Récemment publiés par l’Agence France Entrepreneur (AFE), les premiers résultats de l’Indice Entrepreneurial Français 2018 confirment la dynamique entrepreneuriale des Français.
Analyser les tendances et décrypter le dynamisme entrepreneurial : récemment publié par l’Agence France Entrepreneur (AFE) et réalisé avec le soutien de Pôle emploi, de la Fondation d’entreprise MMA des Entrepreneurs du Futur et le concours de TMO Régions, l’Indice Entrepreneurial Français 2018 mesure l’évolution du désir d’entreprendre au sein de la population française.
Une opportunité professionnelle
Selon les résultats de l’enquête, menée auprès d’un panel de 2 500 personnes, l’envie d’entreprendre ne cesse de gagner du terrain. 30 % des Français âgés de 18 ans ou plus (soit 15 millions de personnes) se sont ainsi engagés – à un moment ou un autre – dans une dynamique entrepreneuriale. Un chiffre qui, selon l’AFE, « consolide les résultats de la première édition de l’enquête réalisée en 2016 ».
Dans le détail, 12 % des Français déclarent être « entrepreneurs », et pas moins de 20 % ont envisagé la création ou la reprise d’une entreprise durant l’année écoulée. 7 % d’entre eux ont engagé des démarches et 13 % ont créé ou repris une entreprise, qu’ils ont ensuite vendue ou fermée.
Par ailleurs, si 50 % des Français considèrent que le fait de créer une entreprise représente le choix de carrière le plus intéressant, 70 % partent néanmoins du principe que cette démarche doit traduire une réelle passion pour un métier.
Enfin, interrogés sur les 3 principales motivations pouvant les amener à concrétiser leur projet, les répondants ont le plus souvent tendance à citer : le fait d’être indépendant, la possibilité de s’épanouir et de réaliser un rêve, ou encore l’opportunité de gagner plus d’argent.
Pour consulter des chiffres complémentaires, rendez-vous sur : www.afecreation.fr
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Récemment adopté à l’Assemblée nationale, l’article 2 du projet de loi Pacte vise à faciliter la création d’entreprise grâce à la mise en place d’un registre général dématérialisé.
Plus simple, plus rapide, moins onéreuse : plusieurs mesures comprises dans le projet de loi Pacte (plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), ayant pour ambition de favoriser la transformation économique de la France, visent à encourager la création d’entreprise. L’une d’entre elles, formalisée par l’article 2 dudit projet de loi, a récemment été adoptée à l’Assemblée nationale.
Centraliser et diffuser les informations
Afin d’éviter les coûts redondants et de faciliter les démarches administratives concernant la création d’entreprise, un nouveau registre général dématérialisé sera ainsi progressivement mis en place à l’horizon 2021. Accessible en ligne, il centralisera et diffusera les informations relatives aux entreprises, actuellement contenues dans le registre du commerce et des sociétés, le répertoire des métiers et le registre des actifs agricoles.
À noter : l’adoption de cette mesure complète, en pratique, l’article 1 du projet de loi Pacte. Également adopté à l’Assemblée nationale, il vise à remplacer les 7 réseaux de centres de formalités des entreprises par une plate-forme unique en ligne.
Selon Bruno Le Maire, ministre de l’Économie et des Finances, la création de ce nouvel outil numérique, ayant pour objectif de « fusionner les 2 principaux registres actuels, à savoir le registre du commerce et des sociétés et celui des métiers », devrait ainsi permettre de « rassembler ce qui constitue l’épine dorsale de la vie des entreprises, toujours dans un objectif de simplification ».
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.economie.gouv.fr
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La start-up Epicery, fondée fin 2016 par Elsa Hermal et Edouard Morhange, propose un site internet et une application qui permettent de faire ses courses en ligne directement chez des artisans et commerçants de quartier et d’être livrés à domicile ou au bureau, par des prestataires partenaires, roulant à bicyclette ou en véhicule électrique.
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L’édition 2018 de l’événement Inno Génération, organisé par Bpifrance, se tiendra le 11 octobre à l’AccorHotels Arena à Paris. Une journée riche et diversifiée, entièrement dédiée à l’entrepreneuriat.
Rassembler des entrepreneurs venus de l’Europe entière pour les aider à propulser leur activité dans le monde de demain : organisée par Bpifrance, banque publique d’investissement, la 4e journée Inno Génération se tiendra le jeudi 11 octobre 2018, de 9h à minuit, à l’AccorHotels Arena, située dans le 12e arrondissement de Paris. Et force est de constater que le programme s’annonce d’ores et déjà riche en opportunités pour ceux qui sauront les saisir !
Conférences, ateliers et rendez-vous individuels
1 000 intervenants, 100 speakers de renommée internationale, 300 ateliers-conférences et toujours plus de rendez-vous individuels, permettant aux participants de partager leurs expériences avec leurs pairs et d’échanger avec des experts issus d’horizons variés. L’occasion, également, de découvrir des solutions innovantes, de puiser de nouvelles inspirations et de pitcher devant des investisseurs. De quoi développer son réseau professionnel tout en prenant une longueur d’avance !
L’inscription à l’édition 2018 de l’événement Bpifrance Inno Génération est gratuite et se fait entièrement en ligne, grâce au formulaire dédié à cet effet. Les participants peuvent ensuite choisir les rendez-vous business auxquels ils souhaitent assister.
Pour en savoir plus et découvrir notamment la liste des intervenants confirmés, rendez-vous sur : www.bpifrance.fr
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Lancé par la région Hauts-de-France, le dispositif transversal INS’pir tend à stimuler l’émergence et le développement de projets entrepreneuriaux innovants.
Puisque l’esprit d’innovation concerne aujourd’hui tous les secteurs d’activité, la région Hauts-de-France s’est dotée d’un dispositif transversal, baptisé INS’pir (Innovation numérique et sociale, projet d’initiative régionale). Son objectif ? Favoriser l’émergence et le développement d’innovations numériques et sociales, dans tous les domaines économiques.
Un appui à multiples facettes
Dans le détail, ce dispositif régional comprend ainsi plusieurs leviers d’action résolument complémentaires, pouvant intervenir à des niveaux différents du processus innovant :
–
l’octroi de bourses ou de prestations de coaching permettant de renforcer l’accompagnement des porteurs de projets vers la concrétisation de leurs idées ;
–
l’organisation et/ou la participation au financement d’évènements innovants, pouvant notamment donner aux habitants la possibilité d’exprimer davantage leurs attentes ;
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l’appui à la diffusion de projets ou d’expérimentations permettant de mieux valoriser l’esprit créatif pour en faire bénéficier un plus large public.
Sans oublier que le dispositif se verra, à terme, complété par la création d’un label et d’une charte INS’pir, visant à assurer le respect des objectifs définis par la région.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.hautsdefrance.fr
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Créée il y a 2 ans maintenant par Clémence Durieux, la start-up lyonnaise s’est spécialisée dans la recherche de vin, où qu’il se trouve dans le Monde. A partir de son étiquette envoyée sur une application, Le Bon Gustave vous déniche le vin pour lequel vous avez eu un coup de coeur !
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Récemment créé par BNP Paribas et le cabinet d’études Occurrence, l’Observatoire annuel national de l’entrepreneuriat féminin vient de publier une première étude quantitative.
Détailler le profil des entrepreneures, évaluer la progression des données, faire le point sur les grandes tendances… Récemment créé par le groupe bancaire BNP Paribas et le cabinet d’études Occurrence, l’Observatoire annuel national de l’entrepreneuriat féminin aura pour objectif d’analyser les besoins et de prévoir les initiatives permettant de mieux accompagner les femmes entrepreneures en France.
Une première étude quantitative
Un chantier d’envergure que le nouvel observatoire a récemment amorcé à travers la publication d’une première étude quantitative. Réalisée auprès d’un échantillon de 810 participantes, elle dresse le portrait-robot des entrepreneures, étudie leurs motivations (ainsi que les freins pouvant les empêcher d’avancer), met en lumière leur situation actuelle et expose leur vision de l’avenir.
Dans le détail, l’observatoire constate notamment que les porteuses de projets avaient en moyenne 35 ans au moment de créer leur entreprise et ont adopté, pour 38 % d’entre elles, le statut d’auto-entrepreneur. 90 % avaient précédemment suivi des études supérieures et 60 % étaient salariées au moment de sauter le pas.
Par ailleurs, si 47 % des entrepreneures interrogées estiment qu’elles bénéficient désormais d’un meilleur équilibre vie personnelle/vie professionnelle et 46 % se sentent aujourd’hui plus autonomes, 55 % déclarent néanmoins avoir peur de ne pas dégager assez de revenus. Pourtant, pas moins de 4 entrepreneures sur 5 se disent confiantes en l’avenir, et 60 % ont même l’ambition de doubler leur chiffre d’affaires dans les 5 ans à venir.
Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.group.bnpparibas
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Simplifier le quotidien des collaborateurs pour leur permettre d’être mieux et donc plus concentré sur leur travail, c’est le concept développé par Johan Melab et Ghislain Michaud avec leur plate-forme Fidensio.
Le bien-être au travail est un enjeu majeur pour toutes les entreprises quelle que soit leur taille. C’est notamment un facteur important de performance. C’est aussi une manière de valoriser sa marque employeur pour attirer les meilleurs talents. « En proposant des services du type pressing, retouches, lavage de véhicules, plein d’essence… en entreprise, le salarié ne perd plus une heure à régler des soucis domestiques, il peut se concentrer sur son travail et rentrer chez lui la tête tranquille », explique Johan Melab.
Pour mettre en place ce service de conciergerie, Fidensio élabore avec l’entreprise cdivte une véritable stratégie de bien-être au travail : « L’entreprise choisit les services qui lui paraissent les plus pertinents. Elle règle ensuite un abonnement mensuel forfaitaire établi en fonction du nombre de collaborateurs, des services choisis, de la localisation de l’entreprise… ».
L’idée leur est venue en sortant de l’école de commerce en 2014 : « Nous nous sommes vite rendu compte qu’en travaillant il devenait difficile de concilier vie personnelle et vie professionnelle. Nous avons décidé de créer un service pour simplifier le quotidien des salariés, d’abord via un simple service de pressing que nous avons ensuite agrémenté pour monter une vraie stratégie de bien-être en entreprise ».
Les deux créateurs sont actuellement hébergés dans le prestigieux incubateur Station F, créé par Xavier Niel, fondateur de Free, et fourmillent de projets. À court terme, ils souhaitent lancer l’application mobile. À plus long terme, ils veulent devenir l’appli indispensable au bureau avec des services qui permettent aux salariés de ne plus perdre de temps comme réserver des salles de réunion ou connaître le menu du resto d’entreprise.
Et preuve qu’ils ne sont pas les seuls à s’intéresser au bien-être en entreprise, ils ont monté avec d’autres entreprises le collectif HappyTech qui promeut les outils technologiques permettant de faire de l’entreprise un lieu où chacun peut s’épanouir !
Fiche de l’entreprise
Un conseil : au démarrage, il faut se focaliser sur le chiffre d’affaires, le reste est accessoire. Aller chercher des fonds, faire du marketing… ça prend du temps et les répercussions sont souvent faibles quand on est petit. Il vaut mieux aller chercher ses premiers euros en prenant son téléphone.
Un chiffre : Il y a plus de 3 000 utilisateurs actifs de la plate-forme depuis le début de l’activité en 2015
Un contact :
www.fidensio.com
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Dernière ligne droite ! L’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs Marseille Provence-Alpes-Côte d’Azur se tiendra les 9 et 10 octobre au Palais des Congrès Marseille Chanot.
Le rendez-vous est pris : pendant 2 jours, mardi 9 et mercredi 10 octobre, le Palais des Congrès Marseille Chanot accueillera l’édition 2018 du Salon des Entrepreneurs Marseille Provence-Alpes-Côte d’Azur. Organisée par Les Échos Solutions, la manifestation offre, une fois de plus, un concentré d’informations, de solutions et d’expertises autour de l’entrepreneuriat.
11 000 entrepreneurs attendus
Fort du succès des éditions précédentes, pas moins de 11 000 visiteurs et plus de 120 partenaires et exposants seront attendus pour ce 4e volet de l’évènement qui s’est fixé pour ambition de multiplier les innovations et d’attirer un public de plus en plus nombreux. Et pour cause, puisque le programme 2018 regorge d’activités et de temps forts !
Ainsi, en plus des nombreux ateliers pratiques et conférences techniques proposés, 7 programmes thématiques inviteront les participants à faire le point sur des enjeux phares de l’écosystème entrepreneurial d’aujourd’hui. Sans compter les différentes animations, assurées par des experts de l’entrepreneuriat, qui seront proposées tout au long du salon au sein des espaces conseils.
Pour en savoir plus et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous d’ores et déjà sur : www.salondesentrepreneurs.com/marseille
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Commercialisé depuis 2017, le robot compagnon Cutii permet aux personnes âgées, isolées ou en perte d’autonomie, de garder le lien avec leur famille tout en échangeant avec une communauté regroupant particuliers, aidants, associations et médecins. Quentin Delaplace, chargé de communication au sein de la start-up roubaisienne, nous en dit plus.
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