Ilan Benhaim, co-fondateur de Vente Privée

Vente Privée a créé 3 000 emplois depuis le début de l’aventure en 2001, et continue de progresser notamment via la croissance externe. Ilan Benhaim, co-fondateur, nous en dit plus sur cette croissance qui se fait notamment grâce à l’innovation « bottom-up » (ascendante).

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Léger repli des créations d’entreprises en avril 2017

Après un mois de mars plutôt dynamique, le nombre de créations d’entreprises a légèrement diminué en avril : -1,7 %, selon les derniers chiffres publiés par l’Insee.

D’après les derniers chiffres publiés, 46 399 créations d’entreprises ont été enregistrées au mois d’avril 2017 : -1,7 % par rapport au mois de mars, tous types d’entreprises confondus. Une évolution qui s’explique, selon l’Insee, non seulement par un repli sensible du nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs (-3,6 %), mais aussi par une légère baisse du nombre de créations d’entreprises classiques (-0,4 %).

Au niveau du nombre cumulé de créations d’entreprises sur la période février-mars-avril, les chiffres témoignent, en revanche, d’une certaine stabilité : si l’Insee constate, en effet, un repli important des immatriculations de micro-entrepreneurs (-4,3 %) par rapport au même trimestre de l’année dernière, cette baisse est néanmoins compensée par une augmentation du nombre de créations de sociétés (+3,2 %) et d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+2,4 %). Une fois de plus, c’est le secteur du transport qui enregistre la plus forte hausse, tandis que la plus forte baisse est signalée du côté du commerce.

Le nombre cumulé d’entreprises créées au cours des 12 derniers mois continue, par ailleurs, de s’accélérer. L’Insee constate ainsi une augmentation de 4,6 % du nombre cumulé de créations brutes par rapport aux 12 mois précédents. Ceci s’explique principalement par une forte hausse des créations d’entreprises individuelles hors micro-entrepreneurs (+7,7 %) et de sociétés (+7,2 %). Le nombre d’immatriculations de micro-entrepreneurs progresse, quant à lui, de +0,7 %.

Enfin, l’Insee précise que les demandes d’immatriculations de micro-entrepreneurs ne représentent plus que 39,8 % des créations d’entreprises enregistrées au cours des 12 derniers mois, contre 41,3 % un an auparavant.

Pour consulter des données complémentaires, rendez-vous sur : www.insee.fr

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L’édition 2017 du salon professionnel Viva Technology, c’est dans un mois !

Initiée par Les Echos et le groupe de communication Publicis, la 2 édition du salon Viva Technology se tiendra du 15 au 17 juin 2017 à Paris. Au programme : trois jours de rencontres et de découvertes !

Porteurs de projets, start-up, investisseurs, dirigeants de grandes entreprises, chercheurs, grand public : pas moins de 50 000 participants issus de 200 pays sont attendus pour l’édition 2017 du salon professionnel Viva Technology, qui se tiendra du 15 au 17 juin 2017 dans les locaux de Paris Expo Porte de Versailles. Lancé en 2016 par Les Echos et le groupe de communication Publicis, l’évènement vise à donner un coup de projecteur particulier sur l’univers de l’innovation dans le monde entier.

Plus de 350 intervenants de renommée internationale, 200 conférences thématiques abordant des sujets aussi divers que variés (de la blockchain à la réalité virtuelle, en passant par l’Internet des objets), 20 laboratoires d’innovation ouverte dédiés à la transformation digitale, 150 challenges invitant les jeunes entreprises à défendre leurs projets devant des experts et des investisseurs, un « Hall of Tech » offrant aux participants la possibilité d’expérimenter les innovations les plus marquantes… Force est de constater que la 2e édition du salon Viva Technology s’annonce riche en opportunités !

De quoi faire le plein d’informations, rencontrer les acteurs phares de l’écosystème numérique d’aujourd’hui et, pourquoi pas, initier de futurs partenariats.

Pour en savoir plus, rendez-vous dès à présent sur : www.vivatechnology.com

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Frédéric Griffaton, co-fondateur de Mutum

80 % des objets utilisés par les particuliers servent moins de 3 fois par an. Mutum est une plate-forme collaborative qui permet d’emprunter gratuitement les objets dont les utilisateurs ont besoin et de prêter des objets qui servent peu. Plus un utilisateur prête, plus il gagne des « mutum », la monnaie d’échange, qui permet alors d’emprunter des objets.

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Dernière ligne droite pour participer à l’édition 2017 des CCI FINDays !

Récemment lancée par les Chambres de commerce et d’industrie de France, l’opération nationale CCI FINDays tend à aider les entrepreneurs tricolores à concrétiser leur levée de fonds.

Détecter les entreprises à fort potentiel, les accompagner dans le montage de leur projet et les mettre en contact avec un panel d’investisseurs pouvant leur apporter les moyens financiers nécessaires : récemment lancé par les Chambres de commerce et d’industrie de France et leur réseau de partenaires, le dispositif CCI FINDays vise à soutenir les porteurs de projets dans leur levée de fonds.

Ainsi, qu’il s’agisse d’une création, d’une reprise ou d’un développement d’entreprise, l’objectif premier consiste à préparer les entrepreneurs à l’exercice du « pitch », leur permettant d’exposer leur projet de manière concise et attractive devant un public d’investisseurs.

En pratique, les candidats souhaitant participer à l’édition 2017 des CCI FINDays sont invités à postuler, au plus tard le 19 mai, via une plate-forme en ligne spécialement dédiée à l’opération. Sélectionnés sur dossier, ils auront ensuite l’occasion de passer une audition dans la CCI la plus proche pour décrocher une place à « L’Académie ». À la clé : une préparation intensive (48 heures de coaching, de workshops et de séances de travail thématiques), organisée les 18 et 19 septembre 2017 à Paris, et la possibilité de rencontrer, dans la foulée, de nombreux investisseurs potentiels.

De quoi bien structurer sa demande de financement, travailler sa stratégie de communication et, enfin, tester le potentiel de son projet dans un cadre dynamique et stimulant !

Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.findays.cci.fr

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The French Vikings, le béton se fait design

Oui, changer de vie en devenant artisan est possible. C’est le pari des deux créateurs de The French Vikings, qui déclinent le béton ciré en de multiples pistes d’activités.

Qu’obtient-on quand un ex de la finance et un informaticien, qui plus est, accros au bricolage, décident de changer de voie ? Des vikings. Plus exactement, une nouvelle entreprise artisanale, The French Vikings, spécialisée dans la création d’objets de décoration en béton. « Billy avait déjà fait des lampadaires avec une partie en béton et moi j’allais souvent aider mon père qui est aussi artisan et fait beaucoup de béton ciré, explique Nadir. Vu que nous avions le béton en commun, nous avons décidé de fabriquer des objets utilisant ce matériau. De plus, c’est un matériau qui est très à la mode, mais encore difficile à utiliser, il y a plein de chose à faire avec ! »

Leur entreprise, créée en 2014, décline en fait 3 activités. Tout d’abord, la vente de produits finis, principalement en ligne, par exemple, des lampes, des jardinières, etc. « Nous vendons via notre site internet ainsi que par la plate-forme Etsy, précise Nadir. 50 % des commandes partent à l’étranger. » Ensuite, The French Vikings réalise aussi des « chantiers d’exceptions » : des plans de travail, des lavabos, tables… souvent pour des restaurants, bars, etc. L’intérêt ? Ce sont des produits qui sont davantage valorisés, aux alentours de 2 500 € le m². Enfin, depuis un peu plus d’un an, les créateurs ont lancé des « ateliers béton », où les particuliers viennent fabriquer eux-mêmes un objet en béton (une lampe, une jardinière, un vide poche, une table…), de 2h à 3 fois 3h pour les grandes tables.

Pour leurs débuts, les créateurs ont utilisé leurs fonds propres et un local familial… avant de se lancer dans une campagne de crowdfunding et de contracter un prêt bancaire pour financer un nouveau local en 2016. Mais au-delà de l’artisanat, les deux créateurs fourmillent de projets. Leurs objectifs ? Le lancement d’un incubateur, pour la rentrée 2017, dédié aux entrepreneurs créatifs : « Nous allons accueillir gratuitement 6 personnes tous les 6 mois, qui ont déjà un savoir-faire et cherchent un local pour commencer leur activité, détaille Nadir. Nous fournissons l’équipement de base, des conseils et les faisons profiter de notre réseau de distribution. »

En outre, Billy et Nadir s’apprêtent à sortir des kits pour fabriquer soi-même des objets en béton : « Ce kit comprendra un ou plusieurs moules réutilisables, plusieurs kilo de béton, une bassine pour faire son mélange, des gants, un tablier, un verre doseur, du pigment. Aucun outil ne sera nécessaire, on pourra faire un objet de déco en béton encore plus simplement qu’un gâteau ! » De quoi faire naître des vocations !

Fiche de l’entreprise

Le conseil : bien évidemment il n’y a pas de recette miracle pour réussir, mais il ne faut pas avoir peur de se lancer. On est passé par beaucoup d’expérimentation avant de trouver notre business model, ainsi que nos produits.
Le chiffre : 3, sans salarié, la petite entreprise travaille avec des stagiaires pour sa communication et son design, mais 3 recrutements sont prévus pour la fin de l’année.
Le contact :
http://thefrenchvikings.com/

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Édition 2017 du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes : c’est bientôt !

La 14 édition du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes se tiendra les 13 et 14 juin 2017. Deux jours pour s’informer, capter les nouvelles tendances et développer son réseau !

Pendant deux jours, mardi 13 et mercredi 14 juin, le Centre de Congrès de Lyon accueillera l’édition 2017 du Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes. Organisé par Les Échos Solutions, l’évènement a pour vocation d’offrir, une fois de plus, un concentré d’informations et d’expertises.

Avec 150 partenaires et exposants, 100 conférences et ateliers, 25 animations thématiques et plus de 15 000 visiteurs attendus, le Salon des Entrepreneurs Lyon Auvergne-Rhône-Alpes représente, à ce jour, le plus grand rassemblement d’entrepreneurs de la région. Lieu de formation et d’échanges réunissant les professionnels de la création et du développement des entreprises, l’évènement vise à capter les tendances de l’écosystème entrepreneurial, tout en apportant aux participants les clés pour développer leur réseau professionnel et mener à bien leurs projets.

Cette année, un coup de projet particulier sera donné aux différents enjeux liés au développement international. Plusieurs portraits et témoignages d’entrepreneurs tricolores seront ainsi amenés à se succéder lors d’un grand débat, intitulé « French Touch, ces entrepreneurs qui veulent conquérir le monde ». De quoi s’inspirer de leurs succès et, pourquoi pas, passer à la vitesse supérieure !

Pour en savoir plus et télécharger gratuitement votre badge d’accès, rendez-vous sur : www.salondesentrepreneurs.com

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Star Trok, le troc élargi version économie circulaire

Grâce au web, le troc de vêtements entre dans une nouvelle ère. C’est le pari de quatre jeunes, fondateurs de la plate-forme Star Trok, misant sur les envies d’économie d’une communauté d’utilisateurs.

C’est un projet orignal que porte Guillaume Graciano. Avec ses trois complices, ils ont lancé Star Trok. « Au départ, l’idée de Star Trok est venue d’un constat plutôt simple, explique Guillaume. Les friperies se développent de plus en plus, partout dans le monde, soulignant un réel intérêt pour le vêtement d’occasion. Logique : a priori tout le monde s’habille ! D’un autre côté, beaucoup cherchent de nouveaux moyens de consommer à faible prix. Voilà pourquoi nous avons pensé à cette plate-forme de troc. En moyenne, chaque Français possède dans son armoire plus de 100 € de vêtements non utilisés. Plutôt que de les laisser prendre la poussière, pourquoi ne pas les utiliser pour renouveler sa garde-robe ? » Star Trok se veut donc un site permettant de mettre en relation des utilisateurs motivés à l’idée de troquer de façon élargie leurs vêtements contre ceux d’autres utilisateurs. « L’idée principale est de donner une seconde vie à tous ces vêtements inutilisés tout en œuvrant contre le gaspillage textile, poursuit Guillaume. Quand je parle de troc élargi, c’est parce qu’au lieu de troquer avec une seule personne comme cela se fait souvent physiquement, le web permet de mettre en relation des utilisateurs issus de toute la France et donc d’augmenter largement les possibilités de troc. »

En clair, un concept en plein dans la mouvance de l’économie circulaire et de l’économie collaborative. Pour aller plus loin, Star Trok a conclu différents partenariats avec des associations spécialisées dans le recyclage textile comme La Croix-Rouge 78. « Quand des vêtements ne sont pas échangés sur le site, nous incitons nos utilisateurs à les distribuer à nos partenaires, afin d’essayer une nouvelle fois, de lutter au maximum contre le gaspillage textile, souligne Guillaume. C’est cette dynamique qui nous permet de nous inscrire également dans l’économie sociale et solidaire. »

Si ce concept n’a pas encore officiellement un statut d’entreprise, et que les quatre fondateurs sont bénévoles, leur objectif est de réunir la plus importante communauté d’utilisateurs possible, pour, par la suite, déposer les statuts, envisager une rentrée d’investisseurs et développer la communication pour véritablement élargir le concept à un niveau national.

Côté financement, la grande majorité des fonds provient d’une campagne de financement participatif menée sur Ulule. Elle a rapporté un peu plus de 4 000 €, utilisés à 90 % pour développer la communication.

Lancé en juin 2016, le concept commence à être connu à Limoges, ville d’origine de Guillaume. « Il est pour l’instant plus difficile de rayonner à un niveau national, mais des opérations comme celle menée au mois de mars avec Tiniloo (NDLR : des box dédiés aux jeunes parents), nous ont permis d’attirer récemment de nouveaux utilisateurs issus de toute la France. » Le business model est actuellement en cours de test : « Si nous ne souhaitons pas utiliser la publicité pour nous financer, deux projets sont très sérieusement envisagés dans le but d’obtenir un chiffre d’affaires viable. L’objectif est défini pour septembre 2017 avec pour motivation l’envie de rayonner à travers toute la France ! »

Fiche de l’entreprise

Le conseil : bien étudier son marché avant de se lancer. La prudence permet d’obtenir un prévisionnel viable. Du coup, il me paraît indispensable de ne pas se lancer seul. C’est le travail en équipe et la connexion entre plusieurs cerveaux qui permet de créer le projet le plus abouti possible.
Le chiffre : 4, Star Trok mobilise quatre personnes, les futurs associés : Lyly, graphiste et experte en communication (print et web), Robin, développeur web, Vince, rédacteur et conseiller et Guillaume, porteur du projet et coordinateur de l’équipe.
Le contact :
www.startrok.com

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David Layani, fondateur de OnePoint

David Layani est le président fondateur du groupe OnePoint, une société de conseils en transformation numérique. Il emploie aujourd’hui 2 000 personnes et applique dans son entreprise le principe de l’« entreprise libérée » : moins de hiérarchie et plus de responsabilités !

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Entrepreneures et porteuses de projets : à HEC Paris, l’été se conjugue au féminin !

Organisées par le Centre d’Entrepreneuriat d’HEC Paris, deux formations abordant les enjeux phares de la création d’entreprise seront proposées cet été. 300 entrepreneures auront l’occasion d’y assister.

Deux fois trois jours pour faire le point sur son projet de création d’entreprise, amorcer sa concrétisation ou accélérer son développement : cet été, le programme « Summer Camp Stand Up » met l’accent sur l’entrepreneuriat au féminin ! Organisé par le Centre d’Entrepreneuriat et destiné prioritairement aux femmes issues des quartiers ayant un projet entrepreneurial impactant, il offre un accès privilégié à l’ensemble des ressources du campus d’HEC Paris.

Au programme, deux séminaires de formation répondant chacun à des besoins spécifiques. En effet, si le premier (baptisé « Kick-Off Summer Camp » et se déroulant du 10 au 12 juillet 2017) vise à accompagner les porteuses de projets souhaitant concrétiser leurs idées, le deuxième (intitulé « Booster Summer Camp » et organisé du 17 au 19 juillet 2017) s’adresse, quant à lui, à un public plus expérimenté. Son objectif ? Permettre aux entrepreneures ayant déjà lancé leur activité d’accélérer son développement.

En pratique, tous les cours faisant partie du programme seront assurés par des professeurs et des intervenants d’HEC Paris. Adaptés à chaque niveau de maturation des projets, ils seront, par ailleurs, complétés par des sessions de coaching personnalisé. De quoi gagner en confiance, réaliser son projet et élargir son réseau !

300 entrepreneures et porteuses de projets sélectionnées sur dossier auront l’occasion d’assister à l’édition 2017 du Summer Camp Stand Up d’HEC Paris. Pour en savoir plus, rendez-vous sur : www.hec.fr

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