Soutenir les créateurs dans les territoires moins privilégiés

Porté par la Fondation Mozaïk, le Fonds SENS finance à taux 0 % et sans caution les entrepreneurs issus des territoires moins privilégiés. Objectif : briser le plafond de verre pour obtenir l’accompagnement et le financement dont ils ont besoin pour démarrer.

Selon des chiffres de 2020 donnés par Bpifrance, 32 % des entrepreneurs issus des quartiers prioritaires de la politique de la ville (QPV) éprouvent des difficultés à accéder aux services bancaires, notamment au crédit, contre 28 % hors QPV. Pour gommer cette différence, le Fonds SENS, lancé en 2021, se fixe pour objectif à 10 ans de financer au moins 4 000 créateurs d’entreprise, dont 50 % de femmes, en mobilisant entreprises et particuliers. Ce fonds, né sous l’impulsion d’une coalition d’associations pour l’égalité des chances, mise en effet sur le partage des ressources, des réseaux et des expertises pour atteindre de grands objectifs.

Un ticket moyen de 10 000 €

Doté d’un budget de 2 M€, le fonds SENS propose des prêts à taux zéro et sans garantie pour un ticket moyen de 10 000 € afin d’aider des porteurs de projet à lancer leur affaire.

Basé sur un partenariat entre acteurs de l’écosystème entrepreneurial (Fondation Mozaïk, la Ruche, Quartiers d’affaires, Time2Start, les Déterminés, Adive, My Créo Académy, Femmes des territoires, Positive Planet et Entrepreneurs dans la ville, BNP Paribas, SFR, AstraZeneca, Sanofi, PwC…), le Fonds SENS a déjà permis le financement de 8 projets grâce à cette coalition.

Pour en savoir plus :

http://senscoalition.com/

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Récompenser les femmes pour leur audace et leur innovation

Comme chaque année, le Prix les Margaret va récompenser des femmes entrepreneures dont les projets et innovations répondent à de grands enjeux de société. Un moyen de soutenir la croissance et le rayonnement de start-up lancées par des femmes.

Le prix les Margaret tient son nom de Margaret Hamilton, directrice de la division software engineering, qui a développé les logiciels embarqués du programme spatial Apollo de la NASA et dont la contribution a permis à l’Homme de marcher sur la Lune. Il a été créé par JFD, un réseau qui mobilise, depuis 10 ans, acteurs publics et privés et médias en Europe et en Afrique pour réduire les inégalités entre les femmes et les hommes dans la tech. Ce prix est l’occasion de récompenser la créativité, l’innovation et l’audace de femmes digitales.

Une exposition médiatique d’une valeur de 1 million d’euros

Les fondatrices ou cofondatrices d’une entreprise innovante peuvent candidater jusqu’au 9 janvier 2023 dans la catégorie « Entrepreneure ». Les finalistes seront pré-sélectionnées, puis présentées le 9 février 2022 à un jury d’experts qui élira une lauréate pour la catégorie Entrepreneure Europe et une lauréate pour la catégorie Entrepreneure Afrique. Les heureuses gagnantes bénéficieront d’une exposition médiatique d’une valeur de 1 M€, de sessions de mentoring et coaching, d’équipements digitaux (tablettes, montres connectées…), d’opportunités de prises de parole publiques en Europe et en Afrique et d’une adhésion d’un an au réseau JFD et de financement.

Pour en savoir plus :

www.joinjfd.com/prix-les-margaret

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Diivii : économiser grâce au co-abonnement

Alors que l’inflation fait flamber les prix à la consommation, la start-up Diivii veut redonner du pouvoir d’achat aux consommateurs notamment aux étudiants, qui sont particulièrement impactés. L’idée est de mettre en relation des propriétaires d’abonnements avec des co-abonnés pour partager leurs frais d’abonnements.

Abonnement de SVOD, musique, presse, jeux vidéo… l’accès à la culture et aux loisirs pèse de plus en plus lourd sur le budget des Français et les tarifs ne cessent d’augmenter. C’est en faisant ce constat que les deux frères, Anthony et Tom Chemaly, ont co-fondé Diivii : « L’inégalité d’accès à la culture et au divertissement est forte, notamment chez les étudiants, rappelle Anthony. Cet accès se fait de plus en plus par abonnement, et la multiplication de ces derniers pèse dans les budgets des foyers, mais aussi et surtout dans le budget des jeunes. En tant que jeunes actifs récemment diplômés, nous nous sentions la responsabilité de redonner du pouvoir d’achat aux étudiants qui sont finalement notre cible principale ». D’où l’idée de créer Diivii, une plate-forme qui met en relation pour du partage de frais d’abonnement, « sachant que la plupart des abonnements proposent des offres groupées avec plusieurs places. Mais ces offres sont souvent utilisées de façon informelle entre proches, au sein d’une même famille. Cette pratique légale demeurait désorganisée et sans possibilité de financer collectivement le service partagé. Diivii permet de partager le coût de ces abonnements légalement et sans effort pour en diviser le prix. »

Un statut régi par la Banque de France

Le développement de Diivii démarre fin 2020 : « Notre principal challenge a été de trouver le bon partenaire pour sécuriser les paiements. Nous nous sommes rapidement rendu compte que la meilleure façon de procéder était de gérer les flux de paiements nous-même en devenant une fintech. Nous opérons désormais avec le même statut que Lydia auprès de la Banque de France et en partenariat avec Société Générale. Cela nous permet notamment de proposer une solution 100 % sécurisée : si un co-abonné paye le propriétaire de l’abonnement, il est débité immédiatement. Le propriétaire du co-abonnement ne touche, quant à lui, la somme qu’après 30 jours s’il n’y a pas de réclamation. Il n’y a donc aucune fraude tolérée sur Diivii ». Les deux entrepreneurs ne comptent pas s’arrêter là : « Notre principal objectif est de continuer à développer Diivii en France, puis nous irons nous lancer sur le marché européen début 2023 ! »

Fiche de l’entreprise
Un chiffre : le partage des frais d’abonnement représente en moyenne 340 € d’économie par an pour les utilisateurs de Diivii.Un conseil : tester son idée avant de se lancer ! Il est primordial d’avoir une idée de la traction du service ou du produit que l’on souhaite lancer. C’est avec les retours cdivts que le produit va réellement se définir. Il existe de nombreux moyens peu onéreux de tester ses idées de nos jours : landing pages, « no-code », questionnaires, publicité sur les réseaux sociaux, etc.Un contact : Anthony et Tom Chemaly, https://diivii.com/

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Entrepreneurs : de l’idée au projet, que pouvez-vous protéger ?

Qu’est-il possible, voire conseillé, de protéger dans le cadre d’un projet de création d’entreprise ? Pour répondre à cette question, Bpifance propose un webinaire gratuit sur cet enjeu important pour l’entrepreneur le mercredi 30 novembre 2022 de 11h à 12h.

Peu de créateurs d’entreprise le savent : les idées peuvent valoir de l’or mais ne peuvent pas, en tant que telles, être protégées juridiquement. En revanche, une marque, un nom de domaine, un brevet… permettent de garantir les droits de son créateur. Pour en savoir plus sur ces sujets, Bpifrance, la banque publique d’investissement, propose aux créateurs de suivre gratuitement un webinaire en ligne d’une heure.

Différents moyens de protection

Animé par des experts juristes de Bpifrance Création, de l’INPI et du pôle « Digital Tech et Data » de FIDAL Paris, le webinaire est accessible sur inscription. Il doit permettre de mieux comprendre les différents concepts (marques, brevets, nom de domaine) à travers d’exemples illustrés, d’expliquer les différents moyens de protection et d’obtenir des conseils pratiques de la part des différents intervenants.

Pour s’inscrire au webinaire :

https://bpifrance-creation.fr/

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Recrutement d’une nouvelle promotion pour l’accélérateur Beauty Hub

Lancé par les acteurs de la Cosmetic Valley en 2020, l’accélérateur Beauty Hub, dédié à l’innovation dans la parfumerie-cosmétique, vient d’ouvrir les candidatures pour sa prochaine promotion.

Le marché de la beauté et des cosmétiques se porte bien en France avec un marché qui représentait, en 2021, quelque 600 Md€, et une place de leader des exportations mondiales dans 4 catégories de produits (soins, parfums, maquillage, capillaire). Un succès qui s’explique notamment par une forte innovation dans ce secteur. À ce titre, le pôle de compétitivité de la filière parfumerie-cosmétique en France, Cosmetic Valley, installé à Chartres, a créé le Beauty Hub, un tiers-lieu français dédié à l’innovation dans la parfumerie-cosmétique destiné à encourager l’innovation collaborative entre start-up et acteurs industriels de la filière.

Accès à un laboratoire et un centre de prototypage

Cet accélérateur accompagne les jeunes pousses sélectionnées en mettant à leur disposition un laboratoire technologique (Beauty Fab) et un centre de prototypage rapide équipé d’imprimantes 3D (Beauty Exp) et en leur proposant un programme d’aide sur 6 mois (Beauty Up). À la fin de la session, les start-up ont la possibilité de pitcher devant des investisseurs pour lever leurs premiers fonds. Depuis sa création, 25 start-up de toute la France ont déjà été accompagnées.

Le recrutement de la prochaine promotion a lieu en ce moment et vise les start-up de moins de 5 ans ayant un projet dans l’une des thématiques suivantes : développement durable, transition digitale ou expériences consommateurs.

Pour candidater :

www.beautyhub-france.com

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« Tous entrepreneurs », un nouveau média pour les créateurs

Infopro Digital et la Fédération Française de la Franchise (FFF) viennent de lancer Tousentrepreneurs.com, un nouveau média destiné aux créateurs d’entreprise, qui regroupe toutes les informations pour les aider à mener à bien leur projet.

La nouvelle plate-forme Tous entrepreneurs propose des témoignages, des conseils pratiques, des avis d’experts et, plus largement, toutes les informations utiles sur la création d’entreprise et, notamment, sur l’entrepreneuriat en franchise. Elle s’adresse à tous ceux qui veulent créer ou développer leur business, quelle que soit l’avancée de leur projet ou de leur réflexion, des jeunes diplômés aux cadres en reconversion, en passant par des demandeurs d’emploi, qu’ils soient novices ou aient déjà un projet, sensibilisés ou non au sujet de la création en franchise, déjà installés mais à la recherche d’idées pour développer leur business…

Des success stories mais aussi des échecs

Pour accéder au contenu les concernant, les porteurs de projet peuvent s’orienter via 5 rubriques spécifiques :– « Ils ont osé ! », proposant des témoignages et portraits d’entrepreneurs, avec des success stories mais aussi des échecs entrepreneuriaux ;– « Top tendances », sur les secteurs, les entreprises et les territoires porteurs ;– « Fiches entrepreneurs », des fiches pratiques sur des questions du quotidien ;– « Se lancer », pour retrouver des conseils pratiques à chaque étape de son projet ;– « Vidéos & podcasts », regroupant des témoignages d’entrepreneurs et des conseils d’experts.

Pour en savoir plus :

www.tousentrepreneurs.com/

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L’agence AntiBlabla : pour travailler la prise de parole en public

Pour beaucoup, prendre la parole en public est un supplice : peur du regard des autres, d’avoir un trou de mémoire, d’ennuyer son auditoire, d’être jugé… C’est pour aider ceux qui sont amenés à s’exprimer en public à dépasser ces difficultés que Gilles Durouchoux a créé l’agence AntiBlabla.

En 2012, avec des amis, Gilles Durouchoux crée les conférences TEDx de La Rochelle. « Nous avons réalisé à quel point on pouvait rencontrer des gens passionnants dans une conversation mais affreusement pénibles dès qu’on leur donnait un micro et 15 mn pour faire passer leurs idées. Il a donc fallu trouver un moyen de les accompagner à devenir des bêtes de scène. Je me suis alors passionné pour cette discipline : comment aider les speakers à capter l’attention, à entretenir l’intérêt, à toucher le cœur de l’auditoire, à mettre de l’humour dans un discours, à simplifier des concepts parfois très complexes, etc ». Pour Gilles, la culture de la prise de parole en entreprise reste trop marquée par des conventions sociales fortes comme l’usage de supports types Powerpoint. « La plupart des orateurs se cachent derrière une expertise indigeste sans trop savoir ce qu’ils ont vraiment à faire passer comme idée. Nous avons voulu montrer qu’il n’y a pas de sujet, même très technique, qui ne puisse être traité de manière inspirante et remarquable. »

Le public est un cheval !

Gilles axe pour cela son travail sur une prise de parole créative et personnalisée. « Parler d’une idée banale de manière créative, c’est faire en sorte que les gens la perçoivent sous un nouvel angle, que l’idée paraisse nouvelle, donc intéressante. Et parler d’une idée en la personnalisant, c’est-à-dire en parlant de soi, c’est ce qui va donner du sens aux propos ». Pour s’affranchir des tensions liées au stress, il propose en outre une approche nouvelle : l’équicoaching. « Travailler avec les chevaux pour obtenir une collaboration volontaire de leur part implique d’être totalement présent à soi. Ne plus penser et ne pas espérer un résultat, être simplement présent et accepter ce qui doit advenir. Ce lâcher prise permet alors de vivre une réelle relation de partage avec le cheval. Je dis souvent que le public est un cheval ! Si je suis suffisamment présent à moi-même autant que je suis présent à l’autre, alors il me suivra sur le chemin de mes idées comme un cheval accepte notre leadership quand la relation est juste ». À court terme, Gilles souhaite développer des stages qui intègrent de l’équicoaching, grâce à des partenariats avec des centres équestres partout en France pour pouvoir répondre aux besoins des entreprises localement. À plus long terme, il aimerait installer l’Agence AntiBlabla sur une propriété avec des chevaux et en faire un lieu de séminaire dédié à la prise de parole et à l’équicoaching.

Fiche de l’entreprise
Un chiffre : 4 mois, c’est la durée du parcours de formation le plus complet pour devenir conférencier.Un conseil : Ayez un pitch qui décoiffe ! À une époque où les idées circulent à la vitesse de la lumière, il est fondamental que votre idée soit celle qu’on retient et qui interpelleUn contact : Gilles Durouchoux, https://antiblabla.fr/

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Un nouvel incubateur de start-up : le Lab Réuni

Le groupement d’agents immobiliers indépendants, Agences Réunies, lance son incubateur de start-up, le Lab Réuni. Objectif : évaluer la qualité et la pertinence de services innovants proposés par des jeunes pousses.

En France, le secteur de la PropTech compte plus de 500 start-up qui fournissent des produits innovants, technologiques ou des nouveaux modèles, notamment pour le marché immobilier. Or cette prolifération d’offres, sur un marché en perpétuelle évolution, complique l’identification par les agences immobilières des solutions efficaces qu’elles pourraient utiliser et mettre en œuvre dans leur quotidien.

Une évaluation sur plusieurs mois

Afin d’accompagner ses adhérents dans leurs problématiques quotidiennes, Agences Réunies vient de créer un laboratoire de test des services immobiliers innovants. Composé d’un ensemble d’agences représentatives représentant toutes les facettes du métier (transaction, gestion locative, neuf…), ce laboratoire testera la qualité et la pertinence de chaque service proposé par les start-up pendant plusieurs mois avant de rendre son évaluation. Les agences du réseau pourront ensuite découvrir des services haut de gamme correspondant à leurs attentes et besoins.

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Un guichet unique pour les formalités des entreprises

À compter du 1 janvier 2023, les entreprises devront obligatoirement effectuer leurs formalités par voie dématérialisée sur un guichet unique électronique.

À compter du 1er janvier prochain, les formalités des entreprises devront obligatoirement être accomplies de façon dématérialisée via un guichet unique électronique.

Déjà opérationnel, ce guichet unique est accessible via le site internet

www.formalites.entreprises.gouv.fr

. Les entreprises, quels que soient leur forme juridique (micro-entreprise, entreprise individuelle ou société) et leur domaine d’activité (commercial, artisanal, libéral, agricole) devront donc obligatoirement l’utiliser pour l’ensemble de leurs formalités de création (immatriculation), de modification (changements tenant à l’établissement ou aux dirigeants), de cessation d’activité ainsi que pour déposer leurs comptes annuels.


À noter : ce guichet unique remplacera les 6 réseaux de centres de formalités des entreprises (CFE) qui existent actuellement et qui sont gérés respectivement par les chambres de commerce et d’industrie, les chambres de métiers et de l’artisanat, les chambres d’agriculture, les greffes, la DGFiP et l’Urssaf.

En pratique, au moment de réaliser votre première formalité sur le guichet unique, vous devrez créer un compte pour vous identifier et accéder à l’environnement sécurisé de dépôt. Puis, en fonction du type de formalité considéré, le guichet unique vous proposera un formulaire en ligne adapté et vous indiquera les informations et pièces justificatives à fournir.


Précision : dans son

communiqué de presse du 16 novembre 2022

, le ministre de l’Économie et des Finances indique que les déclarants pourront bénéficier d’une assistance gratuite pour les aider à accomplir leurs formalités, tant sur les aspects techniques d’utilisation du site internet que sur les aspects réglementaires. Cette assistance sera accessible par téléphone (01 56 65 89 98), en présentiel (possibilité de prendre rendez-vous avec le réseau consulaire compétent) ou en ligne.

Parallèlement à la mise en place du guichet unique, un

registre unique des entreprises

verra le jour au 1er janvier 2023 ; registre qui centralisera l’ensemble des informations concernant les entreprises et qui se substituera au registre national du commerce et des sociétés (RNCS), au répertoire des métiers et au registre des actifs agricoles.


Arrêté du 21 octobre 2022, JO du 4 novembre

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L’appel à projet SISTA EntrepreneurEs

Les candidatures pour la promotion 2023 de SISTA EntrepreneurEs viennent d’ouvrir. Organisé par le collectif SISTA et #ConnectHers by BNP Paribas, ce programme permet aux lauréates de la Tech de bénéficier de 6 mois d’accompagnement à la levée de fonds.

Les femmes sont sous-représentées dans la tech et dans les levées de fonds des start-up. Aussi, c’est pour les aider dans leur parcours que le programme SISTA EntrepreneurEs a vu le jour. Les lauréates ainsi sélectionnées vont pouvoir bénéficier d’un accompagnement sur-mesure impulsé par SISTA et financé par BNP Paribas afin de les aider à accélérer leur croissance. Une première promotion a déjà permis à 20 entrepreneures de lever plus de 40 M€ ces 12 derniers mois.

Des moments d’échanges et de travail collectif

En rejoignant la prochaine promotion, qui démarre en janvier 2023, les nouvelles recrues participeront à un programme d’une durée de 6 mois d’aide à la levée de fonds, composé notamment :– de 6 modules spécialisés sur la levée de fonds ;– de rencontres avec des fondateur(trice)s chevronné(e)s ;– de moments d’échanges et de travail collectif avec d’autres femmes fondatrices.

L’appel à projet est ouvert jusqu’au 27 novembre 2022, les candidatures s’effectuant en ligne. Une vidéo de présentation de l’entrepreneure, de ses ambitions et de ses motivations à rejoindre SISTA doit notamment être fournie.

Pour en savoir plus :

https://wearesista.com/appel-a-projet-sista-entrepreneures/

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