Deux jours pour s’informer, capter les nouvelles tendances et développer son réseau : la 16 édition du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes se tiendra les 12 et 13 juin 2019.
Le rendez-vous est pris ! Pendant deux jours, mercredi 12 et jeudi 13 juin, le Centre de Congrès de Lyon accueillera l’édition 2019 du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes. Organisé par Les Échos Solutions, l’évènement aura pour vocation d’offrir, une fois de plus, un concentré d’informations, de conseils et d’expertises autour de l’entrepreneuriat.
Cap sur l’écosystème entrepreneurial
Lieu de formation et d’échanges réunissant les professionnels de la création et du développement des entreprises, l’évènement vise à capter les tendances de l’écosystème entrepreneurial, tout en apportant aux participants les clés essentielles pour développer leur réseau professionnel et mener à bien leurs projets. Sans surprise, cette édition 2019 du Salon s’annonce d’ores et déjà aussi riche que variée !
150 partenaires et exposants, 100 conférences et débats, une dizaine d’animations thématiques, plus de 15 000 visiteurs attendus pour l’occasion : le Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes représente, comme tous les ans, le plus grand rassemblement d’entrepreneurs de la région. Pas moins de 100 personnalités emblématiques seront, par ailleurs, présentes sur place afin de partager leur expérience et d’aider les participants à concrétiser leurs idées.
La participation au Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes est gratuite. Pour en savoir plus et télécharger votre badge d’accès, rendez-vous sur : www.salondesentrepreneurs.com
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Initié par le ministère chargé de la Ville et du Logement et coorganisé par Bpifrance et le réseau BGE, le concours Talents des cités récompense tous les ans une trentaine de créateurs d’entreprise.
Lancée en 2002, le concours Talents des cités récompense l’esprit entrepreneurial au sein des quartiers. Initié par le ministère de la Ville et du Logement avec l’appui de plusieurs partenaires, dont notamment Bpifrance et le réseau associatif BGE, il vise à favoriser la cohésion sociale, l’insertion professionnelle et la création d’emplois.
6 lauréats nationaux seront récompensés avant la fin de l’année
Depuis sa toute première édition, Talents des cités a ainsi pu accompagner plus de 600 créateurs d’entreprise issus des quartiers prioritaires de la politique de la Ville, et ce notamment par le biais de 14 concours régionaux et d’un concours annuel organisé au niveau national. L’objectif ? Valoriser les entrepreneurs des quartiers et donner l’opportunité, à tous ceux qui souhaitent créer ou développer un projet, d’accéder à l’ensemble des soutiens à la création d’entreprise (formations, séances de coaching, partage d’expériences…).
Les inscriptions pour l’édition 2019 du concours Talents des cités sont ouvertes jusqu’au 15 mai à minuit. Les démarches s’effectuent entièrement en ligne, via le portail dédié à l’initiative.
Dans chaque région, des jurys se réuniront au cours de l’été pour sélectionner les lauréats dans les catégories « création », dédiée aux entreprises créées il y a moins de 3 ans, et « émergence », consacrée aux porteurs de projet souhaitant lancer une nouvelle activité. Sans oublier que 6 lauréats nationaux seront, par ailleurs, récompensés d’ici la fin de l’année.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.talentsdescites.com
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Pour mieux accompagner les personnes âgées de plus de 45 ans souhaitant créer une entreprise, la Fondation Entreprendre a récemment lancé un nouveau dispositif personnalisé.
S’il existe, à ce jour, de nombreux programmes ayant pour objectif d’encourager l’entrepreneuriat des jeunes de moins de 30 ans, force est de constater que les dispositifs dédiés aux entrepreneurs plus âgés se font souvent monnaie rare. Or, il s’agit justement d’une population témoignant d’un intérêt fort pour l’entrepreneuriat, ce dernier pouvant constituer, pour certains, aussi bien l’aboutissement d’une carrière qu’un nouveau départ. Un constat qui a récemment amené la Fondation Entreprendre à lancer son nouveau programme d’accompagnement.
Des dotations financières pouvant aller jusqu’à 5 000 €
Dans le détail, ce nouveau dispositif personnalisé s’adresse aux personnes âgées de plus de 45 ans, habitant Paris ou la petite couronne et ayant un projet de création ou de reprise d’entreprise déjà bien avancé. L’objectif ? Aider les participants à construire, en 6 mois, un plan de réalisation concret et opérationnel pour les amener à franchir le cap vers l’entrepreneuriat.
Accompagnés par une équipe dédiée et conseillés par un coach, les (futurs) entrepreneurs sélectionnés par Fondation Entreprendre pourront, par ailleurs, bénéficier de dotations financières pouvant aller jusqu’à 5 000 €, utilisables notamment à des fins de formation sur des thématiques précises en a avec la création d’entreprise. Un coup de pouce précieux pour monter en compétences, se connecter aux acteurs de l’écosystème entrepreneurial et gagner en confiance pour passer du projet à l’action !
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.fondation-entreprendre.org
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Dans son dernier rapport d’activité, portant sur l’année 2018, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) réaffirme son soutien à la dynamique entrepreneuriale en France.
L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) a récemment dressé le bilan de son activité en 2018. Selon les chiffres publiés par l’organisme, 23 449 personnes et 16 942 entreprises ont ainsi été financées au cours de l’année sur l’ensemble du territoire français, le montant global des microcrédits mobilisés s’élevant à 148,7M€ (+ 13,5 % par rapport à 2017).
Le soutien des populations fragilisées
Lorsque l’on regarde plus en détail le public ayant bénéficié de l’appui de l’Adie, on constate que 54,6 % des personnes accompagnées en 2018 étaient des hommes et 45,4 % des femmes. 23 % des bénéficiaires avaient entre 18 et 29 ans, tandis que 20 % avaient 50 ans et plus.
Par ailleurs, 43 % des créateurs d’entreprise cats de l’Adie depuis 2018 vivaient sous le seuil de pauvreté, et 35 % touchaient des minima sociaux. 26 % n’avaient pas de diplôme, 22 % habitaient dans les quartiers prioritaires de la Politique de la ville et 25 % étaient installés dans des zones rurales. Autant dire que l’action de l’Adie a permis d’apporter un soutien précieux à des populations particulièrement fragilisées !
Enfin, si 13 143 emplois ont été créés (et 7 710 maintenus) en 2018 grâce au microcrédit professionnel, 3 851 retours à l’emploi ont, en outre, été concrétisés grâce au microcrédit mobilité.
Pour en savoir plus sur l’action de l’Adie, rendez-vous sur : www.adie.org
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Les candidatures pour l’édition 2019 du Concours national de la Création d’entreprises Construction durable et Cadre de vie sont ouvertes jusqu’au 29 avril 2019.
Domolandes, pôle technologique consacré à la construction durable et numérique, situé dans le département des Landes, a récemment lancé l’édition 2019 de son concours national. Dédié aux porteurs de projets et aux dirigeants d’entreprises de moins de 5 ans, résidant sur le territoire français et travaillant sur des thématiques liées à la construction durable ou encore à l’amélioration du cadre de vie, il récompense, une fois de plus, l’esprit innovant des activités qui seront présentées.
60 000 € de dotations
Cette année encore, les gagnants du concours pourront bénéficier d’une dotation globale d’une valeur de plus de 60 000 €. Si le lauréat du Grand Prix de l’innovation pourra ainsi toucher la somme de 10 000 €, le deuxième projet récompensé se verra, quant à lui, attribuer une dotation de 8 000 €. Enfin, les 10 finalistes du concours pourront bénéficier chacun de 4 000 € en prestations de services d’accompagnement s’ils choisissent de s’implanter sur le technopôle Domolandes.
Les candidatures pour cette nouvelle édition du Concours national de la Création d’entreprises Construction durable et Cadre de vie sont ouvertes jusqu’au lundi 29 avril 2019 à minuit. Parmi les principaux critères de sélection figureront notamment : le caractère innovant du projet, son potentiel de développement et de création d’emplois, ainsi que la prise en compte des enjeux phares du développement durable.
Pour en savoir plus et accéder au dossier de candidature, rendez-vous sur : www.domolandes.fr
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Après un mois de février peu dynamique, le nombre de créations d’entreprises a progressé de nouveau en mars 2019 : + 1,3 % par rapport au mois précédent, selon les derniers chiffres de l’Insee.
D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 67 099 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de mars 2019 : + 1,3 % par rapport au mois de septembre, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Institut, non seulement par une hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+ 2,0 %), mais aussi par une légère accélération du côté des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 0,5 %).
+ 17,8 % sur janvier-février-mars
Le bilan est encore plus dynamique sur la période janvier-février-mars, où les chiffres témoignent d’une accélération significative du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 17,8 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 29,9 % pour les micro-entrepreneurs, + 9,1 % pour les entreprises individuelles classiques et + 8,3 % pour les entreprises sous forme sociétaire).
Même tendance sur les 12 derniers mois, où le nombre cumulé d’entreprises créées continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 17,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Une tendance qui s’explique non seulement par une hausse importante du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 28,5 %), mais aussi par une accélération non négligeable des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 15,5 %) et une progression – cependant plus faible – du côté des créations de sociétés (+ 4,0 %).
Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr
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Mieux se connaître avant de se rencontrer ? C’est sur ce principe qu’a été développée l’application de rencontres Peachy. Son créateur, Mikael Soundardjee, veut réduire le nombre de messages inappropriés qui sont échangés tout en donnant une dimension plus originale et ludique aux rencontres.
La plupart des applications de rencontres fonctionnent aujourd’hui sur le principe « je like un profil / ça match / on chat ». Mais au final, peu d’utilisateurs engagent la conversation et ne font donc pas de vraies rencontres. C’est ce qu’a constaté lui-même Mikael Soundardjee, le créateur de l’application Peachy : « en utilisant ces applications, je me suis rendu compte que j’avais mis le doigt sur ce qui pêche dans leur fonctionnement : le moment fatidique où il faut briser la glace et faire connaissance. C’est généralement à cet instant que tout bascule : les femmes se lassent des « Salut, ça va ? » et autres messages parfois très déplacés. Et les hommes se sentent atteints dans leurs égos, car ils reçoivent peu de réponses à leur premier message. J’ai alors commencé à imaginer un concept différent qui permettrait aux utilisateurs de se découvrir réellement et de faire connaissance. »
C’est ainsi qu’est née Peachy. L’application se base sur un autre modèle de mise en relation : Like / match / PEACH / chat. Le Peach invite les utilisateurs à se raconter sous forme de jeu avant de pouvoir débloquer le chat Room afin de favoriser le développement de divs et d’affinités en amont : une certaine notion d’engagement se crée alors. Et honneur aux femmes : après avoir échangé 3 peachs, ce sont elles qui décident si elles veulent ou non débloquer le chat. « Ici, il ne s’agit pas d’intelligence artificielle ou d’algorithmes pour faire matcher les utilisateurs par affinités… Peachy leur propose de se créer leurs propres affinités ! Nous espérons apporter ainsi une réponse aux hommes et femmes déçus par les applications de rencontres déjà existantes, qui sont en quête de rapports respectueux – que ce soit l’histoire d’un soir, d’un mois, d’un an ou d’une vie. » L’application récemment lancée souhaite rapidement rallier tous les célibataires français.
Fiche de l’entreprise
Un conseil : il faut commencer par identifier une problématique et ensuite trouver des idées pour y apporter une solution. Et non pas faire l’inverse, c’est-à-dire, avoir une idée et ensuite chercher les problématiques auxquelles cette idée apporte une solution.
Un chiffre : en moyenne, avec une application classique, la conversation n’est engagée qu’avec 1 match sur 5. Peachy veut améliorer ce score.
Un contact : Mikael Soundardjee, https://getpeachy.me/, contact@getpeachy.me
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Trois journées pleinement dédiées à l’innovation. Organisée par Les Echos et le groupe de communication Publicis, la 4 édition du salon Viva Technology se tiendra du 16 au 18 mai 2019 à Paris.
Porteurs de projets, start-up, dirigeants d’entreprise, investisseurs, chercheurs, grand public : plus de 100 000 participants issus d’une centaine de pays sont attendus pour l’édition 2019 du salon professionnel Viva Technology, qui se tiendra du 16 au 18 mai dans les locaux de Paris Expo Porte de Versailles.
L’occasion de faire le plein d’informations, de rencontrer les acteurs phares de l’écosystème numérique d’aujourd’hui et, pourquoi pas, d’initier de futurs partenariats.
Trois journées remplies d’opportunités
Cette année encore, les ambitions sont de taille : plus de 450 intervenants de renommée internationale, 180 conférences thématiques abordant des sujets aussi divers que variés (de la transformation digitale jusqu’à l’intelligence artificielle, en passant par la santé connectée et les nouvelles technologies au secours de l’environnement), plus de 30 pavillons nationaux accueillant de nombreuses personnalités à renommée internationale, un « Hall of Tech » offrant aux participants la possibilité de plonger au cœur des tendances les plus marquantes… Force est de constater que cette 4e édition de l’évènement s’annonce d’ores et déjà riche en opportunités !
Lancé en 2016 par Les Echos et le groupe de communication Publicis, Viva Technology vise, chaque année, à rassembler celles et ceux qui composent l’univers innovant à travers le monde entier. Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.vivatechnology.com
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Selon un récent sondage réalisé par OpinionWay pour le réseau Moovjee et l’établissement bancaire CIC, pas moins de 45 % des jeunes de 16 à 25 ans veulent se lancer dans un projet entrepreneurial.
L’intérêt des jeunes Français pour l’entrepreneuriat ne se dément pas, bien au contraire ! C’est du moins ce que laisse entendre un récent sondage, mené par l’institut OpinionWay pour le Mouvement pour les jeunes et les étudiants entrepreneurs (Moovjee) et l’établissement bancaire CIC. Près de la moitié des 16 à 25 ans déclarent ainsi vouloir créer ou reprendre une entreprise dans le futur.
L’envie est là, mais les craintes persistent
Dans le détail, 45 % des sondés (51 % des hommes et 41 % des femmes) affirment, en effet, vouloir se lancer un jour dans la concrétisation d’un projet entrepreneurial. 46 % d’entre eux souhaitent le faire dans les 3 à 5 ans qui suivent la fin de leurs études, 33 % préfèrent fixer cette échéance à 5 ans après la fin de leur parcours de formation et 20 % envisagent de créer ou de reprendre une entreprise pendant leurs études ou juste après.
Par ailleurs, si la figure de l’entrepreneur apparaît pour près de 50 % des sondés comme étant celle d’un leader, passionné (43 %), créatif (39 %) et sachant prendre des risques (42 %), force est de constater que les jeunes répondants sont encore nombreux à considérer la création d’entreprise comme un défi difficile à relever. 95 % des femmes et 88 % des hommes estiment ainsi qu’il est compliqué de créer une entreprise ; 57 % des sondés déclarant, par ailleurs, ne jamais avoir été informés sur les différents dispositifs d’aide existants.
Enfin, pas moins de 84 % des jeunes interrogés voient la création d’entreprise comme une forme d’engagement sociétal, dans la mesure où l’entrepreneur peut avoir un impact sur des enjeux importants tels que l’emploi, l’écologie, l’égalité des chances ou encore le bien-être au travail.
Pour en savoir plus et consulter le détail du baromètre, rendez-vous sur : www.moovjee.fr
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Grâce à Tripori, il est possible de se créer facilement un itinéraire de voyage personnalisé en fonction de ses centres d’intérêts culturels, historiques ou de loisirs. Il suffit d’entrer le point de départ et celui d’arrivée, la plate-forme, lancée récemment par Christophe Renuy, vous indique ce qu’il y a à faire sur le trajet.
Organiser son propre road trip est souvent long et compliqué. Les informations sont généralement disséminées sur différents supports, et le recours à des agences de voyage pour des prestations sur-mesure est souvent cher. C’est ce qu’a constaté Christophe Renuy lors de préparations de ses propres voyages. Pour résoudre ce problème, il a décidé de créer Tripori, un site dont l’objectif est de simplifier l’organisation d’un voyage itinérant en France. Il faut dire que cet ancien juriste de formation a déjà créé une entreprise dans le web. Passionné de courses hippiques, il a lancé il y a quelques années Turfoo.fr, un site aujourd’hui leader des informations sur les courses PMU sur le marché français. C’est donc à nouveau sur un sujet qui le passionne, les voyages, que Christophe Renuy a décidé de créer une start-up, et a intégré en septembre 2018 l’incubateur Blanchemaille by Euratechnologies à Roubaix, près de Lille. Il y a développé la première version de Tripori lancée officiellement le mois dernier. « Pour l’instant, j’utilise des données touristiques publiques en open data. Ces données sont collectées, puis qualifiées et restituées à l’internaute en fonction de son itinéraire et de ses critères. Le service est gratuit, mais l’objectif est de toucher à terme des commissions sur les réservations qui seront effectuées directement via notre plate-forme (hôtels, activités, location de voitures…) et de mettre en place des services premium payants. »
D’autres projets à moyen et court termes ne manquent pas : d’abord enrichir les données touristiques et intégrer les réservations dans le parcours de l’utilisateur, puis créer une application dédiée car pour l’instant la plate-forme est un site « responsive » (que l’on peut donc consulter de manière confortable sur différentes sortes d’écrans comme un ordinateur ou un smartphone). Christophe souhaite aussi proposer rapidement une plate-forme accessible dans plusieurs langues « Actuellement Tripori est en français sur la France. C’est l’une des destinations les plus prestigieuses en termes de tourisme. Nous voulons donc valoriser ses centres d’intérêt pour les étrangers en adaptant notre plate-forme dans plusieurs langues, avant pourquoi pas d’élargir le contenu à d’autres pays. » La start-up veut également constituer une équipe plus étoffée, et lever des fonds pour se développer plus vite.
Fiche de l’entreprise
Le conseil : Mieux vaut créer son entreprise dans un secteur où l’on est passionné. Quand on est passionné par ce qu’on fait, on n’a pas l’impression de travailler. Et l’on est automatiquement plus déterminé et persévérant.
Le chiffre : Tripori recense déjà plus de 40 000 points d’intérêt en France
Le contact : Christophe Renuy, christophe.renuy@tripori.com, www.tripori.com
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