Manutan, l’un des leaders européens du e-commerce BtoB, lance, pour la deuxième année consécutive, son programme Moov’with Manutan, déployé avec le Moovjee, pour accompagner la croissance des start-up innovantes de l’univers BtoB.
Pour la deuxième année consécutive, le programme d’accélération Moov’with Manutan va démarrer avec l’intégration de 3 start-up françaises déjà accompagnées par le Moovjee (Mouvement pour les jeunes et les étudiants entrepreneurs). Moov’with Manutan va leur permettre d’accéder à une aide matérielle et à un accompagnement sur-mesure. Les lauréats bénéficieront ainsi, à partir du 15 novembre et ce pendant un an, d’échanges avec une équipe dédiée et de rencontres régulières avec des collaborateurs de Manutan qui pourront leur fournir des conseils pour le développement de leurs activités (RH, finance, export, etc.).
Développer des partenariats
Les lauréats auront également l’opportunité de pouvoir s’installer au siège européen de Manutan à Gonesse (Val-d’Oise) et auront ainsi accès à tous les équipements du site (espaces de coworking, restaurant d’entreprise, médiathèque, centre sportif, conciergerie…). Ils pourront également nouer des partenariats clés pour développer leur offre produits ou services au sein du groupe, voire potentiellement les intégrer à l’offre de Manutan.
Pour en savoir plus :
moovjee.fr/moovwithmanutan/
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26 réseaux associatifs d’accompagnement à la création d’entreprise et Bpifrance se sont unis pour créer le collectif Cap Créa à travers la signature d’un manifeste. Objectif : doubler le nombre de créations d’entreprises pérennes d’ici 5 ans.
Malgré la crise sanitaire, la dynamique entrepreneuriale reste forte en France. En 2021, 1 Français sur 3 rêve de créer son entreprise, voire a déjà démarré des démarches en la matière. Pourtant, sans accompagnement et financement adéquats, près d’une entreprise sur deux met la clé sous la porte durant les 3 premières années, contre moins d’un tiers pour les projets financés et accompagnés.
C’est pour mieux aider les porteurs de projets d’entreprise que le collectif Cap Créa a été créé et qu’il vient de signer un manifeste. Ce dernier regroupe 26 réseaux associatifs, partenaires de la banque publique d’investissement Bpifrance, soit quelque 3 000 implantations dans toute la France, en métropole et en outre-mer, avec des spécificités et expertises diverses (sensibilisation, accompagnement pré et post-création, financement, rebonds, reprise, accélération…).
Un accès simplifié aux offres d’accompagnement
Leur mot d’ordre ? « Vous voulez entreprendre ? Nous allons vous aider à réussir ! ». Pour y arriver, le collectif prend plusieurs engagements, notamment assurer un accès simplifié à l’ensemble des offres d’accompagnement et de financement, orienter les porteurs de projets pour qu’ils bénéficient d’un parcours personnalisé avec des solutions adaptées, ou encore intégrer l’impact social et environnemental de chaque projet avec la prise en compte des enjeux liés à l’entrepreneuriat (sociaux, fiscaux, juridiques…). Cap Créa souhaite également renforcer la sensibilisation à l’entrepreneuriat auprès de toutes et tous, notamment les publics moins représentés (femmes, quartiers prioritaires de la ville, jeunes…).
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La Banque de France vient de publier un document sur la situation financière des start-up en 2021 et constate que, malgré le contexte économique, leur chiffre d’affaires 2021 a bondi de 30 % sur un an et leurs effectifs de 19 % par rapport à 2020.
Pour établir son rapport sur la situation financière des start-up en 2021, la Banque de France a collecté les bilans de 1 747 start-up dont le chiffre d’affaires était supérieur à 750 000 € en 2020 et en 2021, en excluant dès le départ les entreprises de plus de 15 ans (critère utilisé par le programme FT 120 / Next 40) et celles qui emploient plus de 500 salariés (plafond d’obtention du prêt innovation du Fonds Européen d’Investissement).
Premier enseiggement : les représentants légaux de ces start-up ont, en moyenne, 44 ans et seuls 9 % d’entre eux sont des femmes. Lorsqu’il s’agit d’une personne physique, le principal associé détient en moyenne 39 % du capital.
Une trésorerie préservée
Malgré un contexte économique difficile de post-Covid, les start-up se portent bien. Outre l’augmentation de leur chiffre d’affaires et de leurs effectifs, les jeunes pousses bénéficient, en effet, d’un renforcement de la présence des investisseurs en fonds propres (+58 %) et du financement bancaire (+10 %) sur cette période. Les start-up préservent ainsi leur trésorerie qui se situe à presque 12 Md€ fin 2021 (+46 %). Sur les 1 747 start-up étudiées, seules 4 ont fait l’objet d’une procédure judiciaire en 2021, soit 0,2 %.
Pour consulter le rapport de la Banque de France :
https://mcusercontent.com/48981545f014cb67c77b7ba1e/files/887f7753-b3f6-ae44-0753-3f06e0676fca/Situation_financiere_des_Start_up_en_2021_Paroles_d_expert_.pdf
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Chaque année, de nombreux salariés sautent le pas pour devenir leur propre patron. Pour aider tous ceux qui veulent se lancer, le site de Bpifrance vient de publier une fiche rappelant les différentes possibilités offertes aux salariés pour leur permettre de passer à l’acte.
Quitter le statut de salarié pour devenir indépendant peut permettre d’augmenter ses revenus, de gagner en qualité de vie et en liberté ou encore d’allier passion et vie professionnelle. Mais quelle qu’en soit la raison, ce changement ne s’improvise pas. Pour orienter les salariés qui seraient intéressés, Bpifrance, la banque publique d’investissement, rappelle les 3 options dont ils disposent pour la réalisation de leur projet.
Différents options possibles
D’abord, il est possible, à certaines conditions, de créer son entreprise sans modifier son contrat de travail actuel, sous réserve que cette dernière ne concurrence pas l’entreprise de l’employeur. Autre solution : demander un congé ou un temps partiel pour création/reprise d’entreprise pour pouvoir s’absenter complètement ou réduire son temps de travail pendant une période déterminée. Enfin, il peut être envisagé de quitter son emploi avec des conséquences variables selon le type de rupture.
Bpifrance fait le tour de toutes ces options et détaille leurs conditions et leurs conséquences. La banque rappelle également l’importance de préparer soigneusement son projet en utilisant certains outils à disposition des créateurs.
Pour consulter la fiche :
https://bpifrance-creation.fr
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Selon un baromètre réalisé par France Digitale, le chiffre d’affaires des start-up de la French Tech a augmenté en moyenne de 23 % par rapport à 2020, avec des revenus s’élevant à plus de 8 milliards d’euros sur 2021.
Alors que le contexte macro-économique semble pourtant difficile et incertain, les start-up françaises tirent leur épingle du jeu et affichent des chiffres en hausse. C’est ce que constate le baromètre France Digitale, réalisé auprès de 583 start-up interrogées entre juin et août 2022. En effet, leur chiffre d’affaires a grimpé en moyenne de 23 %, et elles sont 39 % à penser encore doubler leurs revenus en 2022. L’année 2021 a, par ailleurs, été marquée par un montant record de levée de fonds de 11,58 Md€, avec un montant moyen levé (depuis leur création) de 32 M€ contre 18 M€ en 2020.
Des embauches en 2022
Autre chiffre montrant la bonne dynamique des jeunes pousses : 98 % d’entre elles prévoient d’embaucher en 2022. Et pour 60 %, le recrutement sera le premier défi à relever dans les 10 prochaines années.
Toutefois, les levées de fonds pourraient ralentir dans les prochains mois… La hausse des prix et le remboursement des prêts garantis par l’État (PGE) accordés pendant la pandémie de Covid-19 affectent les start-up. 62 % d’entre elles déclarent, en effet, avoir moins de 12 mois d’avance de trésorerie…
Pour consulter le baromètre :
https://francedigitale.org/wp-content/uploads/2022/09/Baromètre-EY-France-Digitale-2022.pdf
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Permettre à chaque entreprise de définir et suivre une démarche bas-carbone complète, rigoureuse et ambitieuse ? C’est ce que propose Sami, une solution tout-en-un qui combine un logiciel et du conseil ,afin de permettre aux PME de construire un plan de réduction d’émissions sur-mesure adapté à leurs enjeux.
Pour Tanguy Robert et Nicolas Crestin, le changement climatique est le challenge le plus important que l’humanité ait jamais eu à résoudre : « Et c’est l’affaire de tous : gouvernements, entreprises, chacun peut et doit faire sa part. Toutes les entreprises, pas que les multinationales ! Les start-up, TPE, PME et ETI peuvent et doivent aussi agir », expliquent les cofondateurs. Après une formation d’ingénieur agronome complétée par un master en entrepreneuriat à HEC, Nicolas a commencé sa carrière comme consultant énergie/climat au sein d’un cabinet. Pendant 3 ans il a accompagné des grands groupes dans la mesure et la réduction de leur empreinte carbone. Tanguy lui a fait un master en droit des affaires à Sciences Po Paris, et a travaillé pour une plate-forme juridique en ligne à destination des PME. Tous les deux ont eu une prise de conscience climatique avec les rapports du GIEC et ont voulu aligner activité professionnelle et convictions environnementales. « Sami est née : une plate-forme en ligne à destination des PME et ETI (expertise de Tanguy), leur permettant de faire leur part pour le climat (expertise de Nicolas) ».
Faire partie du changement
Une des parties importantes dans le développement de leur concept a été le recrutement d’experts notamment carbone et technologique. « Mais la difficulté dans cet univers, c’est que tout est en constante évolution. Les changements sont nombreux et rapides : réglementations, méthodologies, standards, bonnes pratiques, etc. » Les créateurs veulent aussi aller plus loin et proposer des solutions : « Nous voulons faire partie du changement. Notre équipe d’expertise travaille pour chercher des améliorations dans notre manière de mesurer et réduire les émissions de gaz à effet de serre tout en rendant cette démarche accessible et compréhensible pour nos cdivts ». Après 2 ans d’existence, Sami a déjà levé plusieurs millions d’euros pour faire grandir l’entreprise. « Nous sommes tout le temps en recherche d’amélioration, surtout technologique. De plus, nous avons décidé d’ouvrir la plate-forme Sami à des cabinets de conseil, consultants indépendants et freelances spécialisés en RSE et en climat pour qu’ils puissent l’utiliser pour leurs cdivts ». Objectif : continuer à démocratiser l’engagement climat des entreprises !
Fiche de l’entreprise
– Un chiffre : plus de 250 entreprises utilisent déjà Sami– Un conseil : pensez l’impact environnemental et social dès le début. Les entreprises passent beaucoup de temps et d’énergie à mettre en place une politique RSE quand elles grandissent, alors penser à l’intégrer dès le début permet d’économiser ce temps et cette énergie.– Un contact : Tanguy Robert et Nicolas Crestin, www.sami.eco
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Si, motivés par le désir d’indépendance, les anciens salariés sont les plus nombreux à se lancer dans l’aventure entrepreneuriale, de nombreux chômeurs trouvent dans cette voie le moyen de créer leur propre emploi.
Dans
une récente étude
, l’Insee s’est penché sur les créateurs d’entreprise avec pour ambition de définir leur profil, leur principale motivation, mais aussi les types de structures choisies. Pour réaliser ce travail, les économistes de l’Institut se sont intéressés à l’année 2018. Une année où 749 000 entreprises ont été créées dans le secteur marchand non agricole.
Un homme ancien salarié
S’il fallait dresser le portait du créateur d’entreprise 2018, ce serait un homme (65 % des créateurs) de moins de 40 ans (56 %), sans expérience dans l’entrepreneuriat (72 %), et qui, juste avant la création de son entreprise, était salarié du secteur privé ou de la fonction publique (38 %). L’Insee ajoutant que « l’activité de sa nouvelle entreprise est devenue sa seule activité professionnelle rémunérée (74 %) et qu’elle correspond au métier qu’il a exercé le plus longtemps (56 %) ».
Mais tous les créateurs d’entreprise ne sont pas des anciens salariés motivés en premier lieu par l’idée de devenir leur propre patron (52 %). 28 % des personnes qui se sont lancées dans l’aventure entrepreneuriale en 2018 l’ont fait pour sortir de la précarité. Il s’agit principalement de chômeurs (24 %) et de salariés en contrat court ou intermittent (4 %).
De la micro-entreprise à la société
L’étude nous apprend également que 17 % des entreprises ont été créées par des anciens travailleurs indépendants et des anciens dirigeants d’entreprises, 8 % par des étudiants à l’issue de leur étude et 3 % par des retraités désireux de rester actifs. Dans ce dernier cas, à 39 %, c’est le choix d’une micro-entreprise qui est arrêté. L’objectif étant de mettre en place une structure légère permettant d’accueillir une simple activité de complément. Cette forme juridique, moins contraignante, est également préférée par 49 % des anciens travailleurs précaires et 44 % des étudiants. Les anciens salariés, quant à eux, ont principalement choisi la société (48 %). Un ratio qui atteint 80 % chez les entrepreneurs expérimentés.
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L’application Klaro permet aux salariés de connaître les aides dont ils peuvent bénéficier et de les obtenir en quelques clics. Cette solution simple et innovante s’adresse aux entreprises qui veulent en faire profiter leurs salariés afin que ceux-ci puissent améliorer leur pouvoir d’achat.
Basée sur un algorithme capable de simuler toutes les aides nationales et locales, ainsi que leur montant exact, Klaro accompagne les salariés dans les démarches administratives, jusqu’au versement de l’aide sur leur compte bancaire, en fonction de leurs besoins, leurs projets et leur situation professionnelle. « Notre solution permet ainsi aux entreprises d’apporter une source de revenus supplémentaire à leurs collaborateurs, dans une démarche QVT, en leur offrant l’accès gratuitement à Klaro, l’entreprise réglant un abonnement mensuel », explique Cyprien Boutard-Geze, fondateur de l’appli Klaro, créée en 2020.
C’est en étant bénévole pour la Croix-Rouge que Cyprien a eu cette idée. Il y accompagne de nombreuses familles et fait systématiquement le même constat : beaucoup passent à côté de leurs aides. « La plupart des aides sont là pour réduire les inégalités sociales ou encourager des projets vertueux, qui participent à la transition écologique ou à la création d’emploi, par exemple. Avec notre appli, nous voulions mettre tout en œuvre pour que ces aides atteignent leurs bénéficiaires, y compris les moins familiers avec la complexité administrative, car c’est dans l’intérêt de toute la société. »
Mettre à jour des aides qui évoluent régulièrement
S’ensuit une année de développement de la technologie notamment de développement de l’algorithme : « L’un des enjeux était de construire un moteur capable d’accueillir des milliers d’aides, les conditions pour y avoir droit ainsi que tous les calculs pour en définir le montant. Ce système devait aussi permettre de maintenir à jour ces aides qui évoluent très régulièrement ». Le créateur est soutenu et accompagné dans cette phase : « Nous faisions partie de l’incubateur de la Croix-Rouge et avons travaillé avec de nombreux travailleurs sociaux pour s’assurer de la pertinence de l’application. D’autres écosystèmes comme Station F ou l’incubateur HEC nous ont permis de nous structurer et trouver les financements nécessaires pour le développement d’une telle technologie. »
Disponible depuis 2 ans, Klaro vient de réaliser une levée de fonds de 3 M€ dans la perspective d’améliorer encore l’application et de renforcer ses équipes afin d’atteindre 40 personnes à la fin de l’année. Elle veut aussi s’étendre au-delà des frontières et conquérir l’Europe.
Fiche de l’entreprise
– Un chiffre : 1 500 aides sont recensées dans Klaro– Un conseil : discutez sans cesse avec vos utilisateurs/cdivts, et assurez-vous de répondre à un véritable besoin. Et écoutez avec parcimonie les conseils des entrepreneurs, comme moi… Chaque entreprise est différente, il n’y a jamais une seule bonne recette !– Un contact : Cyprien Boutard-Geze, www.klaro.fr
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Ce concours d’Initiative Île-de-France récompense les entrepreneures de la région pour inspirer celles qui hésiteraient encore à se lancer ! Les lauréates remporteront des dotations financières et d’accompagnement. Plus que quelques jours pour candidater.
Initiative Île-de-France ouvre à nouveau son concours Créatrices d’Avenir aux femmes ayant créé ou repris une entreprise dont le siège social est situé en Île-de-France. Plusieurs catégories seront récompensées, celle de l’Audace pour une femme ayant créé dans un secteur traditionnellement masculin, celle de l’Entreprise responsable conciliant activité économique et responsabilité sociale ou environnementale, celle de l’Innovation, celle de Quartier pour une femme issue ou habitante d’un quartier prioritaire de la politique de la ville (QPV), ou encore celle du Savoir-faire pour valoriser une technique de fabrication, de réparation, de transformation ou de prestation de services relevant de l’artisanat.
De 4 500 à 7 500 € de dotations financières
Un prix « Créatrice d’Avenir » sera, en outre, décerné parmi les lauréates, qui se verront toutes remettre une dotation financière de 4 500 € et de 7 500 € pour la gagnante « Créatrice d’Avenir 2022 ». Des dotations d’accompagnement seront également remises par les partenaires du concours, notamment une visibilité médiatique, un vol long-courrier aller-retour dans le cadre d’une mission de prospection à l’international, un accompagnement dans la gestion et la stratégie de l’entreprise, un accompagnement dans l’élaboration de la stratégie de communication, un coaching pour renforcer le leadership, un rendez-vous patrimonial avec un conseiller bancaire et un accès au Groupama Club Créatrices d’avenir réunissant l’ensemble des lauréates. Date limite de dépôt de dossier : 30 septembre 2022.
Pour candidater :
https://initiative.wiin.io/fr/applications/creatrices-davenir-initiative-ile-de-france
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L’Incubateur Télécom Paris a choisi de s’installer sur le campus de start-up parisien Station F, avec un nouveau programme centré sur l’accompagnement des projets à forte valeur ajoutée technologique.
Depuis 1999, l’incubateur Télécom Paris aide les start-up du numérique à forte valeur ajoutée technologique. C’est devenu une référence de l’accompagnement de projets autour de la data et l’intelligence artificielle, la blockchain, la cybersécurité, la robotique… Pour proposer plus de services et de ressources aux entrepreneurs incubés, il s’installe à Station F à Paris. Les incubés vont ainsi pouvoir profiter d’avantages regroupés et disponibles dans les locaux de Station F et développer leurs projets dans les meilleures conditions possibles.
18 mois d’accompagnement
En rejoignant ce nouveau programme, les start-up auront ainsi accès à 18 mois d’accompagnement ; des postes de travail à Station F ; un suivi personnalisé par une Start-up Success Manager. Elles pourront assister à des ateliers hebdomadaires réalisés par des experts et bénéficier d’un accès au réseau alumni, chercheurs, étudiants et mentors. Des financements dédiés sont également réservés aux incubés (subvention et prêt d’honneur) ainsi que des avantages exclusifs chez certains partenaires.
Pour candidater au programme :
https://incubateur-telecomparis.fr/contact
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