Initiative France et Force Femmes s’engagent ensemble

Signé à l’occasion de l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Paris, un récent partenariat entre les deux structures associatives vise à encourager l’entrepreneuriat des femmes de plus de 45 ans.

Accompagner les femmes de plus de 45 ans vers l’emploi… et la création d’entreprise ! Signé début février lors du 26e Salon des Entrepreneurs Paris, un nouveau partenariat entre le réseau national de financement et d’accompagnement des créateurs et des repreneurs d’entreprise Initiative France et l’association Force Femmes, ayant pour vocation de favoriser l’entrepreneuriat au féminin, tend à renforcer le soutien apporté aux porteuses de projets à travers le territoire français.

Des actions de sensibilisation

En pratique, les deux structures associatives prévoient de décliner ce nouveau partenariat à l’échelle locale, notamment grâce à des actions de sensibilisation menées auprès des publics concernés. L’enjeu ? Attirer l’attention sur l’importance des choix de financement lors du démarrage des projets de création d’entreprise, pour libérer les ambitions des femmes entrepreneures et assurer la pérennité des activités accompagnées.


Bon à savoir : en 2017, Initiative France a soutenu et financé près de 7 000 femmes dans leurs projets d’entreprise. Depuis son lancement en 2005, le réseau Force Femmes a, quant à lui, apporté son soutien à près de 25 000 porteuses de projets.

À travers ce partenariat, les deux organismes souhaitent ainsi renforcer leur action commune et contribuer à valoriser l’entrepreneuriat des femmes aux yeux du plus grand nombre.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.initiative-france.fr

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Créations d’entreprises : forte hausse en janvier 2019

Après une fin d’année 2018 marquée par un léger regain d’activité, le mois de janvier 2019 confirme la tendance. Selon l’Insee, le nombre de créations d’entreprises a ainsi augmenté de 13,8 %.

Une nouvelle année qui démarre sur les chapeaux de roue ! D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 67 115 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de janvier 2019 : +13,8 % par rapport au mois de décembre, tous types d’entreprises confondus. Une forte hausse qui, selon l’Institut, s’explique non seulement par un rebond du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+25,4 %), mais aussi par une accélération des créations d’entreprises classiques (+4,4 %).

+11,8 % sur novembre-décembre-janvier

C’est également une tendance très dynamique qui se dessine au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période novembre-décembre-janvier : par rapport au même trimestre un an auparavant, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 11,8 %, tous types d’entreprises confondus (dont +19,8 % pour les micro-entrepreneurs, +7,1 % pour les entreprises individuelles classiques et +4,7 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire).

+17,0 % sur la période des 12 derniers mois

Une tendance qui se confirme également lorsque l’on observe l’évolution sur les 12 derniers mois : l’Insee constate, en effet, une augmentation de 17,0 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Des chiffres qui s’expliquent à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+27,9 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+18,6 %) et des créations de sociétés (+2,1 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Domalys : faciliter le quotidien des personnes âgées et de leur entourage

Chez les personnes âgées, les chutes causent 3 fois plus de morts (entre 10 000 et 12 000 morts par an) que les accidents de la route ! C’est notamment cet enjeu de santé publique, peu pris en compte par les pouvoirs publics, qui ont motivé Maximilien Petitgenet et Arnaud Brillaud à créer Domalys.

Au démarrage, ces deux amis, déjà entrepreneurs, voulaient diversifier leurs activités en créant une entreprise à la fois humaniste, sur un secteur en croissance, et plutôt dans le BtoB. Confrontés personnellement à des situations de personnes âgées dépendantes dans leur famille, ils se sont lancés dans le secteur tout juste émergeant de la silver économie (économie des seniors) en créant Domalys en 2014. Leur objectif : faciliter le quotidien des personnes dépendantes et de leur entourage, en co-concevant des équipements adaptés avec du personnel de santé (ergothérapeutes, psychomotriciennes, directeurs d’Ehpad…) : du mobilier pour réduire les troubles musculo-squelettiques, des objets connectés pour réduire les chutes… Et pour concevoir ce matériel et comprendre les problèmes rencontrés, rien de mieux que de se rendre compte sur place des difficultés rencontrées. Pendant 2 ans, ils multipdivt les expériences sur le terrain, dorment une semaine dans un Ehpad, échangent avec le personnel : « Nous continuons aujourd’hui encore à fonctionner ainsi, précise Maximidiv Petitgenet. Nous ne savons pas à l’avance quel produit nous allons concevoir : nous partons réellement d’un problème universel, rencontré par tous les Ehpad ou toutes les personnes âgées à domicile, et nous lui trouvons une solution adaptée. »

Après 4 années de fonctionnement, ce sont aujourd’hui près de 30 personnes très impliquées qui travaillent dans l’entreprise (chargé d’études RD, ingénieurs mécaniques, codeurs informatiques…). « La participation, l’an dernier, au CES de Las Vegas a donné un gros coup de projecteur sur notre entreprise. Elle a notamment permis de propulser notre dernier produit Aladin, une lampe connectée réduisant les risques de chutes, qui a reçu le prix CES Innovation Award catégorie Smart Home. »

Et le succès ne devrait pas s’arrêter là. L’année 2019 démarre fort puisque Domalys ouvre ses premiers bureaux aux États-Unis, à Boston et prévoit de participer à plusieurs salons outre Atlantique. Tout cela, bien sûr, sans oublier de consolider ses acquis en France !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : Quand on travaille en équipe, il faut donner du sens à ce qu’on fait, savoir pourquoi on fait ça. Nos collaborateurs ne viennent pas pour faire des meubles pour personnes âgées, ils viennent embellir la vie de gens en difficultés, voire sauver des vies. Et ça change totalement leur rapport au travail.
Le chiffre : le monde devrait compter 2 milliards de personnes âgées en 2050, un vaste marché pour Domalys !
Le contact : Maximidiv Petitgenet, contact@domalys.com,

www.domalys.com

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Le nombre de micro-entrepreneurs en nette augmentation

D’après une récente note de conjoncture publiée par l’Acoss, le nombre de micro-entrepreneurs continue de progresser. Tout comme leur chiffre d’affaires.

Ils sont de plus en plus nombreux, avec un chiffre d’affaires moyen en augmentation. Selon les derniers chiffres publiés par l’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf, les micro-entrepreneurs continuent de s’imposer au sein du paysage entrepreneurial français. Fin juin 2018, le réseau des Urssaf comptait ainsi 1,35 million de micro-entrepreneurs, soit 13,4 % de plus qu’un an plus tôt.

Un flux important d’immatriculations

Dans le détail, pas moins de 421 000 nouvelles immatriculations de micro-entrepreneurs ont été enregistrées sur un an (+22 % par rapport à juin 2017), témoignant d’un écart sensible avec le nombre de radiations effectuées, de l’ordre de 261 000 pour la même période (-3 %, comparé à l’année précédente). Un dynamisme important, qui peut notamment s’expliquer par le récent doublement des plafonds de chiffre d’affaires ouvrant droit au régime.


Rappel : depuis le 1er janvier 2018, le plafond de chiffre d’affaires en dessous duquel on peut bénéficier du régime social simplifié du micro-entrepreneur a été sensiblement relevé. Il est désormais fixé à 70 000 € pour les prestations de services et à 170 000 € pour les activités commerciales.

Un contexte favorable qui se reflète, sans surprise, également au niveau du chiffre d’affaires observé : pas moins de 776 000 micro-entrepreneurs (soit 57,5 % des bénéficiaires du régime) ont, en effet, déclaré un chiffre d’affaires positif au 2e trimestre 2018 (+10,5 % sur un an), le montant moyen de ce dernier s’établissant à 3 978 € pour la période concernée.

L’Île-de-France conserve sa vitalité

Si les micro-entrepreneurs ont désormais investi la quasi-totalité des activités économiques, il existe néanmoins des nuances selon les secteurs choisis. D’après les chiffres publiés par l’Acoss, le secteur des transports et de l’entreposage reste ainsi le plus dynamique, suivi par les activités immobilières et le conseil pour les affaires. À l’opposé, l’Acoss observe un ralentissement dans les secteurs des métiers de bouche, de l’hébergement et de la restauration ainsi que dans le domaine du commerce de détail.

Enfin, d’un point de vue géographique, c’est la région Île-de-France qui demeure en tête de file parmi les territoires les plus dynamiques, affichant une progression de +15,2 % au niveau du nombre de micro-entrepreneurs économiquement actifs. Viennent ensuite les régions Auvergne-Rhône-Alpes (+11,1 %), Nouvelle Aquitaine (+10,8 %) et Centre-Val de Loire (+10,1 %).

Pour en savoir plus et consulter la note de conjoncture de l’Acoss, rendez-vous sur : www.acoss.fr

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Mon entreprise pas à pas : un nouveau portail en ligne dédié aux entrepreneurs

Initiée par Toulouse Métropole et la CCI Toulouse Haute-Garonne, la nouvelle plate-forme numérique vise à prolonger les interactions entre les entrepreneurs et les deux institutions.

Simplifier les démarches des entrepreneurs, quel que soit l’état d’avancement de leur projet : de la création jusqu’à la transmission, en passant par le développement de leur activité. Proposé par Toulouse Métropole et la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) Toulouse Haute-Garonne, le nouveau portail en ligne « Mon entreprise pas à pas » a pour objectif d’améliorer les interactions entre les porteurs de projets et les deux institutions.

Des services, des informations et des contacts

Dans le détail, cette nouvelle plate-forme numérique, disponible 24h/24 et 7j/7, vise notamment à faciliter l’accueil des entrepreneurs – que ce soit par téléphone, par email ou en présentiel – et à optimiser leur orientation vers les bons interlocuteurs pouvant les accompagner à travers des services conçus sur-mesure.

En outre, elle tend à rendre plus homogènes et plus lisibles les différentes actions engagées par les deux institutions partenaires, afin de mieux soutenir les entreprises tout au long de leur cycle de vie, y compris sur des enjeux plus complexes tels que le financement, le développement international ou encore l’innovation technique et sociale.

Enfin, le nouveau portail propose plusieurs témoignages d’entrepreneurs ainsi qu’une boîte à outils regroupant non seulement des informations, mais aussi des contacts utiles pouvant aiguiller dans leurs démarches les porteurs de projets désireux de s’implanter dans la région.

Pour en savoir plus et consulter la plate-forme « Mon entreprise pas à pas », rendez-vous sur : www.monentreprisepasapas.toulouse-metropole.fr

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Nouveau record pour les créations d’entreprises en 2018

Selon une étude récemment publiée par l’Insee, l’année 2018 a été marquée par une forte hausse du nombre de créations d’entreprises en France : +17 % par rapport à 2017. Un nouveau record.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, pas moins de 691 000 entreprises ont été créées en France en 2018, soit 100 000 de plus que l’année précédente (+17 %). Une hausse considérable, amenant le nombre de créations d’entreprises à un niveau record, selon l’institut.

+28 % pour les micro-entrepreneurs

Dans le détail, cette évolution s’explique non seulement par une augmentation importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+28 %), mais aussi par une évolution particulièrement dynamique du côté des créations d’entreprises individuelles classiques (+20 %) ainsi qu’une hausse, néanmoins beaucoup plus modérée, du côté des sociétés (+2 %).

L’Insee précise, par ailleurs, que le nombre de créations a non seulement progressé dans la plupart des régions françaises, mais aussi dans la majorité des secteurs d’activité, et notamment dans le secteur des transports et de l’entreposage (+68 % en 2018).

Peu de changements pour les profils des créateurs

Concernant le profil des créateurs d’entreprises individuelles, l’Insee révèle que leur âge moyen était de 36 ans en 2018, tout comme en 2017 (contre 37 ans en 2016 et 38 ans en 2015). La part des moins de 30 ans ayant, quant à elle, continué d’augmenter légèrement pour atteindre désormais les 38 % (contre 37 % en 2017).

Enfin, en 2018, seulement 39 % des entreprises individuelles ont été créées par des femmes (contre 40 % en 2017 et en 2016), la part des créatrices étant cependant plus élevée dans les secteurs de la santé humaine et de l’action sociale (75 %), dans les services aux ménages (70 %), dans l’industrie (52 %) et dans l’enseignement (50 %).

Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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L’entrepreneuriat gagne toujours en attractivité aux yeux des Français

Selon une récente étude OpinionWay, menée auprès de plus de 5 000 personnes au sein de 5 pays européens, dont la France, l’envie de créer ou de reprendre une entreprise ne cesse de croître.

L’esprit entrepreneurial continue de gagner du terrain : c’est du moins ce qu’affirme un récent sondage international, mené par OpinionWay pour l’Union des Auto-Entrepreneurs avec le soutien de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires à l’occasion de la 26e édition du Salon des Entrepreneurs Paris.

Après avoir interrogé 5 114 personnes issues de 5 pays différents (France, Royaume-Uni, Allemagne, Espagne, Pologne), l’étude met, en effet, en évidence que l’envie de créer ou de reprendre une entreprise fait aujourd’hui partie des perspectives d’avenir envisagées par un nombre croissant de citoyens européens.

Travail indépendant ou salariat ?

Dans le détail, 28 % des Français interrogés se disent ainsi désireux de créer une entreprise, d’en reprendre une ou de se mettre à leur compte (+3 % par rapport à janvier 2018). C’est le cas également pour 51 % des Anglais, 31 % des Allemands, 55 % des Espagnols et 62 % des Polonais.


Précision : seule la moitié de ces potentiels créateurs d’entreprise français pensent néanmoins réaliser leur projet dans les 2 ans qui viennent (contre 63 % des répondants anglais, 67 % des allemands et 69 % des espagnols et portugais).

Plus globalement, il ressort de l’enquête que le statut de travailleur indépendant et d’auto-entrepreneur bénéficie d’une image plutôt positive auprès d’une large frange de la population des 5 pays concernés : 75 % des répondants français déclarent en avoir une bonne opinion, un chiffre qui monte à 88 % au Royaume-Uni, 79 % en Allemagne et 82 % en Pologne.

Enfin, si le travail indépendant est considéré comme un moyen de créer son propre emploi (88 % en France, 93 % au Royaume-Uni et en Allemagne, 92 % en Espagne et 89 % en Pologne) et de bien gagner sa vie au quotidien, force est de constater que le salariat garde une (plus) forte capacité d’attraction : 63 % des sondés français voient, en réalité, leur avenir professionnel en tant que salarié uniquement (contre 66 % des répondants anglais, 71 % des allemands, 57 % des espagnols et 54 % des polonais). Autant dire qu’il persiste, comme souvent, un écart sensible entre le rêve et la réalité !

Pour en savoir plus et consulter le détail de l’étude, rendez-vous sur : www.opinion-way.com

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Prix Audace 2019 : mettre en lumière la dynamique des auto-entrepreneurs français

Organisé pour la 5 année consécutive par la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires et l’Union des Auto-Entrepreneurs (UAE), le concours Audace 2019 sillonnera la France jusqu’à la fin de l’année.

Créé à l’initiative de la Fondation Le Roch-Les Mousquetaires, en partenariat avec l’Union des Auto-Entrepreneurs (UAE), le prix Audace 2019 récompense pour la 5e année consécutive les auto-entrepreneurs tricolores ayant su révéler leur potentiel, prouver leur audace d’entreprendre et développer leur activité au sein du territoire français.

4 000 € et une exposition médiatique

Dans le détail, pas moins de huit étapes régionales sont à ce jour prévues par les organisateurs d’ici la fin de l’année. En fonction de leur zone géographique, les candidats peuvent ainsi déposer leurs dossiers sur le site web dédié à cet effet pour concourir à la finale organisée dans la ville la plus proche de leur territoire : Paris, Lyon, Limoges, Bordeaux, Lille, Rennes, Marseille ou Nantes.

Un jury d’experts désignera ensuite les lauréats régionaux, qui remporteront chacun une dotation de 4 000 € leur permettant de booster le développement de leur activité. Sans compter que les candidats finalistes pourront bénéficier d’une exposition médiatique et de l’appui d’une agence de relations presse spécialement missionnée par les organisateurs du concours.

Pour plus d’informations sur l’édition 2019 du prix Audace, rendez-vous dès à présent sur : www.prix-audace-autoentrepreneurs.com

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100 jours pour entreprendre : les candidatures pour l’édition 2019 sont ouvertes !

Initié en 2012 pour concrétiser l’envie d’entreprendre chez les jeunes de moins de 30 ans, le dispositif « 100 jours pour entreprendre » a récemment démarré sa 8 saison.

Donner envie d’entreprendre et offrir des outils pour se lancer : pour la 8e année de suite, le dispositif « 100 jours pour entreprendre » invite les jeunes de 18 à 30 ans à exprimer leur fibre entrepreneuriale. Initié en 2012 par un mouvement d’entrepreneurs, l’appel à projets se déroule cette année encore sur une durée de 100 jours, du 15 janvier au 25 avril 2019.

20 projets présélectionnés sur dossier

Pour participer à l’édition 2019 du concours, il suffit de poster une courte présentation vidéo de son projet sur la plate-forme dédiée à cet effet. Parmi les 40 participants ayant obtenu le plus de votes, un jury composé de professionnels et d’entrepreneurs choisira 20 candidats qui pourront défendre leur projet le vendredi 17 mai sous forme de pitch. Parmi eux, le jury désignera ensuite les 10 lauréats de l’année.

Des journées de formation pour tous les candidats

Comme tous les ans, les lauréats du concours remporteront la « Boîte 100 jours », d’une valeur de 15 000 €. Véritable « kit » du jeune entrepreneur, elle leur offrira un soutien de taille pour les accompagner dans la création de leur future entreprise (appui financier, accompagnement juridique, parrainage, formation au crowdfunding, accès à des espaces de travail…).

Et ce n’est pas tout ! Plusieurs journées de formation, accessibles à tous les candidats, seront, par ailleurs, organisées à Paris. Animées par des formateurs et des entrepreneurs, elles offriront aux participants l’occasion de compléter leurs connaissances dans des domaines aussi variés que le marketing, les réseaux sociaux, le montage d’un business plan ou encore le financement.

Pour en savoir plus et participer à l’édition 2019 du prix « 100 jours pour entreprendre », rendez-vous dès à présent sur : www.100jourspourentreprendre.fr

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Tracktor : une plate-forme pour simplifier la location de matériel de BTP et d’industrie

Pour aider les professionnels (artisans, TPE, PME, grands groupes) à trouver et louer du matériel pour leurs chantiers, 3 jeunes ingénieurs, Idir Ait Si Amer, Laura Medji et Julien Mousseau ont lancé une plate-forme de location en ligne : Tracktor.fr

Pas toujours facile pour les entreprises de trouver du matériel spécifique pour leurs chantiers. Même louer ponctuellement une nacelle, un chariot ou une pelleteuse reste une tâche très chronophage. Ces entreprises peuvent passer beaucoup de temps à chercher le loueur qui aura les machines disponibles au moment du besoin et surtout à des tarifs raisonnables. Tracktor, première plate-forme du genre, a été créée pour répondre à ce besoin. Elle met en relation des loueurs professionnels de machines avec les professionnels. Ces derniers peuvent ainsi gagner du temps et se concentrer sur leur cœur de métier plutôt qu’à ces démarches logistiques.

« Lancée il y a 2 ans, nous proposons aujourd’hui plus de 20 000 références à la location ! », détaille Judiv Mousseau, l’un des cofondateurs. « Nous nous occupons de tout pour simplifier cette démarche de location. La réservation se fait en ligne, avec un suivi de la relation cdivt avant, pendant et après. Les locations se font en toute confiance grâce à la signature d’un contrat type avec le loueur et la gestion sécurisée du paiement en ligne. Les locataires trouvent ainsi les engins qu’ils cherchent, à proximité de leur chantier et au bon prix. Tracktor fonctionne comme une centrale d’achat : nous sélectionnons des prestataires de qualité avec qui nous pré-négocions les tarifs. »

Pour trouver le matériel, il suffit aux professionnels d’aller sur Tracktor.fr et de taper le type de machines souhaitées dans le moteur de recherche. Un catalogue complet est également disponible. 3 clics plus tard, les utilisateurs ont le devis définitif qu’ils peuvent transformer en location si le prix leur convient. Un algorithme trouve alors le meilleur loueur partenaire ayant la machine disponible en fonction du lieu du chantier et de sa disponibilité. Elle est ensuite livrée directement sur le chantier par le loueur sélectionné.

« Nous sommes principalement présents en Île-de-France et dans de grandes villes comme Lyon, Bordeaux, Nantes ou Lille. En 2019, nous allons accélérer notre développement au niveau national, et en 2020 commencer à nous rendre dans d’autres pays d’Europe ! »

Fiche de l’entreprise

Un conseil : quand on entreprend, il ne faut pas avoir peur de se lancer, même si le produit initial n’est pas parfait, les retours cdivt permettront de l’améliorer ensuite. Le plus important, c’est ce que veut le cdivt, pas ce que le créateur d’entreprise veut. On peut avoir la meilleure idée du monde, si personne n’en veut, elle ne marchera pas !
Un chiffre : après 2 ans d’activité, l’entreprise connait une forte croissance, de l’ordre de 20 à 30 % par mois.
Un contact : Judiv Mousseau, https://tracktor.fr, contact@tracktor.fr

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