L’Accélérateur du Numérique : comment saisir les opportunités du web ?

Soutenu par Bpifrance, le nouveau dispositif « L’Accélérateur du Numérique » propose un programme de formation gratuit pour aider les porteurs de projets à développer leur activité en ligne.

Initier un programme éducatif en ligne, gratuit et accessible à toute personne souhaitant créer une entreprise ou développer une activité déjà existante grâce au web : c’est l’ambition affichée par « L’Accélérateur du Numérique », nouveau dispositif de formation lancé par Amazon Academy avec le soutien de

Bpifrance

.

Destiné à accompagner pas à pas tous les porteurs de projets, quel que soit leur stade de développement et leur secteur d’activité, le programme couvre un large éventail de sujets, du marketing à la logistique, en passant par le choix de la stratégie de vente la mieux adaptée.

Un programme de formation 100 % en ligne

Accessible

sur simple inscription

, le dispositif permettra notamment aux participants de se familiariser avec les enjeux clés de la vente en ligne, tels que la création d’un site e-commerce ou la distribution via une place de marché, de s’initier aux stratégies de développement sur les réseaux sociaux ou encore d’en apprendre davantage sur la construction d’une marque dans l’univers numérique.

En pratique, trois formats pédagogiques différents sont ainsi proposés aux participants : la formation en ligne (cursus éducatif de plusieurs heures, divisé en différents modules thématiques), les webinaires (formations diffusées en direct et animées par des experts du numérique) et les bootcamps (programmes intensifs de 5 jours, pouvant rassembler jusqu’à 100 participants en ligne).


Précision : pour répondre au mieux aux besoins individuels des participants, le programme de formation s’adapte à différents niveaux d’expérience, avec un tronc commun généraliste et des formations complémentaires plus spécialisées.

Pour en savoir plus sur le dispositif L’Accélérateur du Numérique et connaître le programme de formation proposé, rendez-vous sur :

www.accelerateur-du-numerique.fr

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Je Deviens Entrepreneur : une formation gratuite pour les porteurs de projet

D’une durée de deux semaines, le programme « Je Deviens Entrepreneur » proposé par l’Adie constitue un équivalent au stage de préparation à l’installation. Il est entièrement pris en charge par les collectivités territoriales et l’État.

Faire une étude de marché, développer son réseau relationnel et professionnel, calculer son chiffre d’affaires prévisionnel, trouver ses premiers cdivts, choisir son statut juridique… Autant de sujets, parmi d’autres, qui sont abordés lors de

la formation « Je Deviens Entrepreneur » proposée par l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie)

.

Des ateliers collectifs organisés dans toutes les régions de France

D’une durée de 35 heures minimum, ce programme se présente sous forme d’ateliers collectifs et s’étale sur une période de deux semaines. Il s’adresse à toute personne ayant un projet de création d’entreprise, quel que soit le secteur (commerce, artisanat, bâtiment, service, conseil, activités artistiques…) et sans aucune exigence de formation ou d’expérience professionnelle préalable.


Bon à savoir : le programme « Je Deviens Entrepreneur » constitue un équivalent au stage de préparation à l’installation (SPI). 100 % prise en charge par les partenaires de l’Adie, à savoir les collectivités territoriales et l’État, la formation est accessible gratuitement pour les participants.

Animé par les équipes de l’Adie avec le soutien de plusieurs intervenants externes, le programme fait appel à des supports pédagogiques variés (vidéos, quiz, jeux…) et favorise une interactivité forte entre les participants. À l’issue de la formation, chaque porteur de projet aura ainsi non seulement acquis la méthodologie nécessaire pour créer, piloter et développer son entreprise, mais pourra également bénéficier de nombreux services proposés par l’Adie (coaching personnalisé, prêts d’honneur…).

Les séances de formation « Je Deviens Entrepreneur » sont organisées tout au long de l’année par les antennes locales de l’association présentes dans les différentes régions de France. Pour en savoir plus et connaître les prochains ateliers proposés près de chez vous, rendez-vous sur :

www.adie.org

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Bilan Acoss : près d’un indépendant sur deux est un auto-entrepreneur

D’après un récent bilan publié par l’Acoss, la hausse continue du nombre de travailleurs indépendants en France résulte principalement de la mise en place du statut d’auto-entrepreneur.

L’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf, a récemment publié

un bilan portant sur la situation des travailleurs indépendants en France

. Et le verdict est sans appel : si, depuis une dizaine d’années, le nombre d’indépendants n’a cessé de croître, ceci s’explique avant tout par la création du statut d’auto-entrepreneur en 2008.

Ainsi, si on dénombrait 2,6 millions de travailleurs indépendants en 2009, leur nombre se situait autour de 3,6 millions fin 2019, avec une croissance annuelle moyenne de +3,3 %.

Une population majoritairement masculine

Fin 2019, selon les chiffres publiés par l’Acoss, les auto-entrepreneurs représentaient près d’un indépendant sur deux (47,6 %). 68,4 % d’entre eux étaient, par ailleurs, économiquement actifs, avec un chiffre d’affaires positif généré sur l’année.

Quant au profil des travailleurs indépendants, les statistiques témoignent d’une population majoritairement masculine (61,6 %), d’un âge moyen de 45 ans et exerçant principalement dans le secteur médical, le BTP, la restauration, le conseil ou encore l’industrie.


Précision : en moyenne, les auto-entrepreneurs sont plus jeunes (41 ans) que les travailleurs indépendants « classiques » (48 ans).

Des écarts de revenus importants

En 2018, pas moins de 85,6 Md€ de revenus ont été déclarés par l’ensemble des travailleurs indépendants, pour une moyenne de 28 553 € sur l’année. Un chiffre qui, comme le précise l’Acoss, cache toutefois des écarts importants : en effet, si le revenu moyen des travailleurs indépendants classiques atteint un montant de 41 969 €, il se limite à 5 593 € seulement pour les auto-entrepreneurs.

Sans surprise, l’Acoss constate enfin qu’il n’est pas rare que le travail indépendant se cumule avec une activité salariée dans le secteur privé. Ainsi, fin 2019, 15,5 % des indépendants étaient également salariés : la part de pluriactifs s’établissant à 6,5 % pour les travailleurs indépendants classiques et à 21,4 % pour les auto-entrepreneurs.

Pour consulter le bilan Acoss dans son intégralité, rendez-vous sur :

www.acoss.fr

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Constitution de sociétés : du nouveau pour le tarif des annonces légales 2021

À compter du 1 janvier 2021, le tarif de publication des annonces légales concernant la constitution de certaines sociétés commerciales et celle de sociétés civiles sera déterminé de manière forfaitaire.

Les tarifs de publication des annonces légales et judiciaires ont été fixés pour 2021.

À ce titre, un changement important est à signaler en matière de constitution de sociétés. En effet, jusqu’alors, le coût de publication d’une annonce légale relative à la constitution d’une société était établi sur la base d’un tarif à la ligne. À compter du 1er janvier 2021, ce ne sera plus le cas pour certaines sociétés commerciales et pour les sociétés civiles puisque le tarif d’une annonce légale relative à leur constitution deviendra forfaitaire.

Ce tarif forfaitaire sera le suivant :– Société anonyme (SA) : 395 € HT (473 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société par actions simplifiée (SAS) : 197 € HT (236 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU) : 141 € HT (169 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société en nom collectif (SNC) : 219 € HT (263 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société à responsabilité limitée (SARL) : 147 € HT (176 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société à responsabilité unipersonnelle (EURL) : 124 € HT (149 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société civile (à l’exception des sociétés civiles à objet immobilier) : 221 € HT (266 € HT à la Réunion et à Mayotte) ;– Société civile à objet immobilier (SCI) : 189 € HT (227 € HT à la Réunion et à Mayotte).


Précision : le coût des annonces légales relatives à la constitution de sociétés d’une autre forme que celles mentionnées ci-dessus (par exemple, les sociétés en commandite simple et les sociétés en commandite par actions) demeure déterminé selon un tarif à la ligne.

Le tarif des autres annonces légales et judiciaires reste inchangé pour 2021.


Arrêté du 7 décembre 2020, JO du 9

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5 webinaires thématiques et gratuits pour apprendre à entreprendre

Le réseau associatif BGE proposera prochainement une série de 5 webinaires en ligne, abordant des enjeux essentiels autour de la création d’entreprise. Les inscriptions sont d’ores et déjà ouvertes.

Comment trouver une bonne idée pour lancer sa future entreprise ? Quelle méthodologie pour réussir la phase de démarrage ? Comment « raconter » son entreprise pour servir ses objectifs commerciaux ? Quelle stratégie adopter pour fédérer une communauté autour de son projet ? Et pourquoi est-il si important de savoir (bien) s’entourer ? Autant de questions, parmi d’autres, qui seront abordées à travers 5 webinaires thématiques et gratuits, organisés en début d’année prochaine par le réseau d’accompagnement BGE.

Conseils pratiques et retours d’expérience

Du vendredi 8 janvier 2021 au vendredi 5 février 2021, à raison d’un rendez-vous par semaine, les internautes participants auront ainsi l’occasion de se familiariser avec de nombreux enjeux essentiels autour de la création d’entreprise. Au programme : des conseils pratiques, proposés par les experts du réseau BGE, mais aussi des témoignages et des retours d’expérience, partagés par des entrepreneurs ayant bénéficié de l’appui du réseau associatif pour se lancer. L’occasion de faire le plein d’informations, d’étoffer son réseau et d’acquérir des clés de compréhension complémentaires pour concrétiser son projet entrepreneurial dans les meilleures conditions !

Les inscriptions pour les 5 webinaires thématiques organisés par le réseau BGE sont d’ores et déjà ouvertes. Pour y participer, il suffit de

se connecter à la plate-forme dédiée

et de sélectionner le (ou les) rendez-vous de son choix parmi les différents créneaux proposés.

Pour en savoir plus et découvrir le programme détaillé, rendez-vous sur :

www.bge.asso.fr

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Refectio donne un coup de jeune aux vieux meubles de famille

Pour encourager les Français à consommer le mobilier autrement, et à arrêter d’acheter du mobilier « jetable », Vincent Marsaudon a eu l’idée de créer Refectio, une plate-forme digitale dédiée au relooking de meuble. Elle permet aux particuliers souhaitant restaurer leur meuble de trouver facilement un artisan capable de leur donner une seconde vie ou des tutos pour qu’ils puissent eux-mêmes le relooker.

En 2019, alors que ses grands-parents sont placés en Ehpad, la famille de Vincent doit déménager leur maison : « Nous nous sommes posé la question de savoir ce que nous allions faire de leurs vieux meubles. Difficile de les vendre, ou même de les garder en l’état. Et d’une manière générale, je me suis demandé ce que deviennent les meubles issus des maisons de nos parents ou grands-parents. Je découvre avec tristesse qu’en France, nous jetons encore trop de meubles chaque année. Après avoir finalisé mon étude de marché, je me lance, et décide de créer Refectio pour aider les personnes ayant vécu la même situation que moi à relooker leurs meubles au lieu de les jeter. »

L’activité démarre en mars 2020, quelques jours avant le premier confinement ! Une première campagne de crowdfunding sur Ulule permet de récolter des fonds pour financer le site internet, la future plate-forme de mise en relation. « C’était difficile de se mettre à nu, de parler du projet et d’aller chercher des fonds. Mais j’ai reçu de supers commentaires et des encouragements. » Le site sort finalement en septembre dernier. L’entreprise est depuis incubée à Paris : « Nous commençons à avoir un flux constant d’annonces, entre 3-5 par semaine, et des artisans de plus en plus intéressés par le service. À court terme, je souhaite continuer à développer l’activité sur le site internet et atteindre un trafic plus important.

À plus long terme, je pense proposer une offre plus étendue, notamment aux personnes qui ne souhaitent pas conserver leurs meubles. J’aimerai pouvoir reprendre leurs meubles, et les vendre à d’autres particuliers. L’objectif étant de devenir le zéro déchet du mobilier ! »

Fiche de l’entreprise
Un chiffre : 1,7 million, c’est le nombre de tonnes de meubles jetés chaque année en France.Un conseil : je pense que la préparation est indispensable pour se lancer. Aussi bien préparation en termes de planning de développement, mais aussi et surtout une préparation mentale ! C’est extrêmement difficile de se lancer, et encore plus difficile de continuer pendant les périodes de flottement, où il ne se passe pas grand-chose.Un contact : Vincent Marsaudon, https://refectio.fr

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Légère augmentation des créations d’entreprises au mois de novembre

Résilientes malgré le contexte incertain, les créations d’entreprises ont continué d’augmenter légèrement en novembre 2020, avec une hausse de +0,9 % par rapport au mois précédent.

Si les effets du deuxième confinement ont lourdement pesé sur de nombreux secteurs économiques, l’envie d’entreprendre, elle, ne tarit pas ! C’est du moins ce qui ressort des dernières statistiques publiées par l’Insee. Selon l’institut, pas moins de 84 295 créations d’entreprises ont ainsi été enregistrées en novembre 2020 en France, soit +0,9 % par rapport au mois d’octobre, tous types d’entreprises confondus. Les hausses les plus significatives concernant, en l’occurrence, les activités de construction (+16,5 %, particulièrement pour les travaux d’installation électrique dans les locaux) ainsi que les activités d’information et de communication (+7,6 %).

+19 % sur les 3 derniers mois

Sur la période septembre-octobre-novembre, les chiffres publiés par l’Insee témoignent, une fois de plus, d’une augmentation sensible du nombre cumulé de créations d’entreprises par rapport au même trimestre de l’année dernière : l’institut fait ainsi état d’une hausse de 19 %, tous types d’entreprises confondus (dont +21,9 % pour les entreprises individuelles et +10,4 % pour les sociétés).


Précision : de nouveau, c’est le secteur « transports et entreposage » et, plus précisément, les activités de poste et de courrier qui, du fait du développement des services de livraison à domicile, contribuent le plus à cette hausse constatée.

+4,5 % sur les 12 derniers mois

C’est également une évolution dynamique que l’on observe sur les 12 derniers mois, avec une augmentation de +4,5 % par rapport aux 12 mois précédents. Et ce, malgré une évolution assez contrastée selon les différents types d’entreprises. Dans le détail, l’Insee constate ainsi une augmentation notable des créations d’entreprises individuelles (+7,4 %), qui se voit toutefois atténuée par une baisse du côté des créations de sociétés (-3,2 %).

Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur :

www.insee.fr

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Koa Koa : des kits pour fabriquer ses propres jouets

Koa Koa propose des kits DIY (« Do It Yourself », c’est-à-dire Faites-le vous-même) pour les enfants de 6 à 10 ans qui peuvent ainsi construire leurs propres jouets et découvrir la mécanique et les sciences. Un concept qui sort des sentiers battus, imaginé par Kim Goldstein, sa fondatrice.

Construire une torche pour découvrir l’électricité, une sonnette de porte à manivelle pour s’amuser avec les engrenages, des lunettes pour expérimenter la vision animale… voici ce que propose Koa Koa. « Chaque kit est une invitation à percer le mystère des objets, à découvrir les mécanismes habituellement cachés dans des boîtes noires scellées, explique Kim Goldstein, la fondatrice. L’idée est aussi de faire comprendre aux enfants qu’ils peuvent fabriquer ce dont ils ont besoin au lieu de systématiquement consommer. »

Si les produits véhiculent l’esprit d’invention, le design est aussi au cœur du projet pour concevoir des objets uniques, entre art et sciences. Tous les kits sont fabriqués dans l’Union Européenne et assemblés en ESAT (centre pour travailleurs en situation de handicap) en Normandie. « Cette idée est née après avoir eu mes enfants. J’ai arpenté les rayons de jouets et j’étais surprise par l’offre : beaucoup de plastique, des jouets qui induisent un comportement « passif » chez l’enfant, des jeux très genrés, et à côté de ça, des jouets de designers plus qualitatifs mais hors de prix. Ayant passé du temps aux USA où l’apprentissage tangible et interactif à destination des enfants est très développé, je me suis dit qu’il y avait quelque chose à faire en France dans ce domaine. »

L’essor du mouvement « maker » (mouvement citoyen né aux USA qui encourage le fait de fabriquer pour lutter contre les excès de la consommation comme l’obsolescence programmée ou la pollution) lui donne de l’inspiration. Et c’est en rencontrant Oscar Diaz, un designer industriel basé à Londres, que l’idée se concrétise : « Il m’a proposé des activités plus complexes que ce que j’imaginais au départ, mais aussi plus originales. J’ai décidé de suivre son intuition, qui nous a permis de nous distinguer de l’offre existante. »

Le plus difficile va être de trouver des partenaires qui produisent au bon prix, soient fiables, disposent des capacités de production, et comprennent le niveau d’exigence.

Aujourd’hui, l’entreprise tourne bien, les ventes à l’international dépassent même les ventes en France. Kim Goldstein compte bien continuer à étoffer la gamme, explorer de nouveaux thèmes, et atteindre une nouvelle tranche d’âge.

Fiche de l’entreprise
Un chiffre : le kit est vendu 29,90 €Un conseil : l’entreprise ne doit pas rester statique. Il faut constamment se remettre en question, chercher à améliorer son offre, itérer, explorer de nouveaux territoires, tester de nouvelles manières de faire. Même si on se trompe. Les erreurs sont des opportunités, des sources d’apprentissage sans pareil !Un contact : Kim Goldstein, https://koakoa.fr/

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Salon des Entrepreneurs Nantes : une édition 2020 à revivre en ligne

La 13 édition du Salon des Entrepreneurs Nantes s’est tenue en novembre dernier dans un format 100 % numérique. Les moments forts de l’évènement sont désormais accessibles en replay.

Face aux contraintes imposées par la situation sanitaire, le Salon des Entrepreneurs Nantes Pays de la Loire s’est tenu, cette année, sous une forme inédite. Entièrement dématérialisé, l’évènement était, en effet, accessible aux participants par le seul biais de son site internet.

Un format novateur, donc, pour cette 13e édition de la manifestation entrepreneuriale nantaise, placée sous le signe de deux notions plus que jamais d’actualité : l’importance du réseau et de l’entraide.

De nombreux contenus accessibles gratuitement en ligne

Pour celles et ceux qui n’auraient pas eu la possibilité de suivre la manifestation en direct, le portail numérique du Salon des Entrepreneurs propose désormais une sélection de contenus vidéo, accessibles en replay.

En consultant la page dédiée à cet effet

, les internautes intéressés par des thématiques en div avec l’écosystème entrepreneurial peuvent ainsi accéder à de nombreux contenus enrichissants. Grâce aux filtres proposés sur le site, ils ont ensuite la possibilité d’orienter leurs recherches pour cibler, par exemple, une thématique (création d’entreprise, digital, financement…), un organisme partenaire ou encore un format (workshop, conférence, talk) précis.


Bon à savoir : pour consulter les différentes ressources en ligne et visionner les contenus de son choix, il suffit de se connecter à son compte en ligne ou, le cas échéant, de s’inscrire gratuitement

grâce au formulaire dédié à cet effet

.

Autant de ressources utiles pour faire le plein d’informations, de conseils et d’expertises… en attendant la prochaine édition de l’évènement,

qui se dévoilera alors sous une nouvelle identité

. Avec une promesse d’ores et déjà formulée : celle d’offrir une expérience toujours plus riche, plus immersive et plus connectée.

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Entrepreneuriat et quartiers prioritaires : Initiative France renforce son action

Le réseau associatif Initiative France a été choisi par le ministère de la Ville pour distribuer une prime exceptionnelle à 1 100 entrepreneurs issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville.

Limiter les effets néfastes de la crise sanitaire et redonner confiance aux entrepreneurs ayant choisi de créer leur activité dans un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV) : c’est l’objectif d’une prime exceptionnelle octroyée par la Direction générale des collectivités locales (DGCL) et l’Agence nationale de la Cohésion des territoires (ANCT) au nom du ministère de la Ville.

Engagé de longue date dans l’accompagnement des porteurs de projets issus des QPV, le réseau associatif Initiative France aura, à ce titre, pour mission d’identifier 1 100 entrepreneurs pouvant bénéficier de cet appui financier attribué par l’État.

Une enveloppe de 1 500 € par projet soutenu

En pratique, après une analyse de situation effectuée par les associations du réseau d’Initiative France, chaque projet entrepreneurial sélectionné se verra ainsi attribuer une prime exceptionnelle d’un montant de 1 500 €. Cette aide financière – qui viendra compléter les dispositifs d’urgence déjà mis en place au profit des entreprises en difficulté – sera alors versée dès la fin de l’année 2020 et jusqu’au 1er trimestre 2021.


Précision : si cette prime exceptionnelle de 1 500 € devrait, en priorité, bénéficier aux entreprises déjà soutenues par Initiative France, elle pourra également être sollicitée par d’autres porteurs de projets remplissant les critères d’attribution et intéressés par l’accompagnement du réseau.

Enfin, avec le soutien de l’État, des collectivités territoriales et de Bpifrance, Initiative France mènera, en 2021, une série d’actions ciblées. L’ambition ? Faciliter l’accès à la création d’entreprise en renforçant l’accompagnement des futurs entrepreneurs issus des QPV pour leur permettre d’obtenir les financements nécessaires à la réalisation de leur projet.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur :

www.initiative-france.fr

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