Passeport Talent : le programme French Tech Visa est ouvert !

Opérationnel depuis le 15 juin 2017, le nouveau dispositif French Tech Visa tend à faciliter l’accueil en France de talents internationaux pouvant doper la croissance des jeunes pousses tricolores.

Dans l’univers innovant comme ailleurs, la chasse aux talents s’affranchit des frontières ! Partant du constat que l’accès à des profils prometteurs et atypiques constitue aujourd’hui un enjeu majeur pour la compétitivité de l’écosystème entrepreneurial français, l’initiative French Tech a récemment lancé son nouveau programme baptisé « French Tech Visa ».

S’appuyant sur le titre de séjour « Passeport Talent » déjà existant, ce dispositif original vise, en effet, à attirer des talents internationaux de la Tech en facilitant leur accueil en France.


Rappel : mis en place fin 2016, le Passeport Talent est une carte de séjour d’une validité maximale de 4 ans. Il vise à rendre plus lisible le droit au séjour des talents accueillis en France.

Opérationnel depuis le 15 juin 2017, le French Tech Visa offre aux talents étrangers éligibles – entrepreneurs, salariés ou investisseurs – une procédure simplifiée et accélérée pour obtenir un titre de séjour. Proposé par des acteurs identifiés de l’écosystème de la French Tech (incubateurs, accélérateurs de start-up, fonds d’investissement en capital-risque…), son objectif consiste à préserver la compétitivité de l’écosystème entrepreneurial français en permettant aux jeunes pousses tricolores de se développer plus facilement.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com

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Normandie : un partenariat renforcé pour améliorer le service rendu aux entrepreneurs

La Métropole Rouen Normandie, la CCI Rouen Métropole, l’agence Rouen Normandy Invest et l’Agence de Développement pour la Normandie vont fédérer leurs compétences et leurs expertises.

Dans le domaine économique comme ailleurs, l’union fait la force : c’est du moins l’objectif ayant motivé la mise en place d’un partenariat renforcé entre la Métropole Rouen Normandie, la Chambre de commerce et d’industrie Rouen Métropole, l’agence de développement Rouen Normandy Invest et l’Agence de Développement pour la Normandie (ADN). L’objectif ? Regrouper les équipes, adapter leurs méthodes, développer une vraie intelligence collective et travailler plus efficacement ensemble pour favoriser la vitalité économique du territoire.

En pratique, ce partenariat renforcé se traduira notamment par la création d’un point d’entrée unique destiné aux entrepreneurs, dont la mission consiste à les accompagner dans la création et le développement de leur activité. Non seulement plus visibles, mais aussi plus lisibles, toutes les compétences et expertises des 4 organismes partenaires seront ainsi accessibles à partir de cet été au Palais des Consuls à Rouen, puis – dès l’été 2018 – dans l’immeuble Vauban au cœur de l’éco-quartier rouennais Luciline.

Une installation dans un lieu unique, propice aux échanges, à la coordination et au partage d’outils, permettant à tout moment d’offrir aux entrepreneurs les meilleures solutions possibles : pour Vincent Laudat, président de la CCI Rouen Métropole, cette fédération des acteurs économiques du territoire constitue, en effet, une étape pour le moins importante vers « un accompagnement des chefs d’entreprise simplifié et plus efficace ».

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.normandie.fr

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« Nos grands-mères ont du talent », la restauration intergénérationnelle

Remettre au goût du jour des recettes transitionnelles tout en favorisant l’emploi des seniors : à la table de « Nos grands-mères ont du talent », une recette peu banale !

« Nos grands-mères ont du talent ». Avec un nom pareil, difficile de passer à côté d’un tel restaurant ! Rien ne prédestinait a priori Arthur Juin et Jean de Guerre à se lancer dans la restauration. Ces deux ingénieurs ont pourtant décider de créer leur entreprise. Et c’est en cherchant un secteur qui leur ressemblait pleinement qu’ils ont pensé à la cuisine : « La cuisine s’est avérée être le secteur qui nous ressemblait le plus : exigence de qualité et de perfection, convivialité et bienveillance, explique Jean de Guerre. On a coutume de dire que « le moral est dans l’assiette ». Notre volonté était donc de proposer un produit innovant (des vrais plats cuisinés facile à transporter) dans des lieux innovants de votre quotidien et où il y a peu de service : les gares. » Car en effet, au-delà d’un simple restaurant, le concept imaginé par les deux entrepreneurs se situe dans des gares et a vocation à essaimer. « Notre activité propose avant tout un service de proximité et des produits de qualité. Situés dans de grandes zones de flux, nous proposons nos plats cuisinés là où les Français passent tous les jours. Ils n’ont plus besoin de faire un détour dans leur commerce de proximité, leur repas est à portée de main en sortant du train ! », souligne l’entrepreneur.

Autre marqueur important de cette nouvelle entité : l’attachement aux seniors. L’idée est de proposer des emplois à ces seniors. « Nous employons aujourd’hui, sur 12 salariés, 6 personnes âgées de plus de 45 ans pour assurer la logistique, la livraison et la vente. Notre volonté est d’employer un senior de plus à chaque nouveau point de vente et de devenir ainsi une entreprise intergénérationnelle. », explique Jean de Guerre. Côté marmites, les recettes proposées par « Nos grands-mères ont du talent » se veulent fraîches, équilibrées et gourmandes ! Elles sont pensées par un chef cuisinier, Denys, âgé de 65 ans, passionné de cuisine et d’histoire. La carte est renouvelée chaque semaine et on y trouve toujours un plat végétarien pour satisfaire le plus grand nombre.

Les premiers points de vente nomades ont été lancés en janvier 2016. Cela prend la forme de lieux éphémères le soir dans les gares de Clamart, Saint-Quentin-en-Yvelines et Versailles-Rive-Droite. « Nous donnons rendez-vous deux fois par semaine aux voyageurs de ces gares pour venir chercher leur dîner à emporter, explique Jean de Guerre. Aujourd’hui, nous proposons en plus notre service à Colombes. Nous avons ouvert en février 2017 le premier point de vente fixe en plein cœur de la gare Montparnasse : un kiosque-restaurant ouvert du lundi au samedi pour proposer petits-déjeuners, déjeuners et dîners à emporter ou à déguster sur place, parfait pour le TGV ! » Objectif désormais ? Implanter la marque dans toute la région d’Île-de-France et déployer des points de vente dans toutes ses gares avant de partir à la conquête de la France.

Fiche de l’entreprise

Le conseil : « Soyez patient, tout prend toujours plus de temps que prévu ! »
Le chiffre : CA prévisionnel de 800 000 € en 2017.
Le contact :
www.ngmodt.fr

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Candy Bus : bio, vegan, les nouveaux goûts du bonbon

Qu’ils soient bio ou sans gluten, les bonbons du Candy Bus sont atypiques. Vendus sur internet mais aussi dans un bus américain, ils séduisent les gourmands sur les routes bretonnes. Original !

Se faire du bien en mangeant des bonbons ? Ou en tout cas ne plus culpabiliser face au spectre du sucre, des colorants chimiques et autres horreurs diététiques ? C’est le pari un peu fou que s’est lancé Ghislain Le Page, jeune breton créateur de Candy Bus à Brest. « J’adore les bonbons et je souhaitais proposer des alternatives à ce qui se fait en général, explique-t-il simplement. La confiserie est un produit de consommation d’impulsion, il faut donc susciter l’envie. Sur un marché globalement stable, le créneau du bio reste une niche, mais qui se développe petit à petit. »

Candy Bus propose ainsi toute une gamme de bonbons classiques (Haribo, Lutti et cie) mais aussi, et c’est ce qui fait son originalité, des bonbons naturels et des bonbons biologiques. Ainsi, les gourmands soucieux de leur santé y trouvent des bonbons sans lactose, des bonbons sans sucre, des bonbons sans gluten, des bonbons végétariens, des bonbons vegans … « Manger des bonbons bio, c’est se faire plaisir plus sainement, mais c’est aussi une nouvelle expérience gustative », lance l’entrepreneur fan de sucreries. En tout cas, c’est une des grandes tendances du moment, qui se développe de plus en plus en France, mais aussi à l’international.

Mais l’originalité de Candy Bus ne s’arrête pas là. En effet, comme son nom l’indique, Candy Bus est un commerce atypique car ambulant. Outre la vente en ligne, « j’ai choisi l’ambulant afin d’être libre d’aller sur de nombreux événements, ce qui est très intéressant pour les bonbons, explique Ghislain Le Page. Il est aussi assez compliqué de faire bien fonctionner un magasin de bonbons sédentaire, il faut un très bon emplacement. De plus, il faut signer un bail en 3/6/9 et si l’affaire ne décolle pas dans un local, il n’est pas possible de changer d’endroit. Certes, contrairement à ce que beaucoup pense, il n’est pas forcément moins cher de faire de l’ambulant par rapport à un loyer en ville car il y a un crédit et des emplacements à payer. Mais je suis fan des bus américains, j’ai donc fait d’une pierre 2 coups ! » Car en effet, Candy Bus ne circule pas dans une banale camionnette professionnelle, mais dans un véritable bus américain. De quoi se faire remarquer sur les routes bretonnes !

Pour financer sa création, en 2014, Ghislain Le Page, qui travaille seul pour le moment, a pu compter sur un apport personnel, complété par un crédit bancaire, un prêt à la création d’entreprise (PCE avec Bpifrance) et un prêt Nacre. Ses objectifs ? « Le chiffre d’affaires ne cesse d’évoluer, mais je souhaite en parallèle développer la vente en ligne, sur lemondedubonbon.fr, notamment sur la gamme sans gélatine sur laquelle nous sommes très sollicités. L’autre objectif est de trouver plus de grands événements où installer le bus. » Histoire de convaincre les papilles de nouveaux gourmands, petits et grands…

Fiche de l’entreprise

Le conseil : « Il faut aller au bout de ses idées et ne pas hésiter à prendre des risques. Bien choisir la structure de sa société et les dispositifs de TVA. Se faire accompagner par des structures spécialisées. »
Le chiffre : 100. C’est le nombre de produits alimentaires, bonbons en tête, qui contiendraient des nanoparticules de dioxyde de titane (colorant E171), selon la dernière enquête de l’association Agir pour l’Environnement. Inquiétant !
Le contact :
www.candybus.fr

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Accompagnement : Initiative France revient sur les actions menées en 2016

Dans son dernier rapport d’activité, le réseau associatif Initiative France dresse un bilan précis du soutien apporté, en 2016, aux créateurs et aux repreneurs d’entreprise.

Pour Initiative France, l’année 2016 rime avec croissance. Et pour cause, puisque le réseau associatif de financement des créateurs et des repreneurs d’entreprise n’a pas manqué d’enregistrer une hausse sensible de son activité par rapport à l’année précédente !

Dans le détail, Initiative France a ainsi accompagné la création ou la reprise de 16 700 entreprises (620 de plus qu’en 2015), ces dernières étant à l’origine de 44 155 emplois créés ou sauvegardés (+13 %). Côté financement, pas moins de 186 millions d’euros de prêts d’honneur – d’un montant de 9 400 € en moyenne – ont été mobilisés en 2016, complétés par 1 150 millions d’euros de prêts accordés par les banques.

Quant aux entrepreneurs soutenus, force est de constater que le réseau associatif s’adresse à des profils plutôt variés : ainsi, pas moins de 61 % des porteurs de projets accompagnés par Initiative France en 2016 étaient des demandeurs d’emploi, 39 % des créateurs étaient des créatrices (contre 28 % au niveau national), 26 % étaient des seniors et 24 % des jeunes de moins de 30 ans. Enfin, 15 % des entrepreneurs ayant bénéficié du soutien de la fédération étaient issus de territoires urbains et ruraux dits « fragiles ».

Selon Louis Schweitzer, président d’Initiative France, ces chiffres témoignent non seulement du dynamisme des 224 plates-formes constituant le réseau associatif, mais confirment également son impact certain sur le développement économique des territoires et sur la création d’emplois durables.

Pour en savoir plus et consulter le rapport d’activité 2016 dans son intégralité, rendez-vous sur : www.initiative-france.fr

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Nouveau rebond des créations d’entreprises en mai 2017

Après un mois d’avril plutôt mitigé, les derniers chiffres publiés par l’Insee indiquent une hausse de 1,6 % du nombre de créations d’entreprises en France au mois de mai 2017.

D’après les derniers chiffres publiés par l’Insee, 47 164 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de mai 2017 : +1,6 % par rapport au mois d’avril, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Institut, cette évolution s’explique non seulement par un redressement relativement important du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+1,7 %), mais aussi par une augmentation assez sensible du nombre de créations d’entreprises classiques (+1,6 %).

Sur la période mars-avril-mai, les chiffres témoignent d’une plus légère accélération du nombre cumulé de créations d’entreprises en France : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 0,7 %, dont +4,7 % pour les sociétés et +3,2 % pour les entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs. Une fois de plus, ce sont les secteurs du soutien aux entreprises et du transport qui contribuent le plus à cette hausse globale.

Par ailleurs, le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 2,9 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents : une évolution qui s’explique par une hausse significative du côté des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+6,0 %) et des sociétés (+5,6 %), alors que les immatriculations de micro-entrepreneurs se repat de nouveau (-1,1 %).

Enfin, l’Insee précise que les demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs ne représentent plus que 39,7 % des créations d’entreprises enregistrées au cours des 12 derniers mois, contre 41,3 % un an auparavant.

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Porteurs de projets : le Crédit Agricole vous invite aux Cafés de la création !

Initiés par le Crédit Agricole, les Cafés de la création se tiennent actuellement dans toute la France. Dédiés aux porteurs de projets, ils invitent au partage et à l’échange d’informations.

Si le lancement d’une activité demande, en général, beaucoup d’énergie et de persévérance, il s’agit également d’une démarche qui ne manque pas de soulever bon nombre de questions. Et pour cause ! Entre interrogations d’ordre juridique, financier ou encore administratif, force est de constater que la création d’entreprise n’est pas toujours une mince affaire.

Pour répondre à cette problématique et aider les porteurs de projets à surmonter les divers obstacles pouvant entraver la concrétisation de leurs idées, le Crédit Agricole invite les entrepreneurs en herbe à participer aux Cafés de la création.

Organisées dans toute la France, ces rencontres conviviales et informelles réunissent non seulement des experts du domaine de la création d’entreprise (conseillers des Chambres de commerce et d’industrie et des Chambres de Métiers et de l’Artisanat, réseaux d’accompagnement…), mais aussi des entrepreneurs chevronnés, susceptibles de pouvoir aiguiller les jeunes pousses dans leurs démarches. De quoi développer son réseau professionnel et faire le plein d’informations pour transformer son projet en succès !

L’accès aux Cafés de la création est libre et gratuit. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.cafesdelacreation.fr

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Vincent Avanzi, fondateur de La Plume du Futur

Vincent Avanzi est développeur de richesses humaines, poète d’entreprise et fondateur de La Plume du Futur. Auteur de livres et conférencier, il accompagne les entreprises au travers de coaching et de conférences poétiques sur l’éveil des talents créatifs et l’intelligence collective.

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L’initiative Talents des cités met les créateurs d’entreprise à l’honneur

Initié par le ministère de la Ville, le concours Talents des cités récompense tous les ans une quarantaine de créateurs d’entreprise. Les inscriptions pour l’édition 2017 sont désormais ouvertes.

Lancée en 2002 par le ministère de la Ville, l’initiative Talents des cités récompense l’esprit entrepreneurial au sein des quartiers. Co-construite avec l’appui de plusieurs partenaires, dont notamment la Caisse des Dépôts, l’Agence France Entrepreneur (AFE) et le réseau associatif BGE, elle vise à favoriser la cohésion sociale, l’insertion professionnelle et la création d’emplois.

Ainsi, depuis sa toute première édition, Talents des cités a pu accompagner pas moins de 570 créateurs d’entreprise issus des quartiers prioritaires de la politique de la Ville, et ce notamment par le biais de 15 concours régionaux et d’un concours annuel organisé au niveau national. L’objectif ? Changer l’image des quartiers en valorisant les talents qui s’y révèlent, et donner l’opportunité – à ceux qui le souhaitent – d’accéder à l’ensemble des soutiens à la création d’entreprise (formations, séances de coaching, partage d’expériences…).

Les inscriptions pour l’édition 2017 du concours Talents des cités – divisées en 2 catégories, à savoir « création » et « émergence » – sont ouvertes jusqu’au 31 juillet et s’effectuent entièrement en ligne, via le portail web dédié à l’initiative.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.talentsdescites.com

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Région Auvergne-Rhône-Alpes : une nouvelle agence au service des entreprises

Initiée par le conseil régional, la nouvelle agence économique « Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises » sera opérationnelle à partir du 1 septembre 2017. Son budget annuel s’élèvera à 110 millions d’euros.

La Région Auvergne-Rhône-Alpes poursuit et développe son engagement auprès des entrepreneurs. Récemment annoncée par le président du conseil régional, Laurent Wauquiez, la création d’une nouvelle agence économique, baptisée « Auvergne-Rhône-Alpes Entreprises », vise à développer l’attractivité du territoire en favorisant l’initiative entrepreneuriale.

En pratique, si sa création a été annoncée le jeudi 18 mai, la nouvelle agence ne sera vraiment opérationnelle qu’à la rentrée, à savoir le 1er septembre 2017. Dotée d’un budget annuel de 110 millions d’euros et composée d’une équipe de 200 personnes, elle aura pour mission d’accompagner 10 000 projets entrepreneuriaux par an, et ce dans la durée. En outre, ses objectifs comprendront : le soutien à « l’émergence de champions régionaux », l’incubation de 150 start-up chaque année, un engagement encore plus important en faveur de l’emploi (avec un appui particulier apporté à la formation et à l’apprentissage) et, enfin, une meilleure coordination des actions menées par la Région sur le plan international.

À travers la création de sa nouvelle agence économique, la Région Auvergne-Rhône-Alpes entend redéfinir ses modes d’intervention auprès de l’écosystème entrepreneurial, tout en étoffant son panel de services dédiés aux entreprises. L’objectif ? Rejoindre « le podium des trois premières régions européennes ». Ni plus, ni moins.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.auvergnerhonealpes.fr

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