Adrien Dalberto, responsable commercial & Associé de Orbis Holographics

Depuis 2016, Orbis Holographics conçoit, développe et commercialise une large gamme de contenus et d’installations interactives. L’objectif ? Rendre l’hologramme accessible à tous et révolutionner la communication de demain en offrant une image 3D visible à l’œil nu, que ce soient dans des points de ventes, des lieux d’exposition et ou encore des évènements.

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Léger repli des créations d’entreprises en août 2017

Une fin d’été qui se révèle peu dynamique. Après 3 mois de hausse, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en août : -1,0 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 50 358 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’août 2017 : -1,0 % par rapport au mois de juillet, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, cette évolution s’explique essentiellement par un repli relativement important du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-3,8 %), qui n’est que partiellement compensé par une légère hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+1,0 %).

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période juin-juillet-août, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 7,2 %, tous types d’entreprises confondus (dont +12,5 % pour les micro-entrepreneurs, +6,4 % pour les créations de sociétés et +1,0 % pour les entreprises individuelles classiques). Une fois de plus, ce sont les secteurs du soutien aux entreprises et du transport qui contribuent le plus à cette hausse globale.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 3,5 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique principalement par une forte hausse des créations de sociétés (+5,4 %) et d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+3,7 %). Le nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs progresse, quant à lui, de +1,7 %.

Enfin, l’Insee précise que la part des demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs dans le total des entreprises créées au cours des 12 derniers mois s’élevait à 40,1 % en août 2017 (contre 39,9 % au mois de juillet).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Une année blanche de cotisations pour les indépendants créateurs d’entreprise

À compter du 1 janvier 2019, les créateurs d’entreprise devraient, dans certaines conditions, bénéficier d’une exonération de cotisations sociales pendant leur première année d’activité.

Diminuer les charges pour soutenir l’amorçage de modèles économiques encore fragiles. Récemment annoncé par le Premier ministre, Édouard Philippe, lors de son déplacement à Dijon, un nouveau coup de pouce fiscal vise à encourager la création d’entreprise, et plus particulièrement les travailleurs indépendants s’engageant dans l’aventure entrepreneuriale.

Ainsi, à partir du 1er janvier 2019, les indépendants qui créeront ou reprendront une entreprise ne payeraient plus de cotisations de Sécurité sociale (hors CSG, CRDS et cotisations de retraite complémentaire) pendant leur première année d’activité.


Précision : cette exonération totale concernerait uniquement les entrepreneurs dont le chiffre d’affaires s’élève à moins de 30 000 €. Un plafond qui, d’après Édouard Philippe, devrait couvrir « plus de 90 % des cas ». Pour les créateurs d’entreprise dont le revenu annuel net est compris entre 30 000 et 40 000 €, l’exonération s’appliquerait de manière dégressive.

Selon le gouvernement, plus de 350 000 nouveaux créateurs d’entreprise pourraient, en pratique, bénéficier de cette mesure. À titre d’exemple, pour un travailleur indépendant dégageant un revenu net de 30 000 € la première année suivant la création de son entreprise, l’exonération de cotisations sociales représenterait un gain de 9 500 €.

Enfin, les micro-entrepreneurs pourraient également bénéficier d’un allègement de charges. Selon le Premier ministre, l’entrée dans les cotisations sociales se ferait de manière progressive, s’étalant sur les 3 premières années de leur activité.


Discours du Premier ministre, Édouard Philippe, du 5 septembre 2017


Programme du Gouvernement en faveur des travailleurs indépendants

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3 édition du Salon des Entrepreneurs Marseille PACA : c’est dans un mois !

L’édition 2017 du Salon des Entrepreneurs Marseille Provence-Alpes-Côte d’Azur se tiendra les 11 et 12 octobre au Palais des Congrès Marseille Chanot. Le programme s’annonce riche et varié.

Pendant deux jours, mercredi 11 et jeudi 12 octobre, le Palais des Congrès Marseille Chanot accueillera l’édition 2017 du Salon des Entrepreneurs Marseille Provence-Alpes-Côte d’Azur. Organisée par Les Échos Solutions, cette manifestation tend à offrir un concentré d’informations, de solutions et d’expertises autour de l’entrepreneuriat. L’objectif ? Aider les participants à faire décoller leur activité !

Fort du succès des éditions précédentes, pas moins de 10 000 visiteurs et plus de 120 partenaires et exposants seront attendus pour ce 3e volet de l’évènement qui s’est fixé pour ambition de multiplier les innovations et d’attirer un public de plus en plus nombreux. Et force est de constater que le programme 2017 regorge déjà d’activités et de temps forts !

Ainsi, en plus des nombreux ateliers pratiques et conférences techniques proposés, 4 programmes thématiques (booster son business grâce au numérique, innover et accélérer sa croissance, se développer à l’international, reprendre une entreprise) inviteront les participants à faire le point sur des enjeux phares de l’écosystème entrepreneurial d’aujourd’hui. Sans compter les différentes animations, assurées par des experts de l’entrepreneuriat, qui seront proposées tout au long du salon au sein des espaces conseil 2017.

Pour en savoir plus et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous sur : www.salondesentrepreneurs.com/marseille

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BNP Paribas affiche son soutien à l’entrepreneuriat féminin

Nouveau programme d’accompagnement lancé par le groupe bancaire BNP Paribas, #ConnectHers tend à mettre les porteuses de projets en relation avec l’écosystème entrepreneurial.

Si les femmes sont de plus en plus nombreuses à se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise, force est de constater que leur potentiel dans l’économie nationale reste encore largement sous-exploité. C’est la raison pour laquelle le groupe bancaire BNP Paribas a récemment lancé un nouveau programme d’accompagnement, baptisé #ConnectHers, particulièrement dédié aux entrepreneures.

Comment son nom l’indique, ce nouveau dispositif a pour ambition de connecter les femmes à l’écosystème entrepreneurial pour accélérer le développement de leurs projets. À la clé : des conseils, des partenariats ainsi que des solutions de financement adaptées.

En pratique, le programme #ConnectHers offre aux créatrices d’entreprises un double appui : en plus d’un chargé d’affaires, qui sera amené à apporter son expertise dans le domaine bancaire (flux et moyens de paiement, placements, assurances, patrimoine privé…), chaque porteuse de projet se verra ainsi attribuer un référent entrepreneuriat féminin, chargé de l’aider à développer son réseau.

Dans le détail, l’accompagnement proposé aux entrepreneures se traduira notamment par l’organisation d’ateliers pédagogiques (optimiser son business-plan, tirer profit des réseaux sociaux, lever des fonds, se développer à l’international…) et d’évènements rassemblant les acteurs phares de l’écosystème local. L’occasion de rencontrer d’autres créatrices d’entreprises, de partager des bonnes pratiques et de nouer des partenariats !

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.entreprises.bnpparibas.fr

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En Île-de-France, les créateurs d’entreprises sortent des rangs

Publiée par le CROCIS, observatoire économique régional de la CCI Paris Île-de-France, une récente étude dresse le portrait-robot des créateurs d’entreprises franciliens en 2014.

Les créateurs d’entreprises francias font preuve d’un certain nombre de spécificités par rapport au niveau national : c’est le constat que soulève le CROCIS (Centre Régional d’Observation du Commerce, de l’Industrie et des Services), observatoire économique régional de la Chambre de Commerce et d’Industrie Paris Île-de-France, dans une récente publication.

Dans le détail, l’observatoire constate notamment que les Francias ayant créé leur entreprise en 2014 étaient non seulement moins souvent chômeurs (22 %, contre 27 % sur l’ensemble du territoire français), mais aussi plus diplômés que leurs confrères au niveau national. 57 % d’entre eux disposaient ainsi d’un diplôme de l’enseignement supérieur, tandis que la moyenne nationale se situait, dans la même année, autour de 46 %.

Par ailleurs, si les Francias étaient, lors de la création de leur entreprise, légèrement plus âgés en 2014 qu’en 2010 (24 % d’entre eux avaient 50 ans ou plus, contre 21 % seulement quatre ans auparavant : l’équivalent de la moyenne nationale), ils n’étaient pas plus expérimentés pour autant. Selon le CROCIS, 72 % d’entre eux étaient, en effet, des primo-créateurs au moment de lancer leur nouvelle activité (contre 69 % en 2010).

Enfin, quant aux secteurs d’activité les plus prisés, force est de constater que les créateurs d’entreprises francias se distinguaient, là aussi, de leurs pairs au niveau national. Ainsi, les activités spécialisées scientifiques et techniques étaient particulièrement plébiscitées en Île-de-France, tandis que le commerce continuait, en 2014, à occuper la première place au niveau national.

Pour en savoir plus et consulter l’étude CROCIS dans son intégralité, rendez-vous sur : www.cci-paris-idf.fr

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Les créations d’entreprises continuent de progresser en juillet 2017

L’été se poursuit et les créations d’entreprises ne faiblissent pas. Selon les derniers chiffres publiés par l’Insee, leur nombre a ainsi augmenté de 4,9 % en juillet 2017.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 51 153 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de juillet 2017 : + 4,9 % par rapport au mois de juin, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Institut, cette évolution s’explique surtout par une forte augmentation du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 11,6 %). Les créations d’entreprises classiques progressent aussi, mais de manière moins soutenue (+ 0,5 %).

Sur la période mai-juin-juillet, les chiffres témoignent également d’une accélération sensible du nombre cumulé de créations d’entreprises en France. Par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi augmenté de 4,9 %, dont + 6,7 % pour les micro-entrepreneurs, + 5,6 % pour les sociétés et + 1,3 % pour les entreprises individuelles classiques. Parmi les secteurs contribuant le plus à cette hausse globale, l’Insee cite à la fois le soutien aux entreprises et les transports.

De même, le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des douze derniers mois continue de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 3,7 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux douze mois précédents : une évolution qui s’explique non seulement par une hausse significative du côté des créations de sociétés (+ 5,8 %) et d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+ 4,9 %), mais aussi par une légère progression au niveau des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 1,3 %).

Enfin, l’Insee précise que les demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs ne représentent plus que 39,9 % des créations d’entreprises enregistrées au cours des douze derniers mois, contre 40,9 % un an auparavant.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Soutien à la création : Initiative France et la Fondation Accenture vont agir ensemble

Récemment signée par Initiative France et la Fondation Accenture, une convention de mécénat de compétences tend à favoriser le développement de l’entrepreneuriat dans les quartiers.

Initiative France, réseau associatif de financement et d’accompagnement des entrepreneurs, et la Fondation Accenture ont récemment signé une convention de mécénat de compétences. L’enjeu ? Favoriser le développement de l’entrepreneuriat dans les quartiers dits prioritaires et contribuer au financement de 1 500 entreprises par an d’ici l’horizon 2019.

En pratique, Initiative France pourra ainsi bénéficier d’un accompagnement sur mesure, proposé par la Fondation Accenture et ses consultants. Plusieurs experts seront alors amenés à réaliser un diagnostic des actions menées par les différentes plates-formes du réseau associatif au sein des quartiers. Mais pas question de tout remettre en cause, bien au contraire ! Selon les deux signataires, cette démarche vise, en effet, à « capitaliser les bonnes pratiques, identifier les meilleurs vecteurs de développement et définir une stratégie cohérente » pour permettre aux accompagnateurs du réseau Initiative France de renforcer l’impact de leur engagement sur le terrain.

Et si la présente convention de mécénat de compétences se limite, dans un premier temps, à une période de 4 mois, Initiative France et la Fondation Accenture affichent d’ores et déjà leur volonté commune de construire un partenariat ayant pour vocation de s’inscrire dans la durée.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.initiative-france.fr

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Buffet engagé, le fast good bien sous tous rapports

Local et responsable : c’est ainsi que s’affiche « Buffet Engagé », une jeune entreprise qui a tout bon !

Prouver que la restauration rapide peut à la fois être bonne pour les corps et les esprits, c’est un peu le pari de Benoît Mignot. À tout juste 24 ans, il a en effet décidé de se lancer dans une démarche entrepreneuriale engagée : la création d’un service de restauration rapide, donc, mais proposant à la fois des plats sains tout en ayant une démarche inscrite dans le droit fil de l’économie sociale et solidaire. « Je voulais proposer une alternative sociale et économique aux gens qui ne voulaient pas se contenter d’un sandwich industriel, mais n’avaient ni le temps de cuisiner, ni les moyens d’investir dans un repas au restaurant. », explique-t-il.

Dans les assiettes de « Buffet Engagé », installé à Valenciennes, l’offre est variée : salades de saumon, wraps poulet barbecue, burgers maison, des parts de tartes variées, des mousses de fruits, etc. 90 % des matières premières proviennent de producteurs régionaux. Le tout à des tarifs très accessibles.

La démarche sociale est claire puisque, par exemple, les invendus sont servis en fin de semaine à des bénéficiaires d’un centre d’hébergement voisin. Les plats à emporter sont servis dans des box en cartons recyclés et les déchets ménagers sont, eux aussi, « mis à contribution » puisqu’ils iront nourrir… des poules ! La démarche environnementale se duplique d’un engagement social puisque l’entreprise accueille régulièrement des jeunes en insertion.

Afin d’étendre sa catèle, Buffet Engagé propose un service de traiteur. Pas à cours d’idées, le jeune patron vient d’ouvrir une crêperie originale : basée dans une zone de loisirs, il propose aux familles d’acheter de la pâte à crêpes au poids (1 litre de pâte et 4 boissons pour 20 € par exemple), puis de la faire cuire sur de petites crêpières et de les garnir grâce à un buffet gourmand. De quoi ravir les enfants !

Une démarche qui a valu à Benoît Mignot d’être distingué comme Lauréat national Économie Sociale et Solidaire du concours Talents de BGE, remis fin 2016 au Ministère de l’Économie et des Finances. Encourageant !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : dans ce secteur de l’ESS, faites-vous connaître et soutenir par des structures adaptées afin de bénéficier de tous les dispositifs de soutien existants
Le chiffre : l’objectif est de passer de 5 à 17 salariés à fin 2017
Le contact :
www.facebook.com/buffetengage/

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L’IAE de Montpellier relance son MOOC dédié à la création d’entreprises innovantes

Fort du succès de la première édition organisée en automne 2015, l’IAE de Montpellier renouvelle son offre de formation en ligne et propose une seconde session de son MOOC dédié à l’innovation.

Avec plus de 13 000 inscrits, la première édition du MOOC « Création d’entreprises innovantes : de l’idée à la start-up », lancée par l’Institut d’Administration des Entreprises (IAE) Montpellier en automne 2015, n’avait pas manqué d’afficher un bilan pour le moins positif. Un succès qui a conduit les organisateurs à renouveler l’expérience en cette rentrée 2017 !

À l’instar de la session pilote, le second volet de la formation en ligne s’adresse à tous les passionnés du monde de l’innovation et de l’univers start-up, qu’ils disposent ou non d’un projet de création précis. Innovation technologique ou sociale, dans le domaine du marketing ou de la relation cat, orientée produits ou services : quel que soit le secteur visé, le MOOC de l’IAE de Montpellier aborde les questions incontournables de chaque phase essentielle à la réussite d’un projet entrepreneurial.

Au programme : interviews de créateurs partageant leur expérience entrepreneuriale, cours théoriques complétés par des témoignages de professionnels, concours de présentation de projet, quiz hebdomadaires… Accessible via la plate-forme FUN-MOOC, le programme débutera le 12 octobre et s’étalera sur une durée de 6 semaines, soit jusqu’au 7 décembre 2017.

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 17 novembre 2017. Aucun prérequis particulier n’est demandé, si ce n’est un intérêt pour la création d’entreprise et pour l’univers des start-up innovantes.

Pour obtenir plus d’informations et vous inscrire d’ores et déjà à la seconde session du MOOC « Création d’entreprises innovantes » de l’IAE de Montpellier, rendez-vous sur : www.fun-mooc.fr

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