech Founders » vise à former des chercheurs issus de toutes disciplines à l’entrepreneuriat.

Comment transformer une technologie en produit ? Comment évaluer son potentiel commercial ? Et comment mener à bien un projet entrepreneurial ? Baptisé « Deeptech Founders » et lancé par la banque publique d’investissement Bpifrance et l’ONG d’entrepreneurs Hello Tomorrow, un nouveau programme transdisciplinaire dédié aux doctorants, post-doctorants et chercheurs du secteur public vise à donner aux participants les outils et les méthodes pour se former à l’entrepreneuriat.

Allier pratique et mentoring

En pratique, le programme – qui débutera à la rentrée d’automne 2018 au Hub de Bpifrance – s’étalera sur une durée de quatre mois et se composera de deux phases bien distinctes : une première, appelée « Inside the lab », permettant aux participants d’acquérir les connaissances de base d’un projet entrepreneurial issu du monde de la recherche, suivie d’une seconde, baptisée « Outside the lab », dont l’objectif consiste à amener les futurs entrepreneurs à tester leur projet en situation réelle.

Plus de 40 mentors, tous des chercheurs et ingénieurs ayant déjà franchi le pas de l’entrepreneuriat, seront amenés à accompagner les participants tout au long du programme en leur apportant non seulement des retours d’expérience, mais aussi des conseils pragmatiques.

Les candidatures pour participer à cette première édition du programme « Deeptech Founders » sont ouvertes jusqu’au vendredi 22 juin 2018. Un comité de sélection, composé d’experts de Bpifrance et de l’organisation Hello Tomorrow, choisira 100 participants sur dossier.

Pour en savoir plus, rendez-vous d’ores et déjà sur : www.bpifrance.fr

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Légère hausse des créations d’entreprises en mars 2018

Après un mois de janvier très dynamique et un mois de février statique, le mois de mars s’inscrit dans la continuité avec une hausse de 0,5 % des créations d’entreprises, selon l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 55 752 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de mars 2018 : + 0,5 % par rapport au mois de février, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Institut, non seulement par une légère hausse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 0,8 %), mais aussi par une accélération, bien que faible, de créations d’entreprises classiques (+ 0,4 %).

+ 17 % sur janvier-février-mars

Le bilan est nettement plus dynamique sur la période janvier-février-mars, où les chiffres témoignent d’une accélération beaucoup plus forte du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 17 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 24,4 % pour les entreprises individuelles classiques et + 27,1 % pour les micro-entrepreneurs, les entreprises sous forme sociétaire affichant, en revanche, un léger repli de 0,2 %).

Sans compter que le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des douze derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 9,9 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux douze mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse significative du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 15,1 %), mais aussi par une accélération des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 11,5 %) et de sociétés (+ 2,6 %). Une fois de plus, c’est le secteur du soutien aux entreprises qui contribue le plus à cette hausse globale.

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Unizen, le bien-être au travail pour les PME

Et si, au lieu de gérer les situations de crise, arrêts de travail et autres burn-out, les entreprises se préoccupaient du bien-être au travail de leurs employés ? Cette prise de conscience est de plus en plus prégnante au sein des DRH. Et c’est sur ce créneau que se développe une jeune entreprise, Unizen.

Le Baromètre Edenred-Ipsos 2016 a révélé qu’à peine plus d’un Français sur deux considère que son entreprise met en place des politiques actives en matière de bien-être au travail. Par ailleurs, une étude sur l’impact économique de l’activité physique et sportive (APS) sur l’entreprise, les salariés et la société civile menée par Goodwill management en 2015, met en lumière que les APS améliorent la sérénité et réduisent le stress, augmentent l’efficacité et la productivité de 6 à 9 % des salariés en moyenne. Et plus l’entreprise est active en ce domaine, par exemple en communiquant sur le sujet, en investissant dans des salles dédiées à la pratique sportive, plus l’impact est fort, allant jusqu’à un gain de productivité de 14 %. Des arguments qui commencent à faire mouche dans les entreprises… mais il est vrai surtout les grandes. C’est donc pour rendre ces bénéfices accessibles aux PME et à leurs salariés qu’Unizen propose un concept innovant, à savoir un site Internet spécialisé dans bien-être, santé et beauté, qui offre un service entièrement sur mesure. D’abord déployé en priorité sur le services aux particuliers, Unizen se tourne de plus en plus en direction des entreprises.

« Chez Unizen, nous pensons que chaque action, la plus simple qu’elle soit, récurrente ou ponctuelle, peut aider à fédérer les salariés d’une entreprise, à démontrer l’attention que porte la hiérarchie à ses employés et ainsi à contribuer au bien-être et à la cohésion d’équipe au sein de l’entreprise, et ce à moindre coût, indique Andréa Bensaïd, Fondateur et Dirigeant. L’environnement et le stress dans lequel j’évoluais en tant que créateur d’entreprise, m’ont poussé à m’intéresser au secteur du bien-être. Je me suis confronté à un vrai parcours du combattant en comparant les offres, les prix, les pratiques, les lieux, alors que je souhaitais simplement trouver un site référençant les meilleurs praticiens. J’ai donc décidé de créer ce à quoi j’aspirais en créant Unizen sous la forme d’un site Internet, simple, ludique et facile d’accès ».

Après des années passées à convaincre de multiples partenaires et surtout à trouver les bons prestataires, Unizen propose aujourd’hui plus de 5 000 références. L’idée étant de pouvoir proposer une mise en relation avec des professionnels expérimentés, se déplaçant avec leur matériel en entreprise ou à domicile. Sophrologie, acupuncture, reiki, yoga, somatothérapie, étiopathie, fitness : on est loin des simples séances de vélo éliptiques à côté de la machine à café !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : passer du simple service aux particuliers à celui aux entreprises ne s’improvise pas. À l’image d’Unizen, peaufinez un nouveau discours commercial avec des spécialistes car de la politique tarifaire au suivi cdivt en passant par les arguments marketing, tout doit être adapté !
Le chiffre : plus de 100 techniques et 5 000 praticiens sur toute la France.
Le contact :

www.unizen.fr

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