Emeric Wasson, co-fondateur de Wizbii

Wizbii est le premier réseau social professionnel destiné aux 18-30 ans. Il a été créé pour favoriser l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes autour du monde. Interview d’Emeric Wasson, l’un des trois fondateurs de cette plate-forme née en 2010.

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Réseaux thématiques French Tech : 9 feuilles de route pour des actions collectives

Récemment publiées, 9 feuilles de route thématiques tendent à inciter les membres de l’écosystème entrepreneurial innovant français à s’engager dans une dynamique collective.

9 réseaux thématiques, 9 feuilles de route. Pour encourager les membres de l’écosystème entrepreneurial innovant (start-up, investisseurs, organismes d’accompagnement…) à participer à des actions collectives, l’initiative French Tech a récemment publié une série de recommandations. L’enjeu ? Produire, au travers d’un engagement commun sur des opérations à fort impact – en France et sur le plan international – un effet levier sur la croissance des start-up françaises.


Rappel : créés en juillet 2016, les 9 réseaux thématiques de la French Tech (HealthTech, IoT & Manufacturing, Sports, Cleantech & Mobility, FinTech, Security & Privacy, Retail, EdTech & Entertainment, FoodTech) ont pour objectif de regrouper les entrepreneurs spécialisés dans un même domaine pour les aider à gagner en visibilité et à surmonter, ensemble, leurs problématiques communes.

À chaque secteur ses moyens d’action

Chaque feuille de route réunit plusieurs propositions d’actions concrètes, adaptées aux spécificités de différents domaines d’activité, de la participation aux grands évènements internationaux (CES Las Vegas, Viva Technology Paris, Foire d’Hanovre…) jusqu’aux démarches de proximité (organisation de soirées networking, rencontres avec des investisseurs, interventions auprès d’un public étudiant…).

Un effort de mobilisation qui, en pratique, tend à renforcer les as déjà existants tout en en créant des nouveaux pour prolonger la dynamique des territoires et favoriser le rayonnement de l’environnement entrepreneurial tricolore, en France et à l’international.

Pour en savoir plus et consulter les 9 feuilles de route thématiques, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com

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Commerce indépendant : le rêve de l’entrepreneuriat peine à devenir réalité

En France comme à l’étranger, beaucoup de salariés sont tentés par la création d’entreprise, révèle une étude du grossiste Metro sur le commerce indépendant. Mais peu sont prêts à concrétiser leur ambition entrepreneuriale.

D’après une étude internationale sur le commerce indépendant réalisée par le grossiste alimentaire pour professionnels Metro, de nombreuses personnes sont tentées par l’aventure de la création d’entreprise… mais peu d’entre elles sont disposées à franchir le pas !

Cet écart entre l’envie de monter sa boîte et la concrétisation de son projet – ce que Metro appelle le « fossé entrepreneurial » – se retrouve au sein des 10 pays dans lesquels l’enseigne a mené l’enquête : en France, mais également en Allemagne, aux Pays-Bas, en Italie, au Portugal, en République tchèque, en Roumanie, en Turquie, en Russie et en Chine. Le grossiste a interrogé près de 10 000 personnes travaillant dans un commerce « non indépendant ». Si près de la moitié souhaitent créer leur propre entreprise, seule une minorité (13 %) considèrent cette ambition comme réaliste.

Deux principaux freins à la création d’entreprise sont cités par les commerçants sondés : l’instabilité de leur environnement économique et l’alourdissement de la fiscalité. Pourtant, le commerce indépendant a de l’avenir car il sait tirer son épingle du jeu vis-à-vis de la concurrence, souligne l’enquête de Metro. Les consommateurs apprécient beaucoup les structures indépendantes en raison de la qualité de leurs produits et/ou services et de leur excellente relation-cat.

Pour en savoir plus sur l’étude menée par Metro (en anglais) : www.metroag.de/en

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6 édition du programme Lyon Start Up : les inscriptions sont ouvertes

Pour la 6 année consécutive, la Fondation pour l’université de Lyon lance Lyon Start Up, qui combine un programme d’accompagnement de 4 mois à la création d’entreprise et un concours.

Une centaine d’heureux élus pourront bientôt bénéficier de Lyon Start Up, l’initiative de la Fondation pour l’Université de Lyon qui promeut l’entrepreneuriat en offrant un accompagnement à la création d’entreprise ainsi qu’un concours. Les jeunes pousses sélectionnées auront l’opportunité de suivre la 6e édition de ce programme de 4 mois qui court cette année de février à juin.

Pour bénéficier du dispositif, tout porteur d’un projet ou d’une innovation, quelle que soit sa situation (salarié, sans emploi, étudiant…), peut s’inscrire en ligne avant le 10 février 2018 à minuit. Seule condition : ne pas encore avoir déposé les statuts de son entreprise ! Un jury d’experts ouvrira gratuitement les portes de la formation et du concours aux 100 candidats dont les idées ont été jugées les plus prometteuses.

Dans le détail, le programme proposé comprend une semaine de cours sur l’entrepreneuriat innovant dispensés à l’EM Lyon Business School, un enseignement dédié au « pitch » (l’exercice de présentation oral pour retenir l’attention des potentiels investisseurs), des ateliers sur les grands concepts de la création d’entreprise (stratégie commerciale, business model…), des recommandations de spécialistes sur des plans d’action, des journées thématiques, ainsi que des retours d’expérience. En parallèle, un concours de pitchs distinguera 3 lauréats qui pourront gagner jusqu’à 15 000 €.

Pour en savoir plus sur Lyon Start Up et tenter sa chance, rendez-vous sur : www.lyonstartup.com

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Créateurs d’entreprise : suivez les webconférences de l’Adie

L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) organise prochainement une série de 4 nouvelles webconférences dédiées à l’entrepreneuriat.

Pour permettre aux entrepreneurs de se former sans se déplacer, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) propose ce mois-ci une série de 4 webconférences consacrées à la création d’entreprise.

À compter du 9 janvier prochain, les internautes pourront assister chaque mardi du mois à 14h30 à une présentation de 45 minutes sur une thématique relative à l’entrepreneuriat. Des informations concrètes sur la création d’entreprise y seront délivrées en direct par un membre de l’Adie. Le dispositif est interactif : un tchat permet de poser des questions à l’animateur pendant la conférence.

Ce mois-ci, deux thématiques seront abordées : « Tout savoir pour réussir sa demande de microcrédit » les mardi 9 et 23 janvier, et « Quatre conseils en or pour réussir sa première année d’activité », les mardi 16 et 30 janvier.

L’inscription à ces séances est gratuite et se fait en ligne sur le site Internet de l’association. Il sera, par ailleurs, possible de les revoir sur la chaîne Youtube dédiée, qui propose déjà une dizaine d’autres webconférences consacrées à l’entrepreneuriat et la gestion des petites entreprises.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.adieconnect.fr

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L’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs Paris : c’est bientôt !

La 25 édition du Salon des Entrepreneurs se tiendra les 7 et 8 février prochains au Palais des Congrès de Paris. Deux jours pour faire le plein d’informations et accélérer vos projets !

25 ans de passion, de création et d’innovation. Pendant deux jours, mercredi 7 et jeudi 8 février, le Palais des Congrès de Paris accueillera l’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs. Plus de 400 partenaires et exposants, 200 conférences et workshops, 150 personnalités emblématiques mobilisées pour l’occasion… Organisé par Les Echos Solutions, l’évènement a pour vocation d’offrir un concentré d’informations et d’expertises autour de l’entrepreneuriat.

En pratique, en plus des nombreuses conférences techniques, 12 temps forts d’actualité inviteront les participants à faire le point sur les enjeux phares de l’année. Une vingtaine d’animations (La Fabrique à entreprendre, Flash Business Meeting, Bourse d’opportunités, Coaching d’entrepreneurs, consultations d’experts…) seront, par ailleurs, proposées tout au long de la manifestation.

Avec plus d’un million de visiteurs en 25 ans, le Salon des Entrepreneurs représente aujourd’hui le plus grand rassemblement d’entrepreneurs en Europe. Deux jours d’immersion au cœur de l’écosystème entrepreneurial : l’occasion de capter les nouvelles tendances, de bénéficier des meilleurs conseils et de trouver des financements pour faire décoller vos projets !

Pour obtenir des informations plus détaillées et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous dès à présent sur : www.salondesentrepreneurs.com

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Créabiz : un nouveau dispositif pour sensibiliser les jeunes à la création d’entreprise

D’ici à 2020, le dispositif Créabiz a pour objectif d’accompagner 10 000 jeunes vers la création d’entreprise.

Destiné aux jeunes accompagnés par l’une des 75 Missions locales francianes, un dispositif d’aide à la création d’activité, dont l’association des Missions locales d’Île-de-France (ARML-IdF) est à l’origine, vient tout juste de voir le jour. Baptisé « Créabiz », il vise à accompagner les jeunes de 18 à 25 ans qui veulent créer ou reprendre une activité.

Avant de lancer les jeunes candidats dans l’aventure entrepreneuriale, le dispositif prévoit une première étape qui permet d’évaluer leurs aptitudes à devenir créateurs d’entreprise et/ou le niveau de maturité de leur projet.

Puis, dans un deuxième temps, les jeunes sont orientés vers un partenaire qui les accompagnera dans leurs démarches de création d’activité en suivi permanent avec leurs conseillers de la Mission locale dont ils relèvent.

Pour de plus amples informations, n’hésitez pas à consulter la présentation du dispositif ainsi que sa plaquette.

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Plus de la moitié des jeunes Français tentés par la création d’entreprise

Selon un récent sondage mené par l’institut OpinionWay pour la plate-forme de crowdfunding Ulule, pas moins de 54 % des jeunes de 18 à 35 ans ont déjà ressenti l’envie de créer une entreprise.

L’entrepreneuriat a la cote auprès des jeunes Français ! C’est du moins ce que laisse entendre un récent sondage, mené par l’institut OpinionWay pour la plate-forme de crowdfunding Ulule. Pas moins de 54 % des 18 à 35 ans déclarent ainsi avoir déjà eu envie de créer une entreprise, et 27 % se disent tentés par l’idée d’en reprendre une. Par ailleurs, 31 % des sondés affirment avoir pu transformer ce désir en réalité ou, à défaut de sauter le pas, avoir pris le temps d’y réfléchir concrètement.

Des interlocuteurs privilégiés

Interrogés sur les organismes auxquels ils feraient appel pour les aider dans leurs démarches, les participants citent d’abord leur banque (51 %), suivie de près par les Chambres de commerce et d’industrie (48 %). Viennent ensuite les réseaux d’accompagnement tels que BGE, Initiative France ou Entreprendre (27 %), Pôle emploi (23 %), l’expert-comptable (21 %) et les plates-formes de financement participatif (20 %).

Quant aux modes de financement envisagés, force est de constater que là aussi, des tendances fortes se dessinent. Le financement bancaire représente ainsi l’option privilégiée par 70 % des créateurs d’entreprise potentiels, avant l’apport personnel (61 %), le crowdfunding (38 %) et le financement public (30 %).

Enfin, si le financement bancaire est considéré par 53 % des sondés comme étant la méthode la plus fiable, le financement participatif représente pour 54 % des jeunes interrogés une approche davantage ouverte aux projets innovants.

Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude, rendez-vous sur : www.opinion-way.com

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Little Cigogne, la fin du casse-tête du shopping pour bambins

Simplifier l’achat de vêtements pour enfants en ne sacrifiant rien au choix : c’est le pari de Little Cigogne, qui livre des malles de tenues complètes à domicile. Du stress en moins !

Ceux qui ont déjà subi l’épreuve d’une séance shopping avec des enfants le savent : faire essayer à l’aîné 5 pantalons pendant que le petit dernier tente le 4 pattes derrière les portants tout en gardant un œil sur leur sœur qui elle hésite entre 2 modèles de jupe pourtant identiques, c’est épuisant. Certes, avec internet et les commandes en ligne, un grand pas a été franchi dans le confort des parents. Pour autant, choisir la bonne taille, ne pas faire d’erreur de couleur, s’assurer de la qualité n’y est pas toujours facile.

Une start-up française va plus loin : Little Cigogne propose aux parents la possibilité de recevoir à domicile des tenues complètes. Chaque malle est composée par une équipe de stylistes en fonction de critère prédéfinis en amont par les parents. De quoi essayer tranquillement à domicile. Avant la rentrée scolaire, l’entreprise a ainsi préparé, puis envoyé 12 000 looks personnalisés en 2 mois, soit près de 42 000 pièces.

Autre service bonus : durant les vacances scolaires estivales, toujours dans un souci de faciliter le quotidien et pour éviter un retour à l’envoyeur, Little Cigogne a proposé un service de livraison sur-mesure. Elle conserve les commandes de ceux qui souhaitent recevoir leur « Malle Coup de Cœur » à leur retour de vacances et les envoie uniquement après avoir reçu leur feu vert. Les familles ne paient pas l’intégralité de leur commande avant de pouvoir les essayer et peuvent bénéficier de rabais pouvant aller jusqu’à 50 % sur les pièces retenues. Après les essayages en famille, les vêtements non choisis sont retournés gratuitement depuis la boîte aux lettres du cdivt.

Mathieu Waltzer, fondateur de Little Cigogne, a lancé cette entreprise de 11 salariés en 2012. Ce spécialiste en finance des marchés s’est appuyé sur son expérience, mais surtout sur son vécu de papa. Il a tout d’abord lancé un système de box, mais c’est en décembre 2016 qu’il innove avec ce système de Malles coup de cœur : « Little Cigogne devait répondre à cette problématique vécue par tous les parents, en proposant une nouvelle expérience shopping qui change et simplifie l’expérience de l’habillement chez l’enfant » explique-t-il. Il a pour ce faire noué des partenariats avec 200 marques de prêt-à-porter. Depuis, c’est plus de 100 000 looks qui ont été livrés en France et à l’étranger auprès de 15 000 familles ! Objectif pour 2018 : 4 millions d’euros de chiffre d’affaires.

Fiche de l’entreprise

Le conseil : savoir s’adapter et donc suivre le marché de près. En pleine tendance des box, Mathieu Waltzer s’est lancé sur ce concept, avant de proposer une innovation de service plus adaptée aux attentes des familles. Bref, se lancer pour tester le marché, quitte à changer de business model ensuite.
Le chiffre : 1 million d’euros de chiffre d’affaires en 2016
Le contact :

www.littlecigogne.com

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Quand l’Administration se met à la portée des start-up…

Vous souhaitez trouver une solution à un problème administratif ou participer à des ateliers d’informations centrés sur les problématiques des start-up ? Rendez-vous à l’espace French Tech Central !

Accessible à toutes les start-up, un nouvel espace s’est ouvert au sein du campus dédié à leur univers, « Station F », implanté dans le 13e arrondissement de Paris. Baptisé « French Tech Central », ce lieu de passage et d’information a été conçu pour faciliter le dialogue entre les start-up et l’Administration. 30 services publics peuvent y être sollicités en permanence ou à temps partiel pour :– aider les entreprises dans leurs démarches administratives et fiscales (paiement des impôts et cotisations sociales, dépôt de brevet, création de société, développement à l’international…) ;– leur faire bénéficier d’une expertise technique et juridique sur certains domaines tels que l’exportation/importation ou la recherche de financement. Les entrepreneurs peuvent ainsi participer à des ateliers d’informations proposés chaque semaine. Ils peuvent également demander des rendez-vous bilatéraux avec l’administration de leur choix, via la plate-forme en ligne www.french-tech-central.com. Ou, tout simplement, échanger avec les personnels des acteurs publics présents dans l’espace French Tech Central, dans des bureaux ou salles de réunion réservés à cet effet et assurant la confidentialité des échanges.

Également pensé pour servir d’interface entre les start-up et le monde scientifique, cet espace permet d’y rencontrer des chercheurs des universités et des laboratoires français, par le biais d’un partenariat avec l’Institut de recherche public en sciences du numérique (Inria).

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