Créateurs d’entreprise : et si vous concrétisiez votre projet grâce au Cape ?

Le contrat d’appui au projet d’entreprise (Cape) permet aux porteurs de projets de se faire accompagner par une entreprise ou par une association spécialisée pendant une durée maximale de 3 ans.

Vous avez un projet de création d’entreprise dont vous voulez tester la faisabilité tout en étant accompagné dans vos démarches ? Avec le contrat d’appui au projet d’entreprise (Cape), vous pouvez bénéficier du soutien d’une entreprise ou d’une association spécialisée en la matière, telle qu’une couveuse d’entreprises, par exemple. Explications.

Le Cape, qu’est-ce que c’est ?

Le contrat d’appui au projet d’entreprise n’est pas un contrat de travail, mais un dispositif d’aide dédié aux créateurs et repreneurs d’entreprise. À travers le Cape, la structure spécialisée s’engage à offrir au porteur de projet signataire du contrat un programme de préparation à la création d’entreprise et à la gestion d’une activité économique. Une aide qui, en pratique, peut se traduire par la mise à disposition de moyens techniques, financiers et/ou matériels, mais aussi par des séances de formation et des conseils « sur-mesure », adaptés aux besoins spécifiques des (futurs) entrepreneurs.


À noter : le Cape fait l’objet d’un écrit, signé par le porteur de projet et la structure accompagnatrice. Sa durée maximale est de 12 mois, renouvelable deux fois.

Qui peut bénéficier du Cape ?

Le Cape est accessible aux personnes physiques, porteuses d’un projet de création ou de reprise d’entreprise (à l’exception des salariés à temps plein, qui sont exclus du dispositif), ainsi qu’aux dirigeants associés uniques d’une entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée (EURL) ou d’une société par actions simplifiée unipersonnelle (SASU).

Pourquoi est-ce intéressant ?

Pour le porteur de projet, signer un contrat d’appui au projet d’entreprise peut être intéressant à de nombreux égards. En effet, en plus d’encadrer la prestation d’accompagnement fournie par la structure spécialisée, le Cape permet au (futur) entrepreneur de bénéficier d’un « hébergement » juridique pour « tester » son projet en toute sécurité et amorcer le démarrage opérationnel avant même que l’entreprise soit légalement constituée.


Précision : pendant la durée du contrat d’accompagnement, le porteur de projet peut ainsi vendre ses produits et facturer ses prestations avec le numéro SIRET de la couveuse d’entreprises, sans avoir besoin de s’immatriculer.

Par ailleurs, le Cape permet à l’entrepreneur « couvé » d’être affilié aux assurances sociales du régime général de la Sécurité sociale et d’accéder à la couverture obligatoire au titre des accidents du travail.

Enfin, pendant l’exécution du contrat d’appui au projet d’entreprise, le porteur de projet signataire peut non seulement bénéficier du maintien de ses éventuelles allocations chômage (aide au retour à l’emploi), mais aussi acquérir de nouveaux droits en cas de rémunération pendant le Cape.

Pour en savoir plus sur le contrat d’appui au projet d’entreprise, rendez-vous sur

www.economie.gouv.fr

ou connectez-vous au portail

www.service-public.fr

. Et pour identifier une structure accompagnatrice, consultez le site web du réseau national des couveuses d’entreprises :

www.jetestemonentreprise.com

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Relance économique : l’Adie se mobilise auprès des créateurs d’entreprise

Du 5 au 9 octobre 2020, l’Adie propose une série d’ateliers gratuits ayant pour objectif d’aider les porteurs de projets à créer leur entreprise dans les meilleures conditions, malgré le contexte actuel.

Accompagner le « regain de l’envie d’entreprendre » et permettre aux porteurs de projets de se lancer dans les meilleures conditions, malgré les incertitudes du moment : du lundi 5 au vendredi 9 octobre 2020,

l’Association pour le droit à l’initiative économique (Adie)

proposera une série d’ateliers dédiés à toutes celles et tous ceux qui voudraient sauter le pas et créer leur entreprise.

Des conseils concrets pour un démarrage réussi

Qu’il s’agisse de donner vie à un projet entrepreneurial longuement réfléchi (et peut-être différé et/ou modifié suite au confinement) ou de sortir du chômage tout en valorisant ses compétences, les rendez-vous de l’Adie offriront aux participants l’occasion de bénéficier de nombreux conseils utiles pour réussir le démarrage de leur nouvelle activité.

Choisir le bon statut juridique, construire un business plan solide, définir sa stratégie digitale… Autant d’enjeux, parmi bien d’autres, qui seront abordés lors de ces ateliers. De quoi apporter aux (futurs) entrepreneurs les clés de compréhension nécessaires pour concrétiser au mieux leurs idées !

Les ateliers « création d’entreprise » de l’Adie se tiendront dans toute la France et seront également, pour bon nombre d’entre eux,

accessibles en ligne

. Pour en savoir plus et trouver un atelier organisé près de chez vous, rendez-vous dès à présent sur :

www.adie.org

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Créateurs d’entreprise : les nouveaux guides de l’Urssaf sont disponibles

Téléchargeables au format PDF, deux petits guides édités par l’Urssaf font le point sur de nombreux enjeux liés à la protection sociale des travailleurs indépendants et des professionnels libéraux.

Accompagner les créateurs d’entreprise dans leurs démarches tout en apportant un éclairage détaillé sur les différents enjeux liés à leur protection sociale : c’est l’objectif de deux nouveaux guides publiés cet été par l’Urssaf.

Disponibles gratuitement au format PDF et régulièrement mis à jour, ils rassemblent de nombreuses informations essentielles, sélectionnées par l’organisme collecteur des cotisations et contributions sociales, pour répondre au mieux aux interrogations des (futurs) commerçants, artisans et professionnels libéraux.

Renseignements utiles et conseils ciblés

Démarches administratives, modalités de calcul des cotisations et contributions sociales, aides financières accessibles aux créateurs d’entreprises, assurances volontaires, protection sociale du conjoint… En une trentaine de pages, chaque petit guide propose un condensé de renseignements utiles et adaptés au contexte spécifique du lancement d’une nouvelle activité. Autant de pistes de réflexion et de conseils ciblés pour aider les futurs entrepreneurs à se poser les bonnes questions avant de concrétiser leurs projets !

Pour en savoir plus et consulter

le guide dédié aux travailleurs indépendants

 (artisanat, commerce et activité libérale non règlementée) ou

la publication adaptée aux professions libérales règlementées

, rendez-vous sur le portail web de l’Urssaf.

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Autoentrepreneurs : les immatriculations toujours en accélération

Depuis le doublement du plafond de chiffre d’affaires ouvrant droit au statut d’autoentrepreneur intervenu en janvier 2018, le nombre d’indépendants inscrits sous ce régime n’a cessé de croître.

Les autoentrepreneurs (on parle plutôt aujourd’hui de « micro-entrepreneurs ») se sont installés durablement dans le paysage entrepreneurial français et leur nombre ne cesse de croître : c’est ce qui ressort du dernier rapport statistique diffusé par l’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf. Une évolution que l’organisme explique notamment par le doublement, depuis le 1er janvier 2018, du plafond de chiffre d’affaires ouvrant droit au régime.

Fin décembre 2019, l’organisme collecteur de cotisations sociales dénombrait ainsi 1,71 million d’autoentrepreneurs en France, soit 26,5 % de plus par rapport à l’année précédente.

Plus d’immatriculations et moins de radiations

Dans le détail, pas moins de 576 000 nouvelles immatriculations d’autoentrepreneurs ont été enregistrées sur un an (+24,5 % par rapport à décembre 2018), creusant encore davantage l’écart avec le nombre de radiations effectuées sur la même période (de l’ordre de 218 000, au total). Ces dernières ayant, en effet, affiché une baisse de -23,7 % par rapport à l’année précédente.

Par ailleurs, pas moins de 952 000 autoentrepreneurs (l’équivalent de 55,6 % des bénéficiaires du régime) ont déclaré un chiffre d’affaires positif au 4e trimestre 2019 (+12 % sur un an), dont le montant moyen s’est établi à 4 498 € pour la période concernée : une progression de 9,2 % par rapport à décembre 2018, selon l’Acoss.


Précision : le nombre d’autoentrepreneurs générant un chiffre d’affaires positif a sensiblement progressé dans toutes les régions de France.

Enfin, ce sont les secteurs du transport, des activités immobilières, des autres services personnels et des activités de nettoyage qui, parmi les autoentrepreneurs économiquement actifs, ont affiché les rythmes de croissance les plus soutenus sur la période observée.

Pour en savoir plus et consulter la dernière note de conjoncture de l’Acoss, rendez-vous sur :

www.acoss.fr

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Dossier de création d’entreprise : les entrepreneurs devront s’adresser à l’INPI

Prévue par la loi Pacte, la mise en place d’un nouveau guichet unique, imposant aux créateurs d’entreprise de déposer leur dossier de façon dématérialisée, a récemment été précisée par décret.

À terme, les entrepreneurs devront se tourner vers

l’Institut national de la propriété industrielle (INPI)

pour déposer leur dossier de création d’entreprise, et ce quelle que soit la forme juridique choisie pour l’exercice de leur activité (entreprise individuelle ou société). Une précision qui a récemment été apportée par décret.


Rappel : la mise en place prochaine de ce nouveau « guichet unique » dédié aux créateurs d’entreprise avait été annoncée, en mai 2019, par la loi « Pacte ». Sans néanmoins détailler, à l’époque, l’identité de l’organisme désigné à cet effet.

Comme prévu par la loi Pacte, le dépôt du dossier devra, par ailleurs, prendre une forme dématérialisée et s’effectuer obligatoirement via une nouvelle plate-forme en ligne dédiée à cet effet.


Bon à savoir : à l’instar des formalités liées à la création d’entreprise, les démarches ayant trait à la modification ou à la cessation d’activité devront, à l’avenir, également être accomplies par ce biais.

Certains points restent néanmoins à éclaircir

Malgré les précisions récemment apportées, certains éléments restent toutefois encore en suspens. À ce titre, si les nouvelles obligations liées au dépôt du dossier de création d’entreprise devront prendre effet au plus tard en 2023, aucune date précise n’a, à ce jour, été communiquée.

De même, plusieurs questions relatives à la transmission du dossier par voie électronique (conditions de dépôt, modalités de vérification…) restent encore à éclaircir et devront être détaillées dans un autre décret, à paraître prochainement.


Décret n° 2020-946 du 30 juillet 2020, JO du 1er août

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Les créations d’entreprises ont confirmé leur rebond en juillet

Malgré le contexte économique difficile, les créations d’entreprises ont de nouveau augmenté en juillet 2020 : +9 % par rapport au mois de juin, avec une hausse dans tous les secteurs d’activité.

Pour le troisième mois consécutif, les créations d’entreprises ont démontré leur capacité de rebond. C’est du moins ce qui ressort des dernières informations publiées par l’Insee. 82 086 créations d’entreprises ont ainsi été enregistrées en juillet 2020 en France : +9 % par rapport au mois de juin, tous types d’entreprises confondus.


Rappel : au mois de juin, les créations d’entreprises avaient déjà retrouvé leur niveau d’avant la crise sanitaire.

Une évolution dynamique qui se matérialise dans tous les secteurs d’activité et qui se caractérise, selon l’institut, à la fois par une augmentation sensible du nombre de créations d’entreprises classiques (+13,4 %) et par une hausse plus modérée des immatriculations de micro-entrepreneurs (+4,6 %).

+4,6 % sur les 3 derniers mois

Pour la période mai-juin-juillet, les chiffres témoignent également d’une augmentation du nombre cumulé de créations d’entreprises en France par rapport au même trimestre de l’année dernière : +4,6 %, tous types d’entreprises confondus. L’évolution est toutefois contrastée selon les différents types d’entreprises observés (+10,8 % pour les micro-entrepreneurs et +5,2 % pour les entreprises individuelles classiques, contre -6,2 % pour les entreprises sous forme sociétaire).

+2,9 % sur les 12 derniers mois

La tendance est similaire sur les 12 derniers mois, avec une légère hausse enregistrée sur la période concernée (+2,9 % par rapport aux 12 mois précédents). Dans le détail, l’Insee fait notamment état d’une augmentation des créations d’entreprises individuelles classiques (+7,6 %) et d’une hausse des immatriculations de micro-entrepreneurs (+4,4 %), qui se voient toutefois atténuées par une baisse du côté des créations de sociétés (-4 %).

Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur :

www.insee.fr

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Green_e : des accessoires pour smartphones à partir de matériaux recyclés et recyclables

Protéger la planète en offrant la meilleure éco-conception sans que cela soit une contrainte pour le consommateur, c’est la philosophie de la jeune start-up Green_e. Elle propose des accessoires de charge pour smartphones iOS et Android, non seulement performants et abordables, mais aussi 100 % intégrés dans l’économie circulaire.

L’achat d’accessoires Green_e représente zéro déchet du packaging à la fabrication : « Cela implique d’éco-concevoir nos produits, emballages et d’offrir un service de recyclage aux consommateurs (un kit pour renvoyer gratuitement son ancien câble est inclus dans l’emballage), explique Guillaume Bensi, fondateur de Green_e. Fabriqués en Asie qui dispose du seul savoir-faire, nos accessoires limitent leur empreinte carbone au minimum sans sacrifier la performance et la qualité. Green_e est ainsi la seule à afficher une efficience de charge level VI selon la directive européenne ErP (Energy-Related Products). En clair, les chargeurs ne continuent pas à consommer d’électricité en restant branchés à une prise électrique et ils délivrent la meilleure charge avec la consommation électrique la plus faible ».

L’idée est née après la COP21 en 2015, où il y a eu une vraie prise de conscience de la responsabilité des produits dits « de commodités » : « Quelques mois plus tard, lors d’un barbecue, quelqu’un lance un tour de table « et toi que fais-tu pour la planète ? ». Pour moi, cela a été le déclic et nous avons immédiatement commencé à réinventer nos processus pour offrir une consommation éco-responsable sans que cela soit punitif pour le consommateur. Nous avons d’abord dû revisiter entièrement notre métier : sourcing, création, développement, certifications. Processus long avec le défi d’une fabrication en Asie. Aujourd’hui, nous sommes la seule marque d’accessoires de charge à bénéficier de la certification européenne “éco-design” ».

À court terme, l’entreprise veut dupliquer son concept autour d’une gamme audio et de câbles pour l’IT, de sacoches en rPET (polytéréphtalate d’éthylène recyclé – fabriqué à partir de bouteilles et de récipents en plastique). « À plus long terme, nous souhaitons développer une filière de recyclage des produits électroniques grand public afin de garantir le cycle complet de l’économie circulaire, valeur fondatrice de la marque ! »

Fiche de l’entreprise

Un chiffre : Green_e affiche une croissance multipliée par 5 en 2020
Un conseil : il faut de la détermination. Croire en une idée est une chose, s’accrocher pour la développer demande une entière détermination.
Un contact : Guillaume Bensi,

green-e.fr

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Wivy, une application pour animer les Ehpad

Permettre aux personnes âgées de « bien vieillir » dans un cadre alliant bienveillance et épanouissement est l’un des objectifs poursuivis par les résidences adaptées aux personnes âgées (Ehpad). Pour les y aider, Loïc Fruleux a créé Wivy, une application d’animation à destination des personnes intervenant auprès des personnes âgées.

L’animation au sein d’un Ehpad est un divertissement bénéfique pour les résidents. C’est non seulement un moment agréable et partagé, mais qui renforce aussi l’image de soi, favorise l’épanouissement personnel, encourage l’expression et la communication, crée du div social. Or jusqu’à présent, chaque animateur travaillait dans son coin pour préparer ses activités. « Mon cousin et associé Thomas est animateur en gérontologie, raconte Loïc. Il passait un temps fou à créer des animations sur son temps personnel. Il ne pouvait pas copier des quizz d’internet puisque son rôle est de créer du div avec les résidents et donc de s’adapter à eux, à leurs connaissances, à leurs pathologies. De plus, Thomas utilisait son animation 1 heure, puis tout son travail restait sur son disque dur au lieu d’être partagé avec d’autres animateurs. L’idée de Wivy est née de cela ».

Concrètement, Wivy est une application manipulée par l’animatrice/animateur et diffusée sur grand écran aux résidents pour des séances d’animations collectives. Chaque semaine, de nouvelles animations culturelles et musicales sont proposées en div avec l’actualité. « L’idée, c’est de ne jamais perdre le fil avec ce qu’il se passe à l’extérieur de la résidence. C’est aussi de pouvoir se cultiver, apprendre et créer des moments d’échanges ».

Deux années ont été nécessaires pour développer le concept de l’application, avec l’aide d’une trentaine d’établissements partenaires très variés. « La principale difficulté que nous avons rencontrée a été la stabilisation du modèle économique. Il a fallu trouver un équilibre pour proposer un service accessible tout en restant très exigeant sur la qualité des contenus proposés ».

Aujourd’hui, l’application Wivy équipe 500 résidences cdivts. À terme, elle souhaite devenir la marque repère qualité pour les 10 500 résidences adaptées aux personnes âgées de France (Ehpad, résidences autonomie, résidences services). Et travaille également à de nouveaux projets pour accompagner ses cdivts à l’international.

Fiche de l’entreprise

Un chiffre : en France, 728 000 personnes fréquentent un établissement d’hébergement pour personnes âgées ou y vivent.
Un conseil : il faut écouter ses cdivts et plus particulièrement les utilisateurs finaux. Ce sont eux qui ont les solutions.
Un contact : Loïc Fruleux,

www.wivy.fr

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Salon SME Paris 2020 : une 22 édition qui s’annonce hybride

La prochaine édition du Salon SME se tiendra les lundi 12 et mardi 13 octobre 2020, à la fois au Palais des Congrès de Paris et sur internet. Un nouveau format qui allie présentiel et digital.

L’édition 2020 du Salon SME, dédiée aux créateurs d’entreprise, fondateurs de start-up et dirigeants de TPE, aura lieu les lundi 12 et mardi 13 octobre prochains. Deux jours de rencontres, de conseils et de networking : si la promesse est restée la même, le format, quant à lui, sera amené à changer. Et pour cause, puisque cette 22e édition du salon s’annonce d’ores et déjà… hybride.

De nombreuses conférences et plusieurs parcours thématiques

En pratique, c’est donc à la fois au Palais des Congrès de Paris et sur internet que le Salon SME ouvrira ses portes pour cette nouvelle édition. Comme chaque année, de nombreuses conférences et plusieurs parcours thématiques inviteront les participants à faire le plein d’informations pour concrétiser leurs projets entrepreneuriaux, dynamiser leur activité et développer leurs réseaux professionnels. L’occasion, également, d’échanger avec des experts issus de l’écosystème entrepreneurial, pouvant conseiller les (futurs) entrepreneurs dans leurs démarches.


Bon à savoir : en attendant l’édition 2020 du Salon SME, il est désormais possible de (ré)écouter de nombreuses conférences issues de l’édition 2019. Pour accéder aux podcasts audios, il suffit de

sélectionner la (ou les) conférence(s) de votre choix, proposées dans la rubrique dédiée

.

Malgré les nouveautés de cette année, la participation au Salon SME restera entièrement gratuite. Pour recevoir un badge d’invitation, il suffit de s’inscrire

via le formulaire en ligne, prévu à cet effet

.

Pour en savoir plus sur cette 22e édition de l’évènement, rendez-vous sur :

www.salonsme.com

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Porteurs de projets : préparez la rentrée avec les webinaires Bpifrance Création !

Toute l’année, Bpifrance propose sur son site web des conférences gratuites sur des thématiques entrepreneuriales. Les premiers rendez-vous pour la rentrée ont, d’ores et déjà, été annoncés.

Des conseils d’experts et des séquences questions-réponses sur les aspects juridiques, administratifs et financiers d’un projet de création ou de reprise d’entreprise : c’est la promesse des webinaires Bpifrance Création. Entièrement gratuits et accessibles via le site web de la banque publique d’investissement, ces rendez-vous numériques sont organisés tout au long de l’année et ouverts à toute personne intéressée par les thématiques proposées.

De nouvelles dates à venir et des sessions à visionner en replay

D’ores et déjà annoncées sur le portail en ligne, les premières conférences prévues pour la rentrée se tiendront respectivement les jeudis 15 octobre (Comment financer mon projet de création d’entreprise ?) et 19 novembre prochains (Quels sont les leviers pour développer mon entreprise ?). D’autres dates devraient être communiquées dans les semaines à venir.


Bon à savoir : pour chaque rendez-vous, les inscriptions pourront se faire directement en ligne et débuteront deux semaines avant le webinaire concerné.

Mais la période estivale actuelle peut également être l’occasion, pour les porteurs de projets en quête d’informations, de revenir sur des conférences déjà passées. Une attente que les organisateurs des webinaires Bpifrance n’ont pas manqué d’anticiper ! À ce titre, plusieurs sessions du premier semestre 2020 sont ainsi proposées sous forme de replay et

peuvent être consultées à tout moment, via la page dédiée

.

Pour en savoir plus et visionner les conférences diffusées par Bpifrance Création, rendez-vous sur :

www.bpifrance-creation.fr

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