Dans la perspective du salon Money 20/20 de septembre 2021 à Amsterdam (Pays-Bas), où plusieurs milliers d’acteurs de la FinTech seront réunis, Business France lance un appel à candidatures afin d’y exposer 11 start-up sous le pavillon France.
Money 20/20 est un évènement dédié à l’industrie du paiement et des services financiers associés, qui se tiendra cette année du 21 au 23 septembre. Investisseurs et médias s’y pressent pour rencontrer plus d’un millier de start-up, venues de plus d’une centaine de pays. Cette année encore, Business France lance un appel à candidatures à destination des start-up du secteur pour représenter la France.
11 jeunes entreprises innovantes françaises seront ainsi sélectionnées sur dossier. Les candidats doivent être des FinTech, à l’origine de solutions bancaires ou destinées au paiement, en BtoB ou BtoC. Elles auront la chance de pouvoir échanger avec d’autres professionnels, de découvrir les dernières solutions, voire de conclure de nouveaux contrats et rencontrer des partenaires ou investisseurs. Elles bénéficieront d’un espace personnalisable, d’une campagne de communication, d’un programme de rendez-vous ciblés avec les acteurs néerlandais, luxembourgeois, britanniques et irlandais, d’une aide à la préparation en ligne et en amont du salon ainsi que d’une sensibilisation à l’environnement des affaires des Pays-Bas plus particulièrement.
Pour postuler jusqu’au 28 mai 2021 :
https://extranet-btob.businessfrance.fr/prg-29205
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Avec les confinements, le télétravail s’est généralisé entraînant un changement profond dans la façon d’envisager les espaces de travail. C’est pour aider les entreprises que Semana.io propose un outil de flex office qui organise la présence des collaborateurs et optimise les espaces.
Avec la crise sanitaire, les anciens modèles ont définitivement volé en éclat. Un changement profond s’est opéré dans la façon d’envisager les espaces de travail, mais aussi de nouveaux défis. Comment savoir qui se trouve où et quand ? Comment s’assurer que les équipes se voient ? C’est pour aider les entreprises que Semana.io propose un outil de flex office qui organise la présence des collaborateurs et optimise l’allocation des espaces à partir d’un ensemble de règles prédéfinies.
« Les entreprises doivent s’habituer à avoir des collaborateurs travaillant dans une multitude de localisations (bureaux, maisons, coworking, transport, hôtels, cdivts, etc). De plus en plus d’espaces de bureaux sont inoccupés, il faut donc rationaliser leur espace de travail et évoluer vers une gestion des bureaux en flex office avec moins de postes de travail par collaborateur », constate Albert Reynaud, cofondateur de Semana.io. Alors qu’avec ses associés, il se focalise sur des sujets liés à la mobilité domicile-travail, il se retrouve confiné et confronté à une transformation en train de s’opérer : « Il est apparu évident qu’un certain nombre de nouveaux défis allaient émerger liés à l’organisation de la présence au bureau. Nous avons alors compris qu’au-delà des enjeux d’organisation des plannings, cette transformation allait aussi mener à une rationalisation de l’utilisation des espaces. » C’est ainsi qu’est né Semana.io, un outil en ligne permettant notamment de planifier sa politique de télétravail (temps passé sur place au sein des équipes ou entre elles, règles de fréquence et de rotation pour les jours de travail à distance…), gérer l’utilisation des bureaux (réduire le taux d’occupation, diminuer leur taille sans dépasser leur capacité, appliquer les gestes barrières…), ou encore gérer le personnel (visibilité pour les RH et les employés grâce à une présence à distance et sur place, vérification où les gens sont assis dans les espaces de travail, attribution de zones à des équipes ou de bureaux à des individus, surveillance des occupations, indicateurs de performance des politiques à distance…).
Si la start-up s’est développée rapidement pour répondre à l’urgence des besoins, et par la même occasion se positionner avant tout le monde sur ce segment de marché, elle garde l’objectif de maintenir cette vélocité dans son développement. « Nous voulons multiplier les fonctionnalités sur notre plate-forme pour répondre à tous les cas d’usage des organisations tout en accélérant notre stratégie de mise sur le marché via notamment des partenariats ».
Fiche de l’entreprise
Un chiffre : 600 000 €, c’est le montant levé par la start-up auprès d’Entrepreneur First, de Business Angels et de la BPI pour accélérer son développement.
Un conseil : le succès d’une start-up réside principalement dans le fait de parvenir à traiter un problème urgent, partagé par de nombreuses personnes, pour qui il représente un coût financier, en temps, ressources, santé, etc., et pour lequel elles seraient prêtes à payer de l’argent pour le résoudre.
Un contact : Albert Reynaud, fr.semana.io/
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Le programme Les Entrep’, réseau national d’entraînement et de découverte à la création d’entreprise gratuit pour les jeunes qui veulent révéler leur potentiel entrepreneurial, remettra ses trophées le 27 mai en direct sur YouTube.
Malgré la crise, les jeunes continuent de s’intéresser à l’entrepreneuriat. La preuve avec les e-Trophées France Les Entrep’ 2021, qui récompensent des projets prometteurs de jeunes âgés de moins de 30 ans ayant bénéficié gratuitement d’un entraînement à la création d’entreprise grâce au programme Les Entrep’.
Ce 27 mai prochain à 17h sur la chaîne YouTube Les Entrep’, 15 équipes régionales vont devoir pitcher le projet qu’ils ont développé lors de leurs 5 mois de parcours. Tous ont déjà remporté le Trophée de leur antenne régionale en mars-avril, après avoir été coachés de novembre à mars par des professionnels de la création d’entreprise et guidés par des chefs d’entreprise en activité devenus leur parrain ou marraine.
Un jury de professionnels remettra le Trophée à l’équipe lauréate. Sachant que le public connecté pourra également voter en direct pour un prix « Coup de Cœur du Public ».
Pour en savoir plus :
www.lesentrep.fr
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Lancée il y a 5 ans, cette activité artisanale, fondée par Cécile Santoni qui dessine et invente ces bijoux, se développe à la fois pour le plaisir des mamans et de leurs bébés. En effet, ces jolis colliers permettent d’occuper Bébé au moment de l’allaitement ou en portage, en toute sécurité : jeu, collier de dentition, motricité… Un concept original en plein développement.
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Le French Tech Green 20 veut faire pousser des champions français de la technologie et de la transition écologique via un accompagnement personnalisé en incubateur. 20 start-up viennent d’être choisies pour la première promotion.
Accélérer le développement en France et à l’international de start-up qui deviendront, à terme, la vitrine de l’innovation responsable française, c’est l’enjeu du French Tech Green 20.
Ce programme leur permettra de bénéficier d’une visibilité renforcée et d’un accompagnement des services de l’État, notamment des financements, un développement international, des recrutements, des formations aux diverses règlementations en vigueur, des aides en achat public ainsi que l’accès à des experts et un accompagnement sur les enjeux de la green tech.
Parmi les 200 candidatures reçues, 20 viennent d’être choisies sur différents critères, notamment leur impact environnemental ou leur capacité à se développer rapidement et à grande échelle, par un jury composé d’experts. Elles sont positionnées sur des secteurs divers et pour moitié situées hors Île-de-France : Algama (microalgues alimentaires), BeFC (électricité à partir de papiers et d’enzymes), DeepKi (accompagnement dans la transition environnementale de parc immobilier), DualSun (panneaux hybrides photovoltaïques thermiques), Entech Smart Energies (intelligence des réseaux électriques), Hello Watt (plate-forme pour maîtriser ses consommations et ses factures d’énergie), Kayrros (analyse de données dans le domaine énergétique), Lactips (polymère sans plastique biosourcé et biodégradable), Lhyfe (hydrogène propre), Greenly (mesure de l’empreinte carbone des particuliers et des entreprises), Matter’up (bétons bas carbone à base d’argile crue), Metron (plate-forme d’intelligence énergétique), NamR (analyse des données du bâti français pour aider à la décision et évaluer les risques), Neoplants (plante modifiée génétiquement pour dégrader les composés organiques volatils nocifs), Ombrea (ombrières protégeant les plantes des aléas climatiques), Poly to Poly (place de marché entre industriels de la plasturgie et du recyclage), Spareka (pièces détachées), Toopi (valorisation de l’urine humaine en produits pour l’agriculture et l’industrie), Urban Canopee (corolles géantes pour ombrager les villes) et Waga Energy (injection dans le réseau de gaz de méthane issu des décharges).
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Le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) vient de publier une étude révélant les premiers impacts de la crise du Covid-19 sur l’entrepreneuriat féminin.
Le constat est sans appel : selon une récente étude du Crédoc, la situation financière des indépendantes s’est plus particulièrement dégradée en cette période de crise sanitaire et elles ont plus souvent arrêté leur activité que les hommes. Alors qu’elles ne représentent que 40 % des créateurs d’entreprises, elles avaient déjà plus de difficulté à concilier vie privée/vie professionnelle et à accéder à des rémunérations similaires à leurs homologues masculins ou à une plus large palette de secteurs. La crise a encore fragilisé cet état des lieux. 57 % des entrepreneures déclarent que les revenus de leur foyer ont baissé suite à la crise sanitaire, contre 50 % des hommes à leur compte, et seulement 30 % de la population dans son ensemble. 63 % des indépendantes (qu’elles aient ou non des enfants) déclarent avoir cessé toute activité professionnelle pendant le 1er confinement. Un taux deux fois plus élevé que celui observé en moyenne chez les actifs (33 %) et chez les hommes à leur compte (30 %).
La crise du Covid-19 laisse craindre une dégradation durable de la situation des entrepreneures qui indiquent une baisse de l’attrait pour ce statut de 5 points, notamment pour sa moindre protection. Il est remplacé par le télétravail qui s’est fortement développé ces derniers mois et qui donne le sentiment d’avoir plus de souplesse et de flexibilité au travail.
Pour consulter l’étude :
www.credoc.fr
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Ancien salarié de Publicis, Maxime Baffert a lancé sa plate-forme de mobilier de bureau d’occasion, après avoir constaté que beaucoup d’entreprises lorsqu’elles déménageaient, jetaient leurs mobiliers de bureau, parfois presque neufs. Il s’est donc lancé dans l’aventure de l’économie circulaire en créant une plate-forme de vente de mobilier écoresponsable ou de seconde main, baptisée Bluedigo, qui collecte, nettoie et remet en état avant de revendre ce mobilier, jusqu’à 50 % moins cher que du neuf.
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S’appuyant sur des retours d’expérience et sur une enquête menée auprès de plus de 100 start-up, BCG et La Boussole viennent de publier un rapport dans lequel ils proposent une nouvelle approche pour évaluer le succès des jeunes pousses.
Entre 2016 et 2021, le nombre de start-up françaises est passé de 9 400 à près de 20 000. Et elles représentent aujourd’hui 515 000 emplois. Pour les évaluer, ce sont toujours les indicateurs financiers (montant des levées de fonds, chiffre d’affaires, valorisation) qui sont utilisés. Pourtant bien d’autres critères pourraient être pris en compte.
Pour le démontrer, BCG et La Boussole, une communauté de près de 80 accompagnateurs de start-up et de jeunes entreprises, proposent un rapport qui adopte une approche plus holistique du succès des start-up. Ce rapport met en évidence 12 critères de performance regroupés autour de quatre dimensions :– l’impact économique basé sur la croissance de la start-up (chiffre d’affaires, nombre d’emplois créés…), son financement (levées de fonds, financements non dilutifs, capacité d’autofinancement…) et sa rentabilité (niveau de rentabilité ou perspectives de rentabilité…) ;– l’impact sociétal, qui comprend l’impact positif de ses produits ou de ses services sur l’environnement, l’impact social (entreprise à mission, entreprise sociale et solidaire…) et la redistribution équitable de la valeur avec ses partenaires ;– l’innovation, qui comprend les nouveaux produits ou les services offerts par la start-up et la nouveauté de son modèle économique ou de son mode d’accès au marché (modèle de distribution par exemple) ;– la gouvernance responsable avec les actions menées par la start-up en termes d’emplois et d’expériences collaborateurs, sa gouvernance et ses modes de management ou encore la maîtrise de l’empreinte environnementale liée à ses activités et à ses processus internes.
Pour BCG et La Boussole, ces critères forment une grille d’évaluation objective pour mesurer le succès des start-up, critères qui doivent davantage guider l’action des entrepreneurs et de leur écosystème et devraient aider également les incubateurs et accélérateurs à fixer leurs priorités en termes d’accompagnement.
Pour consulter le rapport, rendez-vous sur
le site de La Boussole
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« Entreprendre et se relancer en temps de crise : des solutions pour réussir ! », c’est le thème des 9 webinaires gratuits, proposés par la CCI de Paris et animés par des experts, pour les porteurs de projet et entrepreneurs qui veulent booster leur projet ou leur relance.
Durant la crise sanitaire, la CCI de Paris a voulu continuer à proposer aux porteurs de projet de se former et de s’informer à la maison en leur proposant des webinaires, issus de journées qu’elle a organisées, accessibles gratuitement en replay. Ces webinaires sont animés par des experts de la CCI de Paris et ses partenaires (Région Île-de-France, Pôle emploi, AG2R LA MONDIALE, Banque Populaire Rives de Paris et Wacano). D’une durée de 45 minutes chacun, ils abordent des thèmes variés tels que :– Les étapes clés pour réussir le lancement de son entreprise ;– Comment financer votre projet ;– Rejoindre un réseau pour booster son projet ;– L’hébergement d’entreprise : plus qu’un lieu, une communauté !– Les accompagnements pour relancer votre activité ;– Reprendre une entreprise pour rebondir ;– Les nouvelles mesures pour recruter vos collaborateurs ;– Protection de revenus du dirigeant et de ses salariés ;– Digital : comment convertir les visiteurs de votre site en cdivts ?Ces webinaires sont accessibles sur simple inscription, en rediffusion jusqu’au 31 décembre 2021.
Pour accéder aux webinaires :
www.entreprises.cci-paris-idf.fr
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Trois copains, attirés par l’entrepreneuriat, ont décidé de se lancer dans le en lançant Bagel Corner, et depuis, ils multiplient les points de vente. Leur ambition, depuis le début de l’aventure, est de devenir le leader européen de la vente de bagels en petites surfaces. Grégory Clément nous en dit plus.
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