Pour s’adapter au contexte sanitaire, le célèbre Salon des Entrepreneurs, renommé Go Entrepreneurs, propose cette année une expérience 100 % digitale. Rendez-vous les 9 et 10 juin sur le site internet du salon.
C’est l’évènement incontournable des créateurs, start-up et dirigeants d’entreprises. Pour sa 28e édition, Go Entrepreneurs n’en finit pas d’innover : cette année, il se tient entièrement en digital, en direct depuis le siège du Groupe Les Echos-Le Parisien. Et il ne perd pas de vue son objectif habituel : permettre aux visiteurs d’accélérer leurs projets grâce à des moments d’échanges exclusifs.
Sont ainsi au programme : des conférences live avec des témoignages inspirants de dirigeants d’entreprise, des business meetings avec des experts pour faire le point sur ses projets et obtenir des bons conseils, du networking pour nouer de nouveaux contacts et échanger sur ses problématiques, des marathons pitch pour suivre des présentations publiques de projets à impact et peut-être s’en inspirer… Et bien sûr, comme tous les ans, de nombreuses personnalités du monde de l’entrepreneuriat, du sport et de la politique partageront leur vision du monde économique.
Au total, ce sont 48 heures de live en immersion dans le monde de l’entrepreneuriat, partagées avec près de 50 000 entrepreneurs. Rendez-vous derrière vos écrans les 9 et 10 juin prochains de 9h à 19h, après inscription gratuite sur le site :
https://event.go-entrepreneurs.com/paris2021
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© Les Echos Publishing 2021
Lancée il y a une douzaine d’années, Meilleurs Agents, le spécialiste de l’évaluation immobilière et de la mise en relation des clients avec des agences, poursuit sa croissance. Sébastien de Lafond s’est associé à Axel Springer, le géant allemand des médias, pour conquérir l’international, à commencer par l’Allemagne, en déclinant et adaptant son modèle français aux marchés étrangers.
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Le 1 janvier 2022, les entreprises possédant plus de 100 véhicules devront compter 10 % de véhicules à faible émission de CO2, puis 50 % en 2030. Pour accompagner les professionnels dans cette transition énergétique, Mobility Tech Green propose une solution d’analyse de la mobilité.
Depuis 2009, Mobility Tech Green développe des outils d’autopartage pour les parcs de véhicules afin de réduire l’empreinte carbone des entreprises et des collectivités tout en rationalisant leurs coûts de mobilité et en automatisant la mise à disposition des véhicules grâce à la digitalisation. « Nous intégrons sur des parcs automobiles existants, notre technologie d’autopartage permettant à notre boîtier de connecter les véhicules de la flotte afin de pouvoir mutualiser leur usage. L’idée est clairement de réduire la taille d’un parc automobile tout en garantissant les mêmes services de déplacement ! », détaille le président, Pascal Roux.
S’il s’agit de faire changer les mentalités et de faire prendre conscience des enjeux écologiques, ce qui peut prendre longtemps pour faire bouger les lignes, les créateurs ont eu la chance de pouvoir s’appuyer sur une prise de conscience politique, comme récemment avec la Loi d’Orientation des Mobilités (LOM). « Nous venons de lancer une technologie embarquée, e-Fleet™, qui facilite le suivi en temps réel des véhicules afin de réaliser un diagnostic efficient pour adapter le parc aux usages tangibles des collaborateurs et à la règlementation. L’idée est de permettre aux entreprises de se mettre en conformité avec la LOM via la collecte de données, l’analyse de l’usage effectif des véhicules, la réalisation d’un diagnostic, avec un score de convertibilité à l’électrique, la mise en place d’un plan de conversion, et la co-construction du plan de mobilité. Notre solution doit permettre de préconiser des solutions de mobilité alternatives et d’intégrer tous les modes de déplacements (autopartage, covoiturage, vélopartage, véhicules attribués ou de fonction, multimodalité etc.) depuis une même plate-forme. »
Aujourd’hui, l’entreprise est passée de précurseur à leader du marché, et continue d’essaimer ce concept partout en Europe « dont l’Angleterre où nous venons d’ouvrir une filiale. D’autres pays d’Europe sont également dans le spectre du développement, Belgique, Suisse, Luxembourg par exemple ».
Fiche de l’entreprise
Un chiffre : en moyenne, un véhicule d’entreprise reste immobile 95 % du temps…
Un conseil : il faut absolument croire en ce que l’on fait. Comme les lanceurs d’alerte qui sont tout seuls au départ, le parcours de l’entrepreneur est constitué des mêmes étapes : croire dur comme fer à son idée et à son concept, tout faire pour le concrétiser et toucher un maximum de monde.
Un contact : Pascal Roux, www.mobilitytechgreen.com/
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Dans la perspective du salon Money 20/20 de septembre 2021 à Amsterdam (Pays-Bas), où plusieurs milliers d’acteurs de la FinTech seront réunis, Business France lance un appel à candidatures afin d’y exposer 11 start-up sous le pavillon France.
Money 20/20 est un évènement dédié à l’industrie du paiement et des services financiers associés, qui se tiendra cette année du 21 au 23 septembre. Investisseurs et médias s’y pressent pour rencontrer plus d’un millier de start-up, venues de plus d’une centaine de pays. Cette année encore, Business France lance un appel à candidatures à destination des start-up du secteur pour représenter la France.
11 jeunes entreprises innovantes françaises seront ainsi sélectionnées sur dossier. Les candidats doivent être des FinTech, à l’origine de solutions bancaires ou destinées au paiement, en BtoB ou BtoC. Elles auront la chance de pouvoir échanger avec d’autres professionnels, de découvrir les dernières solutions, voire de conclure de nouveaux contrats et rencontrer des partenaires ou investisseurs. Elles bénéficieront d’un espace personnalisable, d’une campagne de communication, d’un programme de rendez-vous ciblés avec les acteurs néerlandais, luxembourgeois, britanniques et irlandais, d’une aide à la préparation en ligne et en amont du salon ainsi que d’une sensibilisation à l’environnement des affaires des Pays-Bas plus particulièrement.
Pour postuler jusqu’au 28 mai 2021 :
https://extranet-btob.businessfrance.fr/prg-29205
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Avec les confinements, le télétravail s’est généralisé entraînant un changement profond dans la façon d’envisager les espaces de travail. C’est pour aider les entreprises que Semana.io propose un outil de flex office qui organise la présence des collaborateurs et optimise les espaces.
Avec la crise sanitaire, les anciens modèles ont définitivement volé en éclat. Un changement profond s’est opéré dans la façon d’envisager les espaces de travail, mais aussi de nouveaux défis. Comment savoir qui se trouve où et quand ? Comment s’assurer que les équipes se voient ? C’est pour aider les entreprises que Semana.io propose un outil de flex office qui organise la présence des collaborateurs et optimise l’allocation des espaces à partir d’un ensemble de règles prédéfinies.
« Les entreprises doivent s’habituer à avoir des collaborateurs travaillant dans une multitude de localisations (bureaux, maisons, coworking, transport, hôtels, cdivts, etc). De plus en plus d’espaces de bureaux sont inoccupés, il faut donc rationaliser leur espace de travail et évoluer vers une gestion des bureaux en flex office avec moins de postes de travail par collaborateur », constate Albert Reynaud, cofondateur de Semana.io. Alors qu’avec ses associés, il se focalise sur des sujets liés à la mobilité domicile-travail, il se retrouve confiné et confronté à une transformation en train de s’opérer : « Il est apparu évident qu’un certain nombre de nouveaux défis allaient émerger liés à l’organisation de la présence au bureau. Nous avons alors compris qu’au-delà des enjeux d’organisation des plannings, cette transformation allait aussi mener à une rationalisation de l’utilisation des espaces. » C’est ainsi qu’est né Semana.io, un outil en ligne permettant notamment de planifier sa politique de télétravail (temps passé sur place au sein des équipes ou entre elles, règles de fréquence et de rotation pour les jours de travail à distance…), gérer l’utilisation des bureaux (réduire le taux d’occupation, diminuer leur taille sans dépasser leur capacité, appliquer les gestes barrières…), ou encore gérer le personnel (visibilité pour les RH et les employés grâce à une présence à distance et sur place, vérification où les gens sont assis dans les espaces de travail, attribution de zones à des équipes ou de bureaux à des individus, surveillance des occupations, indicateurs de performance des politiques à distance…).
Si la start-up s’est développée rapidement pour répondre à l’urgence des besoins, et par la même occasion se positionner avant tout le monde sur ce segment de marché, elle garde l’objectif de maintenir cette vélocité dans son développement. « Nous voulons multiplier les fonctionnalités sur notre plate-forme pour répondre à tous les cas d’usage des organisations tout en accélérant notre stratégie de mise sur le marché via notamment des partenariats ».
Fiche de l’entreprise
Un chiffre : 600 000 €, c’est le montant levé par la start-up auprès d’Entrepreneur First, de Business Angels et de la BPI pour accélérer son développement.
Un conseil : le succès d’une start-up réside principalement dans le fait de parvenir à traiter un problème urgent, partagé par de nombreuses personnes, pour qui il représente un coût financier, en temps, ressources, santé, etc., et pour lequel elles seraient prêtes à payer de l’argent pour le résoudre.
Un contact : Albert Reynaud, fr.semana.io/
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Le programme Les Entrep’, réseau national d’entraînement et de découverte à la création d’entreprise gratuit pour les jeunes qui veulent révéler leur potentiel entrepreneurial, remettra ses trophées le 27 mai en direct sur YouTube.
Malgré la crise, les jeunes continuent de s’intéresser à l’entrepreneuriat. La preuve avec les e-Trophées France Les Entrep’ 2021, qui récompensent des projets prometteurs de jeunes âgés de moins de 30 ans ayant bénéficié gratuitement d’un entraînement à la création d’entreprise grâce au programme Les Entrep’.
Ce 27 mai prochain à 17h sur la chaîne YouTube Les Entrep’, 15 équipes régionales vont devoir pitcher le projet qu’ils ont développé lors de leurs 5 mois de parcours. Tous ont déjà remporté le Trophée de leur antenne régionale en mars-avril, après avoir été coachés de novembre à mars par des professionnels de la création d’entreprise et guidés par des chefs d’entreprise en activité devenus leur parrain ou marraine.
Un jury de professionnels remettra le Trophée à l’équipe lauréate. Sachant que le public connecté pourra également voter en direct pour un prix « Coup de Cœur du Public ».
Pour en savoir plus :
www.lesentrep.fr
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Lancée il y a 5 ans, cette activité artisanale, fondée par Cécile Santoni qui dessine et invente ces bijoux, se développe à la fois pour le plaisir des mamans et de leurs bébés. En effet, ces jolis colliers permettent d’occuper Bébé au moment de l’allaitement ou en portage, en toute sécurité : jeu, collier de dentition, motricité… Un concept original en plein développement.
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Le French Tech Green 20 veut faire pousser des champions français de la technologie et de la transition écologique via un accompagnement personnalisé en incubateur. 20 start-up viennent d’être choisies pour la première promotion.
Accélérer le développement en France et à l’international de start-up qui deviendront, à terme, la vitrine de l’innovation responsable française, c’est l’enjeu du French Tech Green 20.
Ce programme leur permettra de bénéficier d’une visibilité renforcée et d’un accompagnement des services de l’État, notamment des financements, un développement international, des recrutements, des formations aux diverses règlementations en vigueur, des aides en achat public ainsi que l’accès à des experts et un accompagnement sur les enjeux de la green tech.
Parmi les 200 candidatures reçues, 20 viennent d’être choisies sur différents critères, notamment leur impact environnemental ou leur capacité à se développer rapidement et à grande échelle, par un jury composé d’experts. Elles sont positionnées sur des secteurs divers et pour moitié situées hors Île-de-France : Algama (microalgues alimentaires), BeFC (électricité à partir de papiers et d’enzymes), DeepKi (accompagnement dans la transition environnementale de parc immobilier), DualSun (panneaux hybrides photovoltaïques thermiques), Entech Smart Energies (intelligence des réseaux électriques), Hello Watt (plate-forme pour maîtriser ses consommations et ses factures d’énergie), Kayrros (analyse de données dans le domaine énergétique), Lactips (polymère sans plastique biosourcé et biodégradable), Lhyfe (hydrogène propre), Greenly (mesure de l’empreinte carbone des particuliers et des entreprises), Matter’up (bétons bas carbone à base d’argile crue), Metron (plate-forme d’intelligence énergétique), NamR (analyse des données du bâti français pour aider à la décision et évaluer les risques), Neoplants (plante modifiée génétiquement pour dégrader les composés organiques volatils nocifs), Ombrea (ombrières protégeant les plantes des aléas climatiques), Poly to Poly (place de marché entre industriels de la plasturgie et du recyclage), Spareka (pièces détachées), Toopi (valorisation de l’urine humaine en produits pour l’agriculture et l’industrie), Urban Canopee (corolles géantes pour ombrager les villes) et Waga Energy (injection dans le réseau de gaz de méthane issu des décharges).
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Le Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie (Crédoc) vient de publier une étude révélant les premiers impacts de la crise du Covid-19 sur l’entrepreneuriat féminin.
Le constat est sans appel : selon une récente étude du Crédoc, la situation financière des indépendantes s’est plus particulièrement dégradée en cette période de crise sanitaire et elles ont plus souvent arrêté leur activité que les hommes. Alors qu’elles ne représentent que 40 % des créateurs d’entreprises, elles avaient déjà plus de difficulté à concilier vie privée/vie professionnelle et à accéder à des rémunérations similaires à leurs homologues masculins ou à une plus large palette de secteurs. La crise a encore fragilisé cet état des lieux. 57 % des entrepreneures déclarent que les revenus de leur foyer ont baissé suite à la crise sanitaire, contre 50 % des hommes à leur compte, et seulement 30 % de la population dans son ensemble. 63 % des indépendantes (qu’elles aient ou non des enfants) déclarent avoir cessé toute activité professionnelle pendant le 1er confinement. Un taux deux fois plus élevé que celui observé en moyenne chez les actifs (33 %) et chez les hommes à leur compte (30 %).
La crise du Covid-19 laisse craindre une dégradation durable de la situation des entrepreneures qui indiquent une baisse de l’attrait pour ce statut de 5 points, notamment pour sa moindre protection. Il est remplacé par le télétravail qui s’est fortement développé ces derniers mois et qui donne le sentiment d’avoir plus de souplesse et de flexibilité au travail.
Pour consulter l’étude :
www.credoc.fr
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Ancien salarié de Publicis, Maxime Baffert a lancé sa plate-forme de mobilier de bureau d’occasion, après avoir constaté que beaucoup d’entreprises lorsqu’elles déménageaient, jetaient leurs mobiliers de bureau, parfois presque neufs. Il s’est donc lancé dans l’aventure de l’économie circulaire en créant une plate-forme de vente de mobilier écoresponsable ou de seconde main, baptisée Bluedigo, qui collecte, nettoie et remet en état avant de revendre ce mobilier, jusqu’à 50 % moins cher que du neuf.
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