Les Demoiselles à Versailles : sublimer l’histoire de lieux pour optimiser leur location

Alors que le marché de la location meublée et saisonnière est très concurrencé, l’idée est de proposer un accompagnement pour les propriétaires qui veulent valoriser leur bien, tout en respectant l’histoire du lieu, et ainsi proposer aux clients une expérience inoubliable, au cœur du style français.

Le concept des Demoiselles à Versailles est d’offrir de séjourner dans un lieu historique ou de caractère tout en bénéficiant d’un accompagnement personnalisé via des services de conciergerie tels qu’un accès VIP auprès de belles enseignes, des activités culturelles, restaurants, boutiques, l’organisation d’évènements privés ou professionnels, le shooting photos, des tournages… L’idée est donc de proposer aux cdivts une expérience inoubliable, au cœur du style français dans des lieux magiques. « J’ai une passion pour l’histoire de la ville de Versailles et pour l’Art de vivre à la française. Tous les lieux que je propose à la location ont pour caractère commun de représenter cet art de vivre et d’avoir une histoire (château, architecture, peintre ayant vécu dans le lieu…), explique Katia Lobato, la fondatrice des Demoiselles à Versailles. Ma cdivtèle est touristique mais aussi professionnelle avec un axe séminaires et productions. »

À l’origine, Katia souhaitait acquérir un appartement pour profiter avec ses filles de la vie culturelle qu’offre Versailles. « Le concept est né tout naturellement avec l’acquisition de mon appartement au pied du Château et de mon propre constat de locataire saisonnier. Force est de constater qu’au-delà de la simple remise des clés lors d’une location et la mise à disposition d’un guide d’accueil, vous êtes livrés à vous-même et ne pouvez, bien souvent, profiter pleinement de toutes les activités qu’offre le lieu de villégiature choisi, faute de les connaître. D’où le concept d’un service personnalisé sur-mesure ».

Alors que Katia a un profil et une expertise juridique à la base, elle commence l’aventure avec la création d’un site internet et le dépôt de sa marque Les Demoiselles à Versailles. Un hommage à ses filles nées à Versailles, Diane et Victoria, dont les initiales se retrouvent dans la marque. Et si rapidement la presse s’intéresse à son concept, Katia avoue avoir parfois trouvé difficile d’être une femme. « J’ai eu à subir les tentatives de découragement ou les jugements de tiers, voir même de proches. On m’a reproché, par exemple, de mener trop de projets et donc de mettre en danger ma vie familiale parce qu’une femme ne doit pas travailler autant ! »

Aujourd’hui, la marque Les Demoiselles à Versailles se développe, notamment sur Paris depuis peu face à une demande croissante de cdivts. À plus long terme, Katia souhaite non seulement continuer à développer sa marque dans d’autres villes, mais aussi accompagner, à titre bénévole, des femmes entrepreneures désireuses de se lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat.

Fiche de l’entreprise

Un chiffre : 2017, c’est l’année de la création de la marque Les Demoiselles à Versailles
Un conseil : il faut avoir de l’audace pour ne pas avoir de regrets dans sa vie !
Un contact : Katia Lobato, fondatrice, contact@lesdemoisellesaversailles.fr, site : lesdemoisellesaversailles.com, instagram : @lesdemoisellesaversailles

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Un webinaire pour créer son entreprise dans le secteur de l’ESS

L’Avise, Agence d’ingénierie pour entreprendre autrement, propose un webinaire à tous ceux qui veulent entreprendre dans l’économie sociale et solidaire (ESS) le mardi 23 février. L’objectif : découvrir les étapes clés et les ressources pour se lancer.

Créée en 2002, l’Avise a pour mission de développer l’ESS et l’innovation sociale en France, en accompagnant les porteurs de projet et en contribuant à structurer un écosystème favorable à leur développement. Elle propose notamment des outils, l’animation de communautés d’acteurs des territoires ou encore des programmes d’accompagnement dédiés. C’est dans cette optique qu’elle propose un séminaire en ligne le mardi 23 février 2021 de 17h à 18h.

Spécialement conçu pour les personnes ayant une idée ou un projet d’utilité sociale, il devrait permettre de prodiguer de bons conseils sur les premiers pas pour monter son projet. Au programme, il sera notamment question des étapes-clés du parcours d’un entrepreneur social, et des dispositifs d’accompagnement et de financement dédiés aux projets ESS. Un retour d’expérience d’une structure d’accompagnement spécialisée ESS (type incubateur de projets) sera également proposé.

Pour s’inscrire au webinaire,

connectez-vous sur le site de l’Avise

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Le Covid-19 entraîne une baisse des transactions d’entreprise

En 2020, les transactions d’entreprise ont diminué de 25 %, principalement en raison du contexte sanitaire, selon un rapport récent. Mais tout n’est pas négatif : les demandes sont plus nombreuses et les candidats plus solides.

Selon un rapport du réseau national de conseil en cession et reprise de commerces et entreprises, Michel Simond, sur la première moitié de l’année, de nombreuses rétractations en matière de cession et de reprise d’entreprises ont eu lieu compte tenu du confinement. Puis, de juin à octobre 2020, les transactions sont reparties à la hausse avec une progression de +77 % du nombre de compromis signés par rapport à 2019, ce qui ne rattrape toutefois pas le retard puisque l’année 2020 s’est terminée avec -25 % de transactions par rapport à 2019.

Autre enseignement du rapport : le prix médian de cession des PME a augmenté, passant de 214 000 € en 2019 à 220 000 € en 2020 (+2,6 %). Mais cette augmentation ne concerne pas tous les secteurs d’activité. En sont principalement bénéficiaires les commerces de bricolage, jardinage et de distribution alimentaire (+7 %) eu égard aux confinements. En revanche, les entreprises de la culture, de l’évènementiel et du prêt-à-porter sont les plus touchées (-15 %).

Dans le groupe Michel Simond, les demandes de reprises ont augmenté de 10 % par rapport à 2019, le plus souvent par des cadres en reconversion qui possèdent des fonds importants (en progression de 6 %) : 250 000 € en moyenne pour les cessions de commerces, 550 000 € en moyenne pour les autres cessions. Parallèlement, le nombre de cédants a diminué de 27 %… Un effet positif qui doit permettre aux entreprises de maintenir leur valorisation !

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Charlotte Cadé, fondatrice de Selency

Forte d’une croissance à 3 chiffres après 5 ans d’aventure entrepreneuriale, Charlotte Cadé, fondatrice de Selency, site de brocante en ligne, souhaite s’approcher de la rentabilité en continuant de se développer à l’international, tout en offrant une seconde chance aux objets vintage notamment. Une démarche, somme toute, très éco-responsable et dans l’air du temps !

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100 millions d’euros pour les start-up de la Fintech

Gestionnaire de fonds d’investissement spécialisés dans l’innovation, Bpifrance va consacrer cette année 100 M€ à la Fintech, ces start-up technologiques qui concurrencent les acteurs traditionnels de la banque et de la finance.

Plates-formes de financement participatif, outils de gestion de portefeuille en ligne, solutions de paiement sur mobiles… les Fintech sont partout et développent leurs offres bancaires et financières innovantes à toute allure. Selon le baromètre annuel France Fintech, elles ont levé près de 830 M€ en 2020 malgré la crise sanitaire, soit une hausse de 18,5 % par rapport à 2019.

À ce titre, Bpifrance, déjà investi dans 12 Fintech, souhaite accélérer son action d’accompagnement en fonds propres dans les entreprises technologiques de la finance avec la mise à disposition d’une enveloppe de 100 M€, via ses fonds Digital Venture et Large Venture.

L’objectif consiste à aider des entrepreneurs français, porteurs de projets ambitieux, qui proposent des solutions de services bancaires, assurance, projets blockchain ou encore gestion des risques aux institutions financières, aux entreprises ou aux particuliers. Et à contribuer ainsi à leur essor pour leur permettre de se positionner comme des leaders du secteur.

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Un nouvel outil gratuit de coaching en ligne pour créer son entreprise

Parce que l’entrepreneuriat doit rester accessible à tous, l’Adie propose sur son site une nouvelle solution gratuite pour préparer son projet d’entreprise, inspirée de son offre d’accompagnement en présentiel.

L’association Adie accompagne depuis plus de 30 ans les petits porteurs de projet, défendant la philosophie que tout le monde peut créer son entreprise, même sans capital, même sans diplôme, à partir du moment où il peut avoir accès au crédit et à un accompagnement professionnel, personnalisé, fondé sur la confiance, la solidarité et la responsabilité.

Fidèle à ses idées, et parce que la crise sanitaire ne facilite pas les rencontres physiques, l’Adie vient de lancer un outil accessible gratuitement « Je construis mon projet », inspiré de son offre de formation certifiante « Je deviens entrepreneur », délivrée habituellement par ses conseillers en présentiel.

Ainsi, 4 rubriques sont proposées (« Définir mon projet », « Faire mon étude de marché », « Chiffrer mon projet », « Gérer mes démarches administratives ») qui peuvent être traitées dans l’ordre qui convient le mieux au créateur. Chacune donne accès à des tests, des fiches pratiques, des vidéos, des informations à compléter, pour construire le projet et parfaire ses connaissances sur la création d’entreprise.

Développée avec un soutien de la Fédération Nationale des Banques Populaires et la contribution d’Axa, la Fondation Orange et la Fondation FDJ, cette plate-forme peut être utilisée depuis n’importe quel support : un ordinateur, une tablette ou un smartphone.

Pour accéder à l’espace de coaching gratuit de l’Adie :

https://www.adie.org/mon-projet-d-entreprise/

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Loubna Ksibi, fondatrice de Meet My Mama

Meet My Mama est une start-up qui propose aux entreprises une plate-forme traiteur avec des spécialités culinaires cuisinées par des Mamas, en 100% fait maison et éco-responsable. Une belle initiative lancée par Loubna Ksibi, pour révéler les talents des Mamas du monde entier, pour qu’elles puissent vivre de leur passion de la cuisine.

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Lancement de la phase d’incubation du programme French Tech Tremplin

Après une phase de sélection parmi près de 800 candidatures, 200 entrepreneurs vont pouvoir démarrer l’incubation de leur entreprise dans le cadre du programme French Tech Tremplin.

Pour construire un écosystème d’innovation technologique pérenne et compétitif en France, il est nécessaire de faire émerger des profils divers ayant des expériences variées. Pourtant aujourd’hui, trop de potentiels sont freinés par des obstacles socio-économiques tels que le manque de financements, de formations ou de réseau, entraînant une sous-représentation de certaines catégories de personnes dans « la tech ».

C’est le cas, par exemple, des femmes, qui constituent seulement 12 % des créateurs de start-up, ou encore des personnes issues des quartiers prioritaires où l’attrait pour la tech est plus faible de 30 % par rapport aux autres quartiers.

Pour que la transformation numérique soit un enjeu d’inclusion et d’égalité, le gouvernement a lancé le programme French Tech Tremplin, doté de 15 M€, permettant d’accompagner les personnes sous-représentées ou issues de milieux défavorisés dans la création de leur entreprise innovante.

Cette année, ce sont donc 200 lauréats qui vont bénéficier d’un an d’accompagnement dans l’un des 113 incubateurs ou accélérateurs partenaires du programme répartis sur toute la France, d’une bourse de 30 000 € destinée au développement de leur entreprise ainsi que de l’opportunité de rencontres et d’échanges avec les acteurs de la French Tech.

Pour en savoir plus :

https://lafrenchtech.com/fr/la-france-aide-les-startups/tremplin/

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Taïg Khris, fondateur de Onoff

Passé d’une vie de champion du monde de roller à une vie d’entrepreneur, il n’y a qu’un saut que Taïg Khris a franchi en lançant sa start-up Onoff d’opérateur télécom mobile mondial, il y a 5 ans. Cette idée, née sur son lit d’hôpital après une nième chute, représente aujourd’hui 50 millions de SMS par mois dans 21 pays et emploie 60 collaborateurs. Interview de son fondateur.

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La création d’entreprise toujours aussi dynamique en France en 2020

Alors que la France a subi deux confinements coup sur coup l’an dernier, qui ont fortement affecté l’activité économique, les derniers chiffres de Bpifrance laissent apparaître que la création d’entreprise est restée dynamique, avec une hausse du nombre de créations par rapport à 2019.

La crise sanitaire n’aura pas entamé la motivation des futurs entrepreneurs ! C’est en tout cas ce que démontrent les chiffres de l’Observatoire de la création d’entreprise de Bpifrance Création pour l’année 2020. Selon la dernière publication consacrée à « l’Evolution de la création d’entreprise en France sur longue période : janvier 2000-décembre 2020 », le nombre de créations d’entreprise a, en effet, globalement augmenté entre mars et décembre 2020 par rapport à la même période en 2019, à hauteur de +4 %.

Plus précisément, si l’on excepte les trois mois d’arrêt d’activité liée au confinement sanitaire qui ont conduit à un recul des créations d’entreprises (-20 % en mars par rapport à mars 2019, -49 % en avril, -24 % en mai), la reprise a été forte et continue : +20 % dès le mois de juin 2020 (par rapport à juin 2019), +16 % en juillet, +21 % en août et +27 % en septembre.

Et malgré le second confinement, la fin d’année confirme cette tendance avec une hausse de 13 % de créations en octobre 2020, +18 % en novembre et +19 % en décembre.

Cette dynamique s’observe dans toutes les régions, excepté en Martinique et en Corse. Et elle concerne principalement le secteur du transport et entreposage, le commerce et l’hébergement-restauration.

Pour consulter les chiffres de l’Observatoire de la création d’entreprise de Bpifrance Création :

cliquez ici

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