Les pré-inscriptions pour le Prix de l’Entrepreneur 2018 sont ouvertes !

Organisée par la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise (GPS&O), l’édition 2018 du Prix de l’Entrepreneur s’adresse aux porteurs de projets souhaitant développer un projet innovant.

Pour la deuxième année de suite, la communauté urbaine Grand Paris Seine & Oise (GPS&O) propose un concours spécialement dédié aux porteurs de projets innovants (qu’ils soient étudiants, futurs créateurs d’entreprise ou dirigeants d’une activité déjà installée), baptisé « Le Prix de l’Entrepreneur ».

Des lauréats dans 5 catégories distinctes

En pratique, le concours est ouvert à tous les porteurs de projets et acteurs économiques, âgés d’au moins 18 ans et résidant sur le territoire de la communauté urbaine. Selon les organisateurs, la participation à ce prix annuel doit permettre aux (futurs) entrepreneurs de valoriser leur projet et de gagner en notoriété pour favoriser le développement de leur activité.

Cette année encore, des lauréats seront récompensés dans 5 catégories distinctes : Prix de l’Entrepreneur de l’année, Prix de l’Innovation, Prix du Créateur, Prix de l’Étudiant et Prix Spécial du Jury. Cette dernière catégorie récompensant, en effet, un projet ayant tout particulièrement retenu l’attention des membres du jury officiel, composé d’élus et de représentants de l’écosystème entrepreneurial local.

Les pré-inscriptions pour cette 2e édition du Prix de l’Entrepreneur sont désormais ouvertes, la date limite de dépôt de candidatures ayant été fixée au 15 décembre 2018.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.gpseo.fr

© Les Echos Publishing 2017

Dr. Laurent Schmoll, co-fondateur de TokTokDoc

Jeune start-up strasbourgeoise fondée en septembre 2017, TokTokDoc propose d’optimiser la prise en charge médicale des résidents d’EHPAD grâce à sa plate-forme de télémédecine. Quelques mois seulement après son lancement officiel, elle est déjà opérationnelle dans plus de 40 établissements. Le Dr. Laurent Schmoll, co-fondateur de TokTokDoc, nous en dit plus.

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Créations d’entreprises : léger repli en juin 2018

Après un mois de mai très dynamique, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en juin 2018 : -0,6 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 58 995 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois de juin 2018 : -0,6 % par rapport au mois de mai, tous types d’entreprises confondus. Selon l’Insee, ce recul s’explique essentiellement par un repli des créations d’entreprises classiques (-1,3 %), qui n’est que partiellement compensé par une légère hausse du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (+0,3 %).

+21,2 % sur les 3 derniers mois

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période avril-mai-juin, les chiffres témoignent, en revanche, d’une tendance nettement plus dynamique : par rapport au même trimestre de l’année dernière, le nombre de créations brutes a ainsi progressé de 21,2 %, tous types d’entreprises confondus (dont +34,3 % pour les micro-entrepreneurs, +29,9 % pour les entreprises individuelles classiques et +0,6  % pour les créations d’entreprises sous forme sociétaire). Une fois de plus, c’est le secteur « Transport et entreposage » qui contribue le plus à cette hausse globale.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue, lui aussi, de s’accélérer fortement. L’Insee constate ainsi une augmentation de 15,6 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique à la fois par une hausse importante des immatriculations de micro-entrepreneurs (+24,8 %), des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+19,3 %) et des créations de sociétés (+2,4 %).

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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Kevin Bleniat, directeur général de Airnodes

Créée en mai 2016, la start-up Airnodes développe des solutions associant objets connectés et services à destination des entreprises. Parmi ses derniers projets : le miroir connecté « Anna », écran d’informations intelligent et entièrement configurable, qui s’adresse aussi bien aux artisans-commerçants qu’aux hôteliers et restaurateurs.

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Baromètre de l’artisanat : focus sur la création d’entreprise !

Publié par l’Institut supérieur des métiers (ISM), le Baromètre de l’artisanat met en avant les grandes tendances du secteur. Sa dernière édition se focalise notamment sur la création d’entreprise.

En 2017, un entrepreneur français sur 4 a créé son entreprise dans l’artisanat : selon la dernière édition du Baromètre de l’artisanat, récemment publié par l’Institut supérieur des métiers (ISM) avec le soutien de la Maaf, la dynamique entrepreneuriale se révèle stable pour la 3e année consécutive (+1 % par rapport à 2016). Pas moins de 155 200 entreprises artisanales ont ainsi vu le jour en 2017, le secteur le plus attractif étant de nouveau celui des activités de services, avec un nombre d’installations en hausse de 4 %.

Quelles sont les activités les plus plébiscitées ?

Avec 11 360 nouvelles créations (+13 % par rapport à 2016), c’est l’activité de taxi/voiture de transport avec chauffeur (VTC) qui s’impose en tant que première activité artisanale d’installation en 2017 ; un phénomène toutefois très concentré sur la région parisienne. En outre, si les créations progressent dans le domaine du nettoyage des bâtiments (9 510 créations, +12 % par rapport à 2016), les activités du BTP – accueillant traditionnellement un grand nombre de créateurs – affichent, quant à elles, une légère baisse d’attractivité (-2 % en 2017).

En observant l’évolution du tissu artisanal dans son ensemble, l’ISM constate, par ailleurs, une adaptation permanente aux tendances du marché. Les entrepreneurs artisans sont, en effet, nombreux à avoir investi les marchés en croissance, tels que l’économie verte, l’alimentation locale, les services sur-mesure, le bien-être, mais aussi les services aux entreprises et le numérique. Une mutation importante, expliquant également la récente résurgence de certains métiers de niche (comme, par exemple, la fabrication de bière artisanale).

Le régime micro-entrepreneur a moins la cote

Au-delà des secteurs privilégiés, les formes d’installation choisies par les créateurs témoignent également d’une évolution importante au fil des années. Si, en 2017, 2/3 d’entre eux ont fait le choix de lancer leur activité sous forme d’entreprise individuelle (l’équivalent de 98 590 créations), le nombre de micro-entrepreneurs a, quant à lui, baissé pour la 3e année consécutive. Ne représentant plus que 40 % des entreprises individuelles créées en 2017, il atteint ainsi le niveau le plus bas depuis la mise en place du régime en 2009.

Pour en savoir plus et consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : ism.infometiers.org

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BGE fait le point sur l’accompagnement des entrepreneurs en 2017

Le réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE a récemment dressé le bilan de son activité auprès des entrepreneurs et porteurs de projets au cours de l’année 2017.

L’entrepreneuriat, un outil au service de la réussite collective. Récemment publié, le bilan 2017 du réseau associatif national d’aide à la création d’entreprise BGE met en lumière les différentes facettes de son action menée auprès des entrepreneurs et porteurs de projets.

Susciter l’envie, former et accompagner

En effet, si le réseau associatif se définit lui-même en tant qu’« École de l’entrepreneuriat », ce n’est pas dû au hasard. Fort de ses 550 implantations, réparties sur l’ensemble du territoire français, et de ses nombreuses actions complémentaires (telles que les tournées régionales du Bus de la Création d’entreprise), BGE a ainsi pu accueillir près de 90 000 personnes en 2017.

Une année riche en événements, qui a également permis de mener un important travail de sensibilisation en milieu scolaire, permettant de toucher au total plus de 14 000 jeunes. De quoi susciter l’envie d’entreprendre auprès des différents publics !

Par ailleurs, si 44 727 personnes ont eu l’occasion de suivre, en 2017, l’un des parcours d’accompagnement proposés par le réseau, 14 218 nouvelles entreprises ont vu le jour au cours de l’année et 24 028 nouveaux emplois ont été créés. Sans compter que l’appui du réseau associatif représente un atout de taille côté financement, ayant notamment permis de mobiliser un montant global de 398 M€ pour les jeunes entreprises – dont 187 000 € issus de collectes menées sous forme participative.

Enfin, tout au long de l’année 2017, pas moins de 26 040 entrepreneurs déjà installés ont été accompagnés par le réseau BGE dans le développement de leur activité.

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.bge.asso.fr

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Louis Stockreisser, co-fondateur de Meersens

Fondée en 2017, la start-up lyonnaise Meersens développe une solution destinée aux personnes soucieuses de vivre dans un environnement sain et sans danger. Qualité de l’air, de l’eau, de la nourriture… En quelques secondes seulement, un petit boîtier équipé de capteurs permet d’évaluer notre exposition à de nombreux facteurs de risques.

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Bilan Acoss : les micro-entrepreneurs en 2016, toujours plus nombreux !

L’Acoss, caisse nationale du réseau des Urssaf, a récemment publié son bilan 2016 sur l’activité des micro-entrepreneurs. Leur nombre ainsi que leur chiffre d’affaires continuent de progresser.

Toujours plus nombreux, avec un chiffre d’affaires global en progression constante : selon les derniers chiffres publiés par l’Acoss, les micro-entrepreneurs continuent de s’imposer au sein du paysage entrepreneurial français !

Fin 2016, le réseau des Urssaf était ainsi en charge de 1,07 million de micro-entrepreneurs (l’équivalent de 35 % de l’ensemble des travailleurs indépendants en France), soit 6,9 % de plus qu’en 2015. Dans le détail, pas moins de 332 000 nouvelles immatriculations ont ainsi été enregistrées au cours de l’année (+8,3 % par rapport à 2015), affichant ainsi un écart sensible avec le nombre de radiations effectuées (de l’ordre de 263 000 pour 2016).

Des dynamiques contrastées selon les secteurs d’activité

Si les micro-entrepreneurs ont désormais investi la quasi-totalité des activités économiques (1/3 d’entre eux exercent en activité libérale, 2/3 déclarent une activité d’artisan-commerçant), il n’empêche que de fortes disparités persistent.

Les secteurs des transports et de l’entreposage restent ainsi les plus dynamiques, suivis par la santé, les activités sportives, le nettoyage ainsi que le domaine des arts, spectacles et activités récréatives. À l’opposé, les hausses d’effectifs sont les plus faibles dans les secteurs du commerce de détail, de la coiffure et des soins du corps, des activités juridiques et de l’informatique.

Un CA global en hausse, malgré des disparités importantes

Selon l’Acoss, le chiffre d’affaires (CA) global des micro-entrepreneurs continue, par ailleurs, d’augmenter pour atteindre 8,8 milliards d’euros en 2016 (+10,1 % par rapport à 2015) ; le CA annuel moyen s’élevant, quant à lui, à 9 816 €.

Une évolution qui cache, néanmoins, de fortes disparités : 2/3 des micro-entrepreneurs économiquement actifs se situent ainsi sous un CA moyen de 9 000 € (25 % sous 1 555 €, 50 % sous 5 250 €), tandis que 10 % seulement déclarent un CA supérieur à 26 000 €.

Enfin, si l’ancienneté semble avoir un effet favorable sur le CA dégagé, force est de constater que d’autres paramètres ne manquent pas d’entrer en jeu. Parmi eux, le secteur d’activité choisi, l’implantation géographique (les régions Bretagne et Pays de la Loire affichent les plus hauts CA moyens), ainsi que le sexe : indépendamment de leur année d’entrée dans le dispositif, le CA des micro-entrepreneures reste ainsi inférieur à celui de leurs homologues masculins.

Pour en savoir plus et consulter le bilan 2016 de l’Acoss, rendez-vous sur : www.acoss.fr

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French Tech Seed : 400 millions d’euros en soutien aux start-up françaises

Récemment lancé par le Premier ministre, Édouard Philippe, le nouveau fonds d’investissement « French Tech Seed » vise à soutenir les levées de fonds des start-up technologiques.

400 millions d’euros, issus du Programme d’investissements d’avenir, pour soutenir les levées de fonds des start-up technologiques : officiellement lancé par le Premier ministre, Édouard Philippe, lors d’un récent déplacement à Metz, le nouveau fonds d’investissement « French Tech Seed » aura pour objectif de favoriser le développement de l’écosystème entrepreneurial innovant en France.

Capitaux privés et investissements publics

Géré par Bpifrance, le nouveau fonds de soutien repose sur un concept original : des apporteurs d’affaires labellisés par l’État, garants de la validité technologique du projet soutenu, seront ainsi chargés d’accompagner les jeunes pousses dans leur recherche d’investisseurs privés. Ces capitaux privés seront ensuite complétés par un investissement public sous forme d’obligations convertibles.


Précision : les apporteurs d’affaires seront désignés au sein des écosystèmes d’innovation (incubateurs, accélérateurs, pôles de compétitivité…), à l’issue d’un appel à manifestation d’intérêt qui sera lancé par Bpifrance d’ici fin juillet. Parmi les critères de sélection figureront notamment l’expertise technologique et les as tissés avec des financeurs privés.

Selon le secrétariat d’État chargé du numérique, la mise en place de ce nouveau fonds d’investissement permettra de doter la France, à l’instar d’autres nations disposant d’un important écosystème innovant (États-Unis, Corée du Sud, Israël…), d’un outil de financement puissant. Un atout de taille pour favoriser le développement des jeunes entreprises à forte intensité technologique et contribuer au rayonnement de la French Tech, y compris à l’international !

Selon les sources officielles, les premiers investissements « French Tech Seed » devraient être réalisés au 1er trimestre 2019. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.lafrenchtech.com

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Pierre Houget, Ingénieur chez Antescofo

Jeune start-up parisienne fondée par 3 anciens chercheurs de l’IRCAM, Antescofo révolutionne la pratique musicale grâce à l’intelligence artificielle. Comment ? Grâce à son application mobile Metronaut, qui offre aux musiciens la possibilité de s’entraîner tout en étant accompagnés, en temps réel, par un orchestre ou encore un groupe de musique parfaitement synchronisé.

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