Un nouveau portail numérique pour les entrepreneurs de la région Sud

La région Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur a récemment lancé un nouvel espace en ligne. Son objectif ? Simplifier les démarches des entrepreneurs, créateurs d’entreprise et porteurs de projets.

Informer, simplifier et accompagner : récemment lancée par la région Sud Provence-Alpes-Côte-d’Azur, la nouvelle plateforme numérique « Entreprises, le portail » vise à guider les entrepreneurs, créateurs d’entreprise et porteurs de projets à travers les différents stades de développement de leur activité.

Informations, conseils et contacts

En pratique, le nouvel espace en ligne s’organise autour de cinq rubriques thématiques, correspondant à des enjeux clés dans la vie d’une entreprise, et ce quel que soit son secteur d’activité :

  •  Création, reprise, cession, développement ;

  •  Financer mes projets ;

  •  Recruter, former, trouver des compétences ;

  •  Me développer à l’international ;

  •  Réussir la transition numérique de mon entreprise.

    En plus de fournir de nombreuses informations utiles, chaque rubrique offre un large éventail d’outils pouvant aider les internautes à concrétiser leurs projets, tels que des guides, des formulaires administratifs, des documents type ou encore des fiches pratiques. Sans compter que le nouveau portail numérique tend à aiguiller les entrepreneurs – qu’ils soient déjà installés ou encore en phase de démarrage – vers les différents organismes locaux pouvant les accompagner dans leurs démarches.

    Pour en savoir plus et consulter les différentes ressources proposées en ligne, rendez-vous sur : entreprises.maregionsud.fr

    © Les Echos Publishing 2018

    Créations d’entreprises : nouveau repli en juillet 2018

    L’été se poursuit, mais les créations d’entreprises marquent le pas. Selon l’Insee, leur nombre a de nouveau diminué en juillet 2018 : – 3,3 %, selon les derniers chiffres publiés.

    D’après les derniers chiffres publiés, 56 577 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de juillet 2018 : – 3,3 % par rapport au mois de juin, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, cette évolution s’explique non seulement par un repli des créations d’entreprises classiques (- 3,9 %), mais aussi par une baisse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (- 2,5 %).

    + 20,3 % sur mai-juin-juillet

    En revanche, au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période mai-juin-juillet, les chiffres témoignent d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 20,3 %, tous types d’entreprises confondus (dont + 31,3 % pour les micro-entrepreneurs, + 29,2 % pour les entreprises individuelles classiques et + 1,7 % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire). Une fois de plus, c’est le secteur « Transport et entreposage » qui contribue le plus à cette hausse globale.

    Sans compter que le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des douze derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 16,3 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux douze mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+ 25,2 %), des créations d’entreprises individuelles classiques (+ 21,2 %) et des créations de sociétés (+ 2,2 %).

    Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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    Stanislas Signoud, co-fondateur des Croissants

    Start-up parisienne lancée en début d’année, Les Croissants propose une matinale radio intelligente, accessible sur abonnement. Tous les matins, l’application mobile propose ainsi une émission d’une vingtaine de minutes, conçue sur-mesure par un algorithme qui se charge d’assembler des brèves en fonction des centres d’intérêts de l’utilisateur. Et ce, sans coupure de publicité !

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    La DGFiP lance un MOOC dédié aux futurs micro-entrepreneurs

    Accessible via la plateforme fun-mooc.fr, une nouvelle formation en ligne proposée par la Direction Générale des Finances Publiques vise à accompagner les porteurs de projets dans leurs démarches.

    Aider les futurs micro-entrepreneurs à développer leur projet en apportant des réponses concrètes à leurs interrogations : proposé par la Direction Générale des Finances Publiques (DGFiP), le nouveau MOOC « Créateur d’une micro-entreprise » offre un éclairage particulier sur les droits et obligations relatives à ce type de structure entrepreneuriale.

    Un format synthétique et accessible à tous

    Animée par des experts, la formation se déroulera sur une durée de trois semaines, démarrant le lundi 17 septembre 2018, et sera divisée en trois séquences synthétiques.

    Dans le détail, la première séance permettra aux futurs entrepreneurs d’obtenir des conseils précieux sur des enjeux clés comme la protection de leur patrimoine privé ou encore les différentes aides financières auxquelles ils peuvent prétendre. La deuxième séance abordera, quant à elle, des questions essentielles liées aux impôts et aux cotisations sociales, afin de permettre aux porteurs de projets « d’évaluer le potentiel de leur entreprise en connaissance de cause ». Enfin, la troisième séance sera dédiée à la gestion des déclarations fiscales et sociales, mettant notamment l’accent sur les différentes échéances annuelles et mensuelles qu’il convient de respecter.

    Accessible via la plateforme en ligne fun-mooc.fr, la nouvelle formation de la DGFiP est ouverte à toutes les personnes intéressées par la création d’une micro-entreprise et nécessite aucun prérequis. Chaque séance est constituée d’une vidéo explicative, illustrée grâce à des schémas, ainsi que d’un quiz de compréhension, permettant aux participants d’obtenir une attestation de succès.

    Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.economie.gouv.fr

    © Les Echos Publishing 2018

    20 édition du Salon SME : 2 jours pour accélérer vos projets !

    L’édition 2018 du Salon SME se tiendra les 1 et 2 octobre prochains au Palais des Congrès de Paris. Comme chaque année, elle offrira aux participants un programme riche et diversifié.

    Concrétiser son projet de création d’entreprise, faire le point sur le développement de son activité, obtenir des solutions personnalisées pour booster ses affaires : l’édition 2018 du Salon SME, dédiée aux créateurs, fondateurs de start-up et dirigeants de TPE, aura lieu les lundi 1er et mardi 2 octobre au Palais des Congrès de Paris. Au programme : 2 jours de rencontres, de conseils et de networking !

    Une 20e édition sous le signe du partage d’expérience

    150 conférences en accès libre (l’équivalent de plus de 100 heures de formations gratuites), plus de 500 intervenants et experts de l’entrepreneuriat, 150 exposants issus de nombreux secteurs d’activité, 7 parcours thématiques (accompagnement à la création, financement, développement commercial & réseaux, communication & solutions digitales et pilotage d’entreprise), plusieurs évènements de « speed meeting », une dizaine de sessions d’entraînement collectif sous forme de Master Class… Autant d’occasions, pour les participants, de s’informer pour faire aboutir leurs projets entrepreneuriaux, de dynamiser leur activité et de développer leurs réseaux professionnels.

    Comme tous les ans, la participation à l’évènement est entièrement gratuite. Pour recevoir un badge d’invitation, il suffit de s’inscrire via le formulaire en ligne, dédié à cet effet.

    Pour en savoir plus sur cette 20e édition du Salon SME, rendez-vous dès à présent sur : www.salonsme.com

    © Les Echos Publishing 2017

    Élodie Loisel, présidente et co-fondatrice de Ludocare

    Ludocare, start-up lyonnaise fondée en 2017 par Élodie Loisel et Thierry Basset, crée et développe le robot-compagnon JOE. Sa mission ? Aider les enfants asthmatiques à devenir autonomes dans la prise de leur traitement. Connecté et ludique, JOE accompagne les jeunes patients, les motive en déclenchant des récompenses et rassure les parents en leur envoyant des notifications.

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    © Les Echos Publishing 2017

    Créatrices d’Avenir : les candidatures pour l’édition 2018 sont ouvertes !

    Lancé en 2011 par le réseau associatif Initiative Île-de-France, le concours Créatrices d’Avenir a pour objectif de valoriser des projets innovants, développés par des femmes entrepreneures.

    Sensibiliser les femmes à la création d’entreprise, les accompagner dans leurs projets, leur faire prendre la parole dans les médias et promouvoir la diversité entrepreneuriale : organisé par le réseau associatif Initiative Île-de-France, le concours Créatrices d’Avenir tend à valoriser des projets audacieux, innovants et solidaires en leur apportant un soutien à la fois financier et opérationnel.

    Une dotation globale de 60 000 €

    Lancé pour la première fois en 2011, le dispositif s’adresse à toute femme ayant créé ou repris une entreprise (ou une association) située en Île-de-France et dont au moins 50 % des parts (ou des voix, s’il s’agit d’une association) sont détenues par une ou plusieurs femmes. Par ailleurs, pour cette édition 2018 du concours, les statuts doivent avoir été déposés avant le 30 septembre 2018 (dans le cas d’une entreprise individuelle, la demande d’immatriculation doit avoir été faite avant cette même date).

    Selon les organisateurs, la dotation globale s’élève cette année à 60 000 €, dont 30 000 € en numéraire et 30 000 € en prestations d’accompagnement délivrées par les différents partenaires du concours, tels que la CCI Paris Île-de-France, l’Institut du Mentorat Entrepreneurial, Air France ou encore le réseau entrepreneurial ME93.

    Les candidatures pour cette nouvelle édition du concours Créatrices d’Avenir sont ouvertes jusqu’au 30 septembre 2018. 80 nominées seront sélectionnées le 22 octobre, parmi lesquelles le jury désignera ensuite 15 finalistes, avant de choisir les lauréates de cette année le 22 novembre prochain. La cérémonie de remise des trophées aura lieu, quant à elle, au cours du mois de décembre.

    Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.creatricesdavenir.com

    © Les Echos Publishing 2017

    Créateurs d’entreprise : l’Insee distingue 7 profils-types différents

    Dans une récente publication, l’Insee analyse les typologies d’entrepreneurs ayant lancé leur activité en 2014. Selon l’institut, pas moins de 7 profils-types différents peuvent ainsi être distingués.

    Qui sont les créateurs d’entreprise français ? Quels sont les points communs que l’on peut distinguer au niveau de leurs profils et de leurs situations respectives ? Quelles sont les motivations qui les poussent à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale ? Une récente publication Insee Première, intitulée « Les créateurs d’entreprises : la frontière entre salariat et entrepreneuriat s’atténue », tend à y apporter des éléments de réponse.

    4 grandes catégories, 7 profils-types

    Au vu de la population globale des créateurs d’entreprise ayant lancé leur activité en 2014, l’institut distingue pas moins de 7 profils-types aux caractéristiques différentes, pouvant néanmoins être regroupés en 4 grandes catégories :

  •  les jeunes diplômés qui entrent sur le marché du travail ;

  •  les entrepreneurs en quête d’une activité de complément ;

  •  les entrepreneurs voulant créer leur propre emploi ;

  •  les créateurs plus expérimentés.

    Représentant 8 % des créateurs d’entreprise, certains jeunes diplômés (dont plus de la moitié dispose d’une formation de niveau bac+3 ou plus) font leur entrée sur le marché du travail en lançant leur propre activité, et ce majoritairement sous le régime de l’auto-entrepreneuriat (54 %). Dans les faits, la création d’entreprise représente, pour eux, une alternative au salariat.

    Les créateurs appartenant à la deuxième catégorie – la recherche d’une activité et d’un revenu de complément – se divisent, quant à eux, en plusieurs typologies : les salariés en activité de complément (19 % des créateurs), les retraités (4 %) et les créatrices de l’enseignement et de la santé (8 %), profil particulièrement féminisé. Une fois de plus, c’est le régime de l’auto-entrepreneuriat qui s’avère fortement plébiscité et pour cause, puisqu’il permet de lancer facilement une activité d’appoint dans un cadre légal simplifié.

    La catégorie des entrepreneurs voulant créer leur propre emploi accueille, quant à elle, à la fois les chômeurs (27 %) et les créateurs éloignés de l’emploi (13 %). Contrairement aux 2 catégories précédentes, ces profils préfèrent opter pour une entreprise classique (33 % sous forme sociétaire et 28 % sous forme d’entreprise individuelle). Par ailleurs, 37 % d’entre eux ont bénéficié de l’appui d’une structure dédiée et/ou d’une formation adaptée (40 %) pour concrétiser leur projet.

    Enfin, la 4e catégorie identifiée par l’Insee est celle des entrepreneurs chevronnés (21 %), disposant déjà d’une expérience dans le domaine de la création ou de la direction d’entreprise (anciens travailleurs indépendants ou chefs d’entreprise). Assez peu accompagnés dans leurs démarches, ils se lancent, quant à eux, avec des moyens souvent plus importants, créent majoritairement des sociétés (78 %), et semblent associés à de plus fortes perspectives de croissance et d’emploi (25 % d’entre eux comptent embaucher à l’avenir : 3 fois plus que les autres profils).

    Pour en savoir plus et consulter des chiffres complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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    Nouvelle-Aquitaine : un nouveau cluster pour accompagner l’innovation

    Futur centre de recherche public-privé, le « Cluster ruralité » sera mis en place d’ici fin 2018. Pour la région Nouvelle-Aquitaine, il s’agit de favoriser l’émergence de projets expérimentaux innovants.

    Générer des projets expérimentaux et accompagner les porteurs de projets sur les territoires ruraux : à travers la mise en place prochaine d’un nouveau centre de recherche et développement, baptisé « Cluster ruralité », la région Nouvelle-Aquitaine souhaite réaffirmer et consolider son engagement aux côtés de l’écosystème innovant local.

    Susciter une nouvelle dynamique de coopérations

    Fruit d’un partenariat public-privé (associant notamment la région, les départements ainsi que des entreprises privées), le futur cluster sera, en effet, chargé de mener plusieurs missions de front : en plus du soutien apporté aux porteurs de projets travaillant sur des thématiques phares telles que l’accès aux services publics, la mobilité ou encore la santé, il aura ainsi pour mission de formaliser un état des lieux de la ruralité en Nouvelle-Aquitaine et ailleurs.

    Identifier à la fois le potentiel d’innovation et les faiblesses socio-économiques des espaces ruraux, développer les capacités de mise en réseau des différents acteurs des territoires, fournir un cadre de réflexion et d’action permettant aux partenaires de mener des investissements stratégiques en faveur de la cohésion sociale et territoriale… Selon la région Nouvelle-Aquitaine, le nouveau dispositif – qui devrait voir le jour d’ici fin 2018 – devrait ainsi permettre d’insuffler une nouvelle dynamique de coopérations et de connexions au sein des territoires ruraux.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.nouvelle-aquitaine.fr

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    CleanCup, pour gérer les gobelets dans les campus, entreprises et collectivités

    Supprimer les gobelets jetables ? C’est non seulement écologique, mais du point de vue utilisateur, c’est aussi plus agréable de prendre un verre réutilisable : fini la vaisselle sale qui traîne, les poubelles qui débordent, les doigts brûlés par les boissons chaudes… C’est l’idée développée par Eléonore Blondeau, avec son concept CleanCup.

    CleanCup est une solution clé en main qui propose des verres réutilisables pour les lieux accueillant plus de 100 personnes comme des campus, des entreprises, ou encore des collectivités. La machine développée par l’entreprise, distribue, collecte et nettoie automatiquement sur place des verres réutilisables. L’utilisateur paie 1 € de caution, récupère un verre propre, peut boire de l’eau à la machine ou l’utiliser comme un mug à la machine à café. Quand il n’en a plus besoin, il le remet dans la machine et récupère sa caution. En complément, plusieurs services sont proposés, notamment une maintenance personnalisée (la machine est connectée), mais aussi des animations pour sensibiliser les collaborateurs à la RSE ou à l’économie circulaire.

    L’idée est venue à Éléonore Blondeau, étudiante à l’EM Lyon Business School, en 2015 : « j’ai constaté à la cafétéria de l’école, qu’une grande quantité de gobelets plastiques étaient jetés chaque jour par les étudiants, qui n’hésitaient pas à en prendre un nouveau chaque fois qu’ils voulaient se désaltérer ! »

    Fin 2015, elle décide donc de travailler sur un concept pour supprimer l’utilisation des gobelets jetables : « À l’époque, pour développer ce type de machine, il n’y avait aucune aide ni de lieu spécifique pour accompagner les start-up de type industriel. Il a fallu aller à la rencontre d’industriels via mon réseau… »

    Créée en 2016, l’entreprise est depuis en pleine progression : « cette année, ce sont nos premières grosses installations, par exemple à la SNCF. Notre carnet de commandes est fourni, et notre plus gros challenge va donc être de réussir à s’organiser et d’avoir les capacités de production pour répondre à la demande ! »

    Fiche de l’entreprise

    Un conseil : il faut être préparé les 2 premières années à y passer ses jours et ses week-ends, et pour que cela marche mieux, il faut donc un projet qui vous passionne !
    Un chiffre : 50 milliards, c’est le nombre de gobelets jetables utilisés chaque année en Europe et que nous voulons éliminer !
    Un contact :

    www.clean-cup.com

    , contact@clean-cup.com

    © Les Echos Publishing 2017