104Factory, incubateur de projets entrepreneuriaux à dimension culturelle ou créative, a récemment lancé son nouvel appel à candidatures à destination des jeunes pousses du milieu artistique.
Installé depuis 2012 au cœur du Centquatre-Paris, établissement artistique et culturel innovant, l’incubateur 104Factory accueille chaque année une dizaine de start-up. Sa mission ? Offrir aux jeunes pousses un accompagnement personnalisé (séances de coaching, programmes de formation, soutien à la recherche de financements…) ainsi qu’un accès privilégié à des espaces de travail ainsi qu’à des ateliers de prototypage leur permettant de tester leurs produits dans de bonnes conditions.
Afin de sélectionner les prochaines start-up pouvant rejoindre ce cadre pour le moins propice au développement de leur activité, le 104Factory a récemment lancé un nouvel appel à projets. Selon l’incubateur, plusieurs critères seront privilégiés lors de la sélection des candidatures, à savoir : le caractère innovant des produits ou services proposés, la solidité de l’équipe, la présence d’une vision précise du modèle économique envisagé et, enfin, l’existence d’un enjeu de coopération avec les équipes artistiques accueillies en résidence au sein de l’établissement.
Pour postuler, chaque équipe doit remplir une fiche de projet dont l’objectif consiste à vérifier l’éligibilité du dossier. Le cas échéant, les candidats se verront proposer un rendez-vous individuel pouvant leur ouvrir la possibilité de soutenir leur projet devant un comité de sélection composé d’experts et de professionnels de l’innovation, de la création artistique et de la recherche.
Le prochain comité de sélection se tiendra le lundi 4 septembre 2017. Pour en savoir plus et télécharger la fiche de projet, rendez-vous sur : www.104factory.fr
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Un programme complet et diversifié, spécialement dédié aux entrepreneurs : l’édition 2017 du Salon SME se tiendra les 25 et 26 septembre prochains et s’annonce, d’ores et déjà, riche en rencontres.
Deux jours de rencontres, de conseils et de networking : l’édition 2017 du Salon SME, dédiée aux créateurs, dirigeants de start-up et TPE, aura lieu les lundi 25 et mardi 26 septembre au Palais des Congrès de Paris. Placée sous le signe de l’audace entrepreneuriale, elle invite les participants à faire le point sur le développement de leur activité.
150 conférences, 7 parcours de visites thématiques (financement, communication, solutions digitales, accompagnement à la création, franchise, économie collaborative et pilotage d’entreprise), plusieurs évènements de « speed meeting », plus de 450 intervenants et experts de l’entrepreneuriat, 180 exposants issus de nombreux secteurs d’activité… Force est de constater que le programme s’annonce, d’ores et déjà, dense et varié ! L’occasion, pour les participants, de s’informer, de développer leurs réseaux d’affaires et, enfin, d’aller au bout de leur ambitions.
Plus de 15 000 visiteurs sont attendus pour cette 19e édition du Salon SME. La participation à l’évènement est gratuite.
Pour en savoir plus et s’inscrire pour l’édition 2017 du salon, rendez-vous sur : www.salonsme.com
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Après un mois de mai déjà plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a de nouveau augmenté en juin : +2,9 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 48 603 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de juin 2017 : +2,9 % par rapport au mois de mai, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Institut, cette évolution s’explique, non seulement par une augmentation sensible du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+4,3 %), mais aussi par un redressement important du nombre de créations d’entreprises classiques (+2,0 %).
Sur la période avril-mai-juin, les chiffres témoignent, en revanche, d’une légère diminution du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi reculé de 1,6 %, dont -0,9 % pour les entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs et -4,6 % pour les micro-entrepreneurs. Seules les créations de sociétés ont été en hausse, enregistrant une progression de 1,4 %. Parmi les secteurs contribuant le plus à cette baisse globale, l’Insee cite à la fois la construction et le commerce.
Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des douze derniers mois continue, quant à lui, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 2,5 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux douze mois précédents : une évolution qui s’explique par une hausse significative du côté des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+5,0 %) et de sociétés (+4,9 %), compensant le nouveau repli des immatriculations de micro-entrepreneurs (-1,1 %).
Enfin, l’Insee précise que les demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs ne représentent plus que 39,7 % des créations d’entreprises enregistrées au cours des douze derniers mois, contre 41,1 % un an auparavant.
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Récemment publié par le réseau associatif dédié au financement d’initiatives économiques, le dernier rapport d’activité France Active dresse un bilan très positif des actions menées en 2016.
France Active, réseau associatif dédié au financement de projets de création et de développement d’entreprise, vient de publier son rapport d’activité pour l’année 2016 : des résultats plutôt encourageants, tant pour la dynamique entrepreneuriale que pour l’emploi !
En effet, selon les chiffres publiés par France Active, l’activité du réseau a été en hausse pour la 5e année consécutive. Pas moins de 7 362 projets ont été financés sur l’ensemble du territoire français, permettant la création ou la sauvegarde de 35 398 emplois (+1,5 % par rapport à 2015). Sachant que le soutien apporté par France Active couvre tous les stades de la vie de l’entreprise, de la création (66 %) jusqu’à la reprise (22 %), en passant par le développement (12 %).
Autre point positif : en regardant de plus près les créations d’entreprises accompagnées, France Active souligne la diversité des profils de porteurs de projets ayant bénéficié de l’appui du réseau. Ainsi, 48 % des entrepreneurs en devenir étaient des femmes, 85 % des demandeurs d’emploi et 78 % disposaient d’un niveau d’études inférieur ou égal à Bac+2. Sans oublier la pérennité des projets soutenus ! En effet, parmi les entreprises financées au moment de leur création, 81 % étaient toujours en activité 3 ans plus tard (contre 72 % en moyenne au niveau national).
Enfin, France Active évalue le montant global des fonds mobilisés au cours de l’année 2016 à 269 M€, dont 221 M€ de prêts bancaires garantis, 45 M€ de prêts solidaires et 3 M€ de primes.
Pour en savoir plus et consulter le rapport d’activité 2016, rendez-vous sur : www.franceactive.org
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Fruit d’un partenariat public-privé, la nouvelle plate-forme Incit’financement a récemment vu le jour en Auvergne-Rhône-Alpes. Elle tend à rapprocher les citoyens investisseurs et les entreprises.
Portée par la région Auvergne-Rhône-Alpes et la coordination régionale des associations de Business Angels, une nouvelle plate-forme de financement participatif a récemment vu le jour. Son objectif ? Faire participer les habitants au développement de leur économie, rapprocher les investisseurs et les entreprises et favoriser l’épargne de proximité.
Baptisé Incit’financement et soutenu par l’ensemble des acteurs régionaux du financement, ce nouvel outil de placement participatif tend à offrir à tout particulier et à toute personne physique ou morale la possibilité d’entrer directement au capital des entreprises les plus prometteuses d’Auvergne-Rhône-Alpes, et ce à partir de 1 000 euros.
Un projet aux objectifs résolument ambitieux. En effet, selon Dominique Favario, président de la coordination régionale des Business Angels, la nouvelle plate-forme devrait permettre d’ici 5 ans de « doubler l’investissement citoyen au bénéfice des entreprises, le faisant passer de 3,5 à 8 millions d’euros ». De quoi apporter un soutien précieux à l’écosystème entrepreneurial régional !
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.auvergnerhonealpes.fr
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Publiée par BNP Paribas et l’institut de sondage OpinionWay, une récente étude analyse le rapport des Français à l’entrepreneuriat. 45 % des sondés envisageraient de créer leur propre activité.
Et si l’entrepreneuriat était en passe de l’emporter sur le salariat ? Selon une récente étude publiée par BNP Paribas et l’institut de sondage OpinionWay, de plus en plus de Français envisageraient, en effet, de sauter le pas et de devenir créateurs d’entreprise.
Dans le détail, si 45 % des Français songent à lancer leur propre activité, 35 % considèrent que le facteur déclencheur reste l’idée innovante, à part quasi égale (34 %) avec le coup de pouce financier permettant de la concrétiser.
60 % des sondés estiment, par ailleurs, qu’il est plus facile d’entreprendre aujourd’hui qu’auparavant, et ce notamment pour les jeunes générations. Selon eux, la confiance en soi (28 %), la rigueur (27 %), le sens de l’organisation (27 %) et la créativité (25 %) constituent des qualités essentielles permettant de transformer son projet de création d’entreprise en succès.
Enfin, si 22 % des Français considèrent que l’entrepreneuriat reflète un mode de vie à part entière, donnant notamment l’opportunité de mieux concilier vie professionnelle et vie privée, force est de constater qu’ils sont nombreux à se sentir plutôt mal informés sur les différentes modalités de création d’entreprise et à chercher, de ce fait, à se faire accompagner dans leurs démarches. Pour 2 Français sur 3 (66 %), les banques s’imposeraient ainsi comme des partenaires indispensables, permettant de monter leur projet entrepreneurial dans de bonnes conditions.
Pour en savoir plus et consulter l’étude « Les Français et l’entrepreneuriat » dans son intégralité, rendez-vous sur : www.bnpparibas.com
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BGE, réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise, a récemment dressé le bilan de son action menée auprès des porteurs de projets au cours de l’année 2016.
Les chiffres sont encourageants : dans son bilan 2016, le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE dresse un bilan très positif de son action menée auprès des porteurs de projets.
Dans le détail, si 55 000 personnes ont eu l’occasion de suivre l’un des parcours d’accompagnement proposés par le réseau, pas moins de 18 000 nouvelles entreprises ont vu le jour (dont 1 350 dans les quartiers prioritaires de la ville) et 30 000 nouveaux emplois ont été créés.
Quant au profil des porteurs de projets soutenus en 2016, BGE précise que parmi l’ensemble des créations réalisées au fil de l’année, 2 300 ont été portées par des personnes en situation de handicap, 44 % par des femmes (contre 30 % en moyenne au niveau national) et 16 % par des demandeurs d’emploi longue durée.
Pour le réseau associatif, ces chiffres – et notamment la diversité de profils d’entrepreneurs ayant bénéficié d’un parcours d’apprentissage sur-mesure – prouvent qu’il n’existe, dans les faits, « pas de déterminisme social à la création d’entreprise », mais plutôt un certain nombre de prérequis pour réussir son projet entrepreneurial. Qu’on se le dise !
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bge.asso.fr
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Opérationnel depuis le 15 juin 2017, le nouveau dispositif French Tech Visa tend à faciliter l’accueil en France de talents internationaux pouvant doper la croissance des jeunes pousses tricolores.
Dans l’univers innovant comme ailleurs, la chasse aux talents s’affranchit des frontières ! Partant du constat que l’accès à des profils prometteurs et atypiques constitue aujourd’hui un enjeu majeur pour la compétitivité de l’écosystème entrepreneurial français, l’initiative French Tech a récemment lancé son nouveau programme baptisé « French Tech Visa ».
S’appuyant sur le titre de séjour « Passeport Talent » déjà existant, ce dispositif original vise, en effet, à attirer des talents internationaux de la Tech en facilitant leur accueil en France.
Rappel : mis en place fin 2016, le Passeport Talent est une carte de séjour d’une validité maximale de 4 ans. Il vise à rendre plus lisible le droit au séjour des talents accueillis en France.
Opérationnel depuis le 15 juin 2017, le French Tech Visa offre aux talents étrangers éligibles – entrepreneurs, salariés ou investisseurs – une procédure simplifiée et accélérée pour obtenir un titre de séjour. Proposé par des acteurs identifiés de l’écosystème de la French Tech (incubateurs, accélérateurs de start-up, fonds d’investissement en capital-risque…), son objectif consiste à préserver la compétitivité de l’écosystème entrepreneurial français en permettant aux jeunes pousses tricolores de se développer plus facilement.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com
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La Métropole Rouen Normandie, la CCI Rouen Métropole, l’agence Rouen Normandy Invest et l’Agence de Développement pour la Normandie vont fédérer leurs compétences et leurs expertises.
Dans le domaine économique comme ailleurs, l’union fait la force : c’est du moins l’objectif ayant motivé la mise en place d’un partenariat renforcé entre la Métropole Rouen Normandie, la Chambre de commerce et d’industrie Rouen Métropole, l’agence de développement Rouen Normandy Invest et l’Agence de Développement pour la Normandie (ADN). L’objectif ? Regrouper les équipes, adapter leurs méthodes, développer une vraie intelligence collective et travailler plus efficacement ensemble pour favoriser la vitalité économique du territoire.
En pratique, ce partenariat renforcé se traduira notamment par la création d’un point d’entrée unique destiné aux entrepreneurs, dont la mission consiste à les accompagner dans la création et le développement de leur activité. Non seulement plus visibles, mais aussi plus lisibles, toutes les compétences et expertises des 4 organismes partenaires seront ainsi accessibles à partir de cet été au Palais des Consuls à Rouen, puis – dès l’été 2018 – dans l’immeuble Vauban au cœur de l’éco-quartier rouennais Luciline.
Une installation dans un lieu unique, propice aux échanges, à la coordination et au partage d’outils, permettant à tout moment d’offrir aux entrepreneurs les meilleures solutions possibles : pour Vincent Laudat, président de la CCI Rouen Métropole, cette fédération des acteurs économiques du territoire constitue, en effet, une étape pour le moins importante vers « un accompagnement des chefs d’entreprise simplifié et plus efficace ».
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.normandie.fr
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Remettre au goût du jour des recettes transitionnelles tout en favorisant l’emploi des seniors : à la table de « Nos grands-mères ont du talent », une recette peu banale !
« Nos grands-mères ont du talent ». Avec un nom pareil, difficile de passer à côté d’un tel restaurant ! Rien ne prédestinait a priori Arthur Juin et Jean de Guerre à se lancer dans la restauration. Ces deux ingénieurs ont pourtant décider de créer leur entreprise. Et c’est en cherchant un secteur qui leur ressemblait pleinement qu’ils ont pensé à la cuisine : « La cuisine s’est avérée être le secteur qui nous ressemblait le plus : exigence de qualité et de perfection, convivialité et bienveillance, explique Jean de Guerre. On a coutume de dire que « le moral est dans l’assiette ». Notre volonté était donc de proposer un produit innovant (des vrais plats cuisinés facile à transporter) dans des lieux innovants de votre quotidien et où il y a peu de service : les gares. » Car en effet, au-delà d’un simple restaurant, le concept imaginé par les deux entrepreneurs se situe dans des gares et a vocation à essaimer. « Notre activité propose avant tout un service de proximité et des produits de qualité. Situés dans de grandes zones de flux, nous proposons nos plats cuisinés là où les Français passent tous les jours. Ils n’ont plus besoin de faire un détour dans leur commerce de proximité, leur repas est à portée de main en sortant du train ! », souligne l’entrepreneur.
Autre marqueur important de cette nouvelle entité : l’attachement aux seniors. L’idée est de proposer des emplois à ces seniors. « Nous employons aujourd’hui, sur 12 salariés, 6 personnes âgées de plus de 45 ans pour assurer la logistique, la livraison et la vente. Notre volonté est d’employer un senior de plus à chaque nouveau point de vente et de devenir ainsi une entreprise intergénérationnelle. », explique Jean de Guerre. Côté marmites, les recettes proposées par « Nos grands-mères ont du talent » se veulent fraîches, équilibrées et gourmandes ! Elles sont pensées par un chef cuisinier, Denys, âgé de 65 ans, passionné de cuisine et d’histoire. La carte est renouvelée chaque semaine et on y trouve toujours un plat végétarien pour satisfaire le plus grand nombre.
Les premiers points de vente nomades ont été lancés en janvier 2016. Cela prend la forme de lieux éphémères le soir dans les gares de Clamart, Saint-Quentin-en-Yvelines et Versailles-Rive-Droite. « Nous donnons rendez-vous deux fois par semaine aux voyageurs de ces gares pour venir chercher leur dîner à emporter, explique Jean de Guerre. Aujourd’hui, nous proposons en plus notre service à Colombes. Nous avons ouvert en février 2017 le premier point de vente fixe en plein cœur de la gare Montparnasse : un kiosque-restaurant ouvert du lundi au samedi pour proposer petits-déjeuners, déjeuners et dîners à emporter ou à déguster sur place, parfait pour le TGV ! » Objectif désormais ? Implanter la marque dans toute la région d’Île-de-France et déployer des points de vente dans toutes ses gares avant de partir à la conquête de la France.
Fiche de l’entreprise
Le conseil : « Soyez patient, tout prend toujours plus de temps que prévu ! »
Le chiffre : CA prévisionnel de 800 000 € en 2017.
Le contact :
www.ngmodt.fr
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