Stéphanie Gicquel, aventurière polaire Across Antarctica

Aventurière polaire, Stéphanie Gicquel est référencée dans le Guinness Worlds Records pour la plus longue expédition à ski sans voile de traction réalisée par une femme en Antarctique. Elle a réalisé cet exploit en traversant l’Antarctique via le pôle Sud parcourant ainsi 2 045 km en 73 jours, 15 heures et 35 minutes. Elle compare son expédition Across Antarctica au parcours d’un créateur d’entreprise !

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L’université d’été sur la création d’entreprise en sciences de la vie : c’est bientôt !

Organisée par l’Institut Pasteur et le pôle de compétitivité Medicen, l’université d’été dédiée à la création d’entreprise en sciences de la vie se tiendra les 6 et 7 juillet 2017 à Paris.

L’institut Pasteur, fondation privée à but non lucratif, et le pôle de compétitivité et d’innovation technologique en santé Medicen Paris Région proposent cette année une université d’été sur le thème de la création d’entreprise en sciences de la vie.

Au programme : pas moins de 14 conférences et workshops (comment monter son projet et comment le financer ?), ainsi que des séances de coaching et de networking, organisées avec le concours d’une trentaine d’experts de la création d’entreprise dans le domaine de la santé. L’occasion de faire le plein d’informations, rencontrer des professionnels issus d’horizons divers (entrepreneurs, business angels, scientifiques et chercheurs) bénéficier de conseils personnalisés et concrétiser son projet !

Organisée en 4 demi-journée thématiques, l’université d’été « Création d’entreprise en sciences de la vie » se tiendra les jeudi 6 et vendredi 7 juillet 2017 dans les locaux de l’Institut Pasteur à Paris.

Pour en savoir plus et accéder au programme détaillé de l’événement, rendez-vous sur : www.pasteur.fr

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Réseau Entreprendre s’interroge sur le profil des porteurs de projets soutenus

Dans sa dernière enquête panorama, l’organisme d’accompagnement Réseau Entreprendre dresse le portrait-robot des porteurs de projets épaulés au fil des 5 dernières années.

Au cours des 5 dernières années, pas moins de 4 671 porteurs de projets ont été accompagnés par Réseau Entreprendre. Mais quel est le profil « type » des entrepreneurs soutenus ? Quels sont les secteurs les plus prisés ? Et à quel point les jeunes entreprises sont-elles pérennes ? Réalisée avec le concours de l’institut d’études TMO Régions, la dernière enquête panorama du réseau associatif apporte des réponses à toutes ces questions.

Selon les chiffres publiés, l’âge moyen des entrepreneurs ayant bénéficié d’un accompagnement s’élève ainsi à 39 ans, avec une forte progression des jeunes de moins de 30 ans sur les 5 dernières années. En revanche, bien qu’il y ait de plus en plus de femmes entrepreneures, force est de constater que la parité est aujourd’hui loin d’être atteinte, les hommes représentant toujours 83 % des porteurs de projets soutenus. Dans le détail, 75 % d’entre eux détiennent un bac+4, 70 % entreprennent seuls et 48 % ont été salariés avant de lancer leur propre activité.

L’enquête révèle aussi que 59 % des jeunes entreprises ont été créées dans le secteur des services et 17 % dans l’industrie. Des chiffres qui témoignent, par ailleurs, d’une évolution significative en faveur des services au cours des 10 dernières années : ainsi, en 2006, l’industrie concentrait encore 25 % des jeunes pousses épaulées par le réseau, contre 48 % « seulement » pour les services.

Enfin, si les entreprises soutenues par Réseau Entreprendre ont créé plus de 27 000 emplois directs au cours des 5 dernières années (soit, en moyenne 11,6 emplois par entreprise), elles font également preuve d’une pérennité supérieure à la moyenne nationale : en effet, au bout de 3 ans, 91 % des entreprises accompagnées étaient toujours en activité, contre 71 % au niveau national.

Pour en savoir plus et consulter l’enquête panorama 2016 dans son intégralité, rendez-vous sur : www.reseau-entreprendre.org

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Julie Spolmayeur, co-fondatrice de La Box à Planter

Lancée en juin 2015, La Box à Planter est une box de jardinage qui propose aux particuliers de recevoir chez eux tous les 3 mois, une sélection de graines bio et françaises de légumes, fleurs et aromates, à cultiver au jardin comme au balcon, ainsi qu’un livret donnant des conseils de jardinage et des idées de recettes culinaires. Ce concept a déjà séduit plus de 4 000 clients.

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Eden Quest, quand le jeu vidéo part à l’assaut de la connaissance

Avec Guild’Up, l’entreprise Eden Quest lance le premier MMOG (Massively Multiplayer Online Game) d’entreprise. Une innovation ambitionnant de révolutionner la formation.

Faire en sorte que chacun(e) puisse accéder à la connaissance, enjeu clé de l’adaptabilité : tel est l’enjeu clé sur lequel se base Eden Quest, une entreprise aux ambitions… de taille ! En effet, comme l’expliquent deux des trois associés, spécialistes des Ressources Humaines et du Learning, Pascal Nicaud et Laurent Moresco, « des questions fondamentales se posent aujourd’hui : Comment aller chercher les individus pour qu’ils éprouvent à nouveau envie et plaisir d’apprendre ? Pourquoi avons-nous tant de mal à impulser le changement ? Nous avons cela dans le sang : réconcilier accompagnement collectif et appétence individuelle. » Par ailleurs, parents d’enfants âgés de 15 à 22 ans, les entrepreneurs vivent de l’intérieur « l’inadéquation entre les modalités de formation proposées et les attentes générationnelles… » Comment réconcilier formation et nouvelle génération ? « On parle beaucoup des MOOC’s aujourd’hui : des études sérieuses démontrent qu’à peine 15 % des apprenants vont au bout… », estime Pascal Nicaud.

De quoi inciter les fondateurs d’Eden Quest à participer à la transformation digitale de la formation en utilisant comme levier majeur le jeu vidéo. Notamment grâce à leur plate-forme Guild’Up. Et attention, il ne s’agit pas ici d’un simple serious game. « Guild’Up est un véritable jeu vidéo 3D, utilisant tous les principes forts d’un GamePlay attrayant (règles et principes du jeu vidéo) et reposant sur un design moderne (conception des niveaux de jeu) comme ceux utilisés dans les jeux à succès actuels (BoomBeach, Clash of Clans…). Plus précisément, nous avons développé un MMOG (Massively Multiplayers Online Game) 3D : un jeu vidéo en ligne, massivement multi-joueurs, pouvant accueillir n’importe quel type de contenus et ainsi répondre à n’importe quel type de problématique d’entreprise. »

Afin de s’adapter aux besoins du plus grand nombre, Guild’Up est disponible sur poste fixe, tablette et smartphone, aussi bien en environnement Windows, Androïd que Apple. Par le biais de challenges collectifs, de duels, de défis, le jeu met en œuvre expérience, action, autonomie, liberté, individualisation, socialisation… le tout au service de la connaissance, de l’apprentissage. En outre, Guild’Up propose toute une série d’activités de mémorisation qui s’adaptent au niveau du joueur…

Côté business, l’activité de l’entreprise repose sur 2 piliers : l’édition logicielle et le service. La plate-forme Guild’Up se loue aux entreprises cates (licence à la journée, au mois ou à l’année) et est accompagnée de services de type conseil (gamification, réalisation et/ou médiatisation des contenus, consulting technologique pour déploiement) pour permettre au cat de déployer le jeu selon ses besoins.

Lancé en mai 2016, le concept a été testé par des sociétés pilotes avant d’être plus largement déployée. « Des sociétés comme L’Oréal, SFR ou encore Cardif (Groupe BNP Paribas) nous ont fait confiance… Et d’autres grands groupes sont en cours ! » se réjouissent les créateurs.

Pour se lancer, ils ont misé sur l’autofinancement, via apport de compte courant, emprunt, puis subvention de la BPI (Banque Publique d’Investissement). Une levée de fonds est prévue en 2018. Les objectifs ? D’ici à mi-2018 : « avoir concrétisé 15 grands groupes en BtoB, avoir établi des partenariats avec des acteurs essentiels de l’emploi (de type Pôle emploi) afin de mettre à disposition gracieusement Guild’Up auprès de segments de population en difficulté. » Par ailleurs, un modèle en BtoC devrait aussi voir le jour.

Fiche de l’entreprise

Le conseil : les 3 associés à la tête d’Eden Quest ont tous aux alentours de 50 ans : « Nous sommes bien heureux d’avoir vécu beaucoup d’expériences professionnelles et entrepreneuriales diverses préalablement à cette belle aventure. Tout ceci ne nous empêchant pas d’avoir gardé une « âme d’enfant » pour nous engouffrer dans ce monde digital. Sinon, le conseil central : la conviction chevillée au corps ! Nous avons assumé l’aspect disruptif, nous l’avons calmement saupoudré de raison (pour trouver notre marché) et avons soutenu l’ensemble par un carnet d’adresses ! »
Le chiffre : avec 8 personnes dédiées au développement de Guild’Up, Eden Quest mise sur un chiffre d’affaire d’un million d’euros pour son premier exercice.
Le contact :
http://edenquest.fr/

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Du 29 mai au 2 juin 2017, l’Adie donne rendez-vous aux porteurs de projets !

Organisée dans toute la France, l’édition 2017 des Rendez-Vous de l’Adie propose une série d’événements spécialement dédiés aux futurs créateurs d’entreprise.

Pendant 5 jours, du 29 mai au 2 juin 2017, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) convie les porteurs de projets à une série d’événements organisés sur l’ensemble du territoire français. Au programme : des ateliers pratiques sur la création d’entreprise ainsi que des webconférences gratuites et accessibles au plus grand nombre.

Réussir sa campagne de crowdfunding, éclairer son parcours d’entrepreneur, déterminer son statut juridique, lever les barrières à la création d’entreprise, financer ses besoins de mobilité, choisir ses contrats d’assurance, bien démarrer son entreprise… Autant de sujets (et bien d’autres !) qui seront abordés lors des nombreuses rencontres qui se tiendront au fil de la semaine.

Et ce n’est pas tout ! Au-delà des ateliers didactiques et informatifs, les Rendez-Vous de l’Adie inviteront les participants à venir échanger, non seulement avec les collaborateurs et partenaires de l’association, mais aussi avec des entrepreneurs ayant déjà franchi le pas et concrétisé leurs projets. De quoi partager ses expériences… et ses envies de création !

Pour en savoir plus, découvrir le programme détaillé et s’inscrire aux webconférences proposées, rendez-vous dès à présent sur : www.rdv-adie.org

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OuiSpoon, la convivialité version business

OuiSpoon, plate-forme collaborative d’activités entre collègues, est à la croisée des chemins entre loisirs et gestion des ressources humaines. Original !

Emmener vos collègues en session de laser game ou en cours de cuisine, cela peut aider à tisser des as ! Et c’est sur cette idée qu’est née la jeune entreprise OuiSpoon. Son ambition ? Révolutionner l’animation en entreprise en permettant à des collègues de tous services de se retrouver facilement autour de centres d’intérêt communs.

« Lors de nos différentes expériences professionnelles, Amory, Thibaud et moi nous sommes rendus compte à quel point les collaborateurs d’une même entreprise se connaissaient peu, de manière générale, explique Raphaël Maisonnier, un des créateurs. Souvent, les gens déjeunent avec leurs équipes, et ont toujours les mêmes conversations routinières. Ils ne savent pas qui dans l’entreprise a les mêmes centres d’intérêt qu’eux. La vie professionnelle, pour beaucoup, n’est en somme pas très passionnante, et relève plus du train-train quotidien. Or, nous avions l’intuition que plus un employé s’entendrait bien avec ses collègues, plus il serait heureux. Et que de plus, un employé heureux et épanoui travaillerait mieux. »

De quoi pousser les 3 créateurs, alors étudiants à ESCP Europe, à lancer OuiSpoon en 2016, plate-forme collaborative d’activités entre collègues. Grâce à elle, chaque employé d’une entreprise cate peut proposer aux autres des activités de manière totalement libre, du jeu de carte à la pause déjeuner à un cours de salsa, ou encore rejoindre une activité proposée par un collègue. De quoi faciliter l’intégration et le dialogue à tous les étages !

L’atout pour les entreprises ? « En cassant les silos, en renforçant leur culture d’entreprise, et en intégrant mieux leurs nouvelles recrues, elles auront de meilleurs résultats, y compris financiers » argumente Raphaël Maisonnier. Le tout en apportant une dose d’amitié et de bonheur au sein d’entreprises, un réel moteur pour les jeunes créateurs.

Si l’idée est originale, le défi est de taille : « Tout est encore à créer. Le marché est en train de naître, et nous sommes des pionniers. C’est très challengeant et très stimulant. C’est à nous d’inventer l’entreprise de demain ! »

Côté financement, chaque fondateur a apporté 1 000 €. « Nous souhaitons idéalement ne pas avoir à lever de fonds et croître en nous autofinançant, grâce à nos ventes » précisent-ils. Pour autant, les objectifs sont ambitieux : 100 000 utilisateurs début 2018 ! Pour atteindre un tel développement, OuiSpoon devrait recruter 2 développeurs informatiques, 2 commerciaux et 1 community manager d’ici la fin de l’année.

Fiche de l’entreprise

Le conseil : « Lancez-vous. Accrochez-vous. Le parcours sera semé d’embûches, mais avec de la volonté, l’homme est vraiment capable de renverser des montagnes. Il faut aussi que vous soyez honnêtes avec vous-même et que vous sachiez écouter les retours que l’on vous fait. C’est toujours difficile de déconstruire son œuvre, mais c’est parfois nécessaire pour mieux la reconstruire et la faire grandir. »
Le chiffre : chiffres d’affaires prévisionnels de 200 000 € en 2017 et de 800 000 € en 2018.
Contact :
www.ouispoon.fr

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« Des Elles pour financer son entreprise », un nouveau MOOC dédié aux entrepreneures !

Cinq modules de cours en ligne, gratuits et ouverts à toutes : le nouveau MOOC de la Fondation Entreprendre vise à accompagner les entrepreneures en herbe dans leur levée de fonds.

Si les femmes sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses à se lancer dans l’aventure de la création d’entreprise, force est de constater que le financement du projet représente souvent un défi de taille.

Une problématique pour le moins importante, que la Fondation Entreprendre soulève à travers son nouveau MOOC, baptisé « Des Elles pour financer son entreprise ». Son objectif ? Dédramatiser l’enjeu de la levée de fonds et apporter aux porteuses de projets des conseils d’experts, leur permettant de mieux appréhender cette étape cruciale précédant le lancement de leur activité.

Divisés en 5 modules thématiques, les cours sont accessibles dès à présent et jusqu’au lundi 26 juin 2017. Disponible 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, chaque module comporte, non seulement des contenus de formation (vidéos, articles, images), mais aussi une sélection commentée de ressources complémentaires. Sans oublier les forums de discussion en ligne, offrant aux participantes l’occasion de poser des questions et de partager leurs expériences. De quoi gagner en confiance, relever le défi de la levée de fonds et concrétiser son projet de création d’entreprise !

« Des Elles pour financer son entreprise », le nouveau MOOC de la Fondation Entreprendre, est gratuit et ouvert à toutes. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : https://des-elles-pour-financer-son-entreprise.com

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Ilan Benhaim, co-fondateur de Vente Privée

Vente Privée a créé 3 000 emplois depuis le début de l’aventure en 2001, et continue de progresser notamment via la croissance externe. Ilan Benhaim, co-fondateur, nous en dit plus sur cette croissance qui se fait notamment grâce à l’innovation « bottom-up » (ascendante).

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Léger repli des créations d’entreprises en avril 2017

Après un mois de mars plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en avril : -1,7 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 46 399 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’avril 2017 : -1,7 % par rapport au mois de mars, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Insee, non seulement par un repli sensible du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-3,6 %), mais aussi par une légère baisse du nombre de créations d’entreprises classiques (-0,4 %).

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période février-mars-avril, les chiffres témoignent, en revanche, d’une certaine stabilité : si l’Insee constate, en effet, un repli important des immatriculations de micro-entrepreneurs (-4,3 %) par rapport au même trimestre de l’année dernière, cette baisse est néanmoins compensée par une augmentation du nombre de créations de sociétés (+3,2 %) et d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+2,4 %). Une fois de plus, c’est le secteur du transport qui enregistre la plus forte hausse, tandis que la plus forte baisse est signalée du côté du commerce.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue, par ailleurs, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 4,6 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique principalement par une forte hausse des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+7,7 %) et de sociétés (+7,2 %). Le nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs progresse, quant à lui, de +0,7 %.

Enfin, l’Insee précise que les demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs ne représentent plus que 39,8 % des créations d’entreprises enregistrées au cours des 12 derniers mois, contre 41,3 % un an auparavant.

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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