Makiba vise le bonheur en entreprise !

Parce qu’un salarié heureux est un salarié plus efficace, le concept de Chief Happiness officer tend à se développer en France. Une start-up investit ce jeune marché : Makiba.

Chief Happiness Officer : cette notion, née dans la Silicon Valley il y a une vingtaine d’années, peut prêter à sourire, voir même faire grincer des dents. Quoi, le bonheur au travail ? Et même un « chef » de ce bonheur en entreprise ? Pourtant, au fil des ans, la pratique a fait du chemin et commence même à séduire des entreprises françaises. En 2016, le moteur de recherche d’emploi Joblift a ainsi recensé 69 offres de CHO en France. Encore rare donc, mais en plein développement puisque c’est 6 fois plus qu’en 2015.

Une start-up, Makiba, a donc fait du bonheur en entreprise son cheval de bataille et, loin des stages de méditation et autres activités plus ou moins anecdotiques, propose un service très pointu aux entreprises. L’intérêt de ses prestations : intervenir comme spécialiste au sein d’entreprises qui hésitent encore à embaucher un collaborateur permanent sur ce type de fonction.

Créée en 2017 à Toulouse, Makiba aide donc les entreprises à booster l’engagement et l’épanouissement de leurs équipes. Elle cible les structures voulant développer leur culture d’entreprise et leur marque employeur, ceci pour favoriser, selon les cas, la créativité des équipes, éviter un turn over trop important, etc.

Pour ce faire, Makiba propose 2 types de prestations : CulturUp et StandUp.

CulturUp « intervient comme catalyseur de la culture d’entreprise et accompagne à la mise en place des pratiques des Chief Happiness Officers, expliquent les fondateurs, Nicolas Fabries, Julie Clément et Franck Taverriti. StandUp développe des bureaux dernière génération à hauteur variable permettant de changer de position au cours de la journée et ainsi travailler autrement en améliorant la créativité, l’efficacité et la santé ! » Afin de maximiser les résultats, et pour renforcer l’adhésion de tous, la start-up revendique d’intégrer l’ensemble des collaborateurs dans ces démarches.

Preuve de l’intérêt porté par les entreprises à ce nouveau concept, le groupe Berger-Levrault (éditeur de logiciels) accueille Makiba dans son centre d’Innovation et de Développement basé à Labège (31). De quoi booster le développement de la jeune entreprise en lui donnant accès à de nouvelles ressources tout en côtoyant de très près le monde des grandes entreprises !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : mettre en place des outils permettant de connaître le retour des équipes et de mesurer l’efficacité des actions afin de rassurer une cdivtèle pro exigeante !
Le chiffre : 12 600 € par an et par salarié, c’est le coût du mal-être au travail, selon une étude Mozart Consulting.
Le contact :

www.makiba.fr

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L’édition 2018 du concours « 100 jours pour entreprendre » est lancée !

Les inscriptions pour la 7 édition du concours « 100 jours pour entreprendre » sont désormais ouvertes. L’enjeu ? Concrétiser l’envie d’entreprendre chez les jeunes de moins de 30 ans.

Pour la 7e année consécutive, le concours « 100 jours pour entreprendre » invite les jeunes de 18 à 30 ans à concrétiser leur envie d’entreprendre. Lancé en 2012 par un mouvement d’entrepreneurs, l’appel à projets se déroule cette année encore sur une durée de 100 jours, du 15 janvier au 25 avril 2018.

Pour participer, il suffit de poster une vidéo sur la plate-forme dédiée à cet effet. L’enjeu ? Décrocher un maximum de votes pour faire partie des 40 candidats présélectionnés, pouvant présenter leur projet devant un jury de professionnels, qui désignera ensuite les 10 lauréats de l’année.

Des outils indispensables à gagner

À la clé, la « Boîte 100 jours », d’une valeur de 15 000 €. Véritable « kit » du jeune entrepreneur, elle offrira aux lauréats un soutien de taille pour les accompagner dans la création de leur future entreprise : un appui financier, un parrainage, une formation au crowdfunding, l’accès à des espaces de travail…

Enfin, cette nouvelle édition du concours ne manquera pas d’intégrer quelques nouveautés, telles que la création de 2 prix spéciaux (« Alimentation solidaire » et « Start-upeuse de l’année ») et la mise en place de 2 après-midis de formation, accessibles à tous les candidats.

Pour en savoir plus et participer à l’édition 2018 du prix « 100 jours pour entreprendre », rendez-vous sur : www.100jourspourentreprendre.fr

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Matthieu Lesne, co-fondateur de PetitBallon.com

Fondé en 2011, le PetitBallon.com est une plate-forme permettant de découvrir et d’acheter des vins de qualité sous forme d’abonnement, à partir de 19,90 € par mois. Vous recevez chaque mois chez vous une « box vins » et en plus vous pouvez tout apprendre des pratiques et des propriétés gustatives du vin, de manière ludique, grâce des vidéos oenologiques truffées d’astuces et de conseils, accessibles sur le blog du site.

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Roadstr, le vintage prend la route

Une belle décapotable, une sportive racée… Les aficionados des voitures anciennes fantasment devant certains modèles mythiques… et des entrepreneurs l’ont bien compris. Comme le fondateur de Roadstr, qui propose des voitures anciennes à la location entre particuliers.

Vous seriez plutôt Jaguar XK150 des années 50, Porsche 911 des années 90 ou encore Ford Mustang ? Le temps d’un week-end, d’une balade, pour épater la galerie ou faire se pâmer votre dulciné(e), une jeune entreprise propose de louer des voitures de collection, en rendant accessibles au plus grand nombre des modèles mythiques. Allant du moyen au haut de gamme, Roadstr propose à la location plus de 700 voitures anciennes, pour un budget démarrant à 150 € le week-end.

Passionnés, grandes occasions, simples curieux… : la cible touchée par Roadstr est plus vaste qu’on ne pourrait le penser de prime abord. À commencer par toute une génération de fans de voitures pour qui la possession, l’achat n’est plus un impératif. Qu’il s’agisse de se la jouer James Bond ou de rouler cheveux au vent sur une route de campagne en plein été, de participer à un mariage ou de se faire la main avant soi-même d’acheter, la location présente de nombreux attraits. De l’autre côté de l’écran, les heureux propriétaires y trouvent aussi leur compte : louer leur voiture de collection leur permet, non seulement de rencontrer s’ils le souhaitent d’autres passionnés, mais aussi d’amortir les frais d’entretien souvent élevés inhérents à ce genre de modèles.

Derrière Roadstr se cache une plate-forme de location de voitures anciennes entre particuliers, créée en 2015 par Thomas Ceccaldi. Elle compte aujourd’hui une communauté de 10 000 membres. Pour se rémunérer, l’entreprise prélève une commission de 30 % dans le cadre d’une location sans chauffeur, de 20 % avec chauffeur et de 15 % si le cdivt est un professionnel. Certes, le service est proposé par d’autres sites de location de voitures, mais être un spécialiste sur une niche de ce type peut faire la différence !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : sur un tel marché, mas aussi plus globalement sur les transactions entre particuliers, le volet assurance est primordial. Pour Roadstr, chaque location est couverte par une assurance tous risques via un partenariat noué avec un assureur.
Le chiffre : Roadstr compte aujourd’hui une communauté de 10 000 membres.
Le contact :

www.roadstr.fr

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Léger repli des créations d’entreprises en décembre 2017

Une fin d’année peu dynamique. Après 3 mois de hausse, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en décembre : -1,9 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 53 437 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de décembre 2017 : -1,9 % par rapport au mois de novembre, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, cette évolution s’explique essentiellement par un repli important du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-7,1 %), qui n’est que partiellement compensé par une légère hausse du nombre de créations d’entreprises classiques (+2,2 %).

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période octobre-novembre-décembre, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 16,7 %, tous types d’entreprises confondus (dont +23,3 % pour les micro-entrepreneurs, +21,1 % pour les entreprises individuelles classiques et +6,1 % pour les créations de sociétés). Une fois de plus, ce sont les secteurs du soutien aux entreprises et du transport qui contribuent le plus à cette hausse globale.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 6,7 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+8,5 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+6,5 %) et des créations de sociétés (+4,8 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Emeric Wasson, co-fondateur de Wizbii

Wizbii est le premier réseau social professionnel destiné aux 18-30 ans. Il a été créé pour favoriser l’emploi et l’entrepreneuriat des jeunes autour du monde. Interview d’Emeric Wasson, l’un des trois fondateurs de cette plate-forme née en 2010.

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Réseaux thématiques French Tech : 9 feuilles de route pour des actions collectives

Récemment publiées, 9 feuilles de route thématiques tendent à inciter les membres de l’écosystème entrepreneurial innovant français à s’engager dans une dynamique collective.

9 réseaux thématiques, 9 feuilles de route. Pour encourager les membres de l’écosystème entrepreneurial innovant (start-up, investisseurs, organismes d’accompagnement…) à participer à des actions collectives, l’initiative French Tech a récemment publié une série de recommandations. L’enjeu ? Produire, au travers d’un engagement commun sur des opérations à fort impact – en France et sur le plan international – un effet levier sur la croissance des start-up françaises.


Rappel : créés en juillet 2016, les 9 réseaux thématiques de la French Tech (HealthTech, IoT & Manufacturing, Sports, Cleantech & Mobility, FinTech, Security & Privacy, Retail, EdTech & Entertainment, FoodTech) ont pour objectif de regrouper les entrepreneurs spécialisés dans un même domaine pour les aider à gagner en visibilité et à surmonter, ensemble, leurs problématiques communes.

À chaque secteur ses moyens d’action

Chaque feuille de route réunit plusieurs propositions d’actions concrètes, adaptées aux spécificités de différents domaines d’activité, de la participation aux grands évènements internationaux (CES Las Vegas, Viva Technology Paris, Foire d’Hanovre…) jusqu’aux démarches de proximité (organisation de soirées networking, rencontres avec des investisseurs, interventions auprès d’un public étudiant…).

Un effort de mobilisation qui, en pratique, tend à renforcer les as déjà existants tout en en créant des nouveaux pour prolonger la dynamique des territoires et favoriser le rayonnement de l’environnement entrepreneurial tricolore, en France et à l’international.

Pour en savoir plus et consulter les 9 feuilles de route thématiques, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com

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Commerce indépendant : le rêve de l’entrepreneuriat peine à devenir réalité

En France comme à l’étranger, beaucoup de salariés sont tentés par la création d’entreprise, révèle une étude du grossiste Metro sur le commerce indépendant. Mais peu sont prêts à concrétiser leur ambition entrepreneuriale.

D’après une étude internationale sur le commerce indépendant réalisée par le grossiste alimentaire pour professionnels Metro, de nombreuses personnes sont tentées par l’aventure de la création d’entreprise… mais peu d’entre elles sont disposées à franchir le pas !

Cet écart entre l’envie de monter sa boîte et la concrétisation de son projet – ce que Metro appelle le « fossé entrepreneurial » – se retrouve au sein des 10 pays dans lesquels l’enseigne a mené l’enquête : en France, mais également en Allemagne, aux Pays-Bas, en Italie, au Portugal, en République tchèque, en Roumanie, en Turquie, en Russie et en Chine. Le grossiste a interrogé près de 10 000 personnes travaillant dans un commerce « non indépendant ». Si près de la moitié souhaitent créer leur propre entreprise, seule une minorité (13 %) considèrent cette ambition comme réaliste.

Deux principaux freins à la création d’entreprise sont cités par les commerçants sondés : l’instabilité de leur environnement économique et l’alourdissement de la fiscalité. Pourtant, le commerce indépendant a de l’avenir car il sait tirer son épingle du jeu vis-à-vis de la concurrence, souligne l’enquête de Metro. Les consommateurs apprécient beaucoup les structures indépendantes en raison de la qualité de leurs produits et/ou services et de leur excellente relation-cat.

Pour en savoir plus sur l’étude menée par Metro (en anglais) : www.metroag.de/en

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6 édition du programme Lyon Start Up : les inscriptions sont ouvertes

Pour la 6 année consécutive, la Fondation pour l’université de Lyon lance Lyon Start Up, qui combine un programme d’accompagnement de 4 mois à la création d’entreprise et un concours.

Une centaine d’heureux élus pourront bientôt bénéficier de Lyon Start Up, l’initiative de la Fondation pour l’Université de Lyon qui promeut l’entrepreneuriat en offrant un accompagnement à la création d’entreprise ainsi qu’un concours. Les jeunes pousses sélectionnées auront l’opportunité de suivre la 6e édition de ce programme de 4 mois qui court cette année de février à juin.

Pour bénéficier du dispositif, tout porteur d’un projet ou d’une innovation, quelle que soit sa situation (salarié, sans emploi, étudiant…), peut s’inscrire en ligne avant le 10 février 2018 à minuit. Seule condition : ne pas encore avoir déposé les statuts de son entreprise ! Un jury d’experts ouvrira gratuitement les portes de la formation et du concours aux 100 candidats dont les idées ont été jugées les plus prometteuses.

Dans le détail, le programme proposé comprend une semaine de cours sur l’entrepreneuriat innovant dispensés à l’EM Lyon Business School, un enseignement dédié au « pitch » (l’exercice de présentation oral pour retenir l’attention des potentiels investisseurs), des ateliers sur les grands concepts de la création d’entreprise (stratégie commerciale, business model…), des recommandations de spécialistes sur des plans d’action, des journées thématiques, ainsi que des retours d’expérience. En parallèle, un concours de pitchs distinguera 3 lauréats qui pourront gagner jusqu’à 15 000 €.

Pour en savoir plus sur Lyon Start Up et tenter sa chance, rendez-vous sur : www.lyonstartup.com

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Créateurs d’entreprise : suivez les webconférences de l’Adie

L’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) organise prochainement une série de 4 nouvelles webconférences dédiées à l’entrepreneuriat.

Pour permettre aux entrepreneurs de se former sans se déplacer, l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie) propose ce mois-ci une série de 4 webconférences consacrées à la création d’entreprise.

À compter du 9 janvier prochain, les internautes pourront assister chaque mardi du mois à 14h30 à une présentation de 45 minutes sur une thématique relative à l’entrepreneuriat. Des informations concrètes sur la création d’entreprise y seront délivrées en direct par un membre de l’Adie. Le dispositif est interactif : un tchat permet de poser des questions à l’animateur pendant la conférence.

Ce mois-ci, deux thématiques seront abordées : « Tout savoir pour réussir sa demande de microcrédit » les mardi 9 et 23 janvier, et « Quatre conseils en or pour réussir sa première année d’activité », les mardi 16 et 30 janvier.

L’inscription à ces séances est gratuite et se fait en ligne sur le site Internet de l’association. Il sera, par ailleurs, possible de les revoir sur la chaîne Youtube dédiée, qui propose déjà une dizaine d’autres webconférences consacrées à l’entrepreneuriat et la gestion des petites entreprises.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.adieconnect.fr

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